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Version actuelle datée du 1 octobre 2015 à 07:07
"La Stravaganza", d'A. Vivaldi
RolePlay :
Sommaire
Louys Illitch Lev d'Avrantillac-Segny
Vous consultez la fiche d'un personnage absent d'Esperia.
Description
Informations générales résumées
- Prénoms: Louys Illitch Lev;
- Nom: Avrantillac-Segny (d');
- Surnom: Lilas (ainsi a-t-il signé son journal);
- Âge: Trente-trois (33) ans;
- Date de naissance: Trente (30) mai quatre cents quatre-vingts un (481);
- Lieu de naissance: Pontanelle;
- Métier: Médecin-chirurgien (ex-médecin des régiments des Marches);
- Aptitudes:
- Alphabétisation (offerte);
- Calcul (1/2);
- Langue étrangère: adaarion (2/2);
- Langue(s) parlée(s): adaarion, capitalin (langue commune), hura;
- Nation: Hura, naturalisé capitalin (né sur le territoire du Royaume), se considère apatride;
- Religion: Phalangisme, pratiquant, fort fidèle à Odense, Roskilde & Golvandaar;
- Famille: Yvalga Piotrev (mère), Thiltov Azranovitch Zegnys (père), Thybaud d'Avrantillac-Segny (frère cadet), Alyenor d'Avrantillac-Segny (sœur cadette).
Informations générales détaillées
Origines
Les Avrantillac-Segny sont une famille de la petite bourgeoisie capitaline, expatriée de la ville d’Huratelon. Le nom était anciennement “Azranovitch Zegnys”. Louys n’a pas réellement connu la Grande Huratelon, toutefois ses parents ont conservé l’usage de la Belle Langue (comme ils aiment à l’appeler) à la maison, jugeant que cela faciliterait les études de langues pour le garçon. En effet, plus tard, il apprendra l’adaarion à Golvandaar. La famille était à la base marchande, commerçant les récoltes huras çà et là à travers Royaume Central, activité qui les a enrichis au fil des années. À la grossesse d’Yvalga, la mère de Louys, les parents décidèrent tous deux de s’installer définitivement, et choisirent ainsi Pontanelle, proche de la frontière hura. Toutefois, quand Louys atteint ses sept ans, il fut décidé d'emménager à la Sublime Capitale, où il pourrait recevoir un décent enseignement. Il devint page d’un petit nobliau, qui lui enseigna les codes de bonne conduite et d’usage, mais aussi l’art de la parole. C’est vers cet âge qu’il fut attiré par les éléments mortuaires et le monde de l'anatomie,-notons que son père conservait l’Encyclopédie des études anatomiques sur les petits et grands animaux, sortie en trois tomes: Le Règne Marin, Le Règne Aérien et Le Règne Terrestre-. Enseigné à l’art des lettres, il se plongea ainsi dans la lecture de nombreux ouvrages d'Histoire des guerres et anatomiques. Ce fut un élève brillant, à quatorze ans il maîtrisait deux langues: l’hura et le capitalin. Ses parents jugèrent donc qu’ainsi lancé, il lui serait favorable d’apprendre l’adaarion. Il fut envoyé à Golvandaar à ces fins, et ne revint au Royaume que sept années plus tard. Pendant ce laps de temps, son goût pour l’anatomie (et la guerre) ne tarissait guère, et à son retour, il décida d’entamer des études auprès du chirurgien Ryémond Lefézus, homme réputé dans son métier auprès des intéressés. (Il a d’ailleurs écrit plusieurs ouvrages à ce sujet, mais aucun n’a connu de réel succès étant donné la thématique morbide et peu attrayante)
Traits physiques
Louys est un homme aux apparences chétives, peu enclin à supporter le travail physique des champs, des forêts ou encore des mers (cordage, entretien d’un navire, etc). Il mesure en effet un mètre quatre-vingts cinq (1m85), pour une masse avoisinant les cinquante-sept kilogrammes (57kg). Ce n’est guère point de malnutrition, d’anorexie ou autres maux possibles, mais simplement de morphologie héréditaire. En dehors de cela, sa santé est relativement bonne. Toutefois, il ne supporte pas fort bien les chocs physiques tels que lésions cutanées, incisions, plaies, coups, etc. Sa peau extrêmement pâle a tendance à se violir au moindre coup reçu, ou quand le froid et le vent cinglent dehors. Quand les lumières de thermidor réchauffent la lande, quelques taches de rousseur apparaissent sur l’arête de son nez, et le pavillon externe de ses oreilles, ainsi également que sur ses avant-bras dénués de poils drus et visibles.
