Utilisateur:Skrimferst

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     Skrimferst
Informations RP
Genre
Homme
Année de naissance
Rang
Esclave de







Métier
Métier
Compléments







Informations HRP
Login Minecraft
Skrimferst
Âge IRL
17 ans



Informations Diverses
"Honneur ou loyauté, le vie est un chemin sans fin."


Résumé du Joueur

HRP

Inscription à Minecraft : 2010

Inscription à Esperia : fin août 2012

Personnage

Nom : Skrimferst

Alias : Skrim le rodeur

Famille :

Quartier :

Métiers : Chasseur, pécheur

Description

Jeune Homme, habile a l'arc depuis son enfance. Orphelin dès la naissance à cause du décès de sa mère a la naissance et de son père mort dans des conséquences encore inconnu.

Recueillit chez les moines du mont Adaar, il fut peu éduqué a cause de sa fuite très jeune et de sa survit dans les montagnes à la faune et flore hostile a un enfant si jeune, mais il survécu par la bénédiction de Arbitrio dont il croit fermement.

Il a un grand respect envers la religion d'Arbitrio et refuse toute autre religion comme celle des Nordiques. Il est aussi respectueux envers la hiérarchie mais préfère vivre dans la nature, en solitaire. il sait suivre les traces du gibiers et ces connaissances en tant que pécheur lui permettre de survivre lors des saisons trop chaudes ou quand les vents Nordiques font rage. Son sang de pur montagnard lui confère la malheureuse habitude d'aller a la taverne trop souvent lorsqu'il traverse une cité.

Talents

Habile à l'utilisation d'arc pour aller chasser, il sait aussi pêcher et se déplacer silencieusement.

Qualités

Patient, calme et vif d'esprit il aime venir en aide au religieux dans le besoin.

Défauts

Solitaire et un peu froid envers les habitants des villes il préfère ne pas trop discuter longuement et ne s'attarde pas sur des sujets de conversation sans importance.

Ennemis Déclarés

Amis Déclarés

Histoire

L'Ancien Monde

Jeune Homme, habile a l'arc depuis son enfance. Orphelin dès la naissance à cause du décès de sa mère a la naissance et de son père mort dans des conséquences encore inconnu.

Recueillit chez les moines du mont Adaar, il fut peu éduqué a cause de sa fuite très jeune et de sa survit dans les montagnes à la faune et flore hostile a un enfant si jeune, mais il survécu par la bénédiction de Arbitrio dont il croit fermement.

Il a un grand respect envers la religion d'Arbitrio et refuse toute autre religion comme celle des Nordiques. Il est aussi respectueux envers la hiérarchie mais préfère vivre dans la nature, en solitaire. il sait suivre les traces du gibiers et ces connaissances en tant que pécheur lui permettre de survivre lors des saisons trop chaudes ou quand les vents Nordiques font rage. Son sang de pur montagnard lui confère la malheureuse habitude d'aller a la taverne trop souvent lorsqu'il traverse une cité.

Esperia

Un vulgaire et misérable esclave en route vers Esperia pour y être vendu.

Récit

Récit autobiographique

Et oui, je suis restais neuf mois... neuf mois dans l’obscurité, entouré de sang et de chaleur. Le temps passe et j'ai me développe, plus rien n’arrête ma croissance, mon esprit se façonne. et voila qu'enfin une lumière, une lumière intense pour mes yeux habitués a l'obscurité. je suis ébloui et je ne vois pas mon agresseur, mais ou suis je ?

On me touchait et je ne comprenais pas ce qui m'arrivait. Quand tout a cou je ressenti une violente douleur sur mon ventre et un sentiment de manque m'envahi, j'avais faim, j'avais soif...

J'étais né.

Ma naissance fut difficile, autant pour moi que pour celle qui me mis au monde, une vie contre une vie, telle est la volonté des Dieux... Je pris celle de ma mère pour vivre. Injuste me direz vous ? oui peut être mais moi qui n'a jamais connu mes parents, je suis là, en vie et en parfaite santé.

