Utilisateur:Ethelvyn : Différence entre versions
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*Il a tendance à ne pas toujours prendre tout au sérieux. | *Il a tendance à ne pas toujours prendre tout au sérieux. | ||
==Intérêts culturels et goûts== | ==Intérêts culturels et goûts== | ||
− | Il | + | Il préféra toujours plus une ballade au coucher du soleil qu'une pièce de théâtre. La simplicité est parfois significatif de bonheur. |
==Histoire== | ==Histoire== | ||
+ | [hrp] vous la trouverez complète ici: http://www.esperia-rp.net/forum/viewtopic.php?f=85&t=21122 [/hrp] | ||
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+ | Il perd sa mère lorsqu'il née. Il vit donc avec son frère Quintyl, qui a deux ans de plus que lui. Son père tombe dans une profonde dépression et s'alcoolise. Lorsqu'il a vingt ans, lui et son frère vont à la taverne ou était son père. Citation d'un passage: | ||
+ | Un soir nous décidâmes d’aller chercher notre père dans sa taverne habituelle. Il y était resté presque toute la journée. Quand nous entrâmes, nous vîmes notre père, soul, et allongé sur la table. Derrière lui on pouvait voir un groupe de matelots. Ils riaient tous et se racontaient leurs diverses aventures. Nous nous approchâmes. | ||
+ | « Bonjour » dis-je. | ||
+ | « Désolé paysan, mais nous sommes occupés à nous partager notre or, dégage » dit Estanis, le capitaine du Estanis-Carolina, un grand trois-mâts qui faisait escale ici. Je ne pus supporter un tel affront. Je pris une choppe de vin au miel et le versa froidement sur la tête d’Estanis. Il se leva d’un coup, se tourna et me regarda droit dans les yeux. Quintyl ne put s’empêcher de glousser discrètement, car des gouttes de vin au miel dégoulinaient sur ses cheveux. Estanis était beaucoup plus grand que moi, et devait mesurer environ 1 mètre 65. Je pris alors conscience de mes actes et je senti la mort me frôler. Qu’allait-il me faire ? Tous les yeux de la taverne étaient rivés sur nous, hormis ceux de mon père. Il leva sa main lentement et je me préparai intellectuellement à me prendre un énorme coup de poing dans la figure. | ||
+ | « J’aime ce tempérament et ce courage, ce n’est pas tout le monde qui aurait osé ! » dit-il, puis il me serra la main d’un geste énergique. « Que puis-je faire pour toi ? ». | ||
+ | C’est mon frère Quintyl qui répondit : « Engagez-nous, même aux tâches les plus infâmes, nous sommes prêt à tout ! ». Après une concertation, un assistant du capitaine nous paya un Hydromiel chacun. « Comment vous appelez-vous ? » Nous demanda-t-il. Après que nous lui ayons répondu, il offrit un poste d’apprenti moussaillon à Quintyl. Cet assistant dénommé Eligi me trouvant plus musclé m’offrit un poste d’apprenti au voilage et aux cordages. Une fois les signatures faites -nous ne savions qu’écrire nos prénoms- nous sortîmes de la Taverne. Je fis le dernier à passer la porte. J’étais ému et triste, je me retournai une dernière fois et vit mon père qui me regardait. Une larme avait coulé sur sa joue, il avait tout suivi et entendu. Je n’oublierai jamais ce regard. | ||
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+ | Fin de citation. C'est pour cette raison qu'il est tant émotif. Il lui arrive souvent de faire un cauchemar où il voit son père s'approcher de lui. | ||
+ | Il est engagé sur le bateau avec son frère. Citation: | ||
+ | Nous avions un petit quartier qui nous était réservé, nous dormirons ici une fois que le voyage aura commencé. Eligi, l’assistant vint nous chercher : « Veuillez vous donner la peine de me suivre, le capitaine souhaite s’entretenir avec vous ». Estanis nous dit : | ||
