Le village

De Wiki'speria
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L'étranger

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Assis plus loin là bas sur un de ces vieux bancs Ca fait déjà dix ans qu'un jour il est arrivé Avec tout son barda un matin de printemps Il s'est installé dans ce village pour mieux recommencer Sa vie qui n'était pas pour lui complètement tâchée Par le bonheur c'est ce qu'il voulait cacher Alors il s'installa ici entre les vents de ce pays De ce pays douloureux qu'il fallait apprendre à aimer Ici donc le voilà aujourd'hui maintenant Parmi tous ces bons gens qui ne l'ont pas accepté La tête dans ses bras et calé sur ce banc Juste à quelques pas de là Plongé au fond de ses pensées

Vous qui m'appelez l'étranger De vous je n'ai plus rien à faire Vous qui m'avez tant demandé J'ai laissé passer du temps Je ne serai plus le dernier Qui a le devoir de se taire Sachez que tout est terminé J'ai décidé de vous dire non

Incompris le voilà avec le sentiment d'être un peu différent Malgré ces années passées, portant souvent sa croix sans être combattant Lui qui n'a jamais voulu se cacher derrière le pêché Ce ne fut que son choix de subir gentiment En pensant que le temps saurait comment l'accepter Ne vous y trompez pas qu'il s'est dit trop souvent Je ferai de moi l'ami même s'il faut me dénaturer Il a suivi sa voix, plus sincère et plus grand Que tous les habitants de ce village étriqué Mais rien ici ne va si on n'a pas le sang Après les bonjours venait très vite de l'animosité

Vous qui m'appelez l'étranger De vous je n'ai plus rien à faire Vous qui m'avez tant demandé J'ai laissé passer du temps Je ne serai plus le dernier Qui a le devoir de se taire Sachez que tout est terminé J'ai décidé de vous dire non

L'esprit petit, étroit qui planait indécent Doucement survolant l'unique façon de penser Avait trouvé sa proie, son dévot, son amant Comment aller de l'avant si l'on est déjà condamné

De vous je ne reçois rien que des boniments Vous autres prétendants d'une certaine lignée Un jour je serai roi aujourd'hui je le sens Alors sachez que de vous je ne veux pas être adoubé

Vous qui m'appelez l'étranger De vous je n'ai plus rien à faire Vous qui m'avez tant demandé J'ai laissé passer du temps Je ne serai plus le dernier Qui a le devoir de se taire Sachez que tout est terminé J'ai décidé de vous dire non

Vous qui m'appelez l'étranger De vous je n'ai plus rien à faire Vous qui m'avez tant demandé J'ai laissé passer du temps Je ne serai plus le dernier Qui a le devoir de se taire Sachez que tout est terminé J'ai décidé de vous dire non

Vous qui m'appelez l'étranger Vous qui m'appelez l'étranger J'ai décidé de vous dire non

L'idiot du village

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Lui qui voulait, l’embrasser tout partout sur le cou Lui qui souhaitait, s’approcher lui écrire des mots doux Lui qu’attendait, ce beau jour pour enfin lui dire nous, la fille du boulanger était super mais son père était fou

Ce beau jeune homme, n’avait pas vraiment toutes ses bases Il était comme, qui dirait en retard de 3 cases Nourrit au rhum, vivant sa vie par période et phase accumulant la somme de ses 20 ans il jouait fort de ses phrases

Je n’ai pas peur ! de ce que pense le boulanger De sa sueur ! il n’est qu’un homme un peu doux je sais Moi j’ai un cœur ! et je suis prêt à lui demander, en jurant sur l’honneur la main de sa fille que j’aime en secret

Dans le village ! on savait que ça posait problème Même le courage, ne peut venir d’où contre gêne ?? Ses mains sont larges ! elles ont comme déjà eu tant de peine Mais le jeune percheron oubliait ça sous l’emprise de ses gènes...