Les traits de son visage sont racornis par de sévères cernes, bleutées par certaines matinées. Il n’a en effet jamais l’habitude de dormir plus de trois heures par nuit, bien que cela lui arrive quelques fois durant un mois. Lorsqu’il en a l’opportunité, il aime à maquiller légèrement sa peau pour cacher ses apparentes marques de fatigue. Autrement, il arbore une gracile moustache, laissant paraître au travers de poils blonds foncés son philtrum, et une barbe légère et soignée dessine sa mâchoire intérieure en excluant le menton. Ses arcades sont marquées, ombragées par des sourcils relativement denses. L’iris de son regard est d’un bleu givré et cristallin, entaché d’aucune autre couleur.
Étrangement, ses traits reflètent un air triste constamment, ses yeux légèrement tombants. Toutefois, il aime à rire fort souvent, et n’hésite jamais à sourire à pleines dents.
Il entretient une chevelure blonde claire soigneusement coiffée, séparée d’une raie, aux reflets dorés. Ses cheveux ont pour tendance d’onduler quelque peu. Ses mains paraissent délicates, précises et habiles, se ramifiant en de longs doigts.
L’arête de son nez est droite et régulière, ses pommettes haussées.
Quoiqu’il puisse lui arriver, il se dégage de lui toujours une certaine dignité, une certaine fierté, mais surtout son essence humble. Il est fier de son parcours, mais tout autant de ses racines, de ses origines.
C’est un homme extrêmement propre sur lui, et fort maniéré, soucieux de son apparence et du charisme qu’il dégage. Il a toujours la posture droite, le cou tendu, le menton relevé. Une certaine élégance émane de lui.
Détail: Une cicatrice parcourt son flanc droit, trace d’une flèche égarée alors qu’il jouait au brave médecin par une journée de guerre.
Traits moraux
Lilas est un homme avec des idées fixées, déterminé. Il est fier de ce qu’il est, et humble de savoir d’où il vient. Ainsi parfois paraît-il s’opposer à lui-même, se montrant tantôt arrogant de dédain, tantôt modeste d’humilité. En tant que médecin chirurgien, il a énormément voyagé, ne se sédentarisant en nul endroit, préférant toujours aller là où l'avantage lui semblait le plus grand. Ceci a fait de lui un homme relativement ouvert, et capable de surmonter ses rancoeurs phalangistes envers les peuplades nordiques et nomades qadjarides, ravalant son Honneur et ses bonnes moeurs de Grande Huratelon. Il se dissocie en deux personnalités distinctes: Louys le descendant hura, et Lilas le professant apatride.
Ainsi, ils ne considèrent qu’aucune affaire ne peut aller à l’encontre de ses croyances et de son Honneur, celui-ci étant dès lors intouchable par sa clientèle.
On peut également le décrire comme quelqu’un d’excentrique, tant dans ses manières que dans ses paroles et pensées. Il a un humour très particulier, plutôt noir et pince-sans-rire. Aussi adore-t-il rigoler suite à une blague qu’il juge drôle, une anecdote amusante, un récit qui prête à sourire. C’est un farceur dans l’âme, malgré ses tenues et ses codes d’usage.
C’est un homme extrêmement curieux, avide et cupide de Savoir, de connaissances diverses et variées dans moult domaines. Bien qu’il se préfère ce qui touche aux Sciences naturelles (anatomie, (al-)chimie, biologie, physique, météorologie, ..), il affectionne également, et ce tout particulièrement, les Sciences littéraires. Il n’a de cesse de lire, et l’on compte généralement plusieurs ouvrages scientifiques empilés sur sa table de chevet.
Il est raffiné, et n’hésite pas à exprimer haut et fort ses goûts, ses pensées, ses avis, ses opinions quant aux arts, et plus généralement aussi. Louys est un homme fourbe, qui ne sera pas toujours des plus francs. Il aime la gent féminine, et s’avère par moment plutôt séducteur, ne tarissant jamais d’éloges auprès des belles demoiselles. Ses mots sont choisis habilement, et ce en tout temps. (Il n’a d’ailleurs pas réellement d’accent en capitalin, parlant avec des intonations, inflexions, prononciations, venant des quatre coins du Royaume).
Aux siens, il reste néanmoins quelqu’un d’aimable et dévoué en toutes circonstances. Dans son labeur, il est perfectionniste et hargneux, ne lésinant jamais sur les moyens pour que les blessés et malades demeurent vivants le plus longtemps que faire se peut. Cela se ressent dans la vie quotidienne par son goût du détail.
Pour pousser la perfection à son paroxysme, il a n’a jamais délaissé une main plus que l’autre et s’en retrouve donc ambidextre, ce qui l’aide dans la manipulation des nombreux outils et instruments de chirurgie.
