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Informations RP
Nom
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Homme
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Métier
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Nation d'origine
Informations HRP
Login Minecraft
thp21
Pseudo
thp21
Prénom IRL
quentin
Âge IRL
22 ans





Thrôrek

Description

Thrôrek est assez fort dû à son entraînement. Il fait 1 m 84 de haut, pesse que 66 kilos donc il est assez fin utile pour esquiver les attaque, mais désavantageux pour l'endurance car vite essoufflé. Il a les Cheveux marron. Thrôrek aime bien que les lois soient respectées et sait se faire entendre, mais il est assez réservé il aime bien observer comment agi une personne avant de sans faire un ami.

Compétences

  • alphabétisation et calcul

Talents

  • Intelligent
  • Aide son prochain
  • fort
  • Grande loyauté
  • Pas rancunier
  • Curieux
  • Attentif

Défauts

  • Aime manger
  • S'essouffle vite
  • Réservé
  • Rêve trop
  • Pas organisé
  • A peur de l'eau (nager)

Intérêts culturels et goûts

La chasse et la pêche, les banquets.

Amis déclarés

Ennemis déclarés

Histoire

Avant Espéria

- J’ai faim, j’ai faim, à manger s’il vous plaît.

- Arrête de crier, cela ne sert à rien, vient plutôt raconter pourquoi tu es là.

- Mon histoire est bien trop longue à raconter et cela ne divertira pas mon vieillard.

- Tu sais, après avoir passé deux mois dans cette geôle tu serais étonné de ce qui peut divertir un vieillard.

- C'est toi qui l'auras voulu, autant commencer depuis le début alors. En fait, je suis née dans une petite ville appelée « Fiermont » en 490, mon père, un mineur comme la moitié des habitants de la ville, passait son temps soit à miner soit à la taverne à se boire des choppes de bières avec des filles de joie. Mon frère, ce petit menteur, était le fils préféré de mon père, car il voulait devenir mineur lui aussi, un vrai mec comme disait mon père quand il se bourrait à la taverne, mais il faisait moins le malin la nuit quand il vomissait tout dans le jardin. Bien sûr le lendemain, il disait que c'était moi et mon père le croyait, moi comme un con je ne disais rien et puis je partais jouer avec le fils du seigneur du village, qui était le seul qui me disait qu'un jour je servirais à quelque chose de bien. En attendant je servais plutôt d'esclave à son fils, mais je ne plaignais pas comme ça je m'entraînais aux combats avec lui. Souvent je faisais semblant de perdre, surtout quand son père le regardait depuis la tour du château, cela me permettait d'avoir la sympathie du seigneur et de sa cour. J'avais accès à une des seules bibliothèques du Nord, enfin bibliothèque c'était de grands mots, 4 étagères, 30 livres qui se battent dans un placard sous un escalier, mais le maître m'apprenait à lire et compter. Bien sûr cela je le gardais bien pour moi, car si le seigneur l'apprenait j'aurais été fouetté pendant une semaine et je ne parle même pas de ce que mon père m'aurait fait. D'année en année je devenais plus fort, plus endurant et puis un jour alors que j'étais à l'entraînement avec le fils du seigneur, les soldats du château ennemi « Rieumort » nous attaquèrent, la plupart des gardes n'eurent pas le temps de dégainer leur épée que l'ennemi était en train d'égorger femmes et enfants. Cinq gardes se sont précipitées sur le seigneur pour le mettre à l'abri, tandis que les flèches tombaient transperçant les corps des gardes. Moi et le fils du seigneur nous demandions que faire, personne ne nous avait préparés à ça, je décidai de partir me cacher dans l'ancienne mine. Un quart de cycle passa. Je suis allé voir si le combat avait cessé et en sortant de la mine je tombai sur un ennemi. Ma réaction fut plus que rapide, je n'ai pas eu le temps de penser à ce que j'allais faire quand j'ai vu du sang couler par petites gouttes le long de ma main. Je levai doucement les yeux le long de mon épée qui au fil de la lame avait de plus en plus de sang, puis vint le moment où il devrait y avoir la pointe, mais aucune pointe n'était à cet emplacement, seulement le corps de l'ennemi qui me regardant d'un regard vitreux et étonné par ma vitesse. D'un coup je lâchai mon épée, à croire que j'avais peur de moi-même, le fils du seigneur et moi retournâmes lentement au château. Un calme fou régnait, quand nous sommes arrivés à l'entrée du château deux gardes se précipitèrent vers nous, le fils du seigneur fut raccompagné à l'intérieur du château et moi je retournai à ma maison à côté de la mine. En arrivant à la maison je vis ma mère en pleurs à l'entrée, mon père et mon frère se sont fait tuer pendant l'attaque et pour couronner le tout, ma mère me supplia de partir de la maison car je n'avais plus rien à faire ici, vu que j'ai préféré sauver le fils du seigneur que ma propre famille. Je suis allé à l'auberge pour dormir et le lendemain les gardes personnelles du seigneur m'attendaient à la sortie de ma chambre. Je crois que je n'ai jamais eu aussi peur de ma vie, je demandai ce qu'ils faisaient là, ils me répondirent qu'ils devaient me conduire dans la salle du trône sur-le-champ, car le seigneur voulait me parler. Je n'ai pas eu d'autre choix que de les suivre. Une fois arrivée devant la salle du trône où se tenaient le seigneur et son fils, le seigneur me lance d'une voix assez grave :

