Créations Vacriliska

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Artiste
Trognedevac.png

  • Naissance : 494




Expérience :


  • 500 - 513 : Vacriliska reçoit une éducation sur les arts Qadjarides qui reste incomplète, se limitant à la danse et la maîtrise de sa voix.
  • 513- 516 : Vacriliska passe régulièrement à Saillonne et Larrelier avec son maître, ayant fait la rencontre de plusieurs Artistes dans ces villes il élargit ses connaissances artistiques dans son domaine de prédilection et s'éveille à la comédie et aux arts théâtraux.
  • 516 : Vacriliska a eu un essort fulgurant dans son apprentissage une fois libre sur Esperia. Ayant accès a du matériel de qualité, une ville pleine de connaissances et des cultures très variées, il a su se diversifier. S'éduquer sur les arts de son peuple lui fut aussi plus aisé et il a su maîtriser son corps pour être capable d'escalade et autres pirouettes.


Compétences :


✔ Choix I :* Éducation Grille Bottes en Cuir.png

✔ Choix II : Artiste Grille Papier.png
✔ Choix III : Escalade Grille Mouton en Peluche.png

✔ Choix IV :
Espoirseparateur.png


Creations


Poésies, pièces et saynètes:


Hors RolePlay :

Sans titre

Type de Poésie: Lyrique.

Structure du texte: L'auteur s'est amusé au niveau des syllabes de ses vers, les passant de 10 syllabes à 9 à chaque phrases, on peut noter une présence de plusieurs rimes pauvres et quelques riches, la poésie est composée de huit quatrains, l'on note la présence de tous types de rime, embrassées, croisées et plates. Peu de métaphores ont été utilisées et celles présentes ne relèvent pas de la réflexion profonde. L'auteur n'a pas prit le risque de faire des acrostiches.

Qualité du texte: Le texte a été bien travaillé et étudié par l'auteur, qu'il considére comme étant de bonne qualité.

Entendu pour la première fois en Esperia: Quartier Ouest

Le bonjour à vous, jeune Damoiselle,
Aux lèvres de miel et Scarlatin,
Labile est la démarche, ce matin,
Du corps léger que vous portez, frêle.

Mais surtout, ne vous inquiétez pas,
Venez vous accoter à mon bras !
Allons nous faire porter par les vents,
Armés de nos humeurs, Sémillant !

Un rire aussi clair que la pure rive,
Des airs bien fougueuse et des mots denses,
Vous tâter la perfection, Je pense..
Seul défaut ? des envies compulsives,

L'esprit rivalise avec le savant;
Soumet vos belles réflexions,
Tu sais défaire tout tes opposants,
Pensées brûlantes en ignition.

Mais qu'est-ce qu'une vraie perfection,
Si le corps, source de biens désirs,
Ne s'accordait à vos réflexions ?
Rumine mais nerveux est mon rire,

Car tu sais embellir tes apparences,
Rends désirable via prestance,
Tes formes et allures que je tâte,
voulant baiser ta peau écarlate.

bien qu'en déplaise au grand Arbitrio,
Ton corps est ce qu'il fît de plus beau,
Il voulut l'équilibre dans ce monde...
et rata, te rendant bien faconde.

Quel joie, Quel bonheur de te côtoyer !
Je ne peux m'en cacher, suis charmé,
rejoins le rang de tes chiens et suis tienne
Mais fort d'esprit, Je ferais de même..

Je vous aime.

Hors RolePlay :

Poésie viscérale à mon rival.

Type de Poésie: Lyrique.

Structure du texte: L'auteur n'a fait que des décasyllabes (vers de dix syllabes), elle présente plusieurs rimes riches et la composition fait qu'elle peut être chantée au besoin, la poésie est composée de sept quatrains, l'on note la présence de 2 rimes croisées (abab) et 5 plates(aabb). Aucune métaphore n'a été faite. L'auteur a fait un énorme acrostiche qui compose tout le long de la poésie. L'auteur s'y désigne à la troisième personne du singulier, l'homme auquel il s'adresse semble être son rival.

Qualité du texte: Le texte a été bien travaillé et un peu de technique fût faite de la part de l'auteur, quoique faite dans un élan de rage et dédié à une personne qu'il n'apprécie pas, Il considère cette oeuvre comme seul réceptacle de sa rage et n'y a pas donné une quelconque qualité.

