Utilisateur:Sulfaraz : Différence entre versions
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| + | Sulfaraz est grand pour son âge, il mesure 1 cube 82 pour 82 kilocubes. Il est musclé, puisqu'il a aider son père à la forge dès sa majorité et endurant. Il a les yeux bleus comme le lapis-lazuli et des cheveux châtains. | ||
| + | Il ne sait que vaguement se servir de ses poings pour se battre et risque plus de se blesser lui que son adversaire avec une épée dans les mains. | ||
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Version du 25 août 2013 à 12:47
Sommaire
Description
Physique :
Sulfaraz est grand pour son âge, il mesure 1 cube 82 pour 82 kilocubes. Il est musclé, puisqu'il a aider son père à la forge dès sa majorité et endurant. Il a les yeux bleus comme le lapis-lazuli et des cheveux châtains. Il ne sait que vaguement se servir de ses poings pour se battre et risque plus de se blesser lui que son adversaire avec une épée dans les mains.
Morale :
Sulfaraz n'est plus très en forme moralement depuis qu'il a été arraché de sa famille. Il ne sait c'est pas ce qui est arrivé à sa mère et à sa sœur et, en plus, l'anneau que lui avait offert c'est parents n'est plus autour de son doigt, sûrement retirer par l'un de ces mercenaires.
Compétence
- Endurance : aider son père à forger touts types d'objets as bien renforcer son endurance
- Minéralogie : forger des armes et outils avec différents minerais l'as aider à reconnaître beaucoup de minerais différents.
- Force : le lourd marteau de son père à bien musclé son bras.
Talents
Sulfaraz est doté d'une très belle musculature et est grand. Il se débrouille assez bien pour lire.
Défauts
Sulfaraz n'est pas très intelligent et très naïf.
Intérêts culturels et goûts
Sulfaraz pratique toujours le culte des Déesses des Sept Mers et aime manger à peu près tout ce qui ce mange.
Amis déclarés
Aucun pour le moment.
Ennemis déclarés
Aucun pour le moment.
Histoire
I Un anniversaire coûteux.
Sulfaraz venait d'avoir 19 ans et n'avait toujours pas de femmes. Il est important pour lui d'en avoir une puisqu'il est le seul de tous ses frères à avoir survécu au froid extrème. Ce matin là, la chaleur de la forge de son père lui faisait du bien. Il ne savait même pas que ce jour était important. Il commença à forger les dagues que son père lui avait dit de faire. Malgré le froid du Nord, il se mit très vite à transpirer. Quelque chose lui manquait ce matin. Mais il ne savait pas quoi. Se fût que quelques minutes plus tard, lorsque qu'il eût un problème et qu'il voulait appeller son père qu'il comprit ce qui manquait : son père lui-même! Sulfaraz ne s'affola pas au début. Puis les heures passèrent, la matinée faisait bientôt place à l'après-midi et son père ne vint toujours pas. Alors préocuppé, il rentra chez lui. Quelle ne fut pas sa surprise, quand il rentra chez lui de voir ses parents assis autour de la table le regardaient en souriant quand il entra dans l'unique pièce!
"Et bien tu en as mis du temps pour te souvenir du jour de tes 19 ans, le taquina son père.
En fait, je venais te chercher, je m'étonnais de ne pas te voir à la forge, lui répondit Sulfaraz.
Mais enfin on n'oublie pas cette date quand même ! lui dit sa mère. C'est toujours la même!
On s'en fiche, la coupa le père de Sulfaraz. On va fêter ça quand même !"
Sur ces mots, la famille entamèrent un festin... enfin le plus gros festin possible à faire avec seulement quelques pièces...
À la fin du repas, Sulfaraz était repu et ne pouvait rien avaler de plus. Il remarqua cependant le sourire en coin de ses parents. Il leur demanda pourquoi et ils lui donnèrent un anneau somptueux, orné d'un lapis-lazuli. Sulfaraz n'en revint pas.
"C... c'est pour moi ? demanda t-il ému.
Oui, lui répondit son père, le visage tout souriant.
Mais ça coûte une fortune ! s'exclama Sulfaraz toujours sous le choc d'avoir reçu un présent comme celui-là.
Ah oui il a fallut économiser pour te l'acheter, lui dit sa mère. Mais nous sommes contents que ça te plaise."
