Utilisateur:Balik

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Informations RP
Nom
Genre
Homme
Année de naissance
Rang


Famille


Quartier




Métier
Métier
Compléments








Origines
Ville d'origine
Région d'origine
Nation d'origine
Informations HRP
Login Minecraft
leknk
Pseudo
Balik
Prénom IRL
Jordan
Âge IRL
19




Description

Mesurant 1 mètre 80, pour 85 kgs, Balik est de peau Noire. Il a les cheveux noir, et les nœuds dans ses cheveux qui ne sont jamais coiffés lui donnent une apparence particulière.

Compétences

  • Endurance: Balik est très endurant, il arrive à travailler très longtemps.
  • Connaissance de la flore: Balik connait les différentes graines nécessaires à la culture.
  • Outillage: Balik manie les outils à la perfection étant donné son expérience.
  • Sens du goût: Balik à le goût développé et sais reconnaître les bonnes choses.

Talents

  • Serviable, il aime aider les autres
  • Sociable
  • Patient
  • Il résiste assez bien à l'alcool dûe à son habitude et à sa corpulance

Défauts

  • Il s'énerve vite quand quelque chose le dérange
  • Il est têtu et pense avoir raison la plupart du temps

Intérêts culturels et goûts

Il s'interesse à tout ce qui se rapporte à la musique

Histoire

Chapitre 1: La jeunesse de Balik

Je m'appelle Balik. Je viens de la ville de Valeth, où je vivais avec ma mère, ma sœur, et ma grand-mère. Je n'ai jamais connu mon père, et ma mère ne nous en parlait jamais, car elle disait que ce n'était pas un homme bien. Il l'avait quittée pour continuer son " grand voyage " disait elle. Je crois surtout qu'elle disait ça car il lui avait fait du mal en l'abandonnant. Tout ce que je sais c'est qu'il était Marin, et qu'il venait d'une terre qui n'est pas la mienne. Pour ma part, je suis né dans une famille modeste. Quand j'étais petit, c'est ma grand-mère qui m'éduquait, qui m’apprenait à lire et à écrire, à différencier le bien du mal, et toutes ces choses que l'on apprend à un enfant. Ma mère était bien trop fatiguée et bien trop occupée à se sacrifier en travaillant pour nous faire survivre, et ma sœur elle, s'occupait des tâches ménagères à la maison.

À l'âge de 8 ans j'ai commencé à travailler. J'ai grandi dans les champs à répéter les mêmes gestes chaque jour pour gagner un peu d'argent, car la misère de ma famille, et de ma mère m’étais indigeste. Je gagnais pas des masses mais qu'est-ce que je donnais de moi-même... Ma mère me prenait tout ce que je gagnais, pour subvenir à nos besoins. Je trouvais ça injuste, mais au fond je comprenais son geste. Quand j'ai eu 13 ans, un drame à frapper notre famille. Ma grand-mère est tombée gravement malade, et elle est décédée. Les médecins nous disaient qu'il n'y avait plus aucun espoir, qu'elle était trop fragile, et que la moindre intervention la tuerait. Nous étions très tristes de son départ, car c'est elle qui nous avait élevés, ma sœur et moi.

Les années passèrent, et je cherchais à en savoir plus sur mon père. À force d'insister, et de vouloir connaitre mes ancêtres, ma mère accepta de me raconter l'histoire de mon père. Il était blanc. Il venait d'une famille noble, très riche. Il avait quitté ses parents à l'âge de 18 ans, pour rejoindre un équipage de Marin afin de partir à l'aventure. Il avait l'argent, mais c'était une autre richesse qu'il recherchait. En faisant des escales, et en visitant le pays, il avait rencontré ma mère chez un marchand de chaussures. C'est là qu'ils se sont connus. Ça a été un coup de foudre pour chacun.
Je m'endormais avec des rêves pleins la tête, en imaginant ce à quoi mon père ressemblait, et tout ce qu'il a pu vivre pendant son voyage. C'est à ce moment que je me rendis compte que cette vie ne me plaisait pas, que le travail dans les champs ne pourrait pas nous faire vivre ma famille et moi éternellement.
Après le travail dans les champs, j'avais l'habitude d'aller à la taverne pour y retrouver quelques amis. Nous nous retrouvons là-bas pour boire quelques bières, et jouer de la musique. On ne pouvait pas reprocher ça à des jeunes comme nous, presque tout le monde aimait boire de la bière, et le tavernier n'était pas contre car la plupart des personnes aimaient notre musique, et les clients restaient plus longtemps pour nous entendre jouer. On aurait dit que notre musique les absorbait, qu'ils aimaient ça. Ça nous faisait une sensation étrange sur le cœur de voir ça, et c'est cette sensation que je cherchai plus que tout, de rendre les gens heureux, de leur faire partager des choses qui me tenaient à cœur.
Je profitais de la fin d'une musique pour aller chercher une bière auprès du tavernier. À ce moment, un homme m'accoste.
L'homme: - Bonjour monsieur, je m'appelle John, vous êtes Balik n'est ce pas?
Moi: - bonjour, enchanté, oui c'est moi.
- Je voulais vous féliciter. Vous chantez réellement bien, et votre musique apporte du bonheur à tous ces gens, de l'espoir, bravo!
- Merci beaucoup, c'est une passion pour moi. Je ne peux pas m'empêcher de jouer quand je vois un publique comme celui-ci.
- Je l'ai bien vu. J'ai entendu dire que vous travailler dans les champs. c'est un travail très dur sous cette chaleur n'est ce pas?
- Quand on n'a pas le choix...
- Ce qui m'énerve le plus, c'est que vous travailler pour le compte d'un homme qui ses soucis bien peu de votre situation. C'est inadmissible de traiter les gens de la sorte!
- Vous savez, chacun a ses problèmes...
- Je voudrais vous proposer quelque chose. Venez avec moi dans la capitale, je pourrai vous faire connaitre, vous chanteriez devant beaucoup de personnes, et vous seriez riche! Vous n'auriez plus jamais une vie comme celle-ci, ça ne serait que du bonheur, pour vous et vous seul!
- Vous savez, le bonheur n'est réel que quand il est partagé, je veux juste partager mon bonheur, et je ne peux pas laisser ma mère ainsi, elle a besoin de moi.
- Faites-moi confiance! Venez avec moi! C'est la solution pour votre mère, vous pourriez lui envoyer de l'argent. - C'est intéressant, mais j'ai des doutes...
- Écoutez, vous venez avec moi, je vous intégrerai dans un groupe en tant que chanteur, et je vous ferai décoller!
- Et les musiciens qui jouent avec moi, qu'en feriez-vous?
- Il faut se l'avouer, ils n'ont pas le même niveau que vous, ni le même charisme, vous comprenez?
- Je refuse de les laisser, j'ai commencé avec eux, et je finirai avec eux, et ce avec ou sans votre aide, et je ne peux pas laisser ma mère seule, je ne VEUX pas, désoler, au revoir.
Le tavernier: - Laissez-le donc tranquille où je vous vire d'ici!
Je finis ma bière, et je retournais chanter avec mes amis. Sur le chemin de la maison, je repensais à cet homme, et à ma mère, je me dis que cela pourrait être une solution pour elle...

