Utilisateur:Walfrid : Différence entre versions

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Version du 22 mai 2013 à 20:09


200.png

Informations RP
Genre
Homme
Année de naissance
Rang








Métier
Métier










Origines
Ville d'origine
Nation d'origine

Informations HRP
Login Minecraft
Evernight08
Pseudo
Walfrid




Walfrid Osbern

Description

  • Né le : 21 octobre 494
  • Religion : Monastère adaarion
  • Poids : 80 kg
  • Taille 1m85

Compétences

  • Survie :

Ayant fugué la maison familiale, il dût trouver de quoi se nourrir durant quelques mois pour enfin trouver logis dans un monastère.

  • Alphabétisation et calcul :

Étant dans un monastère pendant sa jeunesse, notre ami Walfrid a su développer un grand savoir ce qui lui permit de savoir lire et écrire très facilement à l'aide des moines.

  • Combat :

Pendant sa période de fugue, Walfrid trouvait un groupe de gamins qui lui apprit comment survivre mais surtout, savoir se défendre en cas d'extrême urgence.

  • Endurance :

Très rapide, il devait savoir comment devenir endurant, c'est grâce à l'aide de la bande de gamins et, du groupe de moines qui le recueillit qu'il put devenir un homme endurant et résistant.

  • Agilité :

Étant obligé de voler pour se nourrir, savoir être agile était son seul moyen de ne pas se faire prendre.

Qualités

  • Discret
  • Travailleur
  • Joyeux
  • Ambitieux
  • Altruiste

Défauts

  • Impulsif
  • Coléreux
  • Avare
  • Méfiant
  • Cupide

Amis déclarés


Lucie d'Arsonval Cadirissa :

Est son ami depuis sa plus tendre enfance, n'aillant jamais été séparé, savoir qu'elle fût recueilli par le monastère puis dans le dispensaire lui fit une grosse douleur au coeur.

Ennemis déclarés

Son journal

[07/05]: Arrivé sur Esperia, acheté pour 5eO par les Qadjarides, remis en liberté indéterminée.

[08/05]: Acheté par Sylvestre, membre de la famille Awolius pour 13eO, puis fit conaissance avec Stranh, le bucheron et ami de Sylvestre.

[10/05]: Participe à son premier chantier dans le Quarttier Ouest et recontre Ulf, ils deviendront amis par la suite.

Histoire

Acte I : Bien plus qu’une enfance, une histoire sans fin …

C’est ici que commence le périple de notre héros Walfrid Osbern, récit écrit le 17 juin 512 en période de guerre à Andessa.

Walfrid, 10 ans, faisait partie d’une famille nombreuse de quatre enfants vivant avec leur mère, leur père était parti travailler à la ville en tant qu’artisan, il ne venait que très rarement à la maison. Notre héros était un garçon tout à fait comme les autres, travailleur, parfois un peu trop, il y donnait du sien pour aider sa pauvre mère à nourrir la famille, il n’allait pas à l’école, ou plutôt, il n’avait pas le temps, tantôt à fouiller les caisses de marchandises de l'épicerie voisine , tantôt à cultiver le petit bout de terre que prettait le seigneur Areal. Ce fut un soir d’hiver, les nuits étaient rudes et les récoltes n’étaient pas bonnes, très peu d’eau courante, une marmite qui ne chauffe pas avec le bois humide, voilà ce qu’endurait notre jeune Walfrid... Mais cette nuit- là ne fut pas comme les autres, c’était les gardes du seigneur Areal qui sonnaient à sa porte, Walfrid, allongé sur son lit glacial, entendit les hommes entrer, il entendit ensuite un cri qui venait de la pièce du dessous, sa mère peut-être ? Il ne comprit pas très bien cette situation qui, pour lui était si confuse et brusque à cette heure si tardive, c’est en comptant les nombres de gouttelettes qui tombaient de son toit de chaume, qu’il put déterminer le temps approximatif de cette intervention si impromptu, après 37, 38, 39, 40 gouttelettes tombées, Walfrid n’entendit plus aucun bruit, soulagé, il décendit les marches deux par deux pour voir ce qui s’était réellement passé, et là il fut stupéfait en voyant sa mère, au sol, ses vêtements déchirés et son visage ensanglanté, elle venait de se faire frapper par ces deux gardes pour on ne se sait quelle raison, une colère très intense envahit alors notre héros, mais pas n’importe quelle colère non, plutôt une rage de revanche, une force inconnue surgit alors en lui, quelqu’un lui avait jeté un sort . On ne saura jamais ni pourquoi, ni comment. Notre courageux héros prit alors une grande inspiration, prit son sac, son épée de bois, son casque et ses bottes en cuir, et quelques œufs crus, ouvrit la porte de la maison familiale et laissa derrière lui un mot gravé sur une pierre :

