Histoire d'Alcédine : Différence entre versions

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Le fait que Maxime de Nanton demeure un fugitif n'aide pas non plus à l'apaisement de ces tensions.
 
Le fait que Maxime de Nanton demeure un fugitif n'aide pas non plus à l'apaisement de ces tensions.
  
=La chute de la tyranie et la rencontre avec esperia=
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près la mort d'Alibert Bancédine en 504, Edmon Lacant prit le contrôle d'Alcédine et sa première action fut de chercher du soutien auprès des îles de Solres et Agathe, déjà bien établies alors qu'Alcédine peinait encore à se développer. Le Gazded Kasemir Hodvev de Solres lui fournit des esclaves et des outils, tandis que les Rivelles lui apportèrent des forces armées. Lacant utilisa ces soldats non pas pour défendre l'île, mais pour réprimer ceux qui s'opposaient à ses plans d'urbanisation, lesquels négligeaient l'agriculture locale. Il força au travail les affamés, détournant la majorité des récoltes pour payer ses alliés. Tandis que son propre manoir fut le premier bâtiment construit, l'île entière fut transformée en exploitation forestière pour soutenir le chantier naval de Solres. En 509, malgré la conversion de nombreuses terres boisées en champs agricoles, la famine persistait sur Alcédine, car Lacant accaparait les récoltes.
 
près la mort d'Alibert Bancédine en 504, Edmon Lacant prit le contrôle d'Alcédine et sa première action fut de chercher du soutien auprès des îles de Solres et Agathe, déjà bien établies alors qu'Alcédine peinait encore à se développer. Le Gazded Kasemir Hodvev de Solres lui fournit des esclaves et des outils, tandis que les Rivelles lui apportèrent des forces armées. Lacant utilisa ces soldats non pas pour défendre l'île, mais pour réprimer ceux qui s'opposaient à ses plans d'urbanisation, lesquels négligeaient l'agriculture locale. Il força au travail les affamés, détournant la majorité des récoltes pour payer ses alliés. Tandis que son propre manoir fut le premier bâtiment construit, l'île entière fut transformée en exploitation forestière pour soutenir le chantier naval de Solres. En 509, malgré la conversion de nombreuses terres boisées en champs agricoles, la famine persistait sur Alcédine, car Lacant accaparait les récoltes.
  

Version du 5 octobre 2024 à 18:50

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Cet écrit a été rédigé par Kaarlo, et se trouve sur la nouvelle Esperia.


Histoire d'Alcédine Par Kaarlo Laïne d'Esperia

Introduction

Alcédine est l'une des cités qui compose l'Archipel des Esperies. La ville est la capitale de la confédération, car c'est ici que se dresse le majestueux dôme ou se réunissent les plénipotentiaires de chaque adhérent. La ville est aussi l'une des plus anciennes et joue un rôle particulier de par sa position dans l'archipel, le siège de la confédération et les liens qu'elle entretien avec Esperia. D'ailleurs, fait intéressant, c'est qu'en 512 le système politique adopté par Alcédine est calqué sur le modèle d'Esperia à l'époque. Ainsi Esperia et Alcédine ont toutes deux unes des histoires intimement liées et à travers le récit de quelques événements de sa fondation aux tensions avec sa rivale de toujours : Rivelle.
Ce récit d'évènement historique est tiré d'ouvrage d'Oiva Erkki sur la fondation d'Alcédine, un contemporain des événements donc une source fiable. Ce même Oiva aujourd'hui sénateur de l'ile et principal correspondant diplomatique avec Esperia a aussi conté dans une lettre l'origine des tensions entre Alcédine et Rivelle. L'auteur que je suis s'est lui même rendu à Alcédine à plusieurs reprises. Le lecteur avertit est prévenu, il s'agit bien d'un récit factuel mais l'historien saura que dans tout livre d'histoire une part de subjectivité intervient dans le jugement des faits. Tout cela fait ainsi partie du débat scientifique et historiographique.

