Utilisateur:Elderand

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Vous consultez la fiche d'un personnage décédé.

     Eldrahk
Informations RP
Nom
Genre
Homme
Année de naissance
Rang


Famille






Métier
Métier
Compléments








Origines


Nation d'origine
Informations HRP
Login Minecraft
Elderand
Pseudo
Eldrahk
Prénom IRL
Alexandre
Âge IRL
17ans



Informations Diverses
Hellow !




Caractéristiques

Eldrahk est un nordique. Suite au meurtre d'un noble, il échappa à la peine de mort et fut vendu à un marchand d'esclave. De ville en ville, il fut finalement vendu à Esperia. Récemment libéré par son maître, il est à présent un citoyen comme les autres, mais a beaucoup de mal à trouver sa placer.

Description

Eldrahk est un jeune homme de 22 ans. Véritable montagne de muscle, il mesure environ 2 mètres 20 cm pour un poids d'environ 112 kilos. Malheureusement, le dicton "tout dans les bras et rien dans la tête" ne s'applique que trop bien dans son cas.

Talents

  • Brave : Eldrahk ne recule devant rien, que ce soit devant du travail ou une armée de morts vivants. Il appréhende uniquement ce qu'il n'a jamais affronté auparavant.
  • Colosse : Si les déesses du nord ont octroyé des dons à Eldrahk, sa taille et sa force sont sans doute les plus importants et les plus remarquables. De mémoire humaine, personne n'avait jamais vu un homme aussi grand et musclé. Cependant, ce dernier fut plutôt sujet aux railleries dans le Nord à cause de son manque flagrant d'intelligence.
  • Robuste : Eldrahk semble insensible au froid à la chaleur, et à la douleur. Cette carapace extérieure cache un passé très douloureux.
  • Sens Aiguisés : Malgré son développement intellectuel quasi inexistant, Eldrahk maîtrise parfaitement ses cinq sens, si bien qu'il est quasiment impossible de le surprendre ou de tromper sa vigilance.


Défauts

  • Crétin : Eldrahk est considéré par ses proches comme "un crétin du nord". Son niveau mental est à peu près égal à celui d'un enfant issu d'une famille aisée qui peut se permettre de fréquenter l'école.
  • Brutal : Son passé douloureux a fait d'Eldrahk une vraie brute. Toutefois, cette violence est largement contenue par le fait qu'il soit esclave. Ce défaut n'est donc pas très apparent, mais peut exploser à tout moment comme une bombe à retardement.
  • Distrait : Le pire cauchemar de ses anciens maîtres. Eldrahk a beaucoup de mal à se concentrer et il bien souvent nécessaire de lui marteler les choses pour qu'il comprenne.
  • Impétueux : Eldrahk ne réfléchit jamais avant d'agir, en celà, il est aisé de la manipuler puisqu'il lui arrive de réaliser ce qu'il a fait (et les conséquences que celà pourra avoir) des heures après que ça se soit produit.
  • Rigide : Jamais il ne trahira sa parole ou celui qu’il reconnait comme son chef, même si on lui démontre l’inanité d’un tel serment.
  • Naïf : Il croit tout ce qu'on lui raconte.
  • Sang chaud : Malgré son titre d'esclave, Ulrik peut réagir très violemment si on le provoque verbalement. (rarement physiquement si vous ne voulez pas être défigurés)
  • Téméraire : Celà rejoint un peu les autres défauts, il fonce tête baissée et ne pense jamais aux conséquences.

Avant Esperia

I-L'idiot du village

Issu d'une famille pauvre, comme là plupart des Nordiques, Eldrahk fit preuve dès son plus jeune âge d'un manque de réflexion et de concentration inquiétant. Rapidement considéré comme l'idiot du village, il vécut une enfance traumatisante et douloureuse rythmée de railleries et d'humiliations. Conscient du problème, Altor, son père, l'emmena travailler dès son plus jeune âge dans un atelier, afin de l'éloigner du village où Eldrahk était rejeté. A 10 ans, il faisait presque la taille de son père, et pouvait travailler sans s'arrêter avec la même vigueur qu'un homme de 16 ans. Lorsqu'il fut capable de tenir une hache, son père lui montra comment abattre un arbre, mais Eldrahk piétinait dans cet apprentissage et tentait bien souvent de faire crouler un arbre en donnant des coups de hache à la verticale. Agrémenté par les reproches incessantes de son père, il lui arrivait d'achever l'arbre à la main, au grand dam de son père.

Décontenancé, son père lui criait dessus, désespéré par les erreurs et le manque de sérieux dont son fils faisait preuve. Eldrahk ne comprenait pas pourquoi son père lui criait dessus, et cela ne s’arrangea pas avec l’âge. En effet, Altor fut de plus en plus exigeant, et commença à lui montrer comment assembler plusieurs planches pour façonner toutes sortes d'outils.

