Utilisateur:Matheios

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Informations RP
Genre
Homme
Année de naissance
Rang


Famille






Métier
Métier
Compléments








Origines


Nation d'origine
Informations HRP
Login Minecraft
matheios
Pseudo
Matheios
Prénom IRL
Samuel
Âge IRL
18




Description

  • Origine : Nation Adaarionne, fils de 2 parents Adaarions, petit village du nom de ‘Fandosk’ au bord de l’Heimild au Nord-Ouest de Roskilde à quelques dizaines de km de l’embranchement.
  • Religion : Culte d’Arbitrio, pratiquant mais non régulier.
  • Caractère : Matheios est plutôt gentil. Il n’est pas timide et n’hésitera pas à sympathiser mais lorsqu’il doit travailler ou se concentrer, il ne vaut mieux pas le déranger. Il n’hésitera pas à dire ce qu’il pense mais ce n’est pas pour autant qu’il ne réfléchit pas avant de parler. Toutefois, son incompétence au combat lui aura valu quelque poing dans le visage. Il préfère utiliser sa parole et son cerveau que ses muscles.
  • Qualités : Matheios est malin et imaginatif ! Il a aussi le don de connaître beaucoup de monde ce qui peut être un atout dans une société de tensions. Une de ces qualités est aussi sa forte résistance à l’alcool, sûrement dû au fait qu’il a commencé à boire très jeune lors de l’apprentissage de son métier par son père.
  • Défauts : Sa faible carrure peut certaine fois l’obliger à ne pas s’imposer. Il sera aussi un peu trop avide d’argent et lorsqu’il travaillera ou devra se concentrer, Matheios s’énervera rapidement pour des futilités s’il est dérangé !
  • Portrait Physique : Matheios est assez grand, il mesure 1 m 82 et pèse 74 kg. Il est plutôt sec et n’est pas vraiment musclé. Son visage est assez fin et il avait toujours une petite barbe de quelques jours. Ces cheveux bruns sont assez court (2 ou 3 cm) et ne sont pas vraiment coiffés. Une cicatrice verticale prend place juste en haut de son œil gauche et mesure environ 5cm. Matheios a des yeux assez commun : ils sont bruns. Il est toujours plein sourire.

Compétences

  • Grille Bœuf Cuit.png Sens du goût : Son père tenait une petite auberge, c'est pourquoi il eu rapidement un sens du goût assez développé.
  • Grille Tableau.png Créativité : Depuis sa formation d’éthylisme, Matheios adore créer toutes sortes de boissons et goûter ces créations.
  • Grille Alambic.png Alchimie : Ses expériences pour créer différents alcools et les livres sur l'alchimie basique qu'il a lu, lui ont permis d'avoir une connaissance correct en alchimie.
  • Grille Bouteille de Vin.png Œnologie : Depuis 15 ans, Matheios produits des boissons alcoolisées. C'est pourquoi il a acquis un niveau correcte en œnologie.
  • Grille Livre et Plume.png Alphabétisation : Matheios a reçu une bonne éducation grâce à la volonté de son père. Il sait donc lire, écrire et compter.

Intérêts culturels et goûts

Matheios est un grand passionné par la découverte et la science en général. Même s'il ne comprend pas tout, il n'hésitera pas à parler avec des savants. Il est aussi passionné par ses expériences sur la création de nouvel alcool. Après une grosse journée travail, il aimera bien aller boire quelques pintes à la taverne du coin. S'il en a la possibilité, Matheios est aussi amateur de drogues légères.

Histoire

  • L'enfance :

