La Capitale : Différence entre versions

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L’éducation de la Capitale est très variable. Si les nobles sont capables d’acheter les services de précepteurs caroggians ou adaarions, voire de demander l’enseignement d’immense qualité de l’un de leurs érudits d’élite, la population n’est pas si chanceuse. Les bourgeois peuvent compter sur des précepteurs de qualité très honnête mais le bas peuple se doit d’éduquer lui-même ses enfants ou quémander l’enseignement auprès des moines adaarions et phalangistes.
 
L’éducation de la Capitale est très variable. Si les nobles sont capables d’acheter les services de précepteurs caroggians ou adaarions, voire de demander l’enseignement d’immense qualité de l’un de leurs érudits d’élite, la population n’est pas si chanceuse. Les bourgeois peuvent compter sur des précepteurs de qualité très honnête mais le bas peuple se doit d’éduquer lui-même ses enfants ou quémander l’enseignement auprès des moines adaarions et phalangistes.
  
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L’occupation principale des riches Capitalins, durant leur temps libre, et d’assister aux représentations de la Fosse Royale. Cette arène est la plus grande de tout l’ancien monde, son architecture est réputée de Golvandaar à Caroggia, son acoustique est unique. On entend les cris des gladiateurs au dernier rang aussi bien qu’au premier.
 
L’occupation principale des riches Capitalins, durant leur temps libre, et d’assister aux représentations de la Fosse Royale. Cette arène est la plus grande de tout l’ancien monde, son architecture est réputée de Golvandaar à Caroggia, son acoustique est unique. On entend les cris des gladiateurs au dernier rang aussi bien qu’au premier.
  

Version du 24 septembre 2012 à 12:36

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Territoire

Le Royaume Central recouvre les régions d’Albunae, d’Aon et des Marches. L’impériale Autorité reste toujours d’actualité sur les provinces du Roment, de Medeva, de Galdyr et de la Dione bien que celle-ci soient autonomes. La Dione et Medeva sont actuellement disputées par Caroggia. Fort Lointain appartiendrait également à la Capitale mais son autorité sur le refuge des esclavagistes n’a plus rien de réel depuis des décennies.

Lois et Organisation politique

Le Royaume central (ou la Capitale, voire Royaume de la Capitale) s’est construit sur un empire déclinant. Le Roi y détient la totalité des pouvoirs et fonctionne par hérédité (bien que les dynasties ne durent pas depuis la chute de l’Empire). Il est couronné par le Sovitelija de Golvandaar et envoie généralement l’un de ses fils aux phalangistes, s’assurant ainsi du soutien des deux grandes religions. De plus, à son couronnement, il s’assure de l’admiration de ses sujets en visitant l’ensemble des villes de son royaume et visite le conseil valtien où il reçoit une acclamation.

Le Roi est à la tête d’une gigantesque administration bureaucratique chargée d’assurer la bonne marche du Royaume en appliquant ses lois. Cette administration est cependant un royaume de corruption où l’amitié des supérieurs constitue l’une des principales monnaies. Globalement, l’institution sert surtout de bouclier en empêchant les récalcitrants de faire valoir leurs droits, laissant l’application des lois et le contrôle du peuple aux nobles.

Pour l’assister dans sa tâche, on trouve deux autres niveaux de pouvoir. Le premier est celui des gouverneurs de province qu’il désigne et qui disposent de pouvoirs identiques aux siens mais soumis aux lois générales du Royaume. La seule entité n’étant pas sous contrôle direct d’un gouverneur est la Capitale elle-même gérée par la Famille Royale elle-même. Enfin, on trouve le conseil valtien, un héritage de l’empire. Inspiré de l’Assemblée de Golvandaar, il s’agit d’un genre de parlement où sont représentés les nobles. Ceux-ci doivent obtenir un certain nombre de lettres cachetées de nobles et riches notables pour obtenir le droit de présence. Les mandataires s’assemblent ensuite en Ligues. Le but originel a été largement oublié et le Conseil valtien ne sert plus qu’à présenter des revendications officielles au Roi et à fournir aux nobles un lieu où s’affronter au grand jour. A l’heure actuelle, la Ligue d’Aon et la Loyale Ligue (dont est issue le nouveau Roi) dominent après une guerre de succession qui a éliminé leurs adversaires.

Armée

Économie

Société

Peuple

Traditions

Éducation

L’éducation de la Capitale est très variable. Si les nobles sont capables d’acheter les services de précepteurs caroggians ou adaarions, voire de demander l’enseignement d’immense qualité de l’un de leurs érudits d’élite, la population n’est pas si chanceuse. Les bourgeois peuvent compter sur des précepteurs de qualité très honnête mais le bas peuple se doit d’éduquer lui-même ses enfants ou quémander l’enseignement auprès des moines adaarions et phalangistes.

Loisirs

L’occupation principale des riches Capitalins, durant leur temps libre, et d’assister aux représentations de la Fosse Royale. Cette arène est la plus grande de tout l’ancien monde, son architecture est réputée de Golvandaar à Caroggia, son acoustique est unique. On entend les cris des gladiateurs au dernier rang aussi bien qu’au premier.