Je profite de ma vie a ma façon, sauvage pour certains et chanceux pour d'autres. Mes journée sont le plus souvent les mêmes. Je me lève à l'aube où le soleil illumine les vastes terres d'une lumière orangé, ressentant la fatigue d'une nuit toujours sur le qui-vive a cause des bêtes sauvages, je ramasse mon équipement étendu au sol, je range ma dague sur le coté droit de ma jambe et mon arc en main, j'éteint les braises du feu encore chaude et je pars chasser le sanglier des montagnes. Sous un ciel bleu pâle je longe la piste du gibier à travers les étendu fertiles des vallées, suivre sa proie dans ces régions entourées de ces gigantesque chaîne de montagne qui sépare les territoires du Nord aux vastes et fertile plaines aux climats tempérés ne sont pas choses aisés. Cherchant les traces et les pistes d'animaux, je parcours de longues distance à l'affût de la moindre trace. Je me rappel une fois où je découvris une clairière fraîche et lumineuse, dût au brouillard qui sont assez courant dans ces vallées. Je vis un sanglier en train de creuser dans le sol à la recherche de graines probablement. Il avait un pelage variant du gris clair au noir et quand tout a coup, il se retourna et essaya de ma voir de là où j’étais allongé au loin... Il resta immobile plusieurs minutes a scruter et écouter les moindres bruits. Je fus pétrie d’angoisse à l’idée de faire face a ce sanglier si il décida de charger et puis le temps passa encore et Je devina qu'il savait que j'étais là mais mon silence absolu leur donna l’impression que j’avais quitté les lieux depuis un bon moment et il se remit a sa besogne quotidienne. Je pris mon arc silencieusement ainsi qu'une flèche de mon carquois et la tendu sur la fine corde. L'arc enfin tendu et prêt a tirer, je patienta encore une dizaine de secondes à être sûr de pouvoir atteindre ma cible en fonction de la douce brise qui me caressé le visage et de la distance. La flèche siffla et atteignis l’animal avant qu'il est pu réagir. L'animal touché à la jambe s'écroula encore en vie au sol, je m'approcha en douceur, connaissant le danger et le caractère imprévisible des sanglier sauvages. Je me jeta brusquement sur l'animal pour le bloquer au sol et mis fin a ses souffrance en utilisant ma dague. Après une courte prière et remerciement de mère nature je le dépeça et pris les morceaux de choix [...]. Si la journée ne s'annonce pas aussi fructueuse ou si la saison trop sèche ou trop glacial a fait fuir les troupeaux sauvages, je me contente de pêcher sur les rives de l'Heimild qui tire sont eaux des sources des montagnes entourant la ville-forteresse de Golvandaar. De nombreux villages et villes ont germé dans ces montagnes aux richesses minières étonnante. Je m'y aventure que rarement quand je manque de nourriture ou quand mon stock de Koilstkä est vide. Ma faible éducation dans les monastère du mont Adaar et ma fugue mon poussé a vivre ainsi, comme un rôdeur sans famille, sans attache...

La solitude est mon seul ami mais Arbitrio est la seul choses en qui je crois fermement.

Vent Nordique

Comme chaque années, après les sept pleines lunes qui suivent la saisons froides dût aux vents glacé nordique, les vents changent et de puissants vents chauds et aride soufflent en Autarcie. Même un rôdeur confirmé de mon sang ne peux résister aux blizzard mortel,qui brûle la peau a en faire congeler les plus rudes. je suis donc contraint de rejoindre un des nombreux villages qui nichent au fond des vallées a l’abri des vents, où l'eau abonde toute l'année.

Mon armure en fourrure et en cuir ne me protégeant pas suffisamment,je me réfugie donc dans une auberge ou grange a foin la plus accueillante, avec le maigre butin d'or qui me reste:

- Un chambre, aubergiste ! articulais-je faiblement, avec la gorge qui me brûlé a cause du froid.

- Tout de suite, me grommela t-il en me jugeant du regard.

- Ainsi qu'une bière et d'un bon paquet de Koilstkä pour 5 pièces d'or.

- Voila voila, je reviens, répondit-il avec un accent montagnard assez prononcé.

Je me retourna pour observer la salle et le bar de la taverne pour passer le temps. De nombreux personnages plus ou moins fêtard et saoulent trônés sur leurs chaises en criant, le tavernier ne tarderait pas a les jeter dehors je pense. Tout ce monde, tout ces bruits m’insupportait et je décida de m'installer a une table assez éloigné prêt d'une fenêtre pour contempler au loin les montagnes au sommet enneigés. - Humm, a la prochaines pleine lune, les vents glacés se calmeront et je repartirais enfin... murmurais-je pour moi même.

Le tavernier refit son apparition et s'approcha de moi les mains pleines de mes commandes. Il déposa le tout sur la table en face de moi et a mon plus grand regret pris un tabouret et s'assit en fasse de moi en soufflant de sa rude journée de travail.

