Utilisateur:Marcus Koskinen
Vous consultez la fiche d'un personnage absent d'Esperia.
Description
Physique : Pas spécialement grand (1m60), un peu musclé, cheveux très bruns avec les yeux verts, bouche fine, nez fin, une très belle moustache qui le rend très fier. Il a la peau très blanche, ds petites mains et des pieds normaux (pointure 39).
Morale : Marcus est quelqu'un d'un peu égocentrique ; néanmoins ils s’intéressent aux autres. Il est vif et aime l'humour, il n'aime pas se battre mais si la situation l'oblige il sait se défendre. il déteste les animaux (sauf en plat) ; il adore la cuisine à base de poisson et de viande. Il est hétérosexuel, vit dans un carrefour économique. Il a eu l'habitude de côtoyer la plupart des habitants d'autres nations et est donc très ouvert à d'autre culture. Par contre il a beaucoup d'apriori sur les autres religions.
Choix
Trappeur, Combat T-1, Navigateur,
Talents
Drôle, Vif.
Défauts
Tient mal l'alcool, s'emporte vite, égocentrique.
Intérêts culturels et goûts
Histoire
Chronologie : Mai 490 : Marcus est né, ces parents sont heureux que l'aîné soit un garçon, ils fêtent la nouvelle avec toute la famille.
Septembre 495 : Marcus rentre aux Monastère de Lissenbot où il apprendra à lire, écrire, compter et pratiquer sa religion pendant 5 ans ; cela coûtera très cher à ses parents qui voulaient absolument que leur fils ait accès à l'éducation pour son futur.
Juillet 500 : Marcus sort du Monastère, il est rendu à ses parents. Il commence à les aider pour la pêche et la vente des poissons. Il passe la plupart de son temps libre avec sa meilleure amie Amelia Cederbaum ; c'est à ce moment-là qu'elle lui apprend à faire les poches des clients sur le marché. Par chance il ne se fera jamais attraper contrairement à elle qui aura quelques problèmes avec la garde de la ville.
Août 506 : Durant la session de pêche quotidienne, son père est percuté par la bôme, se crève un œil et manque de se noyer. Cet événement sera traumatisant pour Marcus qui aimera toujours la pêche mais appréhendera souvent de monter sur un bateau.
Janvier 512 : Pendant l'incident de Lissenbot, le père de Marcus décide d'abriter toute la famille dans leur maison et d'attendre que la situation se calme. A de multiples reprises, ils entendent frapper à leur porte mais à aucun moment ne décident d’ouvrir. Pourtant Marcus aurait préféré aider les habitants à éteindre les incendies mais son père lui interdira.
Février 512 : Déçu par le comportement de son père durant l'incident, Marcus décide de quitter le cocon familial pour habiter dans une petite maison non loin du port et de continuer à exercer son métier de pécheur.
Février 516 : Amelia Cederbaum se fait emprisonner pour le braquage d'une des banques de la ville. Marcus, malgré son désaccord avec les agissements de son amie, ne peut s'empêcher de réfléchir aux possibilités de la libérer. Pendant deux ans il réfléchira aux différents plans à mettre en œuvre.
Mai 518 : Marcus avec trois amis proches tentent de libérer son amie par la force ; malheureusement ils échouent. Il est tenu comme principal responsable de l'attaque, sera condamné à l'esclavage et ses amis seront emprisonnés. Il est actuellement en route pour Esperia où il sera vendu comme esclave.
L’attaque de la caserne de Lissenbot : Cela faisait maintenant deux mois que j’étudiais les plans de cette foutue caserne pour libérer Amelia ; j’avais réussi à convaincre trois de mes amis proches de m'accompagner et par chance, j’avais réussi à obtenir le numéro de cellule par un ancien prisonnier l’ayant côtoyée. Le plan était simple mais risqué ; pendant la ronde de la garde de nuit, nous allions nous introduire à trois dans la caserne. Une fois à l’intérieur, il suffirait de prendre en otage le garde à l’entrée, de pénétrer dans la zone des prisonniers, de trouver la cellule d’Amélia, de la libérer puis d'utiliser la sortie arrière de la caserne où notre quatrième acolyte nous attendraient avec des chevaux.
Le jour J, nous nous reposions car la nuit promettait d’être agitée ; malheureusement je ne trouvais pas le sommeil et je décidais d’aller me balader pour m'aérer l'esprit. Il restait encore une heure avant la nuit ; nous finalisions les ultimes préparatifs. A présent, nous étions cachés dans l'ombre de la caserne, harpon en main, attendant que les gardes commencent leur ronde. Je ne pus m’empêcher de dire à un de mes complices :
-Tu sais, si jamais on échoue…
Il me coupa froidement :
-On échouera pas, ça fait deux mois qu’on réfléchit à ce plan, il est risqué certes mais s’il faut y croire. D'ailleurs, il est grand temps d’y aller, les gardes ont commencé leur ronde.
A ce moment-là, nous nous déployions ; j'avançais dans le dos du garde armé de mon harpon et m'approchais de lui pour le prendre à revers et le neutraliser et le capturer.
Je lui plaçais le harpon sous la gorge et lui dis avec assurance :
-Reste tranquille et tout se passera bien ; je suis juste venu libérer mon amie.
Alors, nous avancèrent dans l’enceinte de la caserne vers la zone des prisonniers avec le garde toujours à portée de harpon et mes deux amis assurant mes arrières. Malheureusement nous avions mal estimé l'impénétrabilité de cette forteresse. Très vite on entendit des pas courant dans notre direction ; je criais :
-Fuyons !
Nous partîmes dans la direction opposée. Soudain, je sentis une vive douleur à l’arrière de la tête puis le voile noir. Je me réveillais dans un endroit sombre ; je compris très vite que je me trouvais dans un bateau à entendre l’eau taper contre la cale et à sentir le roulis d'un bateau en haute mer. Je m’empressai de chercher mes amis du regard que je ne trouvais pas et à la place je trouvais le capitaine du navire...
-Pourquoi suis-je là, où m’emmène-t-on, où sont mes amis ?
Il me répondit en ricanant :
-Ce navire est en direction d’Esperia où tu seras vendu en tant qu’esclave ; tes amis et toi avaient été capturés suite à l’effraction dans la caserne de Lissenbot. Tu as été jugé comme principal responsable de l’attaque. Tes amis sont enfermés à la prison de la capitale mais n’espère surtout pas les revoir de sitôt !
Détruit, terrorisé et me posant mille questions, je compris que ma vie venait de prendre une tournure inattendue et inquiétante.
