Utilisateur:Sphalt

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Vous consultez la fiche d'un personnage reparti dans l'ancien monde.

     200.png
Informations RP
Genre
Homme
Année de naissance
Rang
Esclave de



Quartier




Métier
Métier
Compléments








Informations HRP
Login Minecraft
Sphalt
Pseudo
Sphalt
Prénom IRL
Mancier Martin
Âge IRL
15ans





NOM DE VOTRE PERSONNAGE

Sphalt Godmart

Description

Sphalt n'a pas un physique trés facile avec ces cheveux brin, décoiffés et poisseux ainsi que sont visage couvert de terre à cause des travaux dans les champs boueux. Mais sa lui a permit de le rendre plus fort mentalement et de se forger un caractère malgré le violent choque émotionnel qu'il a reçu l'or de la mort de sa mère. Il est souvent mal vêtu avec de vieux bout de chiffons car ces moyens ne lui permettes pas de ce payer des vêtements acceptable malgré la sueur de son front. il mesure 1 mètre 75 ce qui est pas mal pour ces 18 ans.

Compétences

  • 25px-Diamond (Ore).png Minéralogie: Sphalt est un fou de la science particulièrement quand il s'agit de minerais et de pierres précieuses.
    • 619.png Orfèvre: il possédait de nombreux livres sur les pierres précieuses, sans compter sa tante qui était Orfèvre depuis sont adolescence.
    • 391.png créativité: Il en faut de l'imaginations pour être Orfèvre, surtout quand on est jeunes !
    • 166.png minutie: Sphalt à toujours été minutieux malgré sont travail difficile de paysan.

Talents

Calme d'esprit, courageux, Fairplay

Défauts

Se croit le plus fort, Bavard, se mêle de ce qui ne le regarde pas (les défauts d'un jeune insouciant quoi !)

Intérêts culturels et goûts

Sphalt est un grand fou de politique pas parce-que sa lui plait , non! Mais pour le pouvoir ! Bizarrement il croit au fantôme et autre esprit frappeur, si il voit une chaise qui se déplace toute en se cognant contre la commode sa ne l’étonnera pas. Son seul intérêt dans sa vie est de suivre les pas de sa tante et de devenir Orfèvre comme celle-ci. Il n'est pas très alcool plus "jus de pomme" diront nous ...


Amis déclarés

Ennemis déclarés

Histoire

-"C'était ... C'était il y a 13 ans la où tout a commencé, ou plutôt que mon malheur et mon histoire ont commencé... A l'époque, Quand ma mère était toujours vivante. Nous vivions sous une forme de vrai paix au sein de notre petite famille de paysans sans richesse. Mon père Marmalt s'occupait des récoltes , il faisait les meilleurs tomates de tout le village! Tout le monde les adoraient ! Ma mère Yorda s'occupait de la couture , et papy le valeureux (c'est comme que je l'appelle moi "papy le valeureux" mais sinon c'est Papoult le valeureux) s'occupait de me lire des petites histoires avant d'aller me coucher. Mais un jour l'or d'une nuit d'orage , alors que la grêle frappaient avec assistance sur la petite vitre de ma chambre , un cri... Un horrible cri. Comme celui de ma mère, se faisait entendre ! Je sorti de ma chambre, armée de mon petit couteau de cuisine, que j'avait prit dans une épicerie la semaine dernière pour jouer au voleur . j'avançais avec une peur horrible . Le genre de peur qui vous fait peser 10 tonnes, Dont vous êtes cloué sur place. Une foi dehors j'avais vu une personne disparaître dans le noir, traînant un cadavre couvert de sang avec ses mains ridées et noir comme le charbon. C'est alors que je me réveilla en sursaut . Mes mains tremblaient je touchais mon visage pour voir si j’étais bien réveillé , "Ouf ! Oui ... Ce ... Ce n’était qu'un cauchemar... Un terrible cauchemar !" Il me fallut un bon dix minutes pour me calmer, évacuer toute ces émotions et ces pensées qui se bousculaient dans ma pauvre tête. Je descendis pour prendre mon petit déjeuner. Tout les matin , comme d'habitude je m'attendais à ce que papy me dise : "Alors l'tit gamin! T'as bin ronflé cette nuit dit donc !" ma mère qui me prépare un bon petit pain au tomates et papa déjà dans son potager entrain d'arroser celles-ci. Je descendis les marches une par une, avec le craquement de chacune d'entre elles . Bizarrement c’était bien calme, papy n'hurler pas , je n'entendais rien cuir sur le feu de la casserole, je découvris bientôt l'origine de ce silence ... Une foi descendu je vit le corp de ma pauvre mère au sol couverte de sang et de dix-huit traces de coups de couteau au visage. Tout le monde étaient penchés sur son corp sans vie. Paralysé ... mort de peur , j'entendais les sifflements des cloches de la mort résonner dans ma tête. Je me mis à m'écrouler sur le sol, sans connaissance , sans vie , sans âme , sans mère ..."


