Utilisateur:Skarin

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Vous consultez la fiche d'un personnage reparti dans l'ancien monde.

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Informations RP
Genre
Homme
Année de naissance
Rang


Famille






Métier
Métier
Compléments








Informations HRP
Login Minecraft
Skarin84
Prénom IRL
Alexandre
Âge IRL
20 ans





Caractéristiques

  • A perdu son village alors qu'il avait 20 ans
  • A était recueilli par un Erudit
  • Sait lire, écrire et compter
  • A voyager très longtemps
  • Frère de Melio Felicitas

Description

Skarin est une personne proche de la cinquantaine, on peut le marquer par sa longue chevelure devenue grise ainsi que sa barbe. Malgré tout, ses yeux bleue et ses muscles ont sut garder la même vigueur que dans leurs jeunesse.

Skarin est un homme patient, méticuleux et organiser.

Talents

Skarin à voyagé longtemps au coté de l'homme qui l'avait recueilli. Il fut rapidement intéresser par les différentes structure et méthode de construction a travers le monde. Aussi il en appris toute les ficelles.

Étant sous la tutelle d'un homme de lettres, Skarin appris a lire écrire et compter

Défauts

A cause de l'attaque de son village, Skarin est craintif de son prochain, aussi, il cherchera a avoir des relations social que rarement.

Skarin est aussi un homme maladroit. Il oublie souvent des petite choses qui aurait pu lui faire gagner du temps et parfois de l'argent.

Il est aussi têtu, et il sera difficile de lui faire changer d'avis

Histoire

Avant Esperia

Il me semble que c'était le cinquième ou sixième jour le plus froid de toute ma vie, à l'époque je venais de passer ma vingtième année et mon petit frère Melio obtenait sa dix-huitième année ce jour précis. Comme la coutume locale le voulait, le passage à l'age adulte donnais lieu a une fête ou l'alcool coulait a flot. Ennuyé par l'euphorie étouffante, je partis seul me reposer l'esprit au bord de l’océan. Allongé, loin de la chaleur des corps et de rires oppressants, voila où était ma place.

Après plusieurs minutes, un bruit grave et lointain se fit entendre. Je relevais la tête brusquement, cherchant l'origine des cris qui m'avait tiré de ma tranquillité. En scrutant l'horizon, je découvris vaguement les formes d'un navire. Une voix rauque et grave beuglait des ordres, mais j’étais trop loin pour en distinguer les mots.

Je restait assis là, à observer ce bâtiment approcher lentement de la côte ou je me trouvait, inconscient de quelconque danger. Arriver à une certaine distance, je pus découvrir avec horreur le drapeau qui ornais le mât principal du navire. C'était des Écumeurs,les habitant de Lig Ocolide. Je le savais, car un jour un vieux pécheur nous avait raconté que plus loin dans les mers, vivait un peuple avide de sang et de richesse, il nous avait mis en garde et avait dessiné leur emblème, pour pouvoir le reconnaitre et ainsi mieux fuir.

C'est ce que je fit sans tarder, me levant d'un bond je me tournait en direction du village, et la je compris : L'immense feu de la fête indiquait notre position à des lieux a la ronde. Les Écumeurs se dirigeraient ici en premier, avant de continuer à piller les autres village côtiers.

Je couru alors de toute mes forces en direction de mes compagnons. N'étant pas très sportif je fus rapidement essoufflé, néanmoins je puisai toute les ressources nécessaires pour assurer une course rapide et constante. Mais arrivé à mi-chemin, une douleur épouvantable me traversa la jambe et m'immobilisa immédiatement. Cloué au sol, je respirait à en perdre haleine, des larmes coulèrent sur mes joue, je soulevait mon pantalon fait de vieux tissu raccommodé. Les 2 trous au niveaux de ma chevilles saignait, mon sang avait une couleurs verdâtre. En relevant la tête j’aperçus le responsable de tout sa, un énorme serpent, ses yeux jaune me fixait, comme s'il attendait un comportement dangereux de ma part, du poison vert coulais encore de sa bouche.