Entendu pour la première fois en Esperia: Place centrale

Vous dites tous ces mots industrieux

Ou alors, simplement tendancieux
Un si grand tour de force aux mots sanguins
Simple, vous l'admirez, il parle bien !

Mais tout n'est point si simple, je le crains..
Écoutez ces remous bien des fois maint
Rageur, râleur, vos traits le font bien rire,
Impitoyable est ce rival, Messire.

Tenez-vous vraiment tant'à l'affronter?
Et cette victoire est-elle assurée?
Zest est la situation, je crains..
Le voilà, tiens, votre moment d'entrain !

Ah.. voilà, votre muse en est flattée,
Maintes fois... elle en avait tant parlé,
Oh.. ces gestes sont doux et affutés
Rien que d'y penser, tu te sens blessé

Terrible est cette colère, Messire,
Subitement, qui s'attaque à tes chairs,
Un grand adversaire, il faut qu'il abdique !
Racine en lui la peur, qu'il ai moins d'airs!

Urgent, étudie sa gibbosité
Ne laisse aucun détail te dépasser
Bat le fer avec toutes ses pensées
Usez votre esprit, défie ses idées!

Car trop s'estimer vient à vous brûler,
Hâte l'idiotie qui rend hagard;
Espérant vous apprendre redouter,

Rare est victoire si point n'a de gloire

Hors RolePlay :

Lothaire, l'allitère alité

Type de Poésie: Lyrique.

Structure du texte: vers de dix syllabes, plusieurs rimes, l'auteur n'a pas vraiment travaillé la description de sa poésie qu'il a faite sur un coup de tête.

Qualité du texte: Le texte a été fait en une journée, la qualité est à juger par le lecteur.

Entendu pour la première fois en Esperia: ///

Et enfin, l'homme mortel s'alenti,

Impuissant face à sa propre faiblesse,
Cherchant à tromper ennui et survie,
Il fût priant jusqu'à ce que vie cesse.

Sa vie n'a plus de sens et il a peur,
il nuit aux bons gens, attendant son heure,
aveugle de chimères si grotesques..
Il me rappelle une allure iconique!

Celle du moine gueux et bien pensant;
Vous savez, qui se pensant absolu
Impose avis et idées saugrenues
Si sûr d'être modèle de vertu!

Que vois-je, qui est-ce, sur ces murailles?
Lapide et menace les arbitrés,
Crache sur qui prie d'autres entités?
Un fou, je le crois, quelqu'un de fieffé.

Ne vous laissez avoir par ses idées,
L'homme est rusé mais il n'est point aisé,
Ne vous accordez point à ses pensées..
L'homme est seul, s'ennuie, et fausse est sa foi.

Nul besoin d'attaquer, le provoquer,
Il n'attends que ça, sommes son salut!
rendez-lui ses pierres, ignorez faits,
La peine et les toiles ornent sa bure.

Laissez-le pourrir dans tout ses mensonges,
car nous sommes "criminels sans honneurs"
faisons-lui raison, ignorons ses songes,
Car comme son coeur n'avons point chaleur.

Et enfin, l'homme mortel s'alenti,
Impuissant face à sa propre faiblesse,
Cherchant à tromper ennui et survie,

Il fût priant jusqu'à ce que vie cesse.

Hors RolePlay :

La place de l'homme

Type de Poésie: Satirique/didactique

Structure du texte: L'auteur n'a fait que des alexandrins (vers de douze syllabes), elle n'as que des rimes plates et plusieurs riches. Plusieurs métaphores furent faite. Pas d'acrostiches. L'auteur semble y parler d'un groupe entier et ne s'y designe pas.

Qualité du texte: Le texte est pauvre et parfois familier, fait sans recherches et pour exposer une idée et constat, Il considère l'oeuvre de qualité moyenne.

Entendu pour la première fois en Esperia: Quartiers du gouvernement d'Esperia

À ceux noble de sang accoisant simples geux,

Aux Esclaves d'abot qui pour eux remuent queues,
Aux humbles paysans empêchant la famine,
Et à tout autre bons marchands méritant rime,

Sachez bien que la vie n'est qu'un grand échiquier,
Chacuns a rôle à jouer pour société,
La reine a pleins droit, les fous qui sont déviants..
L'on a point devoir de vouloir pouvoir bon sang !
Je ne dis pas qu'il ne faut être ambitieux,
Le monde s'est fait sur rêves de désireux,
Voulant créer parmi les homme un équilibre,
Que chacun ai sa place et puisse bien y vivre.

