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Le Culte des Sept Mers

Le Culte des Sept Mers est la religion endémique des Maahvitts, le vaste territoire continental du Nord de l’Ancien Monde, occupé par les tribus Vaahvas qui représentent l’intégralité des croyants de cette Foi.

Le Culte des Sept Mers - ou Culte des Déesses, Culte des Sept Mères - scinde l’humanité en deux : les Sudistes, rassemblant tous les non-vaahvas, peuple créé par leur dieu Arbitrio, et les Vaahvas, créés par les Sept Déesses, mères des Vaahvas.

Le Temple des Sept est réparti en plusieurs confréries aux courants de pensée plus ou moins rigoureux, plus ou moins tolérants, formant des Thralls, les chefs religieux, qui sont ensuite envoyés auprès des tribus qui arpentent les Maahvitts. C’est une religion ancienne, basée sur un rapport profond avec la nature sauvage qui l'entoure, la vie d’un animal valant autant que celle d’un humain et devant être traitée avec le même respect : des considérations qui prennent racine dans la Genèse Vaahva.

Convaincus d’être constamment soumis au bon-vouloir des Déesses, les Vaahvas cherchent activement à se connecter à leurs divinités au travers des thralls et de nombreuses pratiques rituelles, faisant des traditions du Culte des Sept parmi les plus variées : esprits, peintures, interprétation des signes, divination par les runes : les Vaahvas considèrent que les Sept Déesses s’expriment constamment au travers de l’environnement qui les entoure.

Il s’agit d’une religion repliée sur elle-même, qui ne cherche à convaincre aucun non-vaahva. Les étrangers ne sont pas considérés comme les enfants des Déesses et donc, doivent s’occuper de leurs croyances à eux. Au contact des étrangers, certains Vaahvas se convertissent : une tendance minoritaire que certaines confréries de Thralls pardonnent, mais que d’autres punissent aussi brutalement que cruellement.


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Histoire

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Maahvitt : Le territoire des Vaahvas

Le culte vaahva s’étend au Nord de l’Ancien Monde, des eaux de la Raakavann tout à l’Est, jusqu’à la mer de Huiskutta et des contrées de la Zaraga au Sud-Ouest. Le territoire prospère sur des milliers de kilomètres, faisant de lui la plus vaste nation avec le Royaume Central. A cause de l’esclavage, on retrouve plus rarement des vaahvas toujours fidèles à leur foi dans le Sud, ou sur l’archipel d’Eyjarfolk.

Le Culte des Sept mers fait référence aux Sept Déesses qui sont les reines spirituelles de tous les vaahvas. Elles sont respectées comme des Mères, car elles ont donné le droit de vivre à leurs enfants. En retour, si ces derniers désirent la sérénité, il est dans leur devoir de les aimer, les protéger, leur obéir et les craindre quand il est nécessaire.

L’histoire du culte s’étend sur un calendrier vaahva bien plus long, mais moins précis. Le culte des Sept est le résultat de plusieurs siècles d’organisation, de changements et de perturbations qui ont construit un peuple uni et pieux dans les adversités les plus conséquentes.


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Le Temple des Sept

Infrastructure

Le Temple des Sept n’est plus un monument depuis longtemps. Il représente l’ensemble des prêtres et prêtresses aux services des Sept, nommés “thralls”, ainsi que leurs serviteurs qui ont choisis de dédier leur vie à la piété. Il existe des sanctuaires, qui sont des temples hébergeant des confréries dont l’objectif est de former les futurs thralls à des doctrines qui diffèrent selon la mentalité du temple.

Ensuite, le long des routes ou dans les endroits les plus stratégiques de l’immense territoire vaahva, on trouve des temples mineurs qui accueillent un nombre plus restreint de thrall qui veillent à la santé religieuse de la région et des tribus. Les vaahvas les plus indécis viennent y quérir des conseils, rédemption ou châtiments, alors que d’autres proposent leur service pour soulager leur conscience ou prouver leur dévotion aux Sept.

Enfin, les pèlerins vaahvas peuvent s’arrêter à des points clefs de leurs terres. Que ce soit directement devant les mers si emblématiques, les arbres ou les rochers élevés au rang de monuments par les contes et les histoires qui les ont mis en valeur, ou encore les plaines qui ont été le théâtre les champs de bataille dans la reconquête du territoire… A chaque lieu, des serviteurs des Sept, encadrés par un ou plusieurs thralls, encadrent les voyageurs et veillent au respect du paysage et de ses traditions.