Origine d'Alcédine

En 499, le noble Alibert Bancédine mit à profit sa fortune pour la préparation d'un voyage formidable depuis la ville de Buron au Royaume Central.
Vieillissant et demeurant sans héritier, il avait le cœur aventureux et envisageait de finir ses jours sur l'une de ces mystérieuses îles exotiques par delà le Ponant. Comme il aimait à le raconter de son vivant, Alibert s'était déjà rendu à Fort-Lointain dans sa jeunesse tandis qu'il visitait les grandes villes portuaires du continent accompagné de son oncle et de sa tante. Il était resté plein de rêves d'aventure depuis cette époque.
Malheureusement, les premières tentatives d'Alibert de constituer un équipage fidèle se soldèrent par de cuisants échecs. Plusieurs fois, il fut trompé par des escrocs qui abusèrent de sa confiance et de sa générosité. Il dilapida ainsi une partie importante de sa fortune avant d'échouer à La Sublime sans avoir trouvé d'investisseur. C'est là qu'Alibert Bancédine décida, sur les conseils d'un moine du monastère Apothi-Aymeric, de réaliser un pèlerinage vers le Mont Adaar à Golvandaar. Il ne s'y était jamais rendu auparavant.
Comme il persistait à présenter son projet à qui voulait bien l’entendre, arrivé à Loghéans, il fit La rencontre d'Edmon Lacant, un aonite extrêmement habile de ses mots comme de ses mains, assez influent localement pour réunir un petit nombre de volontaires, lesquels étaient tous enthousiastes 4 l'idée se faire.colons dans le Nouveau Monde et de se mettre au service de Bancédine en échange de sa protection. Une. fois son pelerinage accompli, Alibert revint à Loghéans pour le grand départ accompagné d’un monastere kiertava (itinérant) et d'exilés de la Corporation de La Pierre menés par un golvandaari du nom d'Oiva Erkki.
En l’an 504, le groupe expéditionnaire mit Le cap vers l’ouest depuis Fort-Bais à l'embouchure du fleuve de l'Heinild. Les marins de la Flotte Royale raillèrent abondamment ceux qu'ils qualifiaient de “fous” en leur rappelant en vain les risques encourus lors d'un tel voyage. En dépit de ces moqueries et d’un voyage difficile durant lequel certains furent assaillis par le doute et les regrets, le groupe fit la rencontre d’un martin-pêcheur qui les conduisit Jusqu’à une Ile verdoyante parfaitement inhabitée, Les colons firent de cet oiseau leur symbole et installèrent leur premier campement.
Quelques mois plus tard seulement, Alibert Bancédine fut emporté dans son grand âge, trop affaibli par la maladie pour survivre plus longtemps dans des conditions pour le moins misérables, En son honneur, l'Ile fut nommée “Alcédine” par les habitants de la colonie.


Relation Alcédine-Rivelle

Les troubles entre Rivelle et Alcédine sont profondément ancrés dans l'histoire de cet archipel et d'Alcédine elle-même.
La cité fut fondée en 504, bien après Rivelle dont les premières fondations datent de 490. Très peu de temps après l'arrivée des premiers colons, le meneur de l'expédition alcédinoise, Alibert Bancédine, décèda. Son principal investisseur, Edmon Lacant, prit sa place de fait. Jusqu'à 509, Alcédine n'était pas la même que vous connaissez aujourd'hui. Nous étions dirigés par cet homme cruel dont l'Adaar était à douter et qui avait su convaincre le Gazded Kasemir Hodvev de Solres et les autorités de Rivelle qu'il était un homme bien arbitré qui leur apporterait un partenariat commercial avantageux. Gazded Hodvev apporta esclaves et outils, mais Rivelle de son côté lui fournit des soldats pour assurer la stabilité de son règne.
L'oppression que subit Alcédine durant ces cinq dures années justifie amplement l'avis de Maxime de Nanton vis-à-vis de ceux qui dirigent Rivelle. Mais sans doute, qu'ils ne savaient tout simplement pas ce que leurs soldats causaient comme cruautés en leur nom. En 513, un des trois estimés sénateurs et un des acteurs principaux de la libération, Maxime de Nanton, se fera prendre pour détournement de fonds. Il fuira nos autorités pour orchestrer d'horribles violences à Rivelle qui causeront la mort du Kisa Horaste Rivelle, un des deux dirigeants de la famille qui a donné son nom à l'île. Depuis, Aatelinen Nainen Vorane et ses alliés voient Alcédine comme un ennemi. Et cela nécessitera beaucoup de temps pour changer, car ce qu'a fait Maxime de Nanton est indéniablement en partie de la responsabilité d'Alcédine qui n'aurait pas su l'arrêter à temps.
Le fait que Maxime de Nanton demeure un fugitif n'aide pas non plus à l'apaisement de ces tensions.