- Comment va ta famille mon petit ?

- Mon Seigneur, ma famille s'est bien battue pour vous.

- Tu ne réponds pas à ma question mon petit !

- Mon père et mon frère sont morts dans l’attaque hier-soir.

- Et toi où étais-tu ?

- Je… je protégeai… enfin non, votre fils me protégeait de l’assaut des ennemis.

- J'aime bien ton sens de la loyauté, mais je n'aime pas les menteurs, pour ta loyauté envers ton seigneur et pour avoir bien protégé mon fils je te fait garde de la ville de Fiermont et pour m'avoir menti tu commenceras ton travail par une semaine de garde à la taverne, tu rejoindras l'armurerie et Vieilpuy le maître des gardes te formera. J'aime bien ton sens de la loyauté, mais je n'aime pas les menteurs, pour ta loyauté envers ton seigneur et pour avoir bien protégé mon fils je te fait garde de la ville de Fiermont et pour m'avoir menti tu commenceras ton travail par une semaine de garde à la taverne, tu rejoindras l'armurerie et Vieilpuy le maître des gardes te formera.

- Merci mon seigneur.


Je partis de la salle du trône pour rejoindre l’armurerie comme me l'a indiqué mon seigneur. Je ne savais pas à quoi m’attendre, tout allait si vite, j’entrai dans l’armurerie, une bâtisse en pierre très sale, très sombre, où seule une cheminée avec une table bancale était le décor. Le maître des gardes me dit de m’asseoir, qu'il avait beaucoup de choses à me dire.


- Bon je suppose que tu dois être très excité par cette promotion du Seigneur.

- Oh oui c’est toujours ce que j’ai voulu faire.

- Et bah tu vas vite déchanter c'est moi qui te le dis, déjà comme tu le sais tu est dans le nord donc ici c'est la loi du plus fort qui triomphe, mais si les gardes ont des droits supérieurs aux citoyens, ce n'est pas avec deux petits muscles que tu vas mettre au cachot un voleur.

- Je le sais, c'est pour cela que je m'entraîne depuis tout petit avec le fils du seigneur.

- Ouais on verra cela en situation, pour l'instant je vais te dire ce que tu peux faire et ce que tu ne dois surtout pas faire. Déjà ta zone d'action sera seulement le quartier bas de la ville, tu n'as aucun droit sur le quartier des nobles, de toute façon tu n'as rien à y faire, il s'y passe jamais rien et tu ne dois pas t'occuper des quartiers hors mur. Même s'ils appartiennent à notre Seigneur on a déjà beaucoup de travail là où on est ! En gros ta mission est d'arrêter les voleurs et les meurtriers, de garder un oeil sur l'horizon au cas où des ennemis apparaîtraient, tu peux aussi contrôler les licences, mais fait gaffe à qui tu contrôles, évite de t'occuper des simples bagarres surtout à la taverne et fait toi vite respecter, car ici les habitants sont aussi forts que toi et en plus la plupart du temps ils sont dans la mine donc si tu leur donnes l'option de taper sur autre chose que de la roche ils ne vont pas hésiter.