Religieux

Les prêtres et les prêtresses des Sept sont nommés les thralls dans le culte des Sept. Ils sont les interprètes de la parole des déesses et se doivent de faire de leur mieux pour que chaque fidèle soit le plus sérieux dans ses pratiques pieuses. Chaque tribu ; qu’elle soit citadine, campagnarde ou perdue dans une forêt ou une montagne ; possède son thrall qui se range en bras droit du chef local. En plus de soulager les maux d’esprits et les problèmes du commun des vaahvas, il assure les meilleurs conseils à la direction de la tribu afin qu’elle prospère dans l’amour des Sept.

Pour en savoir plus sur le Temple des Sept


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Théologie et Doctrine

Fondamentaux

Tous les récits, mythes, légendes et textes sacrés qui forment l’immensité du savoir et de la culture vaahva sont rassemblés dans le Nemonöricon. Autrefois, il s’agissait de la bibliothèque de Kaary Öbor, un sanctuaire d’une confrérie de thrall en Evigt Kylma. Depuis, les histoires ont été copiées pour appartenir à tous les religieux, avant d’être récitées et apprises par les croyants au cours de leur éducation.

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Tableau représentant le Nemonöricon vaahva à Uuroggia

Les Lohikarmes

Au début du monde, il existait les Lohikarmes. Ce furent des créatures d’une taille indescriptible dont on ne saurait y voir ni la tête, ni les pieds en même temps. Les vaahvas vivent sur le Lohikarme nommé Maahvitt, leur terre. Ainsi, plutôt que de voir le monde comme des régions, des pays, les vaahvas voient cela comme des lohikarmes qui forment des îles au minimum, ou des continents entiers.

Le soleil (nommé Zon) ou la lune (nommée Lees) ainsi que leurs robes (le ciel d’étoiles pour la lune et le ciel bleu pour Zon) sont aussi vus comme des Lohikarmes avec leur propre caractéristiques et pouvoirs. Depuis longtemps, ces titans sont morts et ne bougent plus, mais ils ont laissé leurs enfants : les dieux et les déesses.

En savoir plus sur la Genèse du monde vaahva…

Les Déesses des Sept Mers

Les Sept filles de Maahvitt qui ont décidé de chérir le corps de leur père à sa mort, puis d’y amener la vie : celle des vaahvas. Par les pouvoirs de chacune, les enfants peuvent prospérer, grandir et vivre dans la foi de leurs Mères. Chaque divinité est associée à une mer bordant les côtes du territoire vaahva.

  • La Vitjässä : Déesse de la Lumière, du Jour et de la Foi.
  • La Kalafiskur : Déesse de l’Abondance, la Fertilité et la Fécondité.
  • La Sinine : Déesse de l’Amour, la Beauté et du Mariage.
  • La Huiskutta : Déesse de la Force, de la Vigueur et du Courage.
  • La Raakavann : Déesse de la Santé, de la Guérison et de la Médecine.
  • La Lugnaroa : Déesse du Calme, de la Sagesse et de la Justice
  • La Svartsjö : Déesse de la Mort, la Nuit et la Vengeance.

En savoir plus sur les Déesses des Sept Mers

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Héros, mythes et légendes

L'Histoire vaahva est avant tout forgée sur les légendes et les mythes plutôt que le bien fondé de la réalité. L'objectif est d'enseigner des morales, des attitudes et des valeurs qui doivent inspirer chacun à se dépasser, à être pieux et au service de son peuple. Ainsi, au delà de l'enseignement des Sept Déesses, les thralls racontent mille histoires sur les héros et les dieux venant des autres Lohikarmes pour garnir les soirées d'une bonne ambiance, tout en cultivant les têtes des plus curieux.

En savoir plus sur les mythes et légendes de la culture vaahva...