Je n’ai jamais vraiment eu à me plaindre de ma paisible vie. Je suis né dans une famille Adaarionne, mes parents tenaient une petite taverne à Fandosk où l’on vivait plutôt paisiblement. Ma mère s’occupait du service et mon père était derrière les fourneaux. Nous ne connaissions donc pas la faim ni la pauvreté car nous étions à proximité d’une route très empruntée.
Malheureusement, à l’âge de 3 ans ma mère est morte d’une maladie qui l’empêchait de respirer... Je n’ai donc presque pas de souvenir de celle-ci. Je me souvenais juste que mon père fût ravagé.
À l’âge de cinq ans, je reçu mon éducation dans un monastère où mon père m’avait envoyé. Il mettait un point d’honneur sur mon éducation car il voulait vraiment que je réussisse à vivre paisiblement, plus tard quand il ne serait plus là. Durant cette période j’appris alors les bases de l’écriture, de la lecture, du calcul et aussi de la religion. Mon niveau était assez bon, c’est pourquoi j’ai eu la possibilité d’étudier les sciences durant ma dernière année.
Une fois mon éducation terminée, c’est-à-dire à l’âge de 10 ans, mon père qui savait produire de l’hydromel en petite quantité pour la taverne, me donna une formation sur l’éthylisme. J’ai tout de suite apprécié cette pratique. Le fait de mélanger différents liquides pour en créer un qui aura la particularité d’avoir un goût apprécié me plaisait vraiment ! J’aimais faire des expériences en ajoutant des ingrédients originaux et différents, en changeant le taux d’alcoolémie, ou encore en jouant sur les durées d’ébullition, de fermentation.
C’est donc à l’âge de 13 ans que je savais déjà me débrouiller pas mal avec le matériel de mon père, mais ce dernier ne produisait que de l’alcool de table : bière et hydromel. Nous n’avions donc pas les infrastructures et les ingrédients pour produire du vin ou encore du cidre et du rhum. Mais pour mon âge et mon niveau d’éthyliste cela me suffisait largement.
Ensuite, les années passèrent et je continuais de progresser petit à petit. Mon père ne m’apprenait plus rien car il m’avait déjà tout appris, j’avais dépassé son niveau et j’avais déjà produit 3 fûts d’hydromel dont j’étais vraiment fière ! Mais mon envie de nouveautés me tracassait : je voulais changer des alcools de table comme l’hydromel que je travaillais presque depuis le début.
Lors de mes 15 ans, mon père me fît une surprise dont je me souviendrai toute ma vie. Ce matin-là, il me réveilla très tôt sans explication et me dit de m’habiller. Je ne comprenais pas ce qu’il se passait alors je lui demandai : « Mais où va-t-on comme ça Père ? Je ne comprends pas ! ».
Il me répondit calmement avec un sourire qui voulait en dire long : « On part à Golvandaar ! Ce week-end a lieu la grande foire d’été ! », et il continua avec des yeux pétillants d’impatience « Il est temps de savoir si ton Hydromel plaît aussi ‘à la ville’, j’ai emprunté la calèche et l’âne du fermier en échange de son ardoise et j’ai fermé la Taverne pour plusieurs jours. J’ai déjà chargé tes 5 fûts d’hydromel et j’en ai gardé 2 : un pour toi et un pour moi ! Ça te va ? » Je ne savais plus quoi dire… Je restais bouche bée devant mon père sans dire un mot. Je me repris alors et dit : « Tu es génial ! Merci, vraiment merci Papa ! ».
C’est ainsi qu’on partit en plein milieu de la nuit, sans aucune trace du soleil. Je regardai les étoiles de cette journée de Thermidor qui s’annonçait très chaude et je rêvais déjà des possibilités que je pourrai avoir une fois arrivé !

C’est après plus de 2 jours de longues routes que nous sommes arrivés dans cette ci grande ville. Il était tard et la luminosité diminuait rapidement. L’air était encore chaud mais le fait de ne plus être au soleil faisait vraiment du bien. La grande foire commençait demain mais certaines étales étaient déjà prêtes à être rempli de produits venus de toute la nation Adaarionne ! J’étais pressé de parcourir ses rues demain mais avant, il fallait dormir et se reposer car les journées risqueraient d’être longues ! Nous nous sommes donc arrêtés dans une petite auberge à l’entrée de la ville pour manger quelque chose et se rafraîchir la gorge avec une bonne bière. Mon père connaissait le propriétaire, c’était un de ces amis d’enfance. C’est pourquoi il nous installa ensuite dans une de ces meilleures chambres pour la durée de notre voyage. La nuit fût courte, en effet très tôt la rue se mit à grouiller d’une foule impressionnante et un brouhaha se faisait entendre. Rapidement on se retrouva dehors à arpenter les rues sans réel objectif. Au bout de 2 heures, mon père me dit en souriant : « Bon ! Et si on commençait à proposer ton hydromel à des tavernes de grands noms ? Qui sait peut-être qu’il leur plaira ? ». Je répondis « Oui ! » sans aucune hésitation, j’étais impatient à l’idée de vendre mes premières boissons. Nous sommes donc allés chercher une bouteille de l’hydromel pour permettre aux personnes intéressées de savoir ce qu’ils achètent en goûtant le produit. Notre première taverne n’était pas la plus prestigieuse de la ville mais n’était pas mal famée non plus. Le propriétaire nous amena alors à l’arrière de la salle, il prit un verre et versa de quoi boire deux gorgées d’hydromel. Je scrutais chacune de ses actions pour discerner le moindre avis sur la boisson. Après une dizaine de secondes à apprécier la substance dans sa bouche il affirma en me regardant : « Ton hydromel est bon ! Mais, à mon goût, il n’est pas assez fort. Après je suis un ‘homme du peuple’ comme dirait la noblesse, j’aime les choses fortes ! C’est ta première vente d’alcool petit ? ».
Je répondis : « Oui, oui ! Mais est-ce que vous voulez l’achetez quand même ? ». Le tavernier enchaîna : « je suis intéressé en effet mais je peux aussi m’en passer, si tu veux mon avis : va voir les tavernes des quartiers riches ! Ta boisson correspond parfaitement à leurs attentes, du goût mais un taux d’alcool plus faible ! ». Je le remerciai du conseil et ainsi on partit dans une taverne qu’il nous avait recommandé.
Une fois arrivé là-bas, le même processus eu lieu. Le tavernier, habillé très élégamment, gouta l’hydromel. Il le gardât longtemps en bouche et mâchait la boisson. Je ne comprenais pas pourquoi il faisait ça, c’est pourquoi je lui demandai : il répondit après avoir avalé sa gorgée que cela lui permettait de pouvoir percevoir beaucoup plus de goût. Il nous expliqua alors que notre boisson était vraiment excellente au niveau du goût et qu’il était vraiment intéressé par nos fûts. Mon père négocia ensuite le prix avec l’acheteur. J’étais heureux, je venais de vendre pour la première fois de l’alcool que j’avais produit. Que me réservait la suite ? J’étais impatient de grandir et pouvoir produire plus de boissons en tout genre…

