Utilisateur:Draghnar

Informations RP

Nom

Draghnar

Genre

Année de naissance

Rang

Esclave

Métier

Métier

Chasseur

Origines

Ville d'origine

Caroggia

Nation d'origine

Caroggia

Informations HRP

Login Minecraft

Ezaaii

Prénom IRL

Nicolas ou Nico

Âge IRL

18ans

Draghnar

Description

Skin de Draghnar

Draghnar a 22ans. C'est un blond au yeux bleus, d'une corpulence que l'on pourrait qualifier de "normale". Il est habillé de Haillons Bruns et a un arc dans le dos. Ses cheveux sont ébouriffés vu qu'il ne prends jamais le temps de se coiffer. Il sourit et rigole très souvent ; En général son sourire est assez ravageur auprès de la gente féminine et bien qu'il reste très éloigné des femmes, il est d'une galanterie et d'une gentillesse sans pareille avec celles-ci. Draghnar est amoureux de Serrena et passe le plus clair de son temps avec elle.

Compétences

• Agilité et discrétion : C'est un chasseur né. Il tient sa furtivité de l'époque où il devait voler pour se nourrir.
• endurance : Il peut sprinter longtemps et garder un arc en joux durant des heures s'il le faut, après avoir passé tant de temps à pister les animaux.
• combattre : dans des lieux peu appropriés tels que la montagne, les forêts ou même les créneaux des murailles de châteaux, il peut se battre sans encombres et sans gènes. Mais il préfère se battre dans un espace ouvert où il trouverait un endroit où se cacher.
  • Maitrise de l'arc : Il rate très rarement sa cible.
  • Maitrise de la dague : Il ne s'en sert jamais, mais elle peut lui être utile en cas de grand danger.
• Connaissance de la nature : Ayant chassé pour se nourrir il connait bien la foret et son lot de dangers.
• Connaissances scolaires de base : il sait lire et écrire et sait calculer.

Talents

• Chasseur méconnu : Il Chasse très régulièrement et ne reviens jamais sans avoir quelque chose dans sa besace. Il préfère ne pas se venter de ses talents de chasseur.
  • Il possède aussi un chien, celui-ci se révèle très utile lors de ses chasses.

Défauts

• Très distrait : il aime se déconnecter de la vie réelle et de tout ses soucis.
• Très curieux : il n'hésite pas à espionner les gens, lorsque l’intérêt s'y prête.

Intérêts culturels et goûts

Draghnar aime regarder le ciel, surtout de nuit vu qu'il est très distrait et souvent dans la lune. Il aime surout parcourir les terres forestières armé d'un arc, logique vu qu'il est chasseur.

Amis déclarés

Serrena : C'est son amoureuse, il l'a rencontrée à Caroggia un jour de marché et est tout de suite tombé sous son charme.

Hiiagara S'Jet : C'est le premier ami que Draghnar s'est fait à Esperia. La première personne à qui il à fait confiance. Ils sont arrivés ensemble à Esperia et ont les même maitres.

Lily : Draghnar l'apprécie pour sa gentillesse et son amour pour les animaux. Il est souvent d'accord avec elle et se sent bien en sa présence.

Eleonore : C'est sa maitresse. Draghnar à un profond respect pour elle et l'apprécie beaucoup car elle est d'une gentillesse remarquable.

Guidrion : C'est l'homme qui a acheté Draghnar. Draghnar le voit comme son nouveau père et son guide pour mieux vivre en Esperia.

Ennemis déclarés

Nelith : Ce personnage insupporte Draghnar. Pas simplement parce qu'il manque de respect à ses maitres, mais surtout parce qu'il est insolent et insupportablement borné. Il pense ne rien savoir faire de ses mains et embête les gens qui, eux, travaillent.

Histoire

Enfant de riches notables Caroggians, Draghnar avait tout pour reprendre l'affaire familial. Il était scolarisé à l'école de mathématiques avec ces deux frères et sa sœur, afin de gérer les comptes familiaux, il était très populaire auprès des autres élèves, des professeurs, des habitants de la capitale et surtout... auprès des filles, car oui, Draghnar a un sourire ravageur! Mais Tout cela ne l'intéressait guère, c'était plutôt un sacré rêveur étourdit, il se fichait éperdument des formules d'usages et de politesse. A bas les "comment allez-vous mon bon monsieur?" ou encore les "Bien le bonjour mon seigneur." Tout cela l’exaspérait au plus haut point! Lui, ne rêvait que de créatures de légendes disparues depuis des lustres, de magie ce qui était déjà très mal vu par les praticiens du culte de l'Arbitrio et des nouvelles technologies. (Il était absorbé par la facilité que pourrait procurer les automates dans la vie de tous les jours, ainsi que la puissance de ces "machines" qu'il imaginait et dessinait, car plutôt que de travailler à l'école, monsieur préférait dessiner) Peu après qu'il ait atteint ses 16 ans, lui et sa famille se furent dépouillés de leur biens, ruinés après avoir acheté une questure dont ils ne purent récupérer les intérêts. Et comme si ce n'était pas assez, la réputation de sa famille avait été noircie par les banques Kemaltar. Vivre dans un monde où l'argent règle tout et où il fait le bonheur est terriblement dangereux. Ils se sont vite retrouvés à la rue. Les parents tombèrent gravement malades à cause d'une épidémie de peste bubonique très présente dans les ruelles de son ancien quartier à cette époque. Après leur mort,restée totalement inaperçue, les enfants sont allés dans un orphelinat de très bonne réputation mais en réalité très strict. Draghnar avait horreur de se soumettre aux règles, il s'est donc très vite enfuit, laissant ses 2 frères et sa sœur derrière lui. Pour survivre il dû commencer à vivre de ce que lui donnait les passants et du vol à l'étalage. Mais après s'être fait attraper plusieurs fois, dix-huit fois en tout, il à dû renoncer à la vie de bandit des rues pour partir en forêt où il vivrait de la chasse, de la cueillette et ... du pillage de caravanes. Il rejoignit alors un groupe de bandit qui sévissait dans la région, où ses capacités de discrétion et son agilité lui procurait un net avantage par rapport aux autres bandits qui à l'instar de Draghnar, étaient plutôt ... Forts et musclés. Au moins il se sentait à sa place, lui qui avait soif d'aventure.