- Alors jeune homme, je ne t'es jamais vu auparavant, qu'es qui t’amène dans ce coin perdu?

Je me décida de lui accorder un maigre regard pour lui faire comprendre que je ne voulait pas perdre mon temps avec de futile question. Malheureusement il se refusa de quitter sa place et dit:

- Vous êtes jamais très bavard vous les rôdeurs, détestable et toujours aussi froid, digne de rejoindre les Écumeurs.

Toujours indifférent à ces remarques, il se leva et fit demi tour. Comme prévu il mis dehors les deux hommes ivres. Oubliant ce léger incident, mes pensée voyagèrent a travers les âges et je me mis en quête de ranger mes macarons encore chaud dans un morceau de cuir et bus ma bière d'une traite.

La fatigue ne voulant toujours me faire signe je m'obligea quand même a m'endormir, pour finalement sombrer dans un sommeil sans rêve, la main sur mon couteau de chasse et l’oreille toujours en éveil.

Un Ecumeur a Huratelon

Lors d'un bref passage à Roskilde pour me ravitailler, je croisa un homme qui implorais de l'aide dans la rue. Il faisais pitié, il était mal vêtu, les rides couraient sur son visage difforme et le froid lui brûler la peau. Je m'approcha discrètement pour écouter ce qu'il demandait. En me voyant approchait il m'expliqua faiblement mais clairement son désir et il me parla d'un de ces fils enlevé par des écumeurs près du lac La Ciefersee à l'ouest de Huratelon:

- Et pour quelle raison je vous aiderez vieillard?

- Ayez pitié, d’une âme perdu, mon fils était en apprentissage pour devenir moine a Golvandaar, me répondit-il.

Malgré mais caractère froid et solitaire et ma fugue de jeunesse du monastère du Mont Adaar je ne peux nier mon attachement a ces moines qui m'avait recueilli et permis de vivre. Es que aider cette homme pourra me faire pardonner mes erreurs de jeunesse? Arbitrio sera t-il clément envers moi?

- Je partirai a sa recherche, je ne réclamerai aucune récompense et je disparaîtrai avant dans avoir l’occasion.

Satisfait le vieil homme ma conta en détail son histoire, et je parti sur le champ en direction de Huratelon. Le voyage fut rapide en suivant les rives de l'Anel jusqu'au lac. Une fois arrivé, je me dirigea vers le petite patelin portuaire au bord du lac que l'homme m'avait décrit. Les gens étaient pour la plupart de pauvres pêcheurs ou paysans du coin. Quelques choses m'attira le regard, en effet parmi les bateaux marchand ou de pêches amarrés au port, il y en avait un Galère qui s'imposait par sa grandeur dans ce minuscules port. Je décida d'attendre la nuit pour aller explorer cette galère discrètement. Je me réfugia a l'abris sous un toit d'une ruelle étroite et sombre de la pluie qui commençait a faire son apparition.

La nuit tombait je sortis de mon refuge et m'approcha du bateau toujours à quai et je m’élança dans l'eau qui c’était rafraîchit avec la tombée de la nuit. Je mis quelques secondes a m’habituer a cette humidité mais je continua mon exploration. Je fis le tour du navire en douceur pour ne pas avertir les mercenaires présents à bord. Par chance, des cordes mal accrochés au rives du port pendait tranquillement dans l'eau calme du lac. Je profita de cette occasion pour grimper le long de la coque extérieurs et monta a bord derrière les gardes qui faisait leurs rondes incapable de me repérer a cause de leurs esprits à moitiés ivre.

je me glissa par l'écoutille et vis exactement ce que je ne pensais auparavant en écoutant le vieil homme de Roskilde. Les cales du navire étaient remplis de trésors et de cages d'esclaves en piteux états. Je me fis encore plus petit et je me glissa a travers la pièce a la recherche du jeune homme recherché. Plusieurs fois je pensais l'avoir trouvé mais je me trompé, je poursuivis mes recherche parmi les différentes cages sans m'occupé des regard que le esclaves me lancés. Mon corps se figea brusquement alors que me faufilais entre plusieurs grosses malles pleines de pains sec et de cuves d'eau plus ou moins potable, une douleurs intense fit son apparition dans le dos, je senti mon corps se glacer et j'eu a peine le temps d'apercevoir mon agresseur avec le sourire au lèvres. A ce moment, je compris que sa ma vie ne s’arrêterait pas ici, je finirais comme tout les esclaves emprisonnés ici...où je serai vendu, ramené à Lig Ocolide ou encore envoyé dans un endroit inconnu.