« Je m’en vais, prennez soin de mes frères et sœurs, je reviendrai ... »

Il survit alors pendant quelques semaines dans la nature et en se nourissant de fruits et quelques animaux crus laissés par des chasseurs, après plus de deux semaines de marches intenses, il crut qu’il allait vraiment mourir c’est alors que, là-bas derrière un arbre, un petit bonhomme tout maigrichon se présenta à lui, il fût alors amis amis avec ce personnage très mystérieux nommé Wido, une espèce de gamin des forêts sans famille, juste de quoi se nourrir et se loger pour quelques nuits, voilà ce qu’attendait notre héros intrépide, c’est grâce à lui que Walfrid put progresser dans le domaine de la survie . Après une semaine à vivre avec son ami Wido, notre héros lui fit ses adieux pour continuer son périple vers, vers quoi ? Même lui ne le savait pas... Mais ce fût qu’après deux jours de longue marche, en suivant un sentier tracé des siècles avant lui que Walfrid découvrit avec stupeur, un monastère, identique à celui qui se trouvait dans sa ville, il se précipita alors vers ce bâtiment pour y trouver refuge. Il avait 11 ans ce jour-là c’était un matin le 28 juillet 505. Un moine, tout de blanc vêtu se présenta à lui, une aubaine pour Walfrid, qui, était vraiment sur le chemin d’une mort longue et douloureuse. Le moine, nommé père Augustun, le pris sous son aile pendant des jours durant, Walfrid s’intégra très facilement à cette communauté de curés et d’enfants mal propre qui étaient orphelin ou délaissé par leurs parents, tout comme lui, l’art de se battre y était enseigné mais aussi le catéchisme qui, ne plaisait pas vraiment à Walfrid qui, lui, préférait discuter avec sa nouvelle amie, Lucie d’Arsonval, une orpheline, enfin c’est ce qu’elle disait, vivant ici depuis de longues années et, qui avait une sagesse et dextérité que nul autre enfant avait acquit en ce lieu ! Ils étaient souvent ensemble, tantôt à cultiver le potager, tantôt à s’entrainer à couper les têtes des épouvantails avec des petits bouts de fer trouvés chez le forgeron voisin, tous les soirs avant de se coucher, Lucie lui apprenait à lire et à écrire, lui qui en rêvait tant ! 3 longues années se sont écoulées, Walfrid était devenu fort et vif, il savait lire et écrire et magnait l’épée comme nul autre, Lucie, elle avait atteint ses 17 ans ce jour-là, on fit une grande fête dans le monastère, tout le monde étaient joyeux et dansaient sur le rythme d’une Arpe blanche, tout le monde ... non, seul nos deux héros étaient restés à l’intérieur du monastère, pourquoi ? Ils préparaient une chose auquelle personne ne s’attendait, détruire une partie du monastère, voler ... non, plutôt une préparation à un long et dangereux périple, seul le moine Augustun était au courant et était d’accord pour leur laisser prendre leur envole et découvrir le monde qui les entoure… [ Walfrid avait 14 ans et elle est 17 ans]

Acte II : Un nouvel ami ?