A l'époque de mes 22ans, par un beau jour ensoleillé, je me rendit au marché pour tenter de vendre les objets dérobés aux pauvres voyageurs mais aussi pour vendre le gibier du matin. Je me rendit tout d'abord à l'étale de l'armurier, chez qui j'avais l'habitude d'aller revendre les objets volés, depuis bien 4 ans. Il s’appelait Farendir, ce brave homme ne savait absolument pas d'où provenait tout ces objets, mais même s'il avait quelques doutes, il ne penserait jamais dénoncer son meilleur fournisseur. Tant qu'il peut vendre, ça lui allait. Un caroggian ne pense qu'avec sa bourse après tout!

-"Je te salues mon bon Draghnar! Dit le vieux vendeur. Alors que nous ramènes tu cette fois?"

-"J'ai un peu de tout, mais regardez cela : un beau pendentif sertis d'émeraudes!, dis-je."

-"Magnifique! Les émeraudes se font de plus en plus rares, tu sais? S'exclama-t-il."

-"Vous en donneriez combien?"

-"malheureusement, je commence à manquer d'argent... Dit-il en souriant."

-"On peut toujours trouver un accord, peut-être? L'argent ne m'intéresse guère, je préfère le dépenser à des choses utiles vous savez."

-"De quel genre d'objet parles-tu?"

-"Je parle seulement de quoi vivre, me nourrir plutôt!"

-"Oh! Mais cela peut se faire! écoutes... Je sais que tu vas chasser dans les bois de Caroggia, tu empestes la charogne, ramène nous ton gibier et mon épouse nous préparera le manger!"

-"C'est vrai? Oh, mon cher Farendir! Vous êtes un homme merveilleux!"

Après cela je partis trainer dans le marché, à la recherche d'un cadeau à offrir au vieux couple, afin de les remercier. Mais sur mon chemin, j’entendis quelqu'un qui m'appelait, je balayais les allentours à la recherche de la source de cet appel. Mon regard S'arrêta sur un jeune vendeur. Je reconnaitrais les victimes de mes vols entre milles. Il s'agissait d'un marchant voyageant dans une carriole remplie de fruits et légumes, même si son métier parait ridicule, il remplissait bien ses bourses car ses légumes étaient de qualités! Par ailleurs, je n'avais jamais aussi bien mangé de ma vie, et ma bourse s'est très nettement vue agrandir. Il m'avait reconnu parmi une foule de badaud et en plus, après 4 mois! Étonnant ce vendeur, mais ce n'est pas lui qui me rattrapera, je suis bien trop rapide pour ses petites jambes boudinées. Je commençai alors à courir, en esquivant tout les passants, j'arrivai enfin à une bonne cachette où je resta un bon moment, jusqu'à ce que le calme revint. Pour m'assurer que tout était calme je revint au marché, la capuche sur la tête pour que l'on ne me reconnaisse pas. C'est à ce moment que ma route croisa celle d'une magnifique jeune femme. Elle était bonde, assez grande pour une Carogiane. Ses yeux m'ont envoûtés Dès que nos regards se sont croisés. Elle était assise entre deux échoppes, avec un papier où elle dessinait des plans, des bâtiments et même des passants. D'habitude je ne m'intéresse pas aux filles, mais là, mon cœur me dirigeait plus que jamais. Je la regardait de loin, sans vouloir m'approcher. J'y passais toute la soirée, mais avant que je ne voulut l'inviter à aller à la taverne. Elle s'est envolée avec un vieux monsieur, je me souviens juste avoir entendus son prénom, lorsqu'il le lui demanda ; Elle s’appelait Séréna... En retournant chez le vieil armurier, j’aperçus sur un panneau, un avis de recherche... Le mien!

