Utilisateur:Misterfable

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Vous consultez la fiche d'un personnage reparti dans l'ancien monde.

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Informations RP
Genre
Homme
Année de naissance
Rang
Esclave de







Métier
Métier
Compléments








Informations HRP
Login Minecraft
MisterFable
Pseudo
MisterFable


Âge IRL
15 ans



Informations Diverses
Oh, un oiseau!



Caractéristiques

Description

Âge: 21 ans

Taille: 1m85

Couleur des cheveux: Blancs

Couleur des yeux: Bleu

Signe particulier: Peau de Creeper sur le dos

Alphabétisation: Sait couramment lire mais quelques lacunes en écriture

Croyance: Aucune

Talents

Voleur, archer confirmé, mauvaix combattant à l'épée

Qualités

Discret, agile, compatissant, partageur, Amical

Défauts

Phobie de la lave, Mains baladeuses, Image très surfaite de lui même, suceptible, bagarreur

Histoire

Avant Esperia

La nuit était tombée, assis sur une chaise à la lueur d'une bougie, j'écrivais ce qui serait mes mémoires, mais celles-ci seraient différentes des autres car je ne relaterais ma vie qu'après être arrivé sur celui que l'on appelle le Nouveau Continent.

-Peut être devrais-je d'abord parler de ce qui m'a amené ici, Pensai-je.

Usant de cette première impression, je me mit à écrire:

"-Les événements qui m'ont conduits à débarquer sur le continent d'Esperia ne sont pas très différentes des autres, car comme beaucoup je suis partis sur un bateau d'esclave, mais je n'y étais pas en tant qu'esclave, mais bel et bien en tant que clandestin, je n'avais aucune idée de pourquoi j'avais fait cela, peut être était-ce à cause de ma condition? J'étais pauvre, très pauvre, j'étais en plus un enfant non-désiré, ma mère me détestait et me tuais à la tâche, peut être avait-elle atteint son but en me faisant partir.

Le voyage avait été très dur, les cris des esclaves mêlés à l'odeur insoutenable due au manque d'hygiène aurait pu avoir raison de moi, mais je n'avait pas enduré tout sa pour finir mort dans un bateau d'esclave! Des jours sont passé, peut être des semaines? Rien ne me permettait de le savoir, quand enfin le bateau arriva à bon port, je réussis à descendre et à m'aventurer dans la forêt environnante, mais ma malchance habituelle m'aura fait rencontrer un homme qui aux premiers abords, paraissait sympathique. Mais j'appris à mes dépends que rien n'était vrai, toutes les bonnes intentions n'étaient qu'illusion. Je fus assommé et vendu sur place publique deux jours plus tard."

Premier Jour

Je marchait dans les bois, essayant de parcourir un maximum de distance en un minimum de temps. Mon inquiétude croissait plus le soleil descendait dans le ciel. Il ne m’était plus possible de revenir en arrière et je n’avais pas l’once d’un souvenir de l’emplacement de la capitale. Quel idiot j’avais été ! On m’avait pourtant dis que le chemin vers le Nouveau Monde était plus que dangereux. -Bravo. Pensai-je. Mes grands idéaux et ma langue bien pendue vont encore m’amener des ennuis ! Espérons qu’ils ne soient pas définitifs ! Ma démarche pressée rendait plus qu’évident ma présence dans les bois. Ma dague choquait contre mes jambes et mes flèches s’entrechoquaient dans un opéra sinistre. A tel point que je me demandais si un troupeau de cochon ne faisait pas plus de bruit quand un étrange cri d’oiseau attira mon attention… -Je ne crois pas avoir souvenir d’un tel chant d’oiseau ! Dis-je à haute voix. Qui va là ! Et comme je l’avait deviné, une voix masquée répondit : -Quant à moi je ne crois pas me souvenir avoir déjà entendu pareil raffut dans cet région !

Je me figea et regarda autour de moi. Le sentier sur lequel sur lequel je marchait s’était enfoncé dans un portion particulièrement dense de la forêt, rendant l’atmosphère inquiétante pour le citadin que je suis. Tandis que mes yeux sondaient les profondeurs de la forêt, je réfléchis très vite. Qui cela peut-il être ? Un garde ? Peu de chance d’en croiser un dans un bois à cette heure avancée… Au pire un bandit, au mieux j’ai atteint mon but. D’une voix qui se voulait vaillante, je m’exclama : -Qui êtes vous ? Sortez de votre cachette ! Un silence suivi ma phrase… Même la forêt semblait particulièrement calme, comme si tous les oiseaux que j avais entendu jusque-là guettaient eux aussi la réponse de celui qui m’observait, là, quelque part dans la pénombre. Mais ce n’est pas ce qui m’inquiétait le plus, car il devenait maintenant évident que la luminosité baissait de plus en vite ; le soleil quittait son étincelante parure de jour, et n’allait pas tarder à revêtir sa robe blanche de nuit, ce qui signifiait qui quiconque n’était pas à l’abri à ce moment-là risquait fort de ne pas voir le matin. Tout à coup, une branche craqua. Avant que je n’ait le temps de réagir, une silhouette atterrit souplement devant moi. L’homme qui venait de sortir de sa cachette était de taille moyenne, son visage était caché par une capuche d’un vert sombre, et il portait ce qui semblait être une armure de cuir souple. Ce dernier détail me marqua, moi qui était habitué aux cuirasses rutilantes. L’inconnu semblait avoir l’habitude de se déplacer discrètement dans les bois, et le pommeau d’épée qui dépassait derrière son épaule ne me rassurait pas.

- Euh… Vous me voyez bien aise de rencontrer quelqu’un, je commençais sérieusement à m’inquiéter, peut-être pourriez-vous m’indiquer, euh… un endroit où passer la nuit en sécurité ?

L’homme lui répondit d’un ton ironique :

- Pauvre marcheur égaré… Pourquoi n’es-tu pas resté à l’abri derrière tes remparts ?

- Si c’est de l’argent que vous voulez, la déception vous guette, je n’ai rien sur moi, le chemin vers cet endroit m'aura coûté plus que mon pagne!

J’ allait partir en courant lorsque l’homme des bois dégaina son épée à une vitesse effarante, et avant que j’ai pu comprendre ce qui se passait, la lame était posée sur ma gorge.

- Encore un geste et jamais plus tu ne chanteras !

Je m’immobilisa. J’avait évidemment peur, mais aucune circonstance ne m’avait jamais empêché de faire de l’humour.

- Oui oui, je ne bouge plus, mais bon vous savez, on a rarement vu un promeneur agresser quelqu’un… Et puis me menacer c’est en train de devenir une manie, vous me faites pensez a cet ivrogne de garde qui pas plus tard qu’hier…

- Silence ! Tu parles tellement que je n’arrive pas à réfléchir… Et puis le coup du voyageur qui se ballade tranquillement ça sent le coup fourré à plein nez, tu as forcément quelque chose à cacher.

- Quelque chose à cacher? Moi? J'ai donc tant que sa une tête de touriste? Plus sérieusement, je ne viens pas des cités; je m'y rends! J'ai passé des semaines affreuses en clandestin sur un navire d'esclave, et croyez-moi, ce ne fut pas facile de s'y échapper! Au fait vous pourriez éloigner ce coupe-chou de ma gorge, cela n’est vraiment pas pratique pour parler.

L’inconnu abaissa son épée. D’une main, il rabattit sa capuche en arrière et dévoila son visage

Deux jours plus tard, la chaine au cou et avec un œil au beurre noir, je me trouvais sur une place de marché, la réalité était là: j'étais devenu esclave.