Mais Esperia, malgré possibilités,
Errone les pensées des hommes arbitrés,
Il est beau d'avoir accès à des connaissances,
En homme de lettres je soutiens ces sciences,
Mais d'autres habitants réfléchissent sans pense.

Le noble écoute lamentations d'esclaves,
Le paysan nourrit tête et ses champs larves,
L'on se destine à destin qui vous attends moindre,
Et dans tout les cas trouvons moyen de se plaindre.

L'on veut faire comme l'autre, car mieux payé,
L'on veux avoir un bon titre, être respecté,
Mais avez-vous déjà réellement bossé ?
Pensez le respect venir qu'en étant titré ?
Si tel est mieux payé c'est qu'il la mérité,
Ou la vie est malchance et il faut l'accepter,
Avant de viser à atteindre les sommets,
Contentez-vous d'humble vie, restez satisfait.

L'on ne perçoit sa richesse qu'en appauvri,
Notre vie n'est parfaite, nous sommes fourmis,
Tous un rôle, participant à la cité,
Améliore vie d'autre, vie d'usité,
Que l'on soit noble, gueux ou simple blé d'épi,
Formons union que les bêtes nous envient,
Mais mal-arbitré se plaint, jamais ne sourit,
L'unique est bien déçu mais devant nous, il rit.

Car il sait l'humain capable de connerie,
Mais il l'a fait capable d'agir en gentil,
Et je vous prie d'adhérer ma philosophie;
Il nous donna le bon sens et de beaux outils,
nous limitant à ceux nous étant destiné,
Cessons nous éparpiller, restons ordonnés,
Cela est la voie de celui bon-arbitré.

Et au rang social devez vous conformer.


Hors RolePlay :

les éphémères

Type de Poésie: ///

Structure du texte: bonne chance

Qualité du texte: Qui sait?

Conté pour la première fois en esperia: chambre de Vacri

Les éphémères.

Or tout a une fin, seul les acquis restent.
les efforts sont-ils vains, si tout à sa fin?
En cette vie, je guette objectif, j'ai faim,
Soif aussi, de me trouver but, une quête.

Il était une fois un jeune enfant
Qui vécut sans amours de ses parents,
Un triste sort et vie empoisonnée;
De tête aux pieds, de chaînes fût orné...

À travers le continent, j'ai beaucoup voyagé,
m'est arrivé aimer, j'ai appris à détester,
Porté par les vents, n'ai aucuns lieux où m'accrocher,

J'ai appris qu'être loin des yeux éloignais du cœur
Que l'amitié n'était pas tant faite pour durer,
Quand on ne pouvais apporter profit à l'ami,

Peut-être qu'en esclave je nourrissais rancoeur
Envers ce grand monde qui ne pouvais pas m'aimer,
Voyant mal partout, agissant comme un abruti,

Était une fois un ronchon,
Paré de rides avant l'âge,
Il n'avais pourtant rien de sage,
On l'appelait parfois vieux con.
Mais Beaucoup d'affaires étaient
Gérer par cet homme peu aimé
Il était de ce fait bien entouré
Offrait, sachant que de lui, l'on profitait.

J'ai construis des choses dont je suis très fier!
Et d'autres que je préfère souvent nier...
Faute de temps certains resterons incomplets,
Une vie ne suffit pas pour finir projets.
Parfois viens la question de mon l'héritage ,
Qui souvent me rappelle à ma mortalité..
Quel ennui, pourquoi passer âges en effet
Se construire avant de mourir, décomposé,

Pourquoi exister en premier lieu, au fait?

Les luttes auxquels l'on s'adonnent me paraissent maintenant futiles,
Quitte à se priver de cœur et raisons, avoir existence remplie,
Ou bin se mettre à l'écart des conflits, pour mener une vie tranquille,
Et pourquoi suis-je allé si loin, pour le respect, pour l'esbroufe? futile..

Était une fois un citoyen
Qui ne méritait point un quatrains,
Batifolant ça et la, volage,
N'avait honneur ou causes, peu sage,
N'avait envies mais il s'occupait,
Sa ville est jeu que lui seul connaît,
Et gare à qui voudra l'arrêter,
n'est pas né qui saura duper,
Homme n'ayant rien à cacher.

À chaque victime victoire est acquise.