Le soir, chez farendir, j'avais amené une biche, avec laquelle on pouvait subsister quelques jours. Sa femme l'avait bien préparée, c'était une merveilleuse cuisinière! Nous avons longuement discutés à table mais l’essayait tant bien que mal de cacher les côtés sombres de mon passé. Eux, me racontaient leurs vie. Comment ils se sont rencontrés, leur mariage, leur décision d'ouvrir un magasin en ville, et cætera. C'est fou comme la vie des citadins peut paraitre passionnante lorsqu'on oublie la pauvreté qui règne dans ces rues. Ils ont menés une bien belle vie en comparaison avec la mienne... Mais ils ont aussi beaucoup souffert avec la crise que Caroggia à subit dans mes jeunes années. Ils ont souffert, peut-être, mais pas autant que moi et ma famille... Ma famille, cela faisait longtemps que je n'y avait plus repensé... Farendir vit que j'étais las de ma journée et me proposa alors de dormir chez eux cette nuit. J'acceptai. La nuit fût douce, très douce! Depuis combien de temps n'ai-je plus dormis dans un vrai lit? Depuis ma fuite, c'est certain! Au déjeuner, je retrouvai Farendir et son épouse dans la pièce où je les avait quittés le soir même.

-"Dis-moi gamin, ça fait longtemps que tu n'as plus vécu dans une maison, n'est-ce pas? Me lança-t-il, me voyant réjoui d'une si belle nuit"

-"Certes, je pense que je ne peux pas vous le cacher."

-"Je pense savoir assez de choses sur toi, vu que je te vois toutes les semaines. Tu ne vis pas honnêtement, je le sais et on aimerais te proposer quelque chose."

-"Je vous écoute."

-"Si tu es prêt à arrêter tes pillages, on pourrait te loger ici à conditions que tu ailles chasser pour que l'on ne puisse mourir de faim."

-"c'est un marché honorable, lui dis-je. Mais je suis votre meilleur fournisseur non?"

-"ne t'inquiète pas pour ça, tu n'es pas seul. Et puis j'augmenterai mes commandes vu qu'on ne devras plus acheter de nourriture."

-"Laissez moi y réfléchir, je vous reverrai ce soir pour vous annoncer ma décision."

-"bien, mais ne prends pas trop ton temps, cette offre ne se fera qu'une fois!"

Je pris mes affaires, ma cape, et partis me promener dans les bois pour réfléchir à cette décision. Rien ne m'en empêchait à première vue. Mais je prenais le risque de m'attirer les foudres de mes anciens compagnons de pillage, ainsi que de me faire reconnaitre dans la ville, après l'avis de recherche qu'ils viennent de placarder sur tout les panneaux d'affichage. Bien que j'aimais ce couple, je ne pouvais accepter leur offre, je ne voulais pas leur causer du tort ou même leur arrestation. Au soir, comme promis je revint leur annoncer la mauvaise nouvelle. J'avais choisis de ne pas les mêler à mes problèmes. Mais c'était trop tard... Trois gardes m'attendaient là bas, il avaient déjà menottés mes bons amis, il ne leur manquait plus que moi. Deux d'entre eux avaient déjà décochés une flèche, j’évitai la première de justesse, mais pris la deuxième à quelques centimètres au dessus du genoux. Il ne manquerait plus que je ne puisse plus rien faire qu'être garde! J'étais au sol, il faut dire que mes jambes m'auraient mieux servies sans cette flèche. Je déteste ne plus pouvoir me mouvoir! Ils m'ont menotté et m'ont conduis jusqu'au cachot. Mes compagnons d'infortune ne me rejoignaient pas, je crains le pire. Puis on vient me chercher, pour me dire que j'irai dans un endroit meilleur, où je pourrai servir à quelque chose. Et me voilà maintenant : voyageant dans une cage sur roues, vêtu d'une toile de jutes et de chaines, en direction du nouveau monde. Une nouvelle vie s'offre à moi et je compte saisir ma chance pour me racheter.

C'est là toute mon histoire, rien de plus rien de moins. Certes, j'aurais pu parler de quelque chose de plus joyeux, comme l'époque où j'étais avec mes amis les bandits, et où je volais aux riches pour redonner aux pauvres, pour reprendre l'argent aux pauvres, devenus riches. Mais cela est un toute autre histoire.

Depuis mon arrivée à Esperia, je fus acheté par sir Guidrion, afin de servir l'abbaye d'Esperia, avec trois autres esclaves de la dernière cargaison. Les noms des esclaves rencontrés sont : Quirby, Hiiagara et ... Serrena. La fille que j'avais déjà rencontré plusieurs fois dans ma vie et chez qui je me suis réfugié lors de notre déportation vers Esperia. Elle et moi sommes maintenant inséparables et notre amour tiendra le coups qu'importe les risque qu'il faudra braver!

J'exerce mon métier touts les jours, en ramenant à chaque fois un peu de viande. Dans la forêt j'ai rencontré un loup, celui-ci était seul et était apeuré. Il avait surement été chassé de sa meute. Je l'ai donc adopté en espérant pouvoir le garder sans qu'il pose problèmes.

J'essaye maintenant de proposer mes services de chasseur un peu partout... Espérant me faire un peu d'argent.