Utilisateur:Areen

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Informations RP
Nom
Genre
Femme
Année de naissance
Rang
Esclave de







Métier
Métier
Compléments








Origines
Ville d'origine
Nation d'origine
Informations HRP
Login Minecraft
Areenthyran
Pseudo
Areen
Prénom IRL
Loreen
Âge IRL
15 ans




Areen THYRAN

Description

Areen THYRAN est originaire de la région de la cité d’Aelin dans le nord, elle a 20 ans. Son physique est normal, ni grosse, ni maigre, elle mesure 1m61 pour 50kg. C’est une brune aux yeux bleus. Areen est pleine de vie, ouverte et sociable. Areen sait un petit peu lire et écrire car sa mère lui a appris mais son alphabétisation est vraiment basique. Comme sa famille, Areen croit aux sept déesses mais n’a jamais vraiment pratiqué avec ferveur. S’occupant depuis toujours dans la ferme des ses parents, on peut dire qu’Areen est agricultrice.

Compétences

  • Connaissance de la flore : Arenn connait les pousses, semis et graines
  • Connaissances météorologiques : Areen a apprit au cour des années à prévoir certains aspects météorologiques
  • Endurance : Travailler dans les champs depuis sa plus tendre enfance rend endurant
  • Outillage : Pour s’occuper des champs, Areen a appris de son père à manier les outils

Défauts

  • Les défauts de la nordique : gourmande, naïve par moment.

Intérêts culturels, croyances et goûts

  • Comme sa famille, Areen croit aux sept déesses mais n’a jamais vraiment pratiqué avec ferveur
  • Areen sait un petit peu lire et écrire car sa mère lui a appris mais son alphabetisation est vraiment basique