Chapitre 2: Le début de l'aventure

A l'âge de 18 ans, j'avais l'impression d'être un fardeau pour ma mère, une bouche de trop à nourrir. Elle était épuisée par son travail. J'ai donc décidé de la laisser se reposer, et je suis parti. Je réalise que quand mon père est parti de chez lui il avait le même âge. J'ai réalisé aussi que ma passion n'est pas là, et que je pars pour la même raison que lui, pour trouver la richesse, mais je parle de vrai richesse, de toutes les merveilles du monde, parcourir le monde et voir ce que la vie propose. J'avais enfin compris ce que mon père cherchait, et je ne lui en voulais plus de nous avoir abandonné. J'embrasse tendrement ma mère qui a tant fait pour moi. Où j'allais? je ne sais pas, mais Dieu guidait mes pas. Je pris mais quelques affaires dans un sac à dos et je m'en allais dans l'espoir d'une vie meilleure. Je veux de l'air, je veux de l'eau, je veux des arbres, je ressentais le besoin de mieux comprendre l'histoire, de trouver mon étoile. Tellement de sentiments se bousculaient dans mon cœur, qui palpitait et grandissait en écrasant la peur. La vie m'a fait mal, et je craignais pour ma famille, mais au fond de moi je savais que je n'avais pas le choix. Tout comme mon père ne l'avait pas.

Que la force soit avec moi, je parcourais les chemins jusqu'à un Eldorado imaginaire. Au cours de mon voyage j'ai rencontré beaucoup de personnes, et j'ai visité beaucoup de villes, qui m'ont fait comprendre que j'avais fait le bon choix, et que tout était possible si on s'en donne les moyens. J'étais donc à la recherche de ces personnes, et de cette ville où je pourrais partager mon bonheur, ma musique, ma passion. Au cours de mon voyage, un vieil homme qui vivait dans une ferme me donnait un lit, et un peu d'eau et de pain, ainsi qu'un peu d'argent en échange du travail effectué dans ses champs. Il me faisait travailler dur, mais j'avais l'habitude, je ne me plaignais pas, et puis il était très gentil. Il m'apprit quelques bases sûres comment survivre dans la nature, comment conserver la viande que l'on venait de chasser, il me montrait quelques plantes comestibles, et tout ça m'était bien utile. Un jour où il n'était pas là, je travaillais un champ de blé. Le croyant de retour avec ses amis en voyant des hommes à cheval s'approcher, je ne m'attendais pas à ce qui allait m'arriver.

Chapitre 3: Le cauchemar commence..

Ces hommes sont venu jusqu'à moi. Ils étaient très bien vêtus. Ils étaient aussi armés. Quand je vis l'un d'eux pointer son fusil sur moi, je n'osais plus bouger. Ils sont descendus de leurs chevaux, et ils m'ont frappé. Je n'ai rien pu faire et je me suis évanoui. Quand j'ai repris mes esprits, j'avais les mains et les pieds attachés avec des chaînes. Il y avait d'autres personnes à coté de moi. Nous étions chacun attaché à une sorte de poteau pour que nous ne marchions pas. De la paille couvrait le sol. " Qu'est-ce qu'il se passe, on est où là?! " " Eh bien mon petit, tu vas devenir un esclave, on est dans un bateau, j'ai cru que tu ne te réveillerais pas " Me répondit un homme. J’étais donc destiné à être vendu, à être considéré comme un morceau de viande jeté à des charognards. À la fin du voyage en bateau, on m'annonçait que j'étais dans une ville nommée Esperia, et que j'allais être vendu, en tant qu'esclave...}}