Florian Ortigon
| Informations | |
| Nom | Florian Ortigon † |
|---|---|
| Sexe |  |
| Naissance | 3 octobre 450 |
| Décès | 9 juin 512 |
| Famille | |
| Père | Gaspard Ortigon † |
| Mère | Ginette Manissier † |
| Conjointe | Florence Loiseau † |
| Enfant | Gaspard Ortigon |
| Fonction & Croyance | |
| Rang | Patricien |
| Fonctions | Juriste |
| Chef pouillard | |
| Faction | Pouillards |
| Religion | Monachisme |
| Origines | |
| Ville d'origine | La Capitale |
| Région d'origine | Albunae |
| Nation d'origine | Royaume Central |
Florian Ortigon fut un chef des pouillards durant la guerre de succession capitaline.
Sommaire
Biographie
Florian Ortigon naît en 450 au sein d’une famille de patriciens du quartier de la Vielasse à la Capitale. Il y vit une jeunesse sans histoire et participe à une école locale avec d’autres jeunes gens. En 469, il part étudier à la Grande Ecole des Lois à Bayens qu’il achève avec les honneurs. Il travaille alors dans l’étude de son beau-père, Gilles Loiseau, dont il devient le partenaire en 486. Il se marie la même année. A la mort de son beau-père en 488, il s’installe à son propre compte dans le quartier des Deux Veuves.
Au cours de sa carrière, il devient à ses heures un rédacteur de pièce de théâtre relativement appréciée. Au fil des années, il se politise, aimant à tourner en dérision tous les gens de pouvoir en dehors du Roi.
Durant la guerre de succession capitaline, il rédige plusieurs pamphlets dénonçant ardemment ceux qui ont fuit la cité mais aussi ceux qu’il considère comme des vautours sur la dépouille de la Capitale. Il soutient largement la Garde honnête et se fait apôtre d’une idée neuve: une république capitalarde indépendante sur le modèle de l’ancienne cité-état de Cyvales. Il devient finalement l’un des meneurs des pouillards.
Il est arrêté le 8 juin 512 par les troupes de Lionel Adagan et est exécuté.
Sépulture
Florian Ortigon est enterré dans une tombe du Clot d’Arbitrio à la Capitale.
Héritage
Florian Ortigon aura profondément marqué la Capitale par ses écrits radicaux et son apport au mouvement des pouillards. Son héritage théâtral est encore très apprécié et notamment défendu par son fils, Gaspard, réfugié à Golvandaar.
Au cours de sa vie
Relations
Florian Ortigon a connu beaucoup de gens à la Capitale par sa pratique juridique mais aussi par ses pièces à succès. Il fut un ami de longue date de Michelle Batallis qu’il aida à fonder les pouillards. Il forma avec elle et Noirelet le trio de tête des pouillards durant la guerre de succession capitaline.
Il avait une rivalité personnelle avec Sébastyan Carrain qui aimait particulièrement ruiner la réputation de ses pièces.
Réputation
Florian Ortigon était un homme très apprécié parmi les Patriciens et les lettrés de la Capitale qui vantaient son honnêteté, son intelligence et la qualité de ses pièces de théâtre.
Il est généralement considéré comme ayant été l’idéologue des pouillards et à ce titre, un traître à la couronne (ou un héros).
Rumeurs
Beaucoup de ses admirateurs opposés aux pouillards prêtent son rôle parmi ceux-ci comme un signe de sénilité, un coup de folie ou un complot.
Apparence
Florian Ortigon était un homme de petite taille et de corpulence moyenne. Il avait les cheveux noirs et les yeux bruns. Portant la moustache dans sa jeunesse, il se fit pousser un grande barbe à la fin de sa vie et se dégarnit sans pour autant devenir chauve. Ses cheveux grisèrent et blanchirent de façon non-uniforme.
Florian Ortigon portait généralement des tenues élégantes et simples proches du corps. Il méprisait toute forme de bijouterie.