Altor : " Fiston, j’vais allé chercher quelques buches pour le feu, entraîne toi en attendant, et applique toi, non d’une déesse ! "

Lorsqu’Altor en eut terminé, il retourna à l’atelier, priant les déesses pour que son fils réussisse pour la première fois quelque chose qui nécessitait un minimum de technique. Les bras chargés de bois, il ouvrit la lourde porte de l’atelier avec un violent coup d’épaule, laissant entrer le vent gelé et quelques flocons. Pivotant sur lui même, il observa son fils qui se tuait à la tâche, assemblant à la chaîne des dizaines d’outils, les accumulant sur un petit tas déjà conséquent. Souriant, Altor s’approcha doucement.

Plus il s’approchait, plus il trouvait la forme des outils étrange. Le sourire de fierté qui ornait son visage disparut soudainement. Il fit tomber toutes les buches qu’il transportait, causant un bruit assourdissant, faisant sursauter son fils qui lâcha l’outil sur lequel il s’appliquait. Le résultat était catastrophique, Eldrahk avait utilisé la moitié de la réserve de l'Atelier en moins de deux heures, laissant traîner par terre des objets difformes qui n'avaient pas la moindre ressemblance avec l'outil initial qu'il était censé reproduire.

Altor : "Tu es vraiment un bon à rien, quesqu'on a fait pour mériter un crétin pareil !" hurla le père.

Eldrahk ne comprenait pas, il avait voulu faire plaisir à son père et avait fait au moins une centaine d'outils, travaillant sans cesse des heures durant. Frustré, ce dernier avait les yeux rivés vers le sol, observant ses oeuvres d'arts que son père piétinait en hurlant.

Altor : "Comment je vais expliquer ça au patron ?! Non d'une déesse !" jura le père.

Eldrahk : "J'ai pourtant prit les deux bouts de bois comme tu me l'avait dit...ça..." tenta d'expliquer Eldrahk, interrompu par le claquement soudain de la porte d'entrée .

Un homme s'avança, chancelant, son visage caché par un capuchon. Il ôta sa fourrure et exhiba ses beaux accoutrements, fins et élégants, brodés par le meilleur couturier du Nord. Lui c'était Olaf, le chef de l'Atelier, un homme influent, très influent… Il entra, souriant, déposa sa fourrure sur une petite étagère et nous fixa, puis observa le sol. Mon père s’avança, s’inclinant devant Olaf.


II- Les premiers ennuis

Altor : " Bonsoir Monsieur, on a eu quelques prob… " avança le père.

Olaf l’interrompit et pointa du doigts les centaines d’outils hors d’usage qui traînaient par terre. Le père d’Eldrahk tremblait, demandant pardon des centaines de fois, priant les déesses pour que tout s’arrange. Le visage du patron, rougit à cause du froid, s’empourpra encore plus, si bien que son teint passa au violet.

Furieux, il frappa contre le mur : Olaf :" Tu te rend compte de la perte énorme que tu viens d’engendrer ? Quand je pense que j’ai eu pitié de ta sale gueule quand tu mendiais dans la rue, accompagné de ton abruti de fils. J’aurais du te laisser crever dans la rue, maintenant dégages d’ici t’as compris ?! "

Eldrahk ne comprenait pas, la discussion défilait bien trop vite, mais il était sûr d’une chose, le ton n’était pas très cordial. Le père implorait à présent, ignorant les remarques désobligeantes de son chef.

Olaf : " Tu as pas compris ? Demande à ton abomination de ramasser ce merdier et décampe ou j’appelle la garde ! " rétorqua Olaf qui bousculait verbalement et physiquement le père d’Eldrahk.


Comme un chien qui, d’instinct, se doit de protéger son maître, Eldrahk se leva les poings serrés. Eldrahk : " Laissez mon père tranquille ! Je peux refaire plus d’outils si vous voulez mais laissez le ! "

Olaf s’exclaffa : Olaf : " Tiens tiens, c’est qu’il pourrait mordre le corniaud ! Trêve de plaisanterie, nettoie moi ça et va t-en, et ne me parle même pas de te paye, tu peux te la mettre où je pense ! "

Ce dernier pressait Altor en le bousculant régulièrement. Altor se mit à genoux et implora Olaf de lui donner une seconde chance. C’est alors que le chef cracha devant Altor. Dans le nord, cracher sur quelqu’un, c’était l’humilier, cracher devant quelqu’un, c’était un signe de défi.

C’était une des rare chose qu’Eldrahk savait, c’était quasiment instinctif, comme un code de l’honneur qui aurait été gravé en lui dès sa naissance. Le fils était fou de rage, il attendait que son père réagisse, mais ce dernier restait à genoux, la tête baissée, immobile, tremblant de tout son corps. Eldrahk s’attendait à ce que son père réagisse, qu’il frappe son employeur comme un vrai Nordique, mais il n’en fit rien.

Il regarda son père, puis lança un regard empli de colère à Olaf.

