RolePlay :
HJalmor se mit à lire les noms, un à un, sans vraiment de sentiments, il s'aretta simplement sur le nom de Tankred, qu'il connaissait un peu.
Il n'etait pas vraiment etonné de cette revoltion, ou de ce coup d'etat, il ne savait pas vraiment comment caractariser de tels actes, il n'etait pas vraiment non plus secoué, contrairement a beaucoup d'Esperiens qui s'indignaient en hurlant "Comment ?! faire du mal a notre cher premier consul qui a tant fait pour nous !?"
Selon lui, ces événements étaient justifiés, le gouvernement jusqu'a présent n'avait pas fait grand chose pour Hjalmor, apart le taxer; Le haut-conseil, n'est qu'une reunion de gros bourgeois qui font des cérémonies dinatoire en parlant d'extensions de quartier, et de conservation du patrimoine, ou les esprits se déchirent en argumentant sur la traite des esclaves, pour au final se gaver de gateaux au miel, et se faire peter la panse de bière, vin et hydromel.
Tout les esprits sont dirigés vers le chantier de la place publique pendant que le premier consul s'enferme dans son gros manoir, et choisit des consuls qui sortent des dagues derrière son dos, qu'elle naïveté pensa-t-il, quel système gouvernemental pitoyable dans cette cité en perpétuel chantier.
Après un rictus, il se morda les doigts que ces rebelles, qui s'étaient dressés contre un système et un premier consul "Infiniment bon et clairvoyant" n'aient pas eu plus d'influence et de succès, cela aurait donné à Esperia un coup de jeune.
Et pensa, un peu fort "La hache du bourreau est donc aiguisée, polie, et manoeuvrée par notre bon premier consul. J'espère qu'il s'en fera des gateaux avec tout ce sang versé, ce serait dommage de gaspiller après tout !"
Il repartit, profondément dégoûté, du système, de son premier consul, des consuls, de cette bourgeoisie plus préoccupée par leurs soirées mondaines que par une quelconque stabilité politique.
Espérant que ces événements se gravent dans le crâne du premier consul, et qu'il effectue un tournant à 180 degrés, regagnant une part de la considération perdue par ceux qui ne lui font pas des louanges pour s'accorder des avantages.