"Allez, plus vite !! Ne perdons pas de temps !!". Les cris me détournais du regard hypnotique du reptile. je pus voir la lune refléter dans les lames des assaillants, ceux-ci se rapprochaient dangereusement. Je jetai un dernier coup d'œil à l'animal, le maudit et reprit ma course. Au sol, j’eus le temps de reprendre mon souffle et bien que la douleur se fit ressentir, elle était supportable. Les bruits derrière moi m'encourageais à aller plus vite. Je me sentait comme une poule fessant la course annuelle du village, les paysans menaçait de couper la tête de l'animal pour que celui-ci aille plus vite. Je chassais cette pensée de ma tête et avant de m'en rendre compte j’étais arrivé a l'entrée de mon village.

La douleur de ma jambe se fit plus forte, mais aussi plus profonde, je sentais maintenant que le poison commençait a faire effet, je mis genoux a terre et jura à haute voix "Maudit poison ! et maudit serpent ! si prés du but". En effet, étant jour de fête, tous le monde était rassemblé au centre du village, et je me trouvé a sa périphérie. Je tentais désespérément de me relever, en vain, ma jambe était paralysée. Je commençais alors a ramper sur le sol, avec toute la force de mes bras, mes ongles raclaient la terre et je m'aidais parfois de mes dents pour me donner de la vitesse. Et la, je vit enfin mon but, au coin d'un bâtiment, la lueur des festivités était la.

J’arrivais enfin a l'orée de la foule, une femme me remarqua et cria, tout le monde se tourna maintenant vers moi et plus aucun bruit ne venait perturber mon crâne.

" Des Pirates ! ils arrivent ! " J'avais craché ces derniers mots avec mes dernière forces. Le tavernier, chope à la main avec son contenu qui coulait sur sa barbe répétât les mots :" Des Pirates ? Ils... " La lame qui lui traversa la gorge viens lui couper la paroles. L'homme derrière lui, couteaux en mains hurla de toute ses forces pour commencer le pillage. Je tournais les yeux vers Melio, celui ci regardait l'homme derrière moi, qui m'asséna un coup au milieu de la tête. Je perdis alors connaissance...

J'ouvris les yeux, ma tête me fit affreusement mal et je ne sentait plus ma jambe empoisonnée. Je mis ma main dessus pour vérifier qu'elle ne fut pas coupée. Un choc se fit ressentir à ma droite, je tournais lentement la tête, c'était le pied d'une canne, qui s'était posé à quelques centimètres de mon visage, je levais alors les yeux vers l'autre extrémité. Je vis un homme encapuchonné dans des beaux habits, il tendit une main vers moi en prenant appui sur sa canne. La fatigue reprit le dessus et je retomber dans l'abîme.



Mon maître m’emmenais toujours avec lui lors de ses voyages, il me disait que c'était le seul moyen pour connaitre au mieux le monde dans le quel nous vivons. Cela fait maintenant 3 jours que nous voyageons et nous arrivons enfin à destination : Une ville frontalière du peuple Nordique. Mon maître me mis en garde concernant ce peuple que je n'avais encore jamais eu l'occasion de rencontrer. -" Le peuple Nordique est un peuple fier et très croyant, cependant ils vivent encore avec un système primitif" -Pourquoi donc ? " Il me toisa du regard. "- Réfléchis ! La montagne est l'une des facettes de la nature qui ne peut être dominée. Aussi il est très difficile de voyager jusqu'ici. Tu ne te rend même pas compte de la chance que nous avons d’être arrivés ici en vie." En effet, je ne me rendais pas compte, ayant toujours voyagé à ses cotés depuis qu'il m'avait recueilli à moité mort parmi les cadavres et les décombres... Il me donna un coup avec sa canne, ce qui me tira de mes pensées. "Cesse de rêvasser ! Et tiens toi sur tes gardes, bien que le climat est froid, les Nordiques on le sang chaud."

