Hors RolePlay :
Affiche rigide, écriture plus tranquille et soignée. De la place est laissée en bas. Encre noire.RolePlay :
Informations
Dans la nécessité d'appliquer et de rétablir l'ordre et la défense, plusieurs décisions et nominations ont été prises en urgence :
- Le Soldat André, apparaissant comme le seul combattant en état de forme optimal, et étant prêt à assurer de plus amples responsabilités, est dès à présent nommé Commandeur de la Cité. Il aura comme premières missions de s'allier de bras-droits, de reformer une garde et une marine compétente, ainsi que de protéger le gouvernement, et ses potentiels futurs magistrats.
C'est une nécessité que de pouvoir compter un nouveau gérant de Commanderie, sans quoi le bourg apparaît à nouveau comme vulnérable. Des combattants sont en intégration de la garde, et recherche des marins. De plus amples informations seront explicitées via une affiche du Commandeur André lui-même.
- Un Décret dit "éminent" a été mis en place ; dorénavant, et ce avant même la mise en place de toute nouvelle organisation de la vie politique de la ville, les acheteurs d'armes contondantes et présentant quelconque risque/danger (dagues, poignards de chasses, arcs - à même titre que les lames courtes, etc.) devront au préalable se munir d'un permis de port d'arme auprès de la Commanderie.
Tout forgeron ne demandant pas le dit-permis à d'éventuels clients se verra sévèrement sanctionné, à même titre que les acheteurs, censés prendre connaissance de ce décret d'urgence. Ce dernier a été pris sans aval aucun, mais ne tient ici d'aucun abus ou de profit de fonction, mais uniquement de prévention et de sécurité.
- Le Soldat André, apparaissant comme le seul combattant en état de forme optimal, et étant prêt à assurer de plus amples responsabilités, est dès à présent nommé Commandeur de la Cité. Il aura comme premières missions de s'allier de bras-droits, de reformer une garde et une marine compétente, ainsi que de protéger le gouvernement, et ses potentiels futurs magistrats.
C'est une nécessité que de pouvoir compter un nouveau gérant de Commanderie, sans quoi le bourg apparaît à nouveau comme vulnérable. Des combattants sont en intégration de la garde, et recherche des marins. De plus amples informations seront explicitées via une affiche du Commandeur André lui-même.
- Un Décret dit "éminent" a été mis en place ; dorénavant, et ce avant même la mise en place de toute nouvelle organisation de la vie politique de la ville, les acheteurs d'armes contondantes et présentant quelconque risque/danger (dagues, poignards de chasses, arcs - à même titre que les lames courtes, etc.) devront au préalable se munir d'un permis de port d'arme auprès de la Commanderie.
Tout forgeron ne demandant pas le dit-permis à d'éventuels clients se verra sévèrement sanctionné, à même titre que les acheteurs, censés prendre connaissance de ce décret d'urgence. Ce dernier a été pris sans aval aucun, mais ne tient ici d'aucun abus ou de profit de fonction, mais uniquement de prévention et de sécurité.
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Fin des hostilités
Hier, un Conseil (rien à voir avec le Conseil gouvernemental initialement prévu par le Gouverneur) a été réuni, et plusieurs décisions quant à l'avenir, et de la cité, et de la population, ont été prises - à huit-clos.
Les deux fugitifs qu'étaient Cassio et Didier sont désormais libérés, sans peine aucune - sous décision de la Phalange et de la Concorde - et pourront retrouver une existence toute à fait normale, dans notre société encore meurtrie par le sang, les flammes, le conflit. Dès lors, cette affiche marque la fin des hostilités. La Noble Dame Bellini, et l'ex-Chancelière Dänhae di Ganzaria, sont désormais toutes deux libres de quitter la ville pour regagner le Continent, pour un avenir plus sain et certain de l'une, évitant coups et davantage de souffrances pour l'autre.
Dänhae a le droit de de déclarer que l'élection de Neshan, faite par une assemblée représentative, est illégitime ? Je ne pense pas !Les deux fugitifs qu'étaient Cassio et Didier sont désormais libérés, sans peine aucune - sous décision de la Phalange et de la Concorde - et pourront retrouver une existence toute à fait normale, dans notre société encore meurtrie par le sang, les flammes, le conflit. Dès lors, cette affiche marque la fin des hostilités. La Noble Dame Bellini, et l'ex-Chancelière Dänhae di Ganzaria, sont désormais toutes deux libres de quitter la ville pour regagner le Continent, pour un avenir plus sain et certain de l'une, évitant coups et davantage de souffrances pour l'autre.
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Négociations
Le futur de la gouvernance a également occupé une partie de ce même huit-clos, et voici ce qui en ressort.
Ce même Conseil - ayant réuni le Takaaja Duccio, le Novice Bardan, quelques Prae de la Phalange, Dänhae di Ganzaria, la Noble Dame Bellini, les anciens fugitifs, ainsi que Neshan Mihra - estime également que l'élection de ce dernier, pour le promouvoir en tant que régent de la ville, n'est pas légitime, sous prétexte qu'aucun acte, ni aucune élection n'a été effectué dans le respect de la Foi et la poursuite de la félicité. Les deux camps considérés comme ayant du sang sur les mains, le Conseil - sous décision de la Phalange et de la Concorde - souhaite réorganiser de nouvelles élections prochainement, sans prendre compte de celle de l'assemblée populaire réunie lors du soir de crise, où la situation se devait vraiment d'être régulée. La Phalange et la Concorde demandent donc consultation du Concile pour cette réorganisation.
Le mauvais-arbitrage devient la norme ? Vite ! Devenons truands ! On aura des manoirs !
Le mauvais-arbitrage devient la norme ? Vite ! Devenons truands ! On aura des manoirs !