La chute de la tyranie et la rencontre avec esperia

près la mort d'Alibert Bancédine en 504, Edmon Lacant prit le contrôle d'Alcédine et sa première action fut de chercher du soutien auprès des îles de Solres et Agathe, déjà bien établies alors qu'Alcédine peinait encore à se développer. Le Gazded Kasemir Hodvev de Solres lui fournit des esclaves et des outils, tandis que les Rivelles lui apportèrent des forces armées. Lacant utilisa ces soldats non pas pour défendre l'île, mais pour réprimer ceux qui s'opposaient à ses plans d'urbanisation, lesquels négligeaient l'agriculture locale. Il força au travail les affamés, détournant la majorité des récoltes pour payer ses alliés. Tandis que son propre manoir fut le premier bâtiment construit, l'île entière fut transformée en exploitation forestière pour soutenir le chantier naval de Solres. En 509, malgré la conversion de nombreuses terres boisées en champs agricoles, la famine persistait sur Alcédine, car Lacant accaparait les récoltes.

C'est cette année-là que la population, convaincue que Lacant servait ses propres intérêts, parvint à obtenir le soutien des soldats de Rivelle, qui réalisèrent qu'ils auraient plus à gagner en aidant les habitants. Une révolte sans violence s'ensuivit, la population prenant en main les affaires publiques. En 512, une décision collective fut prise d'envoyer un représentant à travers l'archipel pour rassurer les anciens alliés d'Edmon qu'Alcédine ne cherchait pas la confrontation, mais souhaitait maintenir de bonnes relations. Oiva fut désigné pour cette mission et lors de son voyage, il visita l'île d'Esperia, où il rencontra Guidrion Sker, président du Sénat, et Kemelvor Kemaltar, un consul sénateur. Ces derniers lui offrirent un livre de lois, qu'il utilisa à son retour pour instaurer un système de gouvernance stable à Alcédine, garantissant que le pouvoir resterait entre les mains des travailleurs.

La ville aujourd'hui

Illustration par Kaarlo

Alcédine croquis.png
Croquis de la rade d'Alcédine. Au fond à droite on distingue le dôme, siège de la confédération.

Alcédine campagne 2.png
Croquis de la campagne d'Alcédine, on y distingue : moulin , champs, ruisseau et ville en fond.

Description

Pour chaque voyageur vous débarquerez d'abord sur l'îlot, une petite ile en face de la rade. C'est ici que se trouve la douane et l’accueil des possibles délégation. Ensuite on prend des petits bateau ou barque pour rejoindre la ville.

Le premier niveau est le quartier qu'un esperien pourrait associer au bourbier. Ce quartier modeste abrite cependant la meilleur des tavernes avec des lits très confortable. Une chose est sur : Alcédine sait accueillir dignement. Ce quartier dispose aussi d'une commanderie et d'un dispensaire dont certains lits donnent sur la rue abrité par un avancement du toit. au bout de la rue qui remonte vers la ville on tombe sur une petite place de marché. Si on monte encore on peut retrouvé un quartier moins modeste ou habite des personnes connues tel que La belle sénatrice Vaea Spada ou encore le célèbre marchand Mirambert. On y trouve aussi une dépendance d'un groupe de marchand spécialisé dans la vente de miel. Suite à cela la rue remontant depuis le port s’arrête devant les portes de la ville fortifié, un autre marché s'y trouve avec des produits de très bonne facture parfois venant de tout l'archipel. au delà de la muraille se trouve le cœur de la cité avec le parlement ou encore l'accès au dôme de la confédération.