[Refrain] L’idiot du village Toujours dans les nuages Arrivé à un âge où il voulait tant se marier Il ne manquait pas de courage L’idiot du village Malgré son entourage, il serait bien se débrouiller

Il traversa la grande place, d’un bon pas décidé Devant les vieux, qui étaient là, et monsieur le curé Ses avants bras mis dehors, les manches relevées, la cadence était là et puis lui vint la marche du condamné

Donc le voilà arrivé devant le vieux fournil Plein de débat, pleins de grands gestes vraiment inutiles Et bla bla bla ! excitant un peu plus le fossile, qui prit une bûche en bois pour l’aider à percuté le profil Du prétendant qui bien-sûr était très sûr de lui Ce jeune amant qui n’a jamais embrassé que lui Et pour longtemps, maintenant c’est dans son parti Il faudra bien pourtant qu'Eugène accepte que sa fille se marie

[Refrain] L’idiot du village Toujours dans les nuages Arrivé à un âge où il voulait tant se marier Il ne manquait pas de courage L’idiot du village Malgré son entourage, il serait bien se débrouiller

Le temps passa sous le regard moqueur du clocher Des jours, des mois, 2-3 ans se sont déjà écoulés Lui qui tu vois, n’arrêtait pas de se délecter L’histoire n’était pas finie, le jeune homme n’avait pas renoncé Il continua, s’acharna contre le boulanger Re-bla bla bla, re-coup de bois sur le bas-côté Après tout ça, le jeune homme n’était plus vraiment frais mais enfin il gagna petit à p’tit le respect de son ainé !

Et nous voilà tous ensemble ici bien réuni Pour le mariage de sa fille , la très belle Eugénie Et le courage que le boulanger nous a promis Le pain serait gratuit, aujourd’hui que ce jeune homme soit bénis….

[Refrain] L’idiot du village Toujours dans les nuages Arrivé à un âge où il voulait tant se marier Il ne manquait pas de courage L’idiot du village Malgré son entourage, il serait bien se débrouiller

L’idiot du village Toujours dans les nuages Arrivé à un âge où il voulait tant se marier Il ne manquait pas de courage L’idiot du village Malgré son entourage, il serait bien se débrouiller

Le dragueur

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Je la regarde un peu plus loin et je ne sais pas comment lui parler Me voila là je lui dis rien l'abruti que je suis semble bloquer Je ne sais pas s'il faut bouger, me rapprocher de la belle éloignée faire quelques pas avancer ou reculer pour mieux sauter Ave Maria me revoilà les derniers sont ils vraiment les premiers ? Elle est si belle oh oui mais moi je ne fais que ressembler à mes pieds Et ils n'en n'ont rien à faire mes camarades de l'autre coté Ils me tendent au loin n verre afin de l'oublier

Refrain : Allez les gars on est partis pour toute la soirée Allez les gars les filles d'ici ne vont pas nous pas nous aimer Alors on boit on oublie ça On le sait bien oui mais voilà

Je me rapproche tout en dansant mais je crois qu'je vacille de tous cotés mains dans les poches et chancelant Bientôt le ridicule va me tuer je m'accroche à mon histoire je suis sur de ne pas rêver et si je danse dans le noir sur qu'elle va me kiffer ça y est je suis à quelques pas la belle na m'a pas encore calculé je chante fort lalala en espérant qu'elle va se retourner mais elle n'en a rien à faire elle à l'air préoccupée comment pourrais-je lui plaire moi l'ancien perturbé

refrain

elle est partie main dans la main avec un mec qu'était juste à coté moi plus trop frais et pas très fin je n'ai rien vu de ce qu'il s'est passé j'ai fini avec mon verre avec mes potes et mes idées mais qu'ai-je donc fait à l'enfer pour na pas être aimé ?

refrain x2

L'amoureuse

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Elle L'amoureuse L'amoureuse

Il l'a revoit Toujours douce et belle, un peu fofolle Courir devant toute sol Pour être promis à l'école Relent les fois Ces quelques mots et ces belles paroles Allez plus vite Anatol Comment veux-tu qu'on s'envole? Elle se souvient de ses bons moments qu'il a partagé Avec la fille qu'il aimait tant Mais sans jamais se l'avouer Il se souvient des rires d'enfants de toute cette complicité Qu'ils fallait caché au plus grand pour ne pas être moqué Mais un jour vient le temps ou il a fallu grandir Convaincre ses sentiments de ne surtout rien lui dire