-"J'aurai pus me contenter d'en rester la ... Sans mère, sans avenir. J'aurais pu m'en remettre ... Mais Arbitrio en a voulut autrement.Une fois réveillé je me trouvais dans une espèce d’hôpital. J'avais la tête qui tournait et je ne pouvais plus marcher du tout j’étais comme paralysé. J'utilisais le peut de force qui me restais pour tourner la tête et voir allongé sur un lit couvert de sang, le visage caché, ma mère. Mais dans mon état je ne l'ai même pas reconnu j'avais comme eu un "lavage de cerveau" plus rien .. rien ne me revenait à l'esprit ... J'étais perdu ... Mes souvenirs c'étaient sauvés, les bons, comme les mauvais. C'était comme si j'étais né de la dernière pluie. Cette personne qui était sur ce lit ne m'évoquais plus rien, c'est comme si je n'avais jamais connu l'amour d'une mère ! Et maintenant je ne pourrais jamais plus connaître cette amour ! (Sphalt laissa échapper une larme) (Tous les esclaves garde le silence devant cette enfant en pleur) "...Jamais ... Jamais je n'aurai pu croire que cela arriverait à moi ... A ma vie pourtant si paisible ...détruite. C'est avec une canne en bois pour m'aider à marcher, que je suis rentré avec mon père à la maison. Comme je n'avais jamais connu l'amour de ma mère, retourné dans une maison dorénavant froide avec des parents aussi désespérés et froid que cette vieille demeure, ne me faisais plus rien, vu que je n'avait donc jamais connu d'endroit chaleureux , seulement le désespoir. Le lendemain c'était dans les champs que je me suis retrouvé afin de cueillir les tomates dorénavant grise comme le coeur de mon père. Marmalt ne supportait plus le bonheur car il avait trop peur de le perdre une fois de plus, pour lui il devait vivre dans la douleur afin de ne plus connaître les joies si vite perdu. Il assuma que cela devait être pareil pour moi . Me laissant travailler jour et nuit , quand il pleus , quand il neige , et quand le vent se déchaîne. Mes mains étaient rouge sang et noir comme le charbon, ce travail aussi exténuant que blessant je le faisais jour et nuit, avec un malheureux bout de pain sec et de l'eau croupi. Ma chambre avait était détruite pour laisser place à un cachot. Souvent je me demandais pourquoi, mais pourquoi j'avais été mis au monde.


"Mais le pire était à venir ... Un soir alors que j'étais couché dans mon petit cachot avec deux petits rats très sale. J'entendis un bruit, un son régulier, comme un bruit de pas. Ce n'était pas celui de mon père, le sien était plus hésitant, plus... Distrait. Celui-la était rapide, vif. Je m'étais réfugié au fond de la salle dans le coin sombre de la pièce. La porte de ma cellule s'entrouvrit laissant apparaître le visage noir et tatoué d'un homme au regarde décidé et cruel. Le mien se tourna tout d'abord sur sa main ridé et noir comme le charbon. Comme le rêve que j'avais fait autrefois, se souvenir m'étais revenu. Il se dirigea vers moi en courant, me saisi par la poignée et me tira de toute ces forces hors de la salle. Ne me laissant pas faire je pris un petit pieux que j'avais toujours dans mon pantalon. J’essayais de lui donner un coup dans son bras, mais il saisit mon arme et la balança à terre en me disant: "Tien toi tranquille sale gamin !" Je ne pouvais rien faire. Je n'avais d'autre choix que de me laisser enmmené. Il me faisait monter les marches si vite en me tirant le bras que j'ai crus qu'il allait me l'arracher. en haut, je vis mon père allongé par terre maîtrisé par un autre homme. ils m’enmenèrent dehors ou je vis par la vitre mon père en pleur en me voyant partir une seconde fois. La dernière fois que le l'ai vu comme cela c'était au moment ou ma mère avait succombé, mes souvenirs étaient revenus, la personne dans le lit sanglant à l’hôpital, était le corp de ma mère défunte ... Je me suis souvenu aussi de la gentillesse de mon père. Qu'il n'était pas toujours aussi cruel et le voyant pleurer me faisais rappeler les bons moments qu'on avaient vécuent ensemble et surtout qu'il jouait la comédie depuis tous ce temps ... Pour me protéger. Tous ces souvenirs revenus en même temps les bons comme les mauvais, finissaient de m’assommer de sentiments. Quand je repris mes esprits j'étais enchaîné sur un mur, trois personnes devant moi. Ils ricanaient en décidant de mon sort. Il parait qu'a Esperia les peines des crimes sont divisées en fonction de l'âge du criminel. Comme je n'avais que 18 ans ils en arrivèrent à la conclusion de m'envoyer à Esperia pour commettre un meurtre... Le meurtre de leur ancien chef devenu bûcheron sur le nouveau continent. Pour eux le seul moyen d'arriver sur les terres d'Esperia était de se faire capturer par Gwylonna en tant qu'esclave. Ils devaient donc me faire passer pour un criminel pour qu'elle me chope. Il fallait que je commette un crime n'importe lequel, du moment qu'elle me trouve. Ils ne voulaient pas que je fasse dans la douceur ils me disaient:" -"On va t'apprendre l'art du meurtre gamin !" -"Ils voulaient faire d'une pierre deux coup: M’entraîner à l’assassinat et me faire passer pour un criminel. Pour le coup j'ai dut assassiner une pauvre marchande...Une femme ... Il pleuvait comme le jour ou ma mère est morte, quelqu’un l'avait tuée. Et maintenant c'étais à moi de tuer quelqu'un, cette personne ne m'avais rien fait mais j'avais peur ! peur de mourir ! Je n'ai que 18 ans je ne veut pas mourir ! Pas maintenant ! Pour mon bien il fallait donc que je la tue ... J'étais donc ... un criminel ... Un bandit ... Un malfrat de la pire espèce ! J'avais tué une mère . A la sortit de la scène de crime les gardes étaient déjà la, ils n'attendaient que moi. L'un m'avais dit : -"Tu viens de gâcher ta vie mon garçon !" (en me mettant les chaînes). "J'en avais conscience mais ma vie avais déjà était gâché il y as bien longtemps de cela ... C'est ainsi que Gwylonna me prit dans sa cargaison d'esclave."