Durant plus de 9 lunes, nos deux héros réussirent enfin à rejoindre une ville assez grande pour les accueillir, du moins c’est ce qu’ils pensaient. Pas moyen d’entrer par la porte principale de la ville ! Mais Walfrid, qui savait où il se situait, s’agrippa à une roche qui se trouvait non loin de la muraille de la ville, prit une pierre, la jeta contre une vitre, aucun bruit, personne, il prit alors sa ceinture de cuir que lui avait offert le moine Augustun pour ses 13 ans, fit un nœud autour d’une autre roche et relança à nouveau un autre caillou cette fois-ci plus gros, il prit son courage à deux mains, s’agrippa à sa ceinture, et se maintint de toutes ses forces pour monter sur le rebord de la fenêtre qu’il venait de casser, mais manque de chance pour nos deux héros, au moment où Lucie avait enfin réussi à rentrer dans cette chaumière, un homme leur fit face, nos deux héros étaient pétrifiés à l’idée de savoir ce que leur réservaient cet homme si sinistre, pensant qu’il allait mourir, Walfrid se mit à genoux devant l’homme et lui supplia de leur laisser la vie sauve, l’homme prit alors les mains de nos deux héros, les emmena à l’autre bout de la maison où, s'y trouvaient plusieurs autres hommes, aussi bizarre que lui. Ils se mirent alors tous à rire pour on ne sait quelle raison, de la bière, des chaises en bois, de l’argent, des jetons de bois lancés sur une table, mais oui ! Walfrid et Lucie se trouvaient dans une taverne d’ivrognes ! L’homme qui les avait trouvés n’était pas le barman, juste un humble voleur on dira plutôt un happe-bourse, qui ne pensait qu'à boire, il se nommait Valter et avait à sa tête 3 autres hommes dont nous ne connaitrons jamais leur nom. Nos deux héros discutaient avec lui depuis maintenant 2 heures, l’homme bu plus de 6 bières, il puait l’alcool, mais il pouvait encore parler, Walfrid lui raconta leur périple pour ensuite atterrir dans cette salle où Valter les avait trouvés, Lucie lui demanda s'il n’avait pas de quoi les loger, Valter, encore sous l’effet de l’alcool accepta de les loger pour deux nuits, mais en échange, nos deux héros devraient lui montrer ce qu’ils valent vraiment, Walfrid qui était le plus petit et le plus vif se porta volontaire pour cette tache, il savait comment si prendre, il l’avait déjà fait des centaines de fois. Il s’approche d’un homme, qui, lui non plus n’avait pas bu que de l’eau, il tend sa main vers la poche de l’homme, et tout doucement, glisse sa main, ça y est ! il touche l’argent de l’homme, il la prend et … L’homme se lève pour quitter la taverne, notre ami Walfrid n’ayant pas eu le temps de retirer sa main, se fait prendre le bras par l’homme, Lucie voulant aider Walfrid pousse l’homme par terre, Walfrid est libéré, enfin c’est ce qu’il pensait, deux gardes de la ville, se trouvant devant la taverne avaient vu la scène, se précipitant vers nos deux compagnons, attrapèrent leurs bras et l’un d'eux s’exprima :

" Oh nom de la ville de d’Andessa, et du seigneur Areal, je vous arrête pour avoir volé l’argent d’autrui "

Le deuxième garde, mennota et enchaina Walfrid, Lucie fut emmenée par l'autre …

Acte III : Une journée pas comme les autres

Walfrid avait très mal dormi, plusieurs blessures se voyaient sur son visage et son torce, il voulut se lever pour comprendre ce qui lui était arrivé, une force surhumaine le retenait, ou plutôt des chaines aux poignets et aux chevilles l’empêchaient de faire le moindre geste, ou est-il ? ou va-t-il ? plusieurs questions restent dans sa tête sans savoir aucune réponse... Une heure plus tard, Walfrid est toujours enchainé, cloué, maintenu, il ne se sent pas très bien et devient de plus en plus en blanchâtre, pourquoi ?! Une chose était cachée au fond de cette pièce sombre et humide, un rat ? Non la chose était trop grande pour ça, un chat .? Non car la chose parlait, il a trouvé, c’est humain, oui vous avez bien entendu, un humain squelettique, enchainé lui aussi, il n’avait pas l’air jeune, une soixantaine d’années surement. L’homme, qui avait vu Walfrid à son tour, lui expliqua où il se trouvait, pourquoi et comment il était arrivé ici, mais oui maintenant tout s’explique ! Walfrid a été arrêté par les gardes et emmené dans ce bateau de marchandise pour purger sa peine, mais pourquoi un bateau de marchandise ? Notre héros n’eut même pas le temps de se remettre de ses émotions qu’un homme cria au dessus de lui :

« Terre en vue ! »