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Représentation par Cuded Art & Design

Doctrines spécifiques

L'Oykor

[L’Oykor] peut être traduit par “honneur” dans les langages du Sud. Tout vaahva se doit de conserver son honneur en ne manquant jamais à ses paroles. De plus, les attaques fourbes, lâches ou dans le dos sont dénoncées et condamnées par les thralls. Un vaahva qui se montre déshonorable peut être mis à l’écart de sa tribu, ou doit être dans l’obligation de se racheter s’il désire pouvoir être respecté à nouveau.

Doctrines thralliques

Selon les milieux de vie, les thralls ne pensent pas la même chose des sujets de société et cela amènent des débats houleux. De ce fait, un vaahva suivra forcément la façon de penser de son thrall, puisqu’une grande partie de son éducation sera assurée par le religieux. Lorsque des nordiens de tout bord se rencontrent, cela peut à nouveau provoquer des problèmes de points de vue, voire même des guerres entre tribus, notamment au niveau des frontières.

En savoir plus sur les [courants de pensées]...

La conversion

S’il est impossible pour un arbitré de devenir vaahva, l’inverse existe. Néanmoins, la conversion d’un vaahva pour devenir arbitré est considéré comme une honte et un déshonneur dans toutes les régions de Maahvitt. Le traître choisit de répudier ses Mères, mais les thralls interprètent que l’acte néfaste finira par retomber sur le fautif à sa mort, puisqu’il finira tout de même juger par ses Mères et notamment Svartsjö.


Pratiquer le culte des Sept

Comme le territoire vaahva s’étend sur des milliers de kilomètres, les pratiques du culte diffèrent selon les différentes cultures, traditions et superstitions locales. Cependant, le centre de l’attention restera toujours les Sept Déesses, sans aucune préférence. Tout au long de sa vie, le vaahva sera bercé par des rites, des passages d’âges et des événements qui feront de lui un homme ou une femme honorable pour ses pairs et ses déesses.

La vie religieuse d’un vaahva au quotidien est différente selon les régions, mais il faut noter que dans la majorité du temps, la prière est individuelle. Elle se fait devant un petit autel, régulièrement appelé “luumis” (lumière) ou Gemenskap dans une minorité de cas.

Le luumis est une sculpture en bois ou en pierre qui doit représenter, de façon abstraite, les Sept. Devant cette autel, on dispose un bol d’eau de pluie qui est l’eau sacré offerte par les déesses. Personne ne doit la boire et seul le thrall a le droit d’y toucher. Elle peut être utilisée pour une bénédiction. Par exemple, on l’étale sur un champ pour obtenir de la fertilité ou on en applique sur le menton d’un malade pour espérer qu’il guérisse.

En l’absence de l’autel, il existe des colliers runiques pour les esclaves notamment, mais cela n’a pas la même force qu’un autel. Un vaahva seul ne peut pas fonder un autel, il doit forcément demander à un thrall de le faire.


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Les événements

  • La naissance : Lorsqu’un nouveau né arrive au monde, le thrall applique une petite marque bleu sur le menton de l’enfant. Il prend soin de donner la protection nécessaire à l’enfant, jusqu’à ce que la pluie ou la neige se mettent à tomber. Une fois que c’est le cas, le thrall recueille l’eau dans un bol, puis vient l’appliquer sur le torse du nourrisson, pour symboliser le cœur. C’est à ce moment qu’il rejoint le culte des septs et reçoit la protection des déesses.S’il le bébé meurt avant, alors il faudra appliquer l’eau dès que possible, puis procéder aux funérailles.


  • Le mariage : Lorsque deux vaahvas décident de s’unir devant les déesses, l’un comme l’autre doit préparer un bouquet de fleurs de leur région avant le mariage, mais aussi d’avertir le thrall qui ne manquera pas de leur rappeler les responsabilités nécessaires dans un couple. Lorsque le jour du mariage est arrivé, les deux se présentent devant le thrall, à genoux et après un discours du religieux sur l’importance de la famille, ils tendent leurs mains vers le thrall qui vient les lier avec un ruban bleu. Il peint ensuite les joues de la femme puis de l’homme d’un trait bleu, puis le mariage est scellé.


  • Les événements d'importance tribaux : il se peut que le clan souhaite célébrer un événement qui l'a extrêmement marqué. Dans ce cas, le chef de clan peut demander aux prêtres de réaliser une cérémonie de remerciement aux Déesses, pour laquelle l'ensemble du clan sera présent dans le Gemenskap. Ces cérémonies restent tout de même très rares.


