Ouest

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Le Quartier Ouest

Description




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Les pavés résonnants des roues des charrettes, le forgeron frappant l’enclume dès le petit matin levé, les habitants s’ébattant joyeusement à même les cochons, tel est une monotonie tranquille que vous pourrez observer au Quartier Ouest. Là bas, il fait bon vivre, et le calme vient le signifier. Un vieillard affaissé à rempailler une chaise vous répondra que ce n’est pas pour rien que ce quartier est surnommé le quartier des bons vivants : que nenni la fortune dans les billevesées, là bas on festoie et on mengeoit jusqu’à plus faim et plus soif !

Lors de votre escapade entre ces ruelles, vous pourrez constater l'édifice tout particulier des lieux dits. Le style architectural du quartier se voudra ressembler à une de ces bourgades de campagne, pourtant il n’en est rien. Tantôt longuet, tantôt raccourci, la dimension inégale des résidences et des échoppes ainsi que les détails faisant à part et part, vous ferrons constater un mélange assez curieux de peuplades et d’origines aussi diverses que mélangés. Allant de l’atelier tendu sur une toile au manoir des jeunes nobliaux du quartier, la richesse cotoit la pauvreté, si bien que le bourgeois voisin pourrait devenir le pauvre du lendemain, si ce n’est l’inverse.

Nous sommes dans une quartier se voulant consacrer à l’artisanat locale, privilégiant l’amour de la terre et l’artisanat du bois et de ces bienfaits que d’autres valeurs. Ainsi, si nous nous faisons appelés les hommes de la terre, ce n’est point en vexation que nous le prenons, non, nous le voyons comme un fait et une réalité consentie de se positionner ainsi. Là bas, la paillasse s’enduit entre les pavés et la nature semble reprendre ses droits sur les façades des bâtiments, semblant donner une touche de couleur à l’ensemble. Si bien que cette vivacité est exprimée par la fête, la tablée, et les jeux que notre quartier vous offriront tout au long de l’année.

Sers, Dames, demoiselles et demoiseaux, soyez les bienvenues au Quartier Ouest.

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Au coeur des ruelles



Place Mata-Hamune, l’ode des chevaliers


Un peu excentrée au quartier, vous tomberez sur une petite place accueillant en son centre une sorte de piédestal surélevé. Dessus, se livrent sans merci, un duel éternel entre deux personnes en armures, l’une d’or tentant d’occire celle de fer raffiné, parant le coup du premier dans un geste aussi vif que précis.

Si nous nous approchons de la réalisation, nous noterons deux plaques sur l'édifice, l’une se voulant hommage au chevalier Thémis Lunargent, l’autre commémorant le chevalier Maestikare, deux anciens grands noms de la cité aujourd’hui partit... Et ce nom, Mata Hamune Ovesperia, ce nom auquel nous devons la nomination de la place, et bien il n’en est autre qu’un autre de ces guerriers en armure. Vous l’aurez compris, cet endroit est un hommage à la chevalerie Esperienne à travers les âges.

Tout autour de vous, une étal, quelques résidences, un atelier de peinture ayant prouvé son temps... Mais attardons nous sur la grande maison nous faisant face. Vous vous trouvez devant l’ancienne maison d’un des grands commandeurs d’Esperia, le Ser Davos, ayant tenté jadis de mettre en place différentes affaires en rapport à la royauté et arrêté pour ces faits. Que d’histoire commémorés avec ces quelques symboles et pourtant... Rares sont ceux pouvant encore contés ces histoires. Pourriez vous aussi vous rappelez du temps d’autrefois ?


Le Pinacle, place forte du quartier


Situé à l’extrémité du quartier, jonchant le quartier d’Adobe, une immense place surélevée surplombe l’ensemble du quartier. De part son nom, vous voici au Pinacle, la place forte du quartier.

C’est par la solidité de ces remparts et de ces masures que le peuple Hura s’est installé en ces lieux, jonchant l’endroit de symbolique de leurs contrées. La langue du même peuple est ainsi couramment parlé et le lieu se veut propice à un calme résidentiel constant. Tout autour de vous, les bâtisses semblent vouloir toucher les astres et s’entremêlent de part et d’autres, laissant filtrer des rayons de soleil sur les oliviers paresseux ayant logés à même les murets de l’endroit.

Une tour servant à la fois d’entrepôt et de surveillance pour la garde et le peuple vient surmonter l’ensemble, édifice souvent utilisé en cocasserie comme endroit de restauration de part son splendide panorama.



Place Raskan, reste du passé


Place voisinante de l’école, la place Raskan se dresse en voute avec les bannières noirâtre et violâtre de l’ancienne famille Raskan, triste famille à la réputation compromise selon qui voudrait l’entendre... L’endroit faisant office de mémorial, malgré tout ces faits, il en est un allé et venu clé pour ceux désirant se rendre à la pépinière, l’apothicairerie, le lavoir et d’autres édifices courants du quartier, d’ailleurs, parlons de ces derniers.