- Et je dois me faire respecter sans rien, je veux dire je n'ai aucun papier officiel pour les arrestations, aucune arme au cas où ?

- Tu te crois drôle en disant de pareilles sottises... des papiers officiels... la moitié des habitants ne sait même pas ce que c'est q'un papier et l'autre moitié ne saura pas le lire donc à part si tu veux arrêter le Seigneur je ne vois pas pourquoi tu aurais besoin de papier et puis pour les armes je vais te fournir une armure et une épée en fer. Suis-moi que je te montre tes copinages et que je te fasse faire le tour de la bâtisse. Alors ici tu as la salle du conseil des gardes c'est là où on se réunit quand on veut se boire une bonne pinte. Au fond c'est Torrok, la salle à droite c'est les cuisines, elle ne sert que pour Therin notre garde cuisinier. Tu verras ce ne sont pas des plats de noble mais c'est mieux que la bouffe de la taverne. Ici tu as les chambres, comme tu peux le voir elles sont très rudimentaires et inconfortables mais bon on passe plus de temps à dormir sur les murs de la ville qu'ici alors quand on est ici c'est du luxe. D'ailleurs il y a le gros Brogor qui ronfle là-bas et puis là il y a là les vestiaires, là tu as ton casier juste à côté il y a celui de Bardim, il monte la garde à la porte. Comme tu peux le voir nous sommes que six gardes avec toi pour la ville basse. Heureusement qu'il y a les gardes personnelles du seigneur au nombre de 20 pour contrer les assauts ennemis. Voilà tu as plus qu'à aller à ton poste à la taverne. Bonne chance et évite les emmerdes.

- Merci pour le conseil chef, bonne soirée.


Je partis enfiler ma tenue et prendre mon arme, quand tout d’un coup Torrok me surpris sur le coin de la porte.


- Fais gaffe, la première nuit est souvent agitée mon petit ! me dit-il en ricanant.


Ah je peux te dire que je m'en souviendrais de cette première nuit. Tu sais quand j'y repense je crois que je n'ai jamais entendu une phrase aussi vraie que celle-là, « la première nuit est souvent agitée » qu'il disait. Si je m'attendais à celle-là... j'arrivais tranquille à la taverne, en fait j'avais un peu peur pourtant j'y allais assez souvent mais c'était pas la même chose. Une fois passée la porte de la taverne tout le monde se retourna, plus aucun bruit, même les poules s'étaient arrêtées, même dans mes pires cauchemars les poules continuaient, puis j'ai dit :


- Continuez je prends seulement ma garde !

- Viens plutôt boire un coup avec nous.

- Non, ça va.

- Ah le petit garde préfère peut-être les filles de joie. Melinda, viens faire plaisir au garde ! Tu vas voir elle va te réchauffer.

- Arrête ça tous de suite autrement c'est mon épée qui va réchauffer tes entrailles.

- Oula pas la peine de s'énerver Monsieur le garde, on voulait seulement te mettre à l'aise, pas vrai les gars.

- Ouais allez tais-toi un peu Micke, tu vas faire fuir les filles.


J'ai bien cru que j'allais avoir à me servir de mon épée dès le premier soir, enfin bon j'ai réussi à me faire respecter, c'est déjà ça de gagner. Puis vers le milieu du demi-cycle de nuit, un homme se retourna vers Micke et lui lança :


- Et la grande gueule elle me paye un coup !

- C’est si gentiment demandé que je vais même te l’offrir.

- Pourquoi tu ne tapes pas, t'as peur d’un vieux Montagnard !


Et là Micke serra son poing et fracassa la mâchoire de son adversaire qui n'attendit pas pour riposter et une bagarre entre les deux grognons éclata en plein milieu de la taverne et les jurons fusaient dans tous les sens et quand ce n'était pas les insultes c'était les pintes de bière ou une chaise. Puis vint un moment ou les deux compères sont tellement amochés qu'ils en tombent sur les autres clients et un de plus dans la bagarre puis un autre. Moi je ne savais pas quoi faire. D'un côté je me disais qu'il fallait que j'intervienne avant qu'ils ne cassent toute la taverne, mais je me rappelais des mots du maître des gardes « éviter de t'occuper des simples bagarres surtout à la taverne », mais bon vu l'ampleur de la bagarre cela n'était plus une simple bagarre donc je décidai d'intervenir.