  • Funérailles : Cet événement n'est pas triste pour les proches du défunt qui savent que celui-ci a été un bon vaahva et qu'il va donc rejoindre la Déesse de la mort : Svartsjö. Le défunt est installé dans une structure en bois qui peut prendre deux formes : une embarcation qui sera poussée à la mer après y avoir mis feu, ou un bûcher en forme d'embarcation pour les tribus éloignée de la mer. Les croyants pensent que le défunt s'envole avec ses cendres, via la fumée, pour rejoindre Svartsjö et ses eaux. Cela expliquerait deux phénomènes : la couleur sombre de cette mer et la brume, ou fumée, qui flotte à sa surface. Il est de coutume de tenir une cérémonie funéraire pour le défunt, ou l'ensemble des défunts en temps de guerre. Chacun doit alors lever son verre à son tour et raconter un souvenir partagé avec le disparu.




La religion hors temple

Le Gemenskap (ou luumis)

Pour les tribus des Maahvitts ne se trouvant pas à proximité d'un temple, il est tout de même possible de communier avec les Déesses. De petits Gemenskap sont édifiés, avec pour seul ressemblance la présence en cercle de sept statues tournée vers le centre de celui-ci. Les statues sont construites suivant les moyens et matériaux de la tribus.

Une autre manière de se recueillir pour les vaahvas reste le Skap qui est un petit plateau qui se trouve dans la maison du chef de clan. Ce plateau est une représentation miniature du Gemenskap, mais sans toit, ni mur, ni eau.

Il est vivement conseillé d'avoir la présence d'un thrall pour bénir le Gemenskap ou le Skap afin de permettre aux déesses de voir les actions de chacun. Vouloir vivre cacher des yeux des Sept peut être perçu comme une offense au minimum, ou un crime pour les tribus les plus conservatrices. Cependant, en cas d'absence de thrall, il est nécessaire d'organiser une fête, ou une prière commune pour espérer sanctifier l'autel religieux.

Utilisation d'objets

Enfin, une dernière façon de rentrer en contact avec les Déesses omniprésentes est grâce aux objets qui entourent les vaahvas. Les croyants peuvent donc se recueillir et prier face ou en présence de symboles des Déesses. En voici quelques uns d'importance décroissante :

  • Vitjässä : le soleil > un feu > une torche (mais pas une lanterne qui est un source de lumière artificielle et emprisonnée).
  • Svartsjö : la lune > être dans un endroit sombre.
  • Kalafiskur : un animal > une plante.
  • Sinine : une femme > le lapis > un collier, bracelet, etc... (plus le métal/le tissu est précieux, plus le lien est fort).
  • Huiskutta : un métal brut (plus il est précieux pour les vaahvas, plus le lien est fort) > la montagne > une simple pierre.
  • Raakavaan : un outil de soin (plus il a été utilisé, plus le lien est fort) > une algue > une plante médicinale.
  • Lugnaroà : rédiger nos pensée jusqu'à ce qu'on soit apaisé d'être en accord avec nous même > méditer et prendre conscience de tout ce qui nous concerne en essayant d'être objectif > un livre.
  • Hjol : Petit totem disposé proche des routes dans le Vahnamaa et le Kinemaar. Il représente les déesses tenant une coupelle d’eau sacrée. Les tribus nomades s’installent autour des Hjol et bénissent la présence de leur tribu en ces lieux en dispersant l’eau de la coupelle sur le sol. Cette même coupelle se remplira avec l’eau de pluie, pour les prochains arrivants.


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Il y a toujours une occasion d'organiser un repas, ou une fête commune chez les vaahvas.
Manquer à l'appel peut ressembler ou être une offense pour l'organisateur.

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Les rites, bénédictions et cérémonies

Les âges de la vie

Un vaahva possède 6 grandes étapes dans sa vie. Chacune doit l’amener vers la sagesse afin d’être digne des déesses.

  • L’âge d’innocence : Il s’agit de l’enfance qui dure entre 1 et 7 ans. C’est une période où on apprend les bases du Culte des Septs et où les parents font très attention à la survie de leur trésor.


