Utilisateur:Aracthor : Différence entre versions
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La foule fut impressionné par ce prix, qui ne monta plus. Aracthor ne savait alors pas ce que cela représentait, mais il sut que ce fut beaucoup. Il fut ainsi vendu à {{Nom Personnage|page=Utilisateur:Nobuo}}, l'une des deux verrières de la ville, et consul de la justice et de la sécurité.<br /> | La foule fut impressionné par ce prix, qui ne monta plus. Aracthor ne savait alors pas ce que cela représentait, mais il sut que ce fut beaucoup. Il fut ainsi vendu à {{Nom Personnage|page=Utilisateur:Nobuo}}, l'une des deux verrières de la ville, et consul de la justice et de la sécurité.<br /> | ||
Après lui avoir brièvement fait visité la ville, elle lui explica son fonctionnement, et lui dit que sa couchette se situait à la cave. Bien que ce fut sur un sol de pierres humides, Aracthor dormit comme un mort. | Après lui avoir brièvement fait visité la ville, elle lui explica son fonctionnement, et lui dit que sa couchette se situait à la cave. Bien que ce fut sur un sol de pierres humides, Aracthor dormit comme un mort. | ||
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− | Aracthor fit deux fois le tour de la cité, notant scrupuleusement chaque classe et date d'expiration de toutes les licences visibles. Lorsqu'il donna la liste finie à dame Nobuo, celle-ci fut très surprise de voir que plus de la moitié d'entre elles n'étaient pas en règle. Pour le récompenser de ce dur labeur, elle déduisit de sa dette 15 espers d'or. | + | Aracthor fit deux fois le tour de la cité, notant scrupuleusement chaque classe et date d'expiration de toutes les [[Article E-5 - Licences|licences]] visibles. Lorsqu'il donna la liste finie à dame [[Utilisateur:Nobuo|Nobuo]], celle-ci fut très surprise de voir que plus de la moitié d'entre elles n'étaient pas en règle. Pour le récompenser de ce dur labeur, elle déduisit de sa dette 15 [[Esper d'Or|espers d'or]]. |
Version du 27 avril 2012 à 10:02
Sommaire
Caractéristiques
Description
Ayant eu dans sa petite enfance une alimentation riche en poisson, il est assez grand mais très chétif. Mais son regard à travers ses yeux bleus trahis une vivacité d'esprit qui induit à dire que malgré son physique, il trouvera sa place dans la vie.
Talents
Ses études à Caroggia lui ont non seulement appris à lire et à écrire, mais lui ont aussi fournit de nombreuses connaissances mathématiques. En plus d'avoir exercé ses compétences avec des marchands, il gagna auprès d'eux quelques astuces pour pigeonner les naïfs aisément.
Défauts
Ses professeurs et ses camarades de classe lui ont souvent fait remarquer : son arrogance le perdra. En effet, hormis pour l'église, il a du mal a cacher ses idées et n’hésite que bien trop peu à dire franchement ce qu'il pense d'une personne devant elle, même si celle-ci est un riche marchand ou un politicien important.
Depuis le terrible évènement qui eut lieu dans son village, il a aussi la phobie des grandes étendues d'eau. Il ne peut approcher d'une mer, d'un océan ou même d'un grand lac sans paniquer, et ne peut traverser un pont au dessus d'une rivière, même large et sécurisé, sans devoir au préalable faire des efforts pour se calmer.
Histoire
Avant Esperia
Sa jeunesse
Aracthor est né dans un petit village de pêcheurs non loin de Caroggia. Bien qu'on ne puisse qualifier ce village de "pauvre", la richesse des marchands de la cité non lointaine les réduisaient au rang de faire-valoir. Les quelques marchands qui passaient par là achetaient à prix déconcertants la subsistance des habitants.
Aîné de ses deux frères, il a prouvé dans son plus jeune âge qu'il était bien plus doué avec les chiffres et les lettres qu'avec les lignes et les hameçons grâce à ces marchands. Un jour, alors qu'il était âgé de 5 ans à peine, l'un d'eux lui parla de son métier et des problèmes mathématiques qui en découlaient. Alors que la plupart des habitants aurait trouvé cela aussi ennuyeux qu’incompréhensible, lui montra beaucoup de facilité et d'affinité dans ce domaine.
Ses parents ont donc décider de miser leur avenir sur lui, en usant de toutes leurs économies pour l'envoyer faire des études à Caroggia. Une fois là-bas, il suivit avec assiduité et passion les cours de ses professeurs, et en sortit diplômé rapidement malgré son retard sur les autres élèves. Ses grandes facilités pour les mathématiques le tournèrent vers un métier de marchand. Il rentra alors dans une école d'économie, où un drame l'en fit sortir moins d'un an après.
La déchirure
Ce drame survint alors qu'il était un vacances dans son village natal, avec sa famille. tandis qu'il était au marché, en train de conseiller ses parents pour leur permettre plus de profits, un grondement lourd se fit sentir, et le sol trembla pendant quelques instants. Les habitants du coin n'étaient pas habitués aux tremblements de terre, mais celui-ci n'étant pas important, l'inquiétude ne monta pas. En revanche, le mur d'eau gigantesque qui se rapprochait à présent du village la fit grandement monter. Ce qui suivit altéra son esprit pour le reste de sa vie.