- Arrêter !! Arrêtez !!

- Les clients de la taverne s’arrêtèrent et se retournèrent vers moi.

- Qu’est-ce qu’il y a, tu veux t’amuser avec nous mon gars ?

- Ouais il a peut-être envie qu'on le fasse jouer un peu.

- Et puis en plus il n’a pas bu une seule goutte d’alcool il va sentir les coups lui.

- Je vous dis d’arrêter ça, vous êtes en train de détruire la taverne. Allez il est l’heure de rentrer chez vous.

- Et bien moi j’en connais un qu’on va raccompagner sec chez lui pour qu’il nous laisse tranquille.


Là les clients m'ont sauté dessus tels des chiens qui n'ont pas chassés depuis des semaines, je n'osai pas dégainer mon arme, ce sont de simples citoyens quand même. Un huitième de cycle plus tard j'étais complètement cassé par terre à presque ne plus savoir où j'étais. Ah si ! il y avait le propriétaire de la taverne et le maître des gardes qui étaient là devant moi à discuter comme si j'étais mort.


- Fait attention à ton petit gars il est courageux, mais un peu fou.

- Oui je sais mais bon il y a rien de mieux pour devenir plus fort.


Le maître m'a ramené dans l'armurerie pour me reposer, le lendemain je pris la résolution de ne plus m'interposer dans la taverne et surtout de m'entraîner aux combats à main nues, car apparemment je devrais plus souvent repousser l'assaut de sauvage de la taverne que d'ennemis. Les semaines passaient et ne se ressemblaient pas. Entre les bagarres à la taverne, les licences confisquées et les voleurs je commençais à me faire un nom dans la petite ville de Fiermont, puis vint un jour où j'ai eu une petite conversation avec le maître des gardes.


- Alors, ta garde sur les remparts s'est bien passé

- Oui et toi tu es revenue de Grandlac apparemment, tu as de bonnes nouvelles j’espère.

- Non pas vraiment, Grandlac s'est fait encore attaqué par Rieumort et la semaine d’avant c’était Marvaux, il y a six mois c’était Vertetour et il y a un peu plus d’un an c’était nous et aucun de nous n’a assez de gardes pour attaquer ces vauriens. C'est juste assez si nous arrivons à repousser leurs attaques.

- En plus je crois qu’ils prennent un malin petit plaisir à attaquer les villages à tour de rôle car ils pourraient facilement nous achever en nous attaquant deux fois de suite.

- Oui et bah tant mieux qu’ils ne soient pas assez intelligents pour nous attaquer deux fois de suite.

- Mais on pourrait quand même agir au lieu de rester à attendre la prochaine attaque.

- Ah oui et comment ça ?

- Bah on a qu'à rencontrer les seigneurs des autres villages du Nord et former une alliance de protection, on pourrait facilement arriver à recruter une garde mobile et bien l'entraîner pour défendre les villes qui en n'ont besoin et pourquoi pas par la suite attaquer Rieumort pour leur faire comprendre que cela est fini maintenant.

- Oui en effet l’idée n’est pas bête, mais maintenant faut-il convaincre les seigneurs des villes à former une alliance, car cela ne va pas être facile avec les petites querelles d’enfants qui aiment tant ressasser.

- Oui mais au moins on peut essayer.

- D’accord, mais va falloir déjà convaincre notre seigneur d’accepter une alliance avec les autres villes.

- Cela va être dur on devrait plutôt convaincre les autres et après convaincre notre seigneur cela sera plus simple si on a des certificats d’alliance signés des autres avec nous.

- Cela n’est pas faux, je suis partant. On part demain pour Grandlac.