  • L’âge d’apprentissage : A partir de 7 ans jusqu’à 15 ans, l’enfant est éduqué par le thrall avec les autres qui récitent les écrits religieux, mais aussi aide à apprendre un métier. Il s’assure que chacun puisse trouver sa place dans la tribu et gagner en maturité pour devenir un adulte.


  • L’âge adulte : L’âge adulte commence à 15 ans pour les vaahvas. Il ne prend fin que lorsque le mariage arrive. En effet, cet âge est souvent vu comme l’âge de la fougue de la jeunesse, de l’immaturité. Le vaahva doit trouver de la sagesse et le mariage est l’appel à la première responsabilité, celui du couple. La personne devient donc plus mature en s’engageant ainsi.


  • L’âge de liaison : Il s’agit du moment où le vaahva est en couple et n’a pas encore d’enfant. Il fonde les débuts de sa famille jusqu’à avoir son premier enfant. Si le couple est stérile, il est possible d’adopter.


  • L’âge de la transmission : Il s’agit du moment où les parents commencent l’éducation de leur jeune enfant et le prépare à survivre à l’hostilité du monde.


  • L’âge de la sagesse : Cet âge n’est pas toujours synonyme de vieillesse, mais c’est le temps où le couple a réussi à transmettre le nécessaire à leurs enfants pour qu’ils puissent prendre la relève. Ainsi, ils ont désormais le temps de savourer leur propre sagesse et la paix.


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Vivre le culte des Sept

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L'harmonie entre chaque être vivant

La Kinterïa vaahva

La Kinterïa vaahva est une doctrine philosophique et culturelle partagée par la population des Maahvitts grâce aux enseignements religieux. Elle reconnaît cinq formes de vie :

  • L’humanité (les êtres humains)
  • La faune (animaux, insectes…)
  • La flore (fleurs, arbres…)
  • Le spirituel (esprits, fantômes…)
  • Le divin (déesses, lohikarmes…)

Contrairement aux autres nations, les vaahvas portent une attention particulière à chaque vie, ne souhaitant pas mépriser ou ignorer l’une d'elles. Par exemple, la vie d’un animal peut s’avérer prioritaire par rapport à la vie d’un vaahva, ou inversement selon la valeur des deux êtres. A partir de ce postulat, les vaahvas les plus attirés par le savoir cherchent à en savoir plus sur chaque vie, leur déroulement, leur sens, pour en percer les secrets.

Par cette entreprise et ces recherches, la Kinterïa vaahva est l’initiatrice du domaine “scientifique” des Maahvitts. Que ce soit en apprendre davantage sur les plantes et leurs effets, la sociologie des tribus ou encore le cycle des animaux, les nordiens s’attardent sur des domaines que les autres nations peuvent sous-estimer ou léguer à un domaine d’étude moins sérieux.

En savoir plus sur la Kinterïa


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L’art vaahva

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L’art chez les vaahvas vit dans le prisme de leur religion et de leurs croyances. De ce fait, il n’existe pas d’art qui n’ait pas de symbolisme religieux ou de messages qui font références aux divinités. Parmi les arts majeurs, on retrouve le combat, la danse, la gravure ou encore les peintures corporelles… Mais il faut noter qu’ils ne s'alignent pas sur les mêmes arts considérés par le Sud. Par exemple, l’architecture n’est absolument pas réfléchie en tant qu’art, puisqu’un bâtiment doit avant tout avoir des fonctions utiles, de survie et de confort avant d’être décoratif.

En savoir plus sur l’art vaahva


Sortilèges et symbolisme animal

Le sortilège est le mot singulier du rituel. Car si un rituel concerne un groupe de personnes, le sortilège est une pratique religieuse effectuée obligatoirement sous les connaissances et la supervision du thrall pour un seul vaahva. Ces événements sont rares, mais témoignent dans une ambiance assez mystique, des soi-disant pouvoirs des thralls.

L’imagerie vaahva repose en grande partie sur la faune, puisque chaque bête est associée à un caractère, des qualités ou des défauts. Les thralls ou les fidèles peuvent faire transmettre des messages en usant de ces symboles, que ce soit pour glorifier ou pour insulter. Chaque vaahva est associé à un animal lorsqu’il est assez grand et que le reste de sa tribu a cerné sa personnalité.

En savoir plus sur les sortilèges et signification des animaux...


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