Le Bric-a-Brac 1

De Wiki'speria
Aller à : navigation, rechercher

Le statut de cet écrit est public. Cela signifie qu'il est accessible à tout le monde mais que votre personnage doit l'avoir vu ou lu en RP pour que vous puissiez consulter cette page. Dans le cas contraire il s'agit de métagaming.

Cet écrit a été rédigé par Fredrik et se trouve sur l'ancienne Esperia, inaccessible pour le moment.



La révolte des ventres pleins

Nous avons encore tous en mémoire cette froide soirée de Nirvose durant laquelle la populace menée par messer Lyor, a hurlé sa colère devant les portes du gouvernement. Cela aurait pu être une brave action si seulement les trois quart des manifestants ne scandaient par les « on a faim » et les « on veut du pain » , la bouche encore pleine des vivres du Monastère. Cependant la soirée proposée par ces pauvres gens fut bien riche. D’abord nous avons eu le plaisir d’entendre les revendications d’un esclave dont l’esprit était tourmenté par des hallucinations provoquées par le pain du monastère. Il faut croire que la cuisine de la sœur Veae est indigeste même pour un estomac d’esclave. Ainsi notre coquin chantait des bouffonneries au nom de la liberté et des droits des esclaves. C’est en ce moment précis que l’assemblée fut éprise d’un fou rire généralise au point que certains d’entre nous ont du s’écarter afin de retrouver leur souffle. « Malheureusement » notre comique fut trucidé par un garde après avoir reçu les hommages dignes de son rang, c’est-à-dire, après avoir été copieusement arrosé de crachats et autres odieux liquides corporels. Ensuite, le noble de la situation est sorti du gouvernement dans l’espoir de calmer la populace. Il s’est approché de la foule d’un pas léger, le regard haut, le menton fier et d’une voix claire et limpide il lui adressa ces quelques mots : «  Peuple d’Esperia, Il m’est très difficile de comprendre votre problème, si vous n’avez plus de pain, mangez donc de la brioche. » La réaction de la foule ne se fit pas attendre et notre bon noble fut contrait de se réfugier dans le palais du gouvernement. Toutefois, il rajouta que le gouvernement fera acte de générosité en offrant la nourriture aux riches et l’appétit aux pauvres. Pour finir, une autre silhouette fit son apparition sur un tas de foin, l’apotti d’Esperia , les bras levé vers le ciel ,contemplant à moitié la foule , s’apprêta à émettre un discours. Cependant, l’odeur des aisselles de l’apotti était si forte que la populace préféra quitter la place pour s’enfermer dans un endroit miteux et crasseux situé dans le quartier d’Adobe.

La citation de la première édition.

« Si vous avez besoin de quelque chose, appelez-moi. Je vous dirai comment vous en passer »

Moine Fredrik Numminen aux esclaves du monastère.

Les Rumeurs de la première édition

Il semblerait que le chien qui rodait autrefois dans la ville s’est fait dévorer par un fou dénommé Onaukor .

Il paraîtrait qu’une créature horrible parcoure les rues de Rivelame durant la nuit. D’après des témoins, le monstre ferait plus de 2 mètres de haut et dispose de dents acérées capable de transpercer les armures.

On raconte que l’esclavagiste Gwylonna n’est pas vraiment une femme et qu’ « elle » disposerait d’attribut masculin

Les annonces de la première édition.

La « prêtresses » Eleonore recherche activement un assassin professionnel afin de peaufiner ses tentatives de meurtre qui à ce jour, se sont toujours montrées infructueuses.

Ser Marcus tient à vous signaler que l’incendie qui a ravagé son manoir était d’origine noble.