Relations

Histoire

Areen est née dans une famille heureuse près de la cité nordique d’Aelin. Choyée au milieu de ses trois frères, elle a dû se forger un caractère tout de même. Son père, Thorbjorn, et sa mère, Lena, ont toujours travaillé durement dans leur ferme pour élever leurs quatre enfants du mieux qu’ils pouvaient. Aujourd’hui, les trois fils ainés sont partis vivre leur vie. Seule Areen est encore présente auprès de son père qui commence à se faire vieux, sa mère est décédée l’année dernière d’une maladie. Areen travaille dur dans la ferme et, par ces temps difficiles, arrive à peine à nourrir son père et elle-même. Tous les jours, avant l’aube, Areen se lève, fait sa toilette, s’habille et s’en va aux champs. Les épreuves physiques ne l’ont jamais rebutées, jusqu’à midi, elle retourne la terre, plante les semences, arrose les plantes et récolte celle qui sont murs. Après cela, elle rentre chez elle saluer son père. Dans l’après-midi, elle met ses récoltes du jour en sac puis se rend sur les marchés de la région pour les vendre. Depuis les années qu’elle se rend sur les marchés, Areen s’est créé une petite clientèle fidèle. A côté de cela, elle a développé des techniques de vente qui ont fait leurs preuves. Aujourd’hui, Areen arrive sur le grand marché d’Aelin et, comme d’habitude, elle commence par chercher Ronald. Ronald est le responsable des emplacements du marché… « Où est ce vieux machin… » se demande-t-elle tout bas en cherchant dans les allées en train de se former par les marchands installant leur échoppe. Elle aperçoit alors un vieil homme d’une soixantaine d’années au ventre rebondissant au-dessus de sa ceinture. Il est gras et son visage rougeaux trahis une addiction certaine pour l’alcool, il paraît néanmoins très jovial. « Ronald !! Ronald !! » crie-t-elle avant de rajouter pour elle-même : « toujours cette affreuse veste verte » et de rire en s’approchant de l’homme. « Ah, Areen comment vas tu ? » « Bien, tu m’as réservé le meilleur emplacement comme d’habitude ? » « Allez, viens je vais te montrer …» Areen suit le gros jusqu’au bout du marché vers ces endroits reculés où les acheteurs ne vont quasiment jamais, terminant leur achat bien avant. « Mais Ronald, tu ne vas pas me placer ici, personne ne vient si loin… » Areen a la mine dépitée. « Areen, ma petite, je veux bien être gentil avec toi, mais tu ne payes presque jamais l’emplacement, ça fait un mois que tu ne m’as rien donné. Certains marchands payent très cher pour être au début du marché » « Je sais mais si tu me mets ici, je ne pourrais encore rien te donner, je vais rien vendre » Le visage de l’homme montre qu’il compatit : « Je suis désolé mais il y a des règles que je dois respecter, sinon j’aurais des ennuis » l’homme se retourne et s’en va sans plus un mot. Après plusieurs heures, n’ayant quasiment rien vendu, Areen se résigne à rentrer à la ferme. Elle arrive dans la propriété et se dirige dans la grange pour y remiser ses produits invendus. Areen entend des bruits de pas provenant de l’extérieur, elle se dirige vers la porte, l’ouvre et se trouve en face de trois hommes. Un des individus s’adresse à elle, c’est un homme, assez grand, plus d’un mètre 90, les cheveux noirs, la peau tannée qui laisse penser qu’il a déjà beaucoup baroudé, un regard noir, glacial, il a une cicatrice sous l’œil gauche. « Tu vis ici ? » « Oui » répondis-je, étonnée de voir ces gens. « Où se trouve le dénommé Thorbjorn Thyran ? » « Mon père est dans la maison, je l’appelle…» « Non ! » répondis l’homme d’un ton ferme qui ne laissait aucune place à l’hésitation. Il hurla : « Thyran !!! Thyran !!!» Mon père accourra aussi tôt : « Que ce passe-t-il ? » « Etes-vous Thorbjorn THYRAN ? » « Oui » répondit mon père dans les yeux duquel on pouvait lire de l’angoisse. « Nous sommes envoyés par Sir Rodrig, nous venons chercher son dû » continua l’étranger en s’imposant devant mon père, le fixant de haut d’un regard sans pitié. « Mais…mais...Sir Rodrig m’avait laissé un temps pour rembourser la somme… » « Sir Rodrig réclame ce que vous lui devez sur le champs » « Messer, les temps sont durs, les clients se font rares, regardez vous-même, mes réserves ne se vendent pas » L’homme entra dans la pièce et la parcouru du regard puis se retourna et m’examina des pieds à la tête : « Très bien, si vous ne savez pas payer maintenant… » Mon père soupira de soulagement mais aussi vite l’homme lui mis une gifle qui le fit vaciller et l’envoya au sol. « Nous allons donc nous servir pour rembourser votre dette », l’homme se tourna vers ses acolytes : « Prenez tout ce qui peut se vendre ! » L’homme redéposa son regard sur moi et s’avança, il avait un sourire diaboliquement sadique aux lèvres. Il s’arrêta quand son visage était seulement à quelques centimètres du mien. « Quel âge as-tu » dit-il d’une voix suave. Des frissons d’effroi me parcouraient l’échine, je commençais à trembler. Il m’attrapa la mâchoire entre son pouce et son index : « Je t’ai posé une question » « Laissez-la, je vous en supplie » « Tais-toi si tu tiens encore à ta vie » dit l’homme sans détourner son regard du miens. « Alors ? » « vin…vingt ans » balbutiais-je. L’homme lâcha ma mâchoire et se déplaça sur mon côté, il déposa sa main dans le haut de mon dos et la fit glisser jusqu’à mes fesses, j’étais pétrifiée de peur. « Es-tu toujours chaste ? » « J’acquiesca » l’horreur devait se lire sur mon visage. Lhomme se recula d’un coup, et se tourna vers les deux autres qui emplissaient des sacs avec tous ce qu’ils trouvaient. « Très bien, on aura de quoi se payer avec ces vivres… » l’homme me fixa de nouveau.. « Et cette catin vierge » il se mit alors à rire, un rire satanique. Sur ces mots, mon père bondi vers l’homme d’un coup, celui-ci, surpris, fit quelques pas en arrière et dégaina sa dague en mettant un coup de pied au visage de mon père qui ne put l’éviter dans son élan. Mon père fut de nouveau propulsé au sol et l’homme s’avança sa dague dirigée vers sa victime. Mon père se mis à genoux et fixa l’homme, son regard était vide, la peur ne s’y lisait plus. L’homme déposa la pointe de sa dague dans le creux entre la clavicule et l’omoplate de mon père à genoux devant lui « Tu as vécu comme un chien, meurt comme un chien »et il enfonça entièrement la lame de la dague « Noooooon » criais-je pendant, ce qui me sembla être, une éternité. Les trois hommes m’attrapèrent, me ligotèrent et me jetèrent dans la charrette. Je ne disais plus rien... je ne bougeais plus…je ne vivais plus… Le voyage dura un temps indéterminé, j’avais certainement dû perdre connaissance. Nous sommes arrivés dans ce qui semble être un port. Je tente de me relever un peu pour voir ce qui se passe autour de moi et je distingue l’homme qui m’a enlevée. Il discute avec trois individus que je ne peux décrire car ils sont de dos. Après quelques instants, une des trois personne tend une bourse à l’assassin de mon père qui les salue et revient vers moi. « Allez ma belle, tu vas aller faire un tour avec ces gens » Je me débats quand il veut poser ses mains pour me saisir. « Non, qu’allez-vous faire ? » L’homme rit en me voyant ainsi. « Moi rien mais eux, ils feront ce qu’ils veulent de toi, je t’ai vendue » J’étais horrifiée… « Vendue ?… mais que va-t-il m’arrivé » « Je crois qu’ils vont vers un nouveau continent...ils vont certainement te revendre à quelqu’un d’autre…. Allez, fait pas de misère, de toute façon, tu ne ferais qu’aggraver ta situation » L’homme me hissa sur son épaule comme un sac de légumes et me transporta jusque dans la cale d’un bateau. Lorsqu’il me déposa au sol, je vis tous les regards apeurés des autres personnes qui étaient déjà enfermées là. « Adieu » l’homme quitta la pièce en fermant la porte à clef…