Je continuer a marcher à ses coter, plus nous avancions dans le village, plus je fut frappé par l'architecture typique des Nordique. Tout leurs bâtiments était construits en bois, même de l'extérieur, l'on pouvais deviner que le bois utilisé était très épais et résistant. Les toit étaient fait de peaux, de fourrure et parfois de paille. Pour les plus gros bâtiments, le toit était aussi en bois, avec une forme très pointue " Surement pour éviter que le poids de la neige ne fasse s'écrouler l'édifice."

Nous arrivâmes devant l'entrée d'une taverne. Mon maître me précisa que nous passerons la nuit ici avant de continuer notre route qui sera plus dangereuse, car nous pénétrerons dans le pays de l’hiver éternel comme l’appellent ses habitants. L'antre était mal éclairé et une forte odeur inconnue me frappa, nous nous installâmes dans un des endroits reculés de la taverne. Le propriétaire s'avança vers nous, il ne nous avait pas quitté des yeux depuis notre arrivée. Sans dire mots, mon Maître leva deux doigt, et le tavernier reparti pour sans doute aller chercher notre commande. Il revint rapidement, avec deux énormes chopes a la mains. Il les posa brutalement sur la table, de la bière m’éclaboussa le visage. Je m’apprêter a répliquer mais je me souvint des mise en garde de mon tuteur. Mon Maître posa deux pièces sortit de l'une de ces poches.

Je mit chope a mes lèvres, et gouta au breuvage. Son gout me frappa, a vrai dire, je la connaissais déjà, oui sa y est, cette boisson et la même que dans mon village natal. Le breuvage me rappela d'infinie souvenir de mon enfance, toute ces personne tuer, mes parents, mes amis et mon petit frère...

Je relevais la tête, mon Maître m'observer d'un œil étrange. "-Tu pense encore à ton village natal ? - Oui, la où vous m'avez trouvé et recueilli. - C'est vrai, c'était lors d'un de mes voyages pour trouver une plante médicinale rare. J'ai abandonné ma quête pour te sauver la vie, petit." Me dit-il en souriant. "-J'ai bien grandis depuis 10 ans, et beaucoup appris, je vous doit tout en y réfléchissant. - La connaissance est le but de chaque homme, je pense que chacun doit répondre à certaines questions, et nous mourrons une fois toutes les réponses obtenues. - Vous Maître, ne savait donc pas tout ? - Haha, bien sur que non mon jeune ami. Ne te fie pas au apparence, un âge avancé ne signifie pas que les connaissances le sont aussi." Il but sa chope d'une trait, j'en fit de même, pour prouver que je pouvais en faire autant que lui. Il me sourit, constatant combien j’étais encore jeune. "- Allons nous coucher, demain une rude journée nous attend et notre pire ennemi sera le froid." Je suivie les ordres de mon Maître et nous allâmes tout les deux dans la chambre qui nous était confiée. Je m'endormis aussitôt, pressé de repartir en voyage afin d'améliorer mes connaissances .


C’était une nuit sans lune, je me trouvais dans mon atelier que javait hérité à la mort de mon Maître, en train de dessiner un nouveau plan pour un client particulièrement exigeant, embêtant, à vrai dire. Le budget de celui-ci avait était dépassé mais le client tenais à avoir une poutre en bois exotique, ce qui coutait très cher.

Ma réflexion s’arrêta, un bruit sec venait de se produire dans la pièce d’à coter. Je me lève alors pour en trouver l'origine. Je pénètre dans ma pièce d'archive, c'est la que j'entrepose tout mes documents ainsi que certain objet précieux. Je scrutais la pièce du mieux que je pus, mes yeux ne s'étant pas encore habituer a la pénombres. Un autre bruit vint m’interrompre dans mes recherches, quelqu’un frappait à ma porte. Étonné d'avoir de la visite si tard, j'allais néanmoins ouvrir. Sur le palier de ma porte, se trouvait trois hommes en armure, trois gardes de la cité armées de lances et d'épées. " Mr Felicitas, un homme a été vu en train de s'introduire chez vous. Nous allons pénétrer dans votre demeure pour maitriser ce voyou, des objections ? - N Non" répondis-je étonné. Je savais qu'il ne fallait pas tenir tête au gardes de la cité, ils avait la réputation d’être brutales et impitoyables. Ils entrèrent un à un, à chaque passage une odeur plus forte d'alcool se dégageais de leur armures. Ils investirent rapidement toutes les pièces, j’eus à peine fermé la porte d'entrée que des bruits de coups se firent entendre. Deux des gardes sortirent de la pièce des archives avec un troisième individu vêtu de noir. Ils passèrent devant moi rapidement et quittèrent ma demeure.