Les miens sont dominants, ou c'est leurs pensées,
n'est pas avec moi qu'ils vont les partager !
Je les comprends, ils me savent plus puissant,
Dans l'ombre ou à l'air, de tous peux me jouer,
suis collectionneur, masques sont mon sang,

C'est voilé que l'on domine, et mon peuple aime les étoffes .

Un but? Pourquoi m'en encombrer ?
J'ai une vie et vais en profiter,
Tout essayer, et tout toucher,
Tout goûter, ensuite m'élever,
Tout est facile quand acharné
Est notre volonté, que je souhaite pliée..
Du moins pour la leur, la mienne est trop aiguisée .


Éphémère sont les causes,
Éphémère sont les âmes,

Construisez un royaume,
Il finira poussière...



Hors RolePlay :

Hurlement

Type de Poésie: Poésie Lyrique

Structure du texte: EN COURS

Qualité du texte: EN COURS

Conté pour la première fois en Esperia: ///

Tourne et virevolte, la flamme de mon coeur,

Une rage bouillonne en l'homme, sonne l'heure,
Mesquins regards et attentions bien osées,
Haute est ma rancoeur en cette belle soirée.

On peut les entendre, cinglants, qui rient et pleurent,
Riez de mes tourments, la flamme de mon coeur,
Riez de ma jalousie, montrez-moi mes peurs,
Inexorablement me déleste chaleurs..

Probable à la rage du plus grand des torrents,
Initie dont ma chair et bat-là jusqu'au sang,
Languir de raison et je ne puis tourner rond,
En délire mes sens sont, Folie est mon nom.

Je ne peux plus supporter de vivre douleurs,
En soi mes pensées n'ont même plus de valeurs,
Souffle qui m'habite, déchaîne ta fureur !
On ne peut gagner paix sans donner le malheur..

Une vie bien aisé pour des vies consumées,
Fragile équilibre, récompenses allouées,
Foutre sang et graille, est tout homme destinée
Rien ne semble nourrir flamme et brise les moeurs,

Eteint-toi en paix, cendres flamme de mon coeur.

Hors RolePlay :

Les sots sont les mieux lotis d'esprit.

Type de Poésie: Conte poétique

Structure du texte: EN COURS

Qualité du texte: EN COURS

Conté pour la première fois en Esperia: ///

Il était une fois, un jeune inanité.

Homme désespéré, au corps laissé languide,
Il se considérait comme laid, et raté.
Il n'avait rien à conter, l'esprit tant livide..

Que créativité flanche autant que l'esprit,
Poches sous ses yeux rappellent coquilles vides,
Ne manque que l'âge pour se parer de rides,
Et il fût tellement seul que jamais n'a rit.

ses humeurs sont vairons mais bien souvent troublantes,
Pourtant fût un temps ou sa vie était charmante.
Vivant de sa plume, qui sur ses papiers chante,
Séjournait dans sa bicoque peu accueillante.

étant simple et excellant peu dans ses écrits,
Il voulut donc visiter Soignant, premier-né,
Qu'il connaissait de bon conseil et érudit
Il grimp'à calade qui menait à l'ainé,

Passa pont de bois où jeunes batifolaient,
Traverse le bois, ou champignons l'on cueillait,
Derrière arbres trouva maison de brique pommes,
Et entra dans demeure, ou l'on sentait du rhum.

"Ainé, c'est ton frère, je viens car besoin d'aide!"
dit-il de voix aiguë, plein de célérité.
"Fustige point émotions, Viens reposer.."
Et le jeune vint s'asseoir pour lui parler.

Soignant était homme doté d'agilités,
Sur paroles ou patient, quand agissait,
Tout le monde l'écoute avec sincérité,
L'expérience fit son savoir un étai.

"Oh grand-frère, toi qui est réputé malin,
Aux mots si subtile, réflexions sans fins,
Apprends-moi à être bien homme bon d'esprit,
Fait de moi un savant bien loti, je t'en prie!"

Soignant refusa de la tête, regard dur.
"N'ai rien savant et encore moins professeur,
Mes mots semblent bien pensés mais ne sont que leurres,
Sais conforter, écoute et beau parleur, susurre.."

"L'on considère intelligent les choses que l'on comprends,
et qu'avec mots l'on use pour faire paraitre comme tel."

Jeune écrivain fût satisfait de la leçon,
l'on ne reconnait maligne à nobles manières,
La connaissance est dans livre, pas langue à lierre,
Ainsi pensant, quitta demeure de son frère.