+ | « Bienvenue sur mon bateau. Ici les règles sont d’une grande importance… » Il continua à nous parler longuement et nous distribua nos rations de biscuits sec. « Vous n’êtes que des apprentis, vous n’avez donc droit qu’à une demi-portion, que je ne vous entende pas vous plaindre. ». | ||
+ | Les jours sur le bateau passèrent. Il nous fallait dix jours avant d'arriver à la première escale de notre périlleux voyage vers le nouveau monde. Je me sentais très utile dans le bateau et je ne restai jamais inactif. Il y avait toujours un génois à plier ou un écoute de grand-voile à ranger. Tous les soirs je me retrouvais avec mon grand-frère, épuisés. | ||
+ | Fin de citation. C'est comme ça qu'il appris l'escalade (monter en haut des mats pour aider à plier la Grand-Voile) et la navigation. | ||
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+ | Le voyage ne se passe pas si bien que ça, et le convoi se fait attaquer par des écumeurs. Son histoire se fini ainsi: Citation: | ||
+ | 5 jours passèrent lentement au fond de cette cale. Combien y avait-il de « Ah ! » ou de « A l’aide », de déglutinations, ou de pleurs. Le soir du quatrième jour Ermild dû sortir pour se débloquer les muscles en dansant comme la tradition l’exigeait. Il n’était qu’à un mètre du bord. Il ne pût résister à la tentation, et se jeta par-dessus la barrière, et tomba dans l’eau. Il parait qu’il s’est débattu l’Ermild. Il parait qu’il a crié l’Ermild. Ah ce vieil Ermild… pour lui s’en était fini, et certains esclaves l’envièrent. | ||
+ | Une nuit passa et peu de temps avant le lever du soleil, des contremaîtres nous réveillèrent brutalement. Nous fîmes emmenés dans un endroit peu éclairé, qui paraissait être sous terre. Etant très émotif, je me mis à pleurer « Qu’allaient-ils nous faire ? » « Mourrais-je à la tâche ? ». On m’enchaîna au sol et je regardai les autres esclaves autour de moi. | ||
+ | Et là je vis une chose telle que j’aurai crû que je rêvai ! Comment aurais-je pu croire à un tel miracle ? Je me senti de nouveau fort, de nouveau plein d’espoir… A quelques mètres de moi, il y avait Quintyl. « Quintyl ! » criai-je ! | ||
+ | « Ethelvyn ! » répondit d’un air malicieux mon grand-frère, tout en me faisant un clin d’œil complice. | ||
+ | Et la suite de l’histoire me direz-vous ? Eh bien ça, mes chers esperiens... c’est vous qui l’écrirez. | ||
+ | Fin de citation |
Version du 24 janvier 2015 à 13:14
Description
Ethelvyn est né le 17 avril 395 dans la forge de son père. Il a actuellement 20 ans, pèse 56 kilogrammes et mesure 1 mètre 58. Il s'entend très bien avec son frère Quintyl.
Aptitudes
Il a le talent escalade. Son expérience à bord de l'Estanis-Carolina l'a rendu connaisseur en ce qui concerne les cordes. De plus le fait d'avoir été moussaillon sur ce bateau lui a beaucoup appris, pour un fils d'alcoolique, il possède donc également l'aptitude navigation, tout comme son frère d'ailleurs.
Talents
Il évite la langue de bois et va droit au but. Il est musclé au niveau des bras, ce qui est tout à son avantage. De plus il est plutôt jeune.
Défauts
- Il ne sait que lire et écrire son prénom.
- Il est susceptible, et peu vite pleurer (si on lui parle de sa mère ou même de son père). Il a tendance à éviter la langue de bois, en effet il ira souvent droit au but, sans détours.
- Il fera tout pour éviter une discussion avec un inconnu. En effet sa langue a tendance à fourcher, car parler à des inconnus le fait énormément stresser.
- Ethelvyn peut parfois faire preuve de naïveté.
- Il a tendance à ne pas toujours prendre tout au sérieux.
Intérêts culturels et goûts
Il préféra toujours plus une ballade au coucher du soleil qu'une pièce de théâtre. La simplicité est parfois significatif de bonheur.