Prisonnière d'un aimant Elle l'a vu un jour venir Un de ses beaux délinquants Il l'a appris à souffrir

Mais pourquoi les filles aiment tant les garçons dérangés Ceux qui ne vont jamais aux champs et qui n'aime pas travailler Pourquoi les filles aiment les méchants? Ce fils de charpentier Qui le traitaient de gros fainéant afin de la faire rigoler

La douce, l'amoureuse Celle qui l'aimait en secret En blouse Si joyeuse Quand elle vendait du muguet La belle épouse Prometteuse N'étais plus ce qu'elle était Vivant jalouse Malheureuse D'avoir choisi le mauvais

Passe les jours, son amour était un peu plus condamné Complètement attirée par ce voyou bien nommée Aveugle et sourde devant ce très beau parolier Elle ne pouvait que l'aimée Lui était bien trop coincée L'autre lui disait que son avenir était tout tracé Qu'ici il n'y est que ?? Il serait bien plus fortuné

L'autre lui disait que rien n'es pire Qu'un village de gens aveuglé Que lui bâtirait un empire Qu'le monde serais a ses pieds Bien sur tout était beau Tout étais mis en couleur Le cadre, fabuleux tableaux, Tout avait de la valeur Derrière se grand manteau valorisant l'extérieur Il n'était fait que de mot Mais sans encre à l'intérieur

Mais pourquoi les filles aiment tant les hommes dit écorchés Ceux qui se plaigne tout le temps d'avoir eu un drôle de passé ? Pourquoi les filles aiment l'argent et tout ce qui peux brillé ? Quand un homme se dit différent elles sont toute prête à l'écouté

La douce, l'amoureuse Celle qui l'aimait en secret En blouse Si joyeuse Quand elle vendait du muguet La belle épouse Prometteuse N'étais plus ce qu'elle était Vivant jalouse Malheureuse D'avoir choisi le mauvais

Le revoilà Déjà quelques années ont passée Il n'a pas vraiment changé Ses études sont terminées Il l'a revoit La bas de l'autre côté Entourée de trois mouflets Elle vend toujours du muguet Mais pourquoi les filles sont vaincues Avant d'avoir lutté Devant certain individu Qui ne sont fait que pour parlé Pourquoi cette fille sembla perdu Un peu déboussolé Quand elle l'a enfin aperçu Cet homme revenu du passé

La douce, l'amoureuse Celle qui l'aimait en secret En blouse Si joyeuse Quand elle vendait du muguet La belle épouse Prometteuse N'étais plus ce qu'elle était Vivant jalouse Malheureuse D'avoir choisi le mauvais

La douce, l'amoureuse Celle qui l'aimait en secret En blouse Si joyeuse Quand elle vendait du muguet La belle épouse Prometteuse N'étais plus ce qu'elle était Vivant jalouse Malheureuse D'avoir choisi le mauvais

L'ami

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On m'a raconté des histoires Répété que c'était fini Que certaines chansons à boire N’avait plus le même goût qu'aujourd'hui On m'a raconté que le soir Quand je traînais seul à Paris Je vomissais mon désespoir Pour le doux prénom d'une fille Et que j'errais dans ces ruelles Entrain de me noyer de vin Pensant à cette demoiselle Au souvenir de mon chagrin

Refrain :

Alors écoutes moi l'ami Ecoute bien ce que j'ai fait Car j'ai réuni la famille Pour leur conter ce que je sais Je leur ai dit que cette fille N'était pas celle que j'aimais Que mon cœur était à Camille Et qu'ainsi il le resterait

On m'a raconté mon ennui Devant la glace ce jour là Chapeau haut de forme et queue-de-pie Tout ce dont je n'me souviens pas On m'a raconté que j'ai dit oui Devant le prêtre et ces gens là Devant la famille les amis Qu'avaient l'air tous contents pour moi Oui mais j'étais devant l'autel Et je ne me sentais pas bien Entouré par toutes ces chandelles Et la bénédiction des miens