Les combats de gladiateurs ont lieu au moins deux fois par semaines, ainsi que les joutes, courses de char, etc... La plupart des participants sont les prisonniers ou parfois les esclaves si la main d’oeuvre vient à manquer. Il existe aussi des professionnels de l'arène. Leur vie est souvent courte mais riche de gloire et d’or. Le plus célèbre d’entre eux fut sans aucun doute Pehlenos Kolarc, un Nordique qui gagna plus de cinquante combats avant de mourir bêtement d’une infection suite à une blessure mal soignée.

Les tavernes de la Capitale ont aussi la réputation d’être des lieux de délices et d’amusements ultimes. (voir spécialités culinaires)

Spécialités culinaires

Sciences

La Capitale a la réputation d’être la cité la plus avancée du continent. La réalité est plus complexe. Contrairement à Golvandaar et, dans une moindre mesure, Caroggia, la Capitale n’a pas de communauté de savants ou de tradition d’érudition. Cela se ressent particulièrement au sein de la population qui ne bénéficie pas spécialement des avancées savantes. Elle ne possède pas davantage de grande bibliothèque prestigieuse depuis que celle héritée de l’Empire a été incendiée.

Cependant, la Capitale et sa noblesse a sur attirer de très grands érudits qui ont su se laisser tenter par des promesses de profits sans commune mesure avec ce que Golvandaar ou Caroggia pouvait offrir. C’est ainsi que la Capitale a pu profiter de percées scientifiques majeures: les dirigeables ou la manipulation de la pierre rouge ont été découvert à la Capitale par ces très grands cerveaux. On trouve également à la Capitale un observatoire très perfectionné bien que moins bien situé géographiquement que celui du Mont Adaar.

L’invention typique de la Capitale est un objet coûteux, audacieux, magnifique et dangereux pour son utilisateur. Ainsi, si la Capitale a su construire des dirigeables, ceux-ci ne peuvent être utilisés que par des personnalités excessivement riches. De même, la pierre rouge a amélioré la vie de biens des riches capitalins mais a empiré celle des petites gens qui ont découvert en même temps qu’elle était une drogue particulièrement agréable à l’emploi malgré ses dégâts sur la santé. Son inventeur lui-même a succombé à cette utilisation alternative de son invention.

Religion

La population est croyante et pratiquante. On y trouve à peu près tous les cultes et tous les courants au sein du peuple très multiculturel mais la majorité croit en l’Arbitrio de rite adaarion ou phalangiste. La Capitale elle-même possède à la fois une abbaye et un monastère. Les nobles et le Roi, eux, sont officiellement de rite adaarion depuis l’époque impériale.

Diplomatie

La Capitale a gardé ses méthodes diplomatiques de l’Empire: elle ordonne et n’accepte pas qu’on lui dise non. Cependant, la transition se fait lentement et des nobles ont commencé à traiter les autres peuples avec un peu plus de respect.

  • Caroggia: La Capitale entretient des relations très amicales avec Caroggia, essentiellement à cause du fait que rares sont les familles nobles à ne pas avoir au moins quelques dettes ou affaires avec les Caroggians. Même la famille royale emploie un banquier caroggian. Le peuple, lui, apprécie les marchandises apportées par les marchands caroggians mais déplorent souvent leurs prix élevés.
  • Diaspora Qadjaride: les Qadjarides sont les bienvenus à la Capitale et cela se ressent. Cependant, la raison n’est pas une tolérance particulière mais plutôt le fait qu’aucun noble ne visite les quartiers populaires. Le peuple, lui, est plus ou moins tolérant selon qu’il a l’impression de profiter ou non de leur présence.
  • Golvandaar et Monastère adaarion: Officiellement, Golvandaar et le Royaume central sont alliés et le Sovitelija de Golvandaar couronne le roi au nom d’Arbitrio. Dans les faits, cependant, le Royaume tente à tout prix d’attirer les penseurs de Golvandaar à la Capitale pour mettre fin à leur dépendance. Le départ de plusieurs grands noms (bien qu’excentriques) vers la Capitale a rendu les Rois très impopulaires à Golvandaar. En dehors de cela, les deux peuples entretiennent des relations commerciales nourries.
  • Huratelon: La Capitale manipule complètement la politique Hura et a, en façade, de bonnes relations avec elle. Dans les faits, les relations entre les deux nations sont désastreuses et la Capitale est très malaimée par le peuple.
  • Lig Ocolide: La Capitale est en guerre totale avec la cité pirate mais ne possède plus les moyens de l’éradiquer comme ce fut le cas dans le passé. Ses dernières attaques n’ont fait que faire s’enfuir les pirates, ceux-ci revenant dés la flotte capitaline repartie.
  • Etats provinciaux: malgré que ces anciennes provinces impériales soient devenues autonomes, le Royaume Central les considère encore comme ses possessions. Le Royaume y est toujours très apprécié et les locaux se coupent les cheveux en quatre pour plaire aux Capitalins de passage.
  • Nord: Les relations avec le Nord sont désastreuses et la guerre constitue leur état de relations normales. Cependant, il est rare que des forces soient encore mobilisées d’un côté ou de l’autre pour envahir la Zaraga ou les Marches. Du coté du Royaume, le peuple espère toujours voir le Royaume combattre les Nordiques avec vigueur. Le Roi, lui, sait qu’il n’en a plus les moyens.
  • Phalangisme: Le phalangisme est reconnu comme culte officiel dans le Royaume et les relations y sont assez bonne malgré les différents historiques. Certains phalangistes continuent d’espérer voir le Roi se convertir, cependant.