Mais ce fort caractère ne l’empêche pas d’aimer, et apprécier, de boire à en devenir saoul dans l’une ou l’autre taverne, de savourer la pipe en quelque lieu public, de bavasser avec quelques gens (tant de bonnes moeurs que de plus basses classes), etc.
Enfin, le plus étrange chez lui demeure son attrait pour la Mort et la Thanatologie, il trouve en effet ce phénomène fort intéressant, ne cessant de s'inquiéter sur l'au-delà et le jugement; c’est un homme morbide et froid par instant.
C’est un réel thanatophile avéré. Il semble n’être dérangé aucunement par les atrocités d’une mort violente, chérissant les scènes sordides, ignominieuses ou sanglantes. Parfois, il viendrait presque à trouver ce monde léthargique bien plus mouvementé et intéressant que les scènes vivantes du quotidien, qu’il juge parfois agaçantes, ennuyeuses, lassantes.
En dehors de cet aspect étrange de sa personnalité, il s’avère également être un homme relativement narcissique, idolâtrant sa propre image, pouvant passer des heures durant au-devant de son reflet, ou d’une peinture le représentant.
Sa plus grande crainte est que l’on détériore son apparence physique (notamment son visage). Aussi, ce pan de sa personnalité tend à faire de Louys un homme par moment vil et sadique, et ce gratuitement, envers des gens qu’ils ne considèrent pas.
Quant à la religion, il est indubitablement de confession phalangiste, fidèle au Culte de l’Arbitrio. Toutefois, il se considère comme tel plus par héritage parental que réelle conviction, appréciant les us et coutumes monachistes. S’il est hura d’origine, il demeure néanmoins plus capitalin de par ses fonctions et ses expériences. L’on pourrait presque le comparer à un nomade, n’étant jamais fixé bien longtemps à un même endroit.
Aptitudes
- Alphabétisation: Son éducation maternelle (morale et religion) touchant à sa fin alors qu’il eut sept ans révolus, son apprentissage intellectuel commença avec Dégéryon Lants. Celui-ci lui instruisit les lettres, notamment l’art d’écrire, de s’exprimer, et les règles grammaticales et syntaxiques. Ces nouvelles connaissances poussèrent très vite le jeune garçon à lire nombreux ouvrages portant sur moult sujets variés; il appréciait (et apprécie toujours d’ailleurs) les contes et autres histoires fictives autant que les oeuvres scientifiques. En plus de ce précepteur, que Louys affectionnait il faut le dire, il devint page de Ser Guylhôme de La Terlaisne (graphié parfois, et ce fautivement, “Terre-l’Aisne”), un nobliau qui lui inculqua les bonnes manières, et les codes d’usage.
- Calcul: Dégéryon fut pendant deux ans également son professeur en matières mathématiques et physiques, toutefois les parents de Louys préférèrent ensuite remettre cette part de formation auprès d’un caroggian, Ottavio Quintelli, qui sut l’instruire à la gérance et autres mathématiques appliquées utiles et nettement plus poussées.
- Adaarion (langue): L’année qui allait aboutir sur son quinzième anniversaire, il fut donc envoyé à Golvandaar, auprès de Simo Paävo, connaissance du père de Louys, et anatomiste de son état. Au cours de ses sept années, en plus d’apprendre l’adaarion, le garçon apprit également la dissection, l’observation des entrailles (sur animaux), et cet instructeur lui donna plus encore le goût et l’admiration des macchabées.
Métier
Réellement, Lilas est médecin chirurgien. C’est cela sur le continent qui lui permet de vivre avec aisance, et c’est également son activité principale.
Il a étudié de longues années pour aboutir à cette profession, commençant par l’anatomie, l’herboristerie, l’apothicairerie, la chirurgie, etc. Il faut en effet bon nombre de connaissances, et de techniques, pour conserver les corps, et davantage quand il s’agit d’opérer dans des circonstances telles que les champs de batailles, etc. Ces nombreuses vocations le rendent apte à soigner quelque patient, quoiqu’il soit davantage familier aux opérations chirurgicales. Il n’était pas bon travailleur, n’entretenant jamais de poste à un endroit bien précis guère longtemps. Il a professé aux quatre coins du Royaume, à la République Marchande de Caroggia, mais aussi un bref temps à Golvandaar, pour ensuite se laisser tenter par les risques que proposaient les régiments des Marches de la Légion Royale. De plus, il y put exercé de temps à autres un travail d’interprète-traducteur quand le besoin s’en faisait ressentir, notamment pour discuter avec les peuples civilisés limitrophes (adaarions et huras).
Relations
Famille
Aldric,
mon neveu, le fils de feu ma sœur.