Mort Caroggia

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La chanson

"Mort Caroggia" est vraisemblablement une reprise de la chanson caroggianne "Mort aux Qadja's". Cette chanson, connue de tout ocolidien, est récitée bien souvent dans les tavernes et bordels de Lig Ocolide, là où l'alcool coule à flot.

Du port de Iona à celui de Caroggia,
500 vaisseaux de ligne ont envahis
les mers de Nira.
Mais dîtes-leurs que nous sommes ligs,
et d'une race impure,
et nous n'avons pas peur de mourir.

À ma naissance
mon père me l'a dit,
que je serai un enfant sans souci,
que je serai
le plus grand des nantis.

À l'âge de 5 ans,
je pisse dans l'alcool.
À l'âge de 6 ans,
je détrousse les fragiles.
À l'âge de 10 ans,
le sabre à la ceinture,
à l'âge de 15 ans, la verge bien en main !

Mort Caroggia,
et mort la République !
À ses enfants de pute du Quartier salé,
non pas de grâce, non pas de pitié !
De mon sabre d'abordage et de sa lame d'acier !

Je me souviens très bien
du bordel d'Ocolide !
C'est là que j'ai chopé
ma première chaude pisse !
Et gare à la putain
qui m'a si mal servie,
car c'est à cause d'elle que je suis ici !

Mort Caroggia,
et mort la République !
À ses enfants de pute du Quartier salé,
non pas de grâce, non pas de pitié !
De mon sabre d'abordage et de sa lame d'acier !

Je me souviens très bien
de ma première femme,
elle s'appelait Titine,
une putain d'Artole !
Titine mon amour,
Titine ma cajole,
je veux vivre avec toi ou mourir en prison !

Mort Caroggia,
et mort la République !
À ses enfants de pute du Quartier salé,
non pas de grâce, non pas de pitié !
De mon sabre d'abordage et de sa lame d'acier !

Sur le port de Sorab, on me traita de lâche !
Mais moi qui suis de lig,
un lig n'est pas lâche !
Et défourrant mon sabre,
visant son triste sort,
d'un seul coup, un seul, il tomba raide mort !

Mort Caroggia,
et mort la République !
À ses enfants de pute du Quartier salé,
non pas de grâce, non pas de pitié !
De mon sabre d'abordage et de sa lame d'acier !

Je me souviens très bien
des vices de cette Qadja' !
elle faisait la putain et moi la sentinelle.
quand elle aguichait le passant,
il lui manquait soudain
le bas de son jupon, la traitant de putain.

Mort Caroggia,
et mort la République !
À ses enfants de pute du Quartier salé,
non pas de grâce, non pas de pitié !
De mon sabre d'abordage et de sa lame d'acier !


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