Utilisateur:Milika : Différence entre versions
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+ | <center>Le bec de la Mésange</center> | ||
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− | < | + | <div align="justify">Mïlikâ porte le temps avec une grâce intemporelle. Sa peau, teinte à l'effigie d'un pain d'épice, évoque une douceur chaude et réconfortante que peut éveiller la cannelle, un équilibre qui tend entre le tendre et le grillé. Sur sa tête, trône une chevelure majestueuse, une cascade de bouclettes chocolatées qui rappellent un chocolat noir finement dosé. Ses cheveux frisés, rebelles et fiers, défient les rayons ardents du soleil avec une texture qui, bien que rugueuse, attire le regard et incite à la tentation du toucher. |
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+ | Sous ses sourcils arqués, de la même teinte que sa chevelure, surplombe des yeux d’un noir profond, insondable, captivant ceux qui osent y plonger. Ses pupilles anormalement larges envoûtent ceux de ses interlocuteurs, entre deux plissements plaintifs de paupières, offrant alors un contraste saisissant avec les taches de rousseur chocolat au lait qui parsèment ses pommettes caramélisées. Elles se dispersent jusqu’à son nez délicat, modeste mais charmant, se fait discret face aux autres atouts plus intéressants sur son faciès. | ||
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+ | Et puis, il y a ce sourire. Un poème, en soi... Large, lumineux, il se déploie en ondes positives, dans une aura de chaleur communicative, en dévoilant des dents ordinaires mais alignées, encadrées par des lèvres légèrement pulpeuses. Cette risette, empreint de bonnes ondes, laisse une empreinte indélébile dans l'esprit de ceux qui ont la chance d'en être témoin. | ||
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+ | Quant à son corps, Mïlikâ se révèle fine, sans pour autant être mince ou maigre. Elle s'allie à une souplesse féline, sans excès ni carence, faisant de ces postures une silhouette harmonieuse, sans susciter d'autres. Ses courbes, ni trop prononcées ni absentes, dessinent une silhouette gracieuse et harmonieuse, agile et vive. Ses formes féminines, équilibrées et mesurées avec juste ce qu’il faut de volume, atteignent un équilibre convenable, idéal pour la vie de tous les jours, et prêt à satisfaire les regards les plus raisonnables. | ||
+ | Dans sa posture, elle égaye l'attention même si elle se fond dans la masse avec son aisance naturelle. L'approche et la démarche maladroite, on la sent vite étourdie malgré ce qu'elle veut laisser paraître. Au moindre déplacement, la jeune femme aura une manie instinctive et sera parcouru d'un réflexe inné : celui de frôler du bout de ses doigts le plus souvent gantés d'ailleurs, la plupart des choses qui sont son chemin pour arriver à bonne destination : que ce soit mur, encadrement de porte, lanterne, rambarde, panneau, chaise.. absolument tout, sauf les personnes qui l'entourent, au risque de s'attirer des ennuis ou pire : les foudres des arbitrés. </div> | ||
Version du 11 juin 2024 à 12:54
[En cours de création]
Sous ses sourcils arqués, de la même teinte que sa chevelure, surplombe des yeux d’un noir profond, insondable, captivant ceux qui osent y plonger. Ses pupilles anormalement larges envoûtent ceux de ses interlocuteurs, entre deux plissements plaintifs de paupières, offrant alors un contraste saisissant avec les taches de rousseur chocolat au lait qui parsèment ses pommettes caramélisées. Elles se dispersent jusqu’à son nez délicat, modeste mais charmant, se fait discret face aux autres atouts plus intéressants sur son faciès.
Et puis, il y a ce sourire. Un poème, en soi... Large, lumineux, il se déploie en ondes positives, dans une aura de chaleur communicative, en dévoilant des dents ordinaires mais alignées, encadrées par des lèvres légèrement pulpeuses. Cette risette, empreint de bonnes ondes, laisse une empreinte indélébile dans l'esprit de ceux qui ont la chance d'en être témoin.
Quant à son corps, Mïlikâ se révèle fine, sans pour autant être mince ou maigre. Elle s'allie à une souplesse féline, sans excès ni carence, faisant de ces postures une silhouette harmonieuse, sans susciter d'autres. Ses courbes, ni trop prononcées ni absentes, dessinent une silhouette gracieuse et harmonieuse, agile et vive. Ses formes féminines, équilibrées et mesurées avec juste ce qu’il faut de volume, atteignent un équilibre convenable, idéal pour la vie de tous les jours, et prêt à satisfaire les regards les plus raisonnables.
Dans sa posture, elle égaye l'attention même si elle se fond dans la masse avec son aisance naturelle. L'approche et la démarche maladroite, on la sent vite étourdie malgré ce qu'elle veut laisser paraître. Au moindre déplacement, la jeune femme aura une manie instinctive et sera parcouru d'un réflexe inné : celui de frôler du bout de ses doigts le plus souvent gantés d'ailleurs, la plupart des choses qui sont son chemin pour arriver à bonne destination : que ce soit mur, encadrement de porte, lanterne, rambarde, panneau, chaise.. absolument tout, sauf les personnes qui l'entourent, au risque de s'attirer des ennuis ou pire : les foudres des arbitrés.