Je rejoint le troisième garde qui se trouvait dans mon bureau. Il avait un de mes documents sous la main et était en train de le lire. Sans bouger la tête il fit de rapide aller-retour avec ses yeux entre moi et le documents.

Le bois exotique du client, s'il est aussi cher, c'est parce qu'il est illégal car toxique, mais le client a pour ordre de le désinfecter avant de l'utiliser. C'est cela qui intriguais le garde. " - Il y a un problème Monsieur ?" m'inquiétais-je " - Oui, le problème est votre client et son poison redoutable ! " - Poison ? De quoi parlez vous ? " - Votre client à était arrêté il y a 2 heures, pour tentative d'attentat. Il a stocké le poison de ce bois et voulait le répandre dans les réserve de nourriture." Maudit soit mon métier qui me prend tellement de temps que j'en oublie de m'informer. " - Skarin Felicitas ! Je vous arrête pour complicité et trahison ! De tels crimes vous feront croupir le reste de votre misérable vie en prison ! " Il sauta sur moi si rapidement que je ne put réagir et m’assomma d'un coup.


Un choc me tira de ma torpeur, un individu a était jeté sur moi, je ne savait pas s'il était mort ou vivant. Je poussait un long gémissement de douleur, puis la mémoire me revint, le cambrioleur ainsi que mon injuste arrestation. J'ai voulu me lever, mais de solides chaines me maintenaient assis au sol. L'homme sur moi fut relevé par une brute épaisse qui laisser voir tout le haut de son corps sans aucune pudeur. Il posa l'individu, en tailleur et enchaina ses mains au sol, avec une chaine prévue à cette effet.

J'observais notre prison pour déterminer dans quelle partie de la ville nous étions. J’étais architecte de profession et je connaissais chaque bâtiment de la ville. Cependant de toutes mes connaissances, aucune ne me fût utile, je ne savait pas ou nous nous trouvions. Soudain la pièce se mit a bouger. " - Bon sang, mais qu'est-ce qu'il se passe ici ? - Arrête de paniquer, nous sommes dans le navire d'esclave pour le nouveau monde. Je sais que la destination est Esperia" me répondit l'homme que l'on avait jeté sur moi plus tôt. "- Esclave ? Le Nouveau Monde ? Esperia ?" C'était un cauchemar, je ne pouvais pas me retrouver si rapidement dans une telle situation. J'allais devenir esclave dans une terre pleine de danger. "Vous vous êtes fait mordre ? " Il me posa cette question calmement en me regardant droit dans les yeux. Je repensais alors à ma blessure sur ma jambe, celle faite le jour de l'attaque de mon village natal. "-Oui, comment le savait vous ? - J'ai aperçu votre cicatrice alors que l'on m’emmenais hors de votre demeure. - C'était vous ! - Oui c'était moi, voleur de profession, si l'on peut appeler sa une profession. C'est un serpent n'est ce pas ? - Pardon ? - La blessure, c'est une morsure de serpent ? - Oui, en effet, j'ai été blessé lors de mes 20 ans, le jour ou mon village natal fut détruit. - Votre village détruit ?" Il hésitât un moment " Le mien aussi fut détruit, par une bande de vulgaires pirates " Skarin écarquilla les yeux. " - Par des Écumeurs, le jour de vos dix-huit ans ?..." L'individu, coupa sa respiration, et me fixa longuement. Puis dans un souffle il prononça : " - Ska...Skarin ? - Melio ?"

Premier Jour

Lors de son arrivée, il a été vendu comme Esclave à Marcus Loinvoyant.

Vivre a Esperia

Skarin à était affranchie le 08 Mai 512