FIN PARTIE 1


Ainsi il para de hâte épais havresac,
Tel l'aménité née du lit de lac hâlé;
éclairé par soleil moulu de fin soirée,
Qui, rubicond, a le teint volé au sumac.

Montant carriole, passant de champs, rigoles,
Observant passer marchands, voguer herbes folles..
Écrivain venait d'initier grand voyage,
Ayant résolution de trouver plus sage,

Que malhonnête langue bien mal ficelée,
Ou tout autre doyen qu'âge rendit coeur rance,
Ainsi traverse terres, emprunt liberté,
Tel le Pic à Dos, se mouvant dans belle danse.

Mais hâté, ne s'attardait pas sur succulence,
La nature bordure dans tableau de vie,
Et n'était que décor entre objectif et lui,
Qui rendait dans lieu dont on vantait excellence,

Une académie, vantée par grands philosophes,
Où l'on produit des savants et plus belles strophes,
Flot de connaissances y étant belle étoffe,
Espoirs qu'il avait, mené était d'anastrophe:

Apprend place à bons mots dans cocasses écrits,
Pour l'ignorance, qui cherchant à pallier,
Espérant créer récit, volonté d'acier,
Aux reflets bin solide, roman aguerri,

Mais le temps passe, oublions toute ces bassesses,
Même si beaux mots sont aux oreilles caresses,
La Liberté s'efface, revoilà sa laisse,
Arrivé en ville, lieu aux milles détresses.

Il se mît y voguer, navire solitaire,
Porté par ses voiles, sensibles à tout airs,
Et les vents l'ont mené à destination,
rencontrer ce lieu fit acculturation;

Les habitudes des autochtones diffèr'
Par rapport a celles de son doux habitacle
Les maisonnées héritaient de renforts de fer,
Et leurs tenues colorés étaient vrai spectacle,

Nul était pont de bois, ou forêts animées,
Ils avaient tranquille lac, barques usitées,
Visages paré, convulsions agitées...
Pensa que trouver sagesse en ce lieu donné,

Est exercice relativement aisé,
Pensa alors le jeune inexpérimenté.
Passe rue pavée, chausses comme destrier,
Empruntant flottier, et le lac fût traversé,

Puis arrivé à îlot et cessa flotter,
Arrive dans lieu où est vu simple écolier,
Va devoir étudier pour avoir sa charte,
Ainsi étudia, mêlant jeux à ses cartes,

Science, De l'humain à simple balsamine,
Théologie, Apprentissage sur doctrines,
Mathématique, Car monde de calcul sonde,
Littérature, sa passion et seconde,

Si écrivain, point encore fût érudit,
Nul doutes que bases aiderait à venir,
Après minces années apprenti, découvrit,
Que savoir héritage mais surtout induit,

Les débutants d'erreur et mêmes avec livres,
Océan des lumière de nos anciens,
baigné du savoir millénaire à en être ivre,
N'a point chance de paix si étude sans mains,
parole et têtes brillantes de son époque.


FIN PARTIE 2


Présumant préparer à tirer nouveau dé
Afin qu'à fins défauts qu'il faudrait surmonter,
Rater prochain guide par exemple, c'est bête,
Tourne dos hasard et file, vents à l'arête.

Idées que flaire nez avec voracité,
Rageusement et avec ses agilité,
Accentuant son dé, désir de voyager;
Un cycle poussant encor toujours re-panser.

L'écrivain quitt'académie, fier de savoir(s);
On dit qu'il connait le berceau d'un lieu sacré,
Intéressant endroit trouvé grâce aux avoirs,
Non, don de bonté de ses pairs bin culturés.

Delà monts où Allistère prêcha Puissant,
Bien avant terres des fous Nordiques, sanglants.
Dont ruines versaient dans rive de l'Heimild,
L'on dit ce lieu reposant dans lit ovoïde..

Charades, essaies et énigmes:

Mon premier couvre parfois les arbres et pierres,

mon second et un insecte blanc souvent présent sur des hérissons,

Mon tout est une bestiole très embêtante! qui suis-je?

Mon premier te relie à ton corps,

mon deuxième est le fait de donner la mort,
mon troisième est une céréale,
mon quatrième t'entoure en chaque instants,

Mon tout est une personne patiente et minutieuse, qui suis-je?

Dessins et gribouillages:

La reine Océane

Dessin au fusain de piètre qualité fait sur une feuille

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