Et l'alliance du nord commença comme ça. Nous allions de ville en villages pour présenter notre alliance, bien sûr au début nous disions que notre seigneur était de la partie, mais il fallait bien commencer par quelque part. Au bout de quatre mois de ville en ville nous avions trente-six accords d'alliances, il nous restait plus qu'a rentré à Fiermont pour proposer cela a notre seigneur, mais je pensais que cela devrait être facile vu que tous les autres ont accepté. Nous étions à cheval et nous étions sur la route du retour. D'où on était on voyait la tour de l'armurerie à l'entrée de la ville, puis on vit la porte et bizarrement cinq garde personnels du seigneur étaient postés là. On continuait notre avancée vers la porte et une fois arrivée à celle-ci les gardes nous sommèrent de nous arrêter.


- Halte, Halte ! Le seigneur de Fiermont vous demande de bien vouloir descendre de votre cheval, nous devons vous accompagner devant le seigneur tout de suite.

- Je ne comprends pas pourquoi on devrait le voir de toute urgence et pourquoi des gardes personnelles ? Un simple messager aurait suffi.

- Non, car à partir de maintenant vous êtes les prisonniers de Mon Seigneur.

- Mais pour quelles raisons.

- Désertion, vol, mensonge et trahison. On doit vous accompagner devant le seigneur et vous aurez à répondre de vos actes.


Les gardes nous accompagnèrent dans la salle du trône où étaient placés le seigneur et ses conseillers et le bourreau et bien sûr une bonne partie de la populace de notre ville. Et le seigneur commença à parler.


- Silence tout le monde, j’ai eu vent de certaines nouvelles qui ne m'ont guère plu. Qu’avez-vous à dire pour votre défense ?

- Je demande à ce que les différentes accusations soient détaillées.

- Conseiller, détaillez-lui les accusations.

- Vous avez déserté votre poste pour aller comploter avec des chefs lointains, vous avez proféré des mensonges sur notre Seigneur, vous avez volé des chevaux et des armes et armures en désertant et vous avez comploté contre notre seigneur pour prendre sa place.

- Nous n'avons pas déserté, nous étions partis pour former une alliance pour protéger les villes et villages de notre patrie.

- Vous êtes partis pour former une alliance dans le but de renverser votre seigneur avec le soutien de plusieurs villes.

- Nous on revenait pour exposer notre alliance à notre seigneur. Mon Seigneur nous avons là des accords d’alliance qu’il ne vous reste plus qu’à signer pour que la paix règne enfin sur le nord.

- Vous voulez que je signe alors que tout cela a été fait derrière mon dos et il ose demander ma reddition devant tout mon peuple en plus.

- Non je demande juste à ce que votre peuple puisse vivre dans la paix.

- Puisque vous insister on va devoir passer à la sentence, le Maître des gardes est déchus de sa fonction de maître et Thrôrek est coupable de haute trahison et la sentence est la peine de mort.

- Non, Vous n’avez pas le droit, il m’a juste suivi.

- Ne dit pas de sottise, maître !

- Maître est-ce que vous avouez que vous êtes coupable et le principal instigateur de cette trahison.

- Non je n’avoue pas coupable car nous l’avons fait dans le bien de notre peuple et oui je suis bien le principal instigateur Thrôrek était seulement mon aide de camp.

- Pourquoi tu fais ça maître…

- Parce que tu es quelqu’un de bien.

- Puisque le maître a parlé, la sentence va être modifiée. Donc le maître est déchu de sa fonction de maître et il sera nommé garde des quartiers hors mur et tu n'auras plus le droit de quitter les terres du seigneur ni de communiquer hors de ses terres et tu n'auras pas le droit d'aller dans les autres quartiers de la ville sauf à l'armurerie. En ce qui concerne Thrôrek la sentence est la suivante : vous serez conduit à Fort Lointain le bastion des esclavagistes où il feront ce qu'ils veulent de vous et bien sûr nous n'aurez plus jamais le droit d'approcher des terres du nord et de communiquer avec le nord. Cette conversation est close, gardes veillez à ce que les sentences soient appliquées.


Voilà maintenant tu sais ce que je fais ici, à faire le bien on récolte que le mal, je sens que j’aurais dû peut-être m'y prendre autrement, mais maintenant ça n’a plus d’importance, l’important c'est de continuer à vivre et de recommencer à zéro !


Arriver a espéria

Je doit dire que mon arriver a Espéria fut aussi mouvementer que mon exil de l'ancien monde, déjà la vente fut comment dire très rigolote enfin surtout pour les acheteur...