En se réveillant, Aracthor se tâta pour s'apercevoir qu'il n'avait rien de cassé. Mais il était le seul dans son cas. Le village entier n'était plus qu'un immense champs de débris et de corps brisés et sans vie. Ses parents et ses deux frères n'avaient pas échappé à la règle. Après leur avoir donné une sépulture décente, il s’effondra au sol et s'endormit, totalement vidé de ses forces.
La route vers Esperia
Attiré par le désastre, un groupe d'esclavagistes fouilla les ruines en quête de survivants à capturer. Mais ils comprirent vite que tout avait été dévasté, et qu'il ne restait plus rien à piller ou capturer. Alors qu'ils allaient abandonner, Aracthor se réveilla et aperçut les esclavagistes. Ayant apprit à les reconnaître à Caroggia, il tenta aussitôt de s'abriter dans la forêt. L'un des contremaîtres remonta sur son cheval et se lança à sa poursuite, et sa monture eu le dessus sur les jambes d'Aracthor, et le ramena à la capitale.
Sur le chemin le menant au marché d'Esperia, Il tenta de s'informer au près des autres captifs de la situation de la ville qui était leur destination. Etant donné qu'elle contenait bien plus d’analphabètes que Caroggia, Aracthor en déduisit qu'elle devait contenir plus de limités et de naïfs que sa région natale, la connaissance étant pour lui découlant directement de l'intelligence. Par conséquent, il ne tenta pas de s'évader. Avec un peu de chance, son prochain maître sera facile à duper, et il pourra alors aisément s’éclipser. Ou mieux encore, provoquer son affranchissement et s'installer comme marchand à la ville.
Il ne révéla jamais ses connaissances mathématiques à ses ravisseurs. Son physique étant chétif, sa valeur de vente sera probablement des moindres. Mais un acheteur attentif poura tout de même lire dans son regard son esprit raisonné et solide.
Premier Jour
Il voyagea pendant plusieurs centaines de cycles en zeppelin, avant de débarquer près d'un port. Là, le contremaître l'enferma avec trois autres esclaves et les enchères débutèrent. Le premier, un homme robuste se disant maçon, fut vendu comme combattant pour 25 espers d'or. Le second, vendu lui aussi comme combattant, valu 30 espers d'or.
Le tour vint au troisième. Alors que le marchand lui demandait ses qualités, Aracthor lui souffla : "Ment-lui ! Il ne doit pas te connaitre !" Mais le marchand l'entendit et le frappa à plusieurs reprise.
- QUE VIENS-TU DE DIRE ? Hurla-t-il.
- Ri... Rien ! Balbutia Aracthor.
- Ah oui ? Et toi alors, en quoi est-tu bon ?
- M... Moi ? Je ne suis bon en rien...
De nouveau, le maître frappa.
- D'accord, d'accord ! Je sais lire et écrire ! Je suis même très à l'aise pour ce qui est de l'art des chiffres !
- Ah, un intellectuel... Enfin...
Le marchand se retourna vers la foule d'acheteurs pour hurler : "Je vend celui-ci pour ses qualités intellectuelles ! Qui en veut ?"
Deux acheteurs se mirent alors à monter entre eux espers par espers. 40, 45, 50, 55, 60, 61, 62, 63... Puis Ils se mirent alors à augmenter par vingtaines, faisant briller les yeux du marchands un peu plus à chaque surenchère. "Tu vas me rendre riche, esclave." Chuchota-t-il à l'oreille d'Aracthor. Alors que son prix était de 140 espers d'or, une femme prononça alors "200".
La foule fut impressionné par ce prix, qui ne monta plus. Aracthor ne savait alors pas ce que cela représentait, mais il sut que ce fut beaucoup. Il fut ainsi vendu à Nobuo, l'une des deux verrières de la ville, et consul de la justice et de la sécurité.
Après lui avoir brièvement fait visité la ville, elle lui explica son fonctionnement, et lui dit que sa couchette se situait à la cave. Bien que ce fut sur un sol de pierres humides, Aracthor dormit comme un mort.
La quête de l'affranchissement
La plupart des habitants d'Esperia avaient l'habitude d'affranchir leur esclave une fois que celui-ci avait remboursé son prix. Pour Aracthor, cela paraissait naturellement impossible. C'est pourquoi sa propriétaire décida de fonctionner selon un système de capital : pour chaque service rendu, elle retirait une certaine somme de sa dette. Il ne fut libre qu'une fois cette dette entièrement remboursée.
La liste des licences : 15 Espers d'or
Dame Samara, la présidente du sénat et colocataire de dame Nobuo, avait envoyé Aracthor parler à celle-ci d'une histoire de licences que l'esclave n'avait alors pas comprise. Dame Nobuo lui tendit une feuille de papier et, lui expliquant le taux de fraude économique qu'il y avait à Esperia, l'envoya faire le tour de la ville pour relever les détails de toutes les licences de la ville.
Aracthor fit deux fois le tour de la cité, notant scrupuleusement chaque classe et date d'expiration de toutes les licences visibles. Lorsqu'il donna la liste finie à dame Nobuo, celle-ci fut très surprise de voir que plus de la moitié d'entre elles n'étaient pas en règle. Pour le récompenser de ce dur labeur, elle déduisit de sa dette 15 espers d'or.