Refrain :

Alors écoutes moi l'ami Ecoute bien ce que j'ai fait Car j'ai réuni la famille Pour leur conter ce que je sais Je leur ai dit que cette fille N'était pas celle que j'aimais Que mon cœur était à Camille Et qu'ainsi il le resterait

On m'a raconté qu'aujourd'hui Qu'mes affaires avaient décollé Grâce au talent et aux produits De mon beau-père et de son blé On m'a raconté qu'c'est ainsi Qu'j'avais de quoi m'faire respecter Si ma terre était hors de prix Mon avenir serait assuré Mais j'ai toujours cette dentelle Que je tiens souvent dans les mains Ce cadeau de mon éternel qui vient d'un pays lointain


Refrain x2 :

Alors écoutes moi l'ami Ecoute bien ce que j'ai fait Car j'ai réuni la famille Pour leur conter ce que je sais Je leur ai dit que cette fille N'était pas celle que j'aimais Que mon cœur était à Camille Et qu'ainsi il le resterait

Alors écoute-moi l'ami Moi l'ami Alors écoute-moi l'ami Ce n’est pas fini

La rumeur

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La rumeur est partie d'ici Non loin du village et puis du pays La rumeur est partie d'ici Non loin du village et puis du pays Mais n'aie pas peur de moi mon ami Je ne suis pas vraiment ce que l'on dit Moi j'ai un cœur qui chante et qui rit Je ne serai jamais ton ennemi

Elle s'est posée un jour ici au village Pour conter une histoire, une pleine page Des ragots colportés tel un radotage Tout était bien étudié pour que cela se propage Mais personne ne voulait bien se demander Si cela était vrai ou tout inventé Et les seuls qu'il parait n'ont pas fait douter Tous les bons gens rassemblés Là dans l'ombre du clocher

Car la rumeur est partie d'ici Non loin du village et puis du pays La rumeur est partie d'ici Non loin du village et puis du pays Mais n'aie pas peur de moi mon ami Je ne suis pas vraiment ce que l'on dit Moi j'ai un cœur qui chante et qui rit Je ne serai jamais ton ennemi

Elle disait de toi de moi qu'on était fous Qu'on n'avait pas le droit de se mettre debout Que des gens "ici bas" étaient gardiens de tout Et qu'il ne fallait surtout pas se rapprocher de leurs sous Elle crachait et parlait de légitimité Tel un trait par une craie tout était limité D'un côté les mauvais de l'autre les guindés Elle m'a jeté où tu sais... je ne l'ai pas empêchée

Car la rumeur est partie d'ici Non loin du village et puis du pays La rumeur est partie d'ici Non loin du village et puis du pays Mais n'aie pas peur de moi mon ami Je ne suis pas vraiment ce que l'on dit Moi j'ai un cœur qui chante et qui rit Je ne serai jamais ton ennemi

Mais bien sûr comme toujours le temps est passé Et la rumeur autour seule s'est effacée Passer de bourg en bourg a dû l'épuiser Faire jouer au coq du tambour n'a pas suffi à l'aider Mais je n'espère pas que tous ces gens d'à côté Tous ceux qui sont là-bas de l'autre côté A quelques pas de moi qui peuvent écouter Font de la rumeur un toit afin de se protéger

Car la rumeur est partie d'ici Non loin du village et puis du pays La rumeur est partie d'ici Non loin du village et puis du pays Mais n'aie pas peur de moi mon ami Je ne suis pas vraiment ce que l'on dit Moi j'ai un cœur qui chante et qui rit Je ne serai jamais ton ennemi La rumeur est partie d'ici Non loin du village et puis du pays La rumeur est partie d'ici Non loin du village et puis du pays Mais n'aie pas peur de moi mon ami Je ne suis pas vraiment ce que l'on dit Moi j'ai un cœur qui chante et qui rit Je ne serai jamais ton ennemi

Elle disait de toi de moi qu'on était fous Qu'on n'avait pas le droit de se mettre debout

La rumeur, la rumeur...