  • Le travail :

J’étais en train de boire une bière dans la taverne de mon père lorsque les cloches sonnèrent. Je prenais une petite pause après cette longue journée de travail. La salle était plutôt bien remplie pour ce début de soirée. Je reconnaissais deux ou trois amis et quelques connaissances mais la personne que j’attendais n’était toujours pas là. Mon père était occupé au comptoir à hydrater les gorges sèches des voyageurs et des alcooliques. J’avais maintenant 20 ans et je gérais mes affaires seul, bien sûr je fournissais encore mon père en alcool mais il ne savait pas avec qui d’autre je commerçais.
Soudain, j’entendis la porte s’ouvrir. Je vis cet homme, grand et plutôt musclé avec les cheveux châtains clairs. C’était lui. Je lui fis signe de s’approcher. Je ne connaissais ni son nom ni son prénom.
Il s’installa en face de moi et dit en chuchotant : « Tu as ce qu’il faut ? ». Je fis un signe de la tête pour dire oui puis un autre léger signe en direction de la porte au fond de la salle. Je partis alors en direction de cette dernière avec cet homme qui me suivait. On descendit quelques marches pour arriver dans cette petite salle souterraine. Ce n’était pas mon lieu de travail principal mais plutôt un laboratoire artisanal. Il y avait plein de récipients, de plantes toutes plus étranges les unes que les autres, des ingrédients, des morceaux de papiers… La luminosité était faible et de la moisissure s’étalait sur les murs formés de roches grossières.
Je désignai alors une bouteille qui contenant ma petite substance protégée. Le liquide était vert tel un colorant, d’où son nom : la Fée verte. Cette boisson était le fruit de plusieurs expériences autours de différentes plantes assez rares, elle n’était pas vraiment autorisée. C’est pourquoi je faisais très attention lorsque je vendais ma production. Rares étaient les personnes capable de produire de la Fée verte, personnellement j’appris la recette lors d’un séjour à Golvandaar plus particulièrement dans ces souterrains. Cette substance n’était pas légale car elle était fabriquée à partir d’Analcta Gnosis et elle donnait de fortes visions à cause du mélange avec l’alcool fort et les autres ingrédients.
J’ouvris la bouteille et fis sentir la forte odeur à l’acheteur. Il m’avoua, comme si il en avait honte : « Ouahouh ! Rien que l’odeur m’donne mal au crâne ! ». J’étais content de moi.
Je partis ensuite à l’autre bout de la pièce pour enlever un tissu épais et rugueux qui couvrait deux caisses en bois chacune remplies de 9 bouteilles. Je dis d’un ton ferme : « J’en veux pour 100 pièces d’or ! ». C’était une somme importante mais je savais que mon produit en valait la peine. Et de toute façon s’il ne me prenait pas la cargaison, je trouverais bien quelqu’un d’autre pour me l’acheter. J’avais quelques contacts avec l'Hukkomelsen mais je n’aimais pas travailler avec eux. Ces nordiques n’étaient que de grosses brutes, ils préféraient frapper que négocier.
L’homme sorti de la poche de sa veste la somme convenue et me la donna. Après avoir déposé mon argent dans une petite boîte posée sur la table centrale, je l’aidai à sortir les deux caisses à l’extérieur de la taverne et à les mettre dans une petite charrette avec laquelle il était venu. On cacha cela sous des sacs de légumes pour être discret. Je lui serrai la main et il partit vers le Nord-Est sur la route qui longeait la rivière.
Je n’avais pas honte de produire ce genre de boissons, enfin je ne savais pas trop si c’était de la boisson ou de la drogue ou les deux. Mais ce dont j’étais certain, c’était que je pouvais me faire beaucoup d’argent grâce à la Fée verte. Il me fallait juste un moyen d’écouler ma marchandise de façon régulière. Sur ces dernières pensées, je rentrai dans la taverne pour boire avec mes amis !