Ils finirent la journée à parler, sans retourner une seule fois à la forge.
II Un tragique accident.
Onze mois sétaient écoulés depuis l'anniversaire de Sulfaraz. Celui-ci gardait toujours son anneau au doigt, à la forge comme dans son lit, la nuit.
Ce jour-là, Sulfaraz partit chez l'agriculteure local afin d'acheter du lait : en onze mois, un bébé avait eu le temps de naître. Sa petite soeur Silke avait l'air de résister au froid car cela faisait déjà deux mois de survie pour elle. En rentrant chez lui, Sulfaraz vit son père faire les cents pas, préoccupé. Quand il vit son fils, le forgeron se précipita vers lui.
"Fils ! Enfin ! cria t-il. J'ai une très grande commande d'arme à faire pour après demain! Je ne sais pas qui il est mais l'acheteur m'as promis des tas de pièces d'or contre ce travaille ! Il faut qu'on s'y mette dès maintenant !"
Sulfaraz et son père mirent alors des heures à confectionner épées, marteaux et haches. Ils travaillèrent même toute la nuit ! Le lendemain, ils continuaient de forger jusqu'à l'accident. Sous l'effet de la fatigue, le père de Sulfaraz pris la lame qu'il venait de forger avant de l'avoir fait refroidir. Il hurla tellement fort que tous le village l'entendit. Il se prit les pieds dans les marteaux et tomba sur les lames des épées qu'il, une fois encore à cause de la fatigue, avait oublié de retourner afin des les rendre inoffensifs. Il mourrut sur le coup. Sulfaraz s'approcha de son père, refusant de croire ce qu'il venait de se passer. Alerté par les cris du défunt forgeron, tout le village vint à la forge. C'est ce jour là que Sulfaraz se promit de continuer le métier de son père.
III Une nuit mémorable.
Cela faisait que quelques jours que le forgeron était décédé. Il était déjà enterré, avec ses biens. On décida que la forge revint de droit à Sulfaraz. Malgré son bon travail, il dû annuler la commande importante qu'avait donné un inconnu à son père. L'acheteur pris très mal ce refus. Au bout de quelques minutes, il commença à sourire et dit à Sulfaraz que ce n'était pas un problème. Sulfaraz ne compris pas tout de suite pourquoi.
Le lendemain matin, il reçut une lettre, non signée.
"Bonne nuit"
Il ne sut pas pourquoi, sachant qu'il était le matin, et de qui cette lettre pouvait bien venir. Il partit à la forge et s'occupa d'une commande, puis d'une autre et encore une. En début d'après-midi, il eût besoin de repos et, plutôt que de rentrer chez lui, se dirigea vers la plage. Il s'éntendit sur le sable, à se repasser les événements importants de sa vie, surtout avec son père, puis s'endormit soudainement. Il ne sut pas combien de temps il dormit, mais quand il se réveilla, il faisait nuit. Il rentra donc chez lui mais n'ayant plus sommeil, il resta éveillé à regarder sa mère et sa petite soeur dormir. Puis ils les entendit. Les cris qui venaient de dehors. Il sortit pour voir que des mercenaires étaient en train de dévaster leur petit village. Sulfaraz les vit en égorger certain, faire prisonniers les autres. Ils mettaient le feu à certaines maisons, d'autres ne faisaient que rentrer pour amener la désolation et encore d'autres qu'ils ne touchaient même pas. Puis les mercenaires se dirigèrent vers sa maison. Sulfaraz devait protéger ce qui restait de sa famille. Il partit à la forge et revint avec une épée et une dague. Mais c'était trop tard, sa maison brûlait déjà. Il reçut un coup derrière la nuque et perdit connaissance.
Il se réveilla plus tard, beaucoup plus tard. Il était attaché à un socle en bois par de solides chaînes en fer, ansi que d'autres personnes. Il en reconnut certains, comme Sigfred le pêcheur mais la majorité, il ne les connaissait pas. Il semblait être dans une cale. Et vit comment la cale bougeait, il se douta d'être dans un bateau. Ce n'est que plus tard qu'il saurait que ce bateau est en route pour le Nouveau Monde.
Il se retourna – le maximum possible en étant attaché par les poignets – qui le vit avec un fouet dans la main. Il n'en crût pas ses yeux. Le puzzle s'assemblait. Il revit le sourire, la lettre. C'était l'acheteur...
FIN