Olaf : " Quesqu’il veut l’attardé, tu veux aussi venir pleurer à genoux ? "

C’est à ce moment là qu’un des instincts les plus primaires de l’homme se réveilla, Eldrahk ne se contrôlait plus à présent, il était possédé par cette fureur que personne n’avait jamais su contrôler. Le premier coup, lent et imprécis, mais aussi puissant qu’un marteau, loupa sa cible. Olaf avait ésquivé le coup avec une facilitée déconcertante, mais ne riait plus. Le coup d’Eldrahk avait percé le mur de la barraque dans un bruit sourd. Olaf rendit les premiers coups, rapides, précis, visant le torse du jeune homme. Trop lent, Eldrahk n’évita aucun coup, mais ne semblait pas avoir mal pour autant. Conscient qu’il ne pourrait pas atteindre Olaf, le colosse attrapa le bras du chef qui fonçait vers son torse. Tirant d’un coup sec sur le bras, Olaf était à présent à portée, et n’évita plus le moindre coup. Un spectacle bien étrange que ces hurlements mêlés à des craquements d’os. En quelques secondes, Olaf était au sol, inconscient, le visage ensanglanté et les bras désarticulés. Altor, qui s’était relevé lors du début du combat, tentait tant bien que mal d’écarter son fils, mais parvenait à peine à le déséquilibrer de temps à autre.

Même au sol, Eldrahk continuait à frapper le pauvre homme dont les côtes se brisaient l’une après l’autre, s’enfonçant comme des flèches dans les organes vitaux. A ce moment, le fils ressemblait plus à un singe qui tambourinant sur le corps de son adversaire jusqu’à ce que mort s’en suive...

Altor :« Arrêtes fiston, arrêtes ! » suppliait son père qui avait aperçut les gardes personnels d’Olaf qui s’approchaient dangereusement de l’entrée.


III- La perte d'une chose précieuse

La porte claqua, faisant parvenir dans la salle le bruit sourd du blizzard, du cliquetis des armures, la douce caresse du vent glacé et des flocons de neige.


Garde : " Tu aurais du la voir, quand je lui ai montré le… " racontait un des gardes.

Leurs regards se portèrent sur la scène qui se déroulait devant eux.

Garde : " Non d’une déesse ! " cria un des gardes, sortant son épée du fourreau. Le second garde fit de même, et tout deux, s’approchèrent du corps sans vie d’Olaf, fixant l’homme accroupi devant son cadavre qui continuait à tambouriner sur le corps, formant une bouillie de sang mélangée à des os, aggrémentée de quelques morceaux d’estomac et de cœur.

Lorsqu’Eldrahk sentit la lame de fer gelée qui enlacait sa gorge, il se releva doucement, faisant face aux deux gardes, l’air ébahi. Ce fut la dernière fois qu’on entendit parler d’Eldrahk, l’idiot du village. Ce dernier était enchainé dans une geôle glaciale, où le cadavre d’un autre prisonnier traînait à même le sol. Il fut jugé le soir même, et échappa à la mort de justesse. Un marchand d’esclave venu de la capitale avait annoncé son arrivée, et tout les prisonniers des villages nordiques avaient été regroupés sur une petite estrade, allignés comme des bêtes qui partaient à l’abbatoir.

C’était un jour unique, rares étaient les marchands d’esclaves qui s’aventuraient dans le grand nord, cela se produisait une fois par an tout au plus.

C’est sans la moindre hésitation que le marchand acheta Eldrahk, ce fut d’ailleurs un des premiers esclaves à être vendu, le vendeur ayant vanté durant de longues minutes l’utilité d’un tel mastodonte :

Vendeur d'esclave : " Celui ci est un pur concentré de muscle, il peut faire à lui seul le travail de 4 autres esclaves ! Regardez moi ses muscles saillants, et sa taille ! »"

Evidemment, le vendeur ne fit pas allusion au retard mental de l’esclave, et à la difficulté de lui faire comprendre comment effectuer certaines tâches…

C’est ainsi qu’Eldrahk se retrouva dans une geôle sur roulette qui faisait route vers la Capitale. Au bout de quelques mois, le dos d’Eldrahk était couvert d’entailles dûes à l’usage fréquent du fouet. Il était déjà passé par 6 propriétaires différents, là plupart, désespérés tentaient tant bien que mal de le revendre.

C’est ainsi qu’un jour, le fameux marchand qui avait fait l’acquisition d’Eldrahk dans le nord, paya un petit prix pour l’acquérir à nouveau. Plus personne n’en voulait dans la capitale, et ce dernier, déjà atteint de retard mental, était aussi prit de crises de colère, détruisant régulièrement du mobilier de grande valeur, ce qui avait le don de déplaire aux maîtres qui payaient des sommes exorbitantes pour réparer les dégats.


Marchand d'esclave : " Quesqu’on va faire de toi maintenant…. " soupira le marchand.

Soudain, un grand sourire se dessina sur les lèvres du marchand.

Marchand d'esclave : " Galkur, scelle les bêtes, remet les esclaves en cage, nous partons pour Esperia ! " cria le marchand.

C’est ainsi que le convoi se mit en marche, acheminant de nombreux esclaves dont plus personne ne voulait ailleurs. Le marchand répétait dans sa tête les bobards qu’il allait raconter lors de la vente, et s’avança confiant vers le centre d’Esperia, mettant en avant Eldrahk, vantant les qualités indégnables de ce colosse.

Premier Jour

Présent

Esperia

...(en cours de rédaction)