  • L'esclavage :

J’avais l’impression d’avoir déjà vécu cette scène. Ou alors je réfléchissais trop, je ne sais pas, je ne sais plus. Je pensais trop et le stress m’avait envahi. Mes mains étaient moites, je transpirais à grosses goûtes. J’étais assis sur un gros tronc situé devant la taverne de mon père. Je tremblais, je n’arrivais plus à me contrôler.
C’est à ce moment que je vu cette petite carriole arriver. Elle avançait à bonne allure. Elle s’arrêta à mon niveau et je reconnu deux grands nordiques à l’arrière, les même que la semaine dernière.
Je m’approchai d’eux et commença à leur expliquer la situation, je bégayais : « J’ai… euh j’ai eu un … un petit problème cette sem… semaine… Je n’ai rien à vous donner ! » .
L’un des nordiques descendit et commença à parler vraiment fort tout en s’approchant de moi : « Comment ça tu n’as rien à nous donner ?! Tu ne nous arnaquerais pas par hasard ?! »
Je répondis : « Non ! Non ! Je... vous assure que … non ! ». Ce tas de muscle me pris par le col et me fît décoller en hurlant « Je ne te crois pas ! Alors tu vas gentiment m’amener à ton atelier pour qu’on vérifie ça !! » et il me lâcha. Je les conduis alors à mon laboratoire en passant par la grande salle de la taverne qui était occupée par une dizaine de personnes. Tout le monde nous dévisageait mais ces grosses brutes étaient trop bêtes pour s’en inquiéter.
Une fois dans l’atelier, je leur montrai qu’il n’y avait pas de bouteilles de ‘fée verte’ ici. Je pensais que j’en avais fini, que ces brutes allait partir maintenant que je leur avais prouvé ce qu’ils voulaient. Mais ce fût tout autre chose qui se passa. Les deux nordiques commencèrent à s’énerver et à entrer dans une folie incontrôlable tout en hurlant « Tu crois vraiment que tu vas nous avoir comme ça ?! Et l’Analcta Gnosis que l’on t’a donné la semaine dernière pour préparer ta « Fée verte », elle est où !? Il y en avait pour 50 pièces d’or !! ». Ils se mirent à renverser les tables et casser tout mon matériel. Je voulu fuir dans la grande salle mais rien à faire, ils m’attrapèrent avant. Celui qui semblait être le chef entre les deux s’approcha de mon visage. Je sentais son haleine dégoutante d’alcoolique sans hygiène, j’étais dégouté. Il me dit alors calmement et avec un regard sadique « Je n’ai pas oublié tes dettes non plus ! Tu n’avais pas le droit à l’erreur et pourtant tu en as fait une... Dommage. ». Il prit alors mes 2 bras et les ligota avec un cordage épais, puis il me bâillonna la bouche avec un morceau de tissu qu’il venait d’arracher. J’avais peur, j’étais pétrifié. L’autre nordique me souleva et me posa sur son épaule pour me transporter. Lorsque l’on traversa la grande salle, elle était vide. Les gens avaient dû partir en entendant le bruit du saccage. Tout d’un coup, mon père déboula de l’étage avec un grand couteau de cuisine. Mais il était trop vieux pour faire le poids avec ces armoires sur pattes. Le chef s’approcha alors de mon géniteur et lui mit un grand coup de poing dans le ventre puis un deuxième dans la mâchoire. Je vis alors mon père s’effondrer par terre sans que je puisse faire quoique ce soit. Je criais de toutes mes forces et j’essayais de me débattre mais je savais que je ne pourrais pas m’évader… Ils m’installèrent dans la charrette comme un vulgaire sac de pommes de terre, puis le chef me dit « Tu payeras tes dettes par ta vie ! Maintenant tu nous appartiens ». Et c’est ainsi que je quittai mon chère village, Fandosk, et mon père sans même un ‘Au revoir’. Je sanglotais…
Le voyage avec ces deux imbéciles durait une éternité à mon goût. J’avais le droit de bouger de cette charrette seulement pour faire mes besoins. Il me nourrissait à peine pour survivre. Je regrettais toutes mes erreurs mais il était trop tard. Après une semaine de secousses à l’arrière, on me fît monter dans un bateau sur l’Heimild. Je n’étais plus seul, en effet les cales étaient remplies d’autres personnes : des hommes comme des femmes. On nous mit des chaines aux chevilles et aux poignets, puis on nous enferma dans des sortes de petites prisons au fond du bateau. Je ne sais pas combien de temps dura le voyage mais ce fût extrêmement long, je n’avais plus de repère car on ne voyait pas le jour. On entendait juste les vagues l’autre côté de ce bois. Je me demandais où est-ce que l’on nous amenait.