Histoire
[hrp] vous la trouverez complète ici: http://www.esperia-rp.net/forum/viewtopic.php?f=85&t=21122 [/hrp]
Il perd sa mère lorsqu'il née. Il vit donc avec son frère Quintyl, qui a deux ans de plus que lui. Son père tombe dans une profonde dépression et s'alcoolise. Lorsqu'il a vingt ans, lui et son frère vont à la taverne ou était son père. Citation d'un passage: Un soir nous décidâmes d’aller chercher notre père dans sa taverne habituelle. Il y était resté presque toute la journée. Quand nous entrâmes, nous vîmes notre père, soul, et allongé sur la table. Derrière lui on pouvait voir un groupe de matelots. Ils riaient tous et se racontaient leurs diverses aventures. Nous nous approchâmes. « Bonjour » dis-je. « Désolé paysan, mais nous sommes occupés à nous partager notre or, dégage » dit Estanis, le capitaine du Estanis-Carolina, un grand trois-mâts qui faisait escale ici. Je ne pus supporter un tel affront. Je pris une choppe de vin au miel et le versa froidement sur la tête d’Estanis. Il se leva d’un coup, se tourna et me regarda droit dans les yeux. Quintyl ne put s’empêcher de glousser discrètement, car des gouttes de vin au miel dégoulinaient sur ses cheveux. Estanis était beaucoup plus grand que moi, et devait mesurer environ 1 mètre 65. Je pris alors conscience de mes actes et je senti la mort me frôler. Qu’allait-il me faire ? Tous les yeux de la taverne étaient rivés sur nous, hormis ceux de mon père. Il leva sa main lentement et je me préparai intellectuellement à me prendre un énorme coup de poing dans la figure. « J’aime ce tempérament et ce courage, ce n’est pas tout le monde qui aurait osé ! » dit-il, puis il me serra la main d’un geste énergique. « Que puis-je faire pour toi ? ». C’est mon frère Quintyl qui répondit : « Engagez-nous, même aux tâches les plus infâmes, nous sommes prêt à tout ! ». Après une concertation, un assistant du capitaine nous paya un Hydromiel chacun. « Comment vous appelez-vous ? » Nous demanda-t-il. Après que nous lui ayons répondu, il offrit un poste d’apprenti moussaillon à Quintyl. Cet assistant dénommé Eligi me trouvant plus musclé m’offrit un poste d’apprenti au voilage et aux cordages. Une fois les signatures faites -nous ne savions qu’écrire nos prénoms- nous sortîmes de la Taverne. Je fis le dernier à passer la porte. J’étais ému et triste, je me retournai une dernière fois et vit mon père qui me regardait. Une larme avait coulé sur sa joue, il avait tout suivi et entendu. Je n’oublierai jamais ce regard.
Fin de citation. C'est pour cette raison qu'il est tant émotif. Il lui arrive souvent de faire un cauchemar où il voit son père s'approcher de lui. Il est engagé sur le bateau avec son frère. Citation: Nous avions un petit quartier qui nous était réservé, nous dormirons ici une fois que le voyage aura commencé. Eligi, l’assistant vint nous chercher : « Veuillez vous donner la peine de me suivre, le capitaine souhaite s’entretenir avec vous ». Estanis nous dit : « Bienvenue sur mon bateau. Ici les règles sont d’une grande importance… » Il continua à nous parler longuement et nous distribua nos rations de biscuits sec. « Vous n’êtes que des apprentis, vous n’avez donc droit qu’à une demi-portion, que je ne vous entende pas vous plaindre. ». Les jours sur le bateau passèrent. Il nous fallait dix jours avant d'arriver à la première escale de notre périlleux voyage vers le nouveau monde. Je me sentais très utile dans le bateau et je ne restai jamais inactif. Il y avait toujours un génois à plier ou un écoute de grand-voile à ranger. Tous les soirs je me retrouvais avec mon grand-frère, épuisés. Fin de citation. C'est comme ça qu'il appris l'escalade (monter en haut des mats pour aider à plier la Grand-Voile) et la navigation.
Le voyage ne se passe pas si bien que ça, et le convoi se fait attaquer par des écumeurs. Son histoire se fini ainsi: Citation: 5 jours passèrent lentement au fond de cette cale. Combien y avait-il de « Ah ! » ou de « A l’aide », de déglutinations, ou de pleurs. Le soir du quatrième jour Ermild dû sortir pour se débloquer les muscles en dansant comme la tradition l’exigeait. Il n’était qu’à un mètre du bord. Il ne pût résister à la tentation, et se jeta par-dessus la barrière, et tomba dans l’eau. Il parait qu’il s’est débattu l’Ermild. Il parait qu’il a crié l’Ermild. Ah ce vieil Ermild… pour lui s’en était fini, et certains esclaves l’envièrent. Une nuit passa et peu de temps avant le lever du soleil, des contremaîtres nous réveillèrent brutalement. Nous fîmes emmenés dans un endroit peu éclairé, qui paraissait être sous terre. Etant très émotif, je me mis à pleurer « Qu’allaient-ils nous faire ? » « Mourrais-je à la tâche ? ». On m’enchaîna au sol et je regardai les autres esclaves autour de moi. Et là je vis une chose telle que j’aurai crû que je rêvai ! Comment aurais-je pu croire à un tel miracle ? Je me senti de nouveau fort, de nouveau plein d’espoir… A quelques mètres de moi, il y avait Quintyl. « Quintyl ! » criai-je ! « Ethelvyn ! » répondit d’un air malicieux mon grand-frère, tout en me faisant un clin d’œil complice. Et la suite de l’histoire me direz-vous ? Eh bien ça, mes chers esperiens... c’est vous qui l’écrirez. Fin de citation