En face de vous, se dresse un bâtiment cachant le soleil à son zénith. Surmonté d’une tour, le lieu fait office à sa base de salle de jeux et de distraction pour les habitants de la cité, et son sommet est un lieu d’études et une boutique curieuse faisant office d’apothicairerie. Tout autour de cette place, vous pourrez apercevoir la oh combien connue taverne du Corsair Noar, dernier vestige des Raskans ainsi que plusieurs bâtisses isolées, dont la très prisée, maison des esclaves, lieu servant d’entrepôt à tout maitre désireux d’entasser ces achats entre quatre murs.

Le petit sentier derrière le plus imposant des présents bâtiments vous amènerait à une odeur de savon et de crasse vous menant soit à la Pépinière du quartier, soit au lavoir, libre à vous de continuer ou de rebrousser chemin...




L’Allée Artisane


Situé entre la Place des Arts et le lavoir, cet endroit se décalant entre la grande rue présente et des ruelles plus intimistes, vous fait place à un étalage curieux d’étals et autres ateliers. Là bas, la criée et les ventes du quartier se concentrent et il n’est pas rare de voir un porcinet égaré se faire poursuivre par une bande de bambins armés de bâtonnets, sous l’oeil curieux des passants.


Les rues sont pavés et incrustées de paillasse et de crottin, laissant pressentir l’allée et venue des bestiaux et autres véhicules quotidiens. Là bas, les geuloirs des marchands viennent attirés l’habitant commun dégustant son francton ou le bourgeois gentilhomme s’accaparant les revenues de ces quelques employés. Le maître artisan engueule l’apprenti rêveur, l’idiot du coin vient vendre ses cailloux à même le sol, et les dames se crêpent le chignon pour parler des dernières rumeurs. Après tous ces dires, vous aurez devinés que nous sommes dans le grand marché du quartier.


Les bâtisses sont mixtes et inégales, allant de l’échoppe au grand atelier, laissant entrevoir des cours où sont entassés divers matériaux à des entrepôts plus réguliers. Il n’est pas rare de voir le chargement d’une grue vous filer au dessus de la cabosse ou encore de glisser sur le rendu d’un soulard de la veille. Certains vous diront que c’est le dernier endroit de vestiges du quartier, d’autres vous parleront de leur dernier achat ou de la maîtresse du dernier bourgeois installé dans le coin... Habitants, libre à vous de quêter rumeurs et emplettes en ces lieux !



L’Académie, pôle de savoir


Skola pour certains, école pour d'autres, un établissement scolaire est indispensable pour une cité. Lieu d'instruction, de détente, véritable échafaudage du savoir, certains s'y plaisent et d'autre pas. Mais qu'on le veuille ou non, ses fondations sont solidement ancrées dans le sol d'Esperia.

Créée il y a fort longtemps par Amory Loinvoyant, puis rapidement repris en main par son frèreSer Marcus Loinvoyant, le système scolaire esperien ne date pas d'hier. Les formations y étaient dispensées par des professeurs agréées de manière fortement théorique puis de pratique. Le Gouvernement de l'époque a décidé de libéraliser l'enseignement, rachetant non seulement le bâtiment mais aussi le droit d'enseigner à l'initiateur du projet.

Le Gouverneur de l'époque, Ser Kemelvor Kemaltar, remit alors les clefs de l'enseignement à Ser Fabhrus de Kraanvik, personnage tout désigné de par sa charge de Consul de la Vie Esperienne, consulat aujourd'hui dissout. Abattant un travail considérable, le nouveau gérant de l'école réforma en profondeur l'établissement, travaillant de concert avec quelques personnes de confiance afin de parvenir à un système augmenté dans son équité. La libéralisation permit aussi d'offrir un niveau tarifaire inférieur à l'ancien proposé.

Une fois les infrastructures, réglementations et autres démarches administratives implantées en Esperia, le Ser Directeur de l'école passa la main pour diverses raisons à son assistante au consulat, Dame Dranna Lunargent qui travaillait déjà dans l'ancienne école.

Construite dans le plus strict respect de l'architecture du Quartier Ouest où elle se tient immobile, l'école actuelle est la deuxième connue par la ville. Elle se tient d'ailleurs au même endroit que l'ancienne, érigée par Ser Marcus Loinvoyant. Nous devons l'architecture, plus pratique et à grande facilité d'usage, à Ser Haenn du Puylon lorsqu'il officiait encore dans cette profession.

Désormais, l'école fut rénovée en Mai 514 par le biais de l'architecte Sergueitov, devenant une académie rassemblant les connaissances de la cité mais aussi la magnificence du travail de nos artisans et nos artistes. Cet édifice accueille en majeure partie, les écrits de nos prédécesseurs, à libre consultation.




La Pépinière


En continuant derrière la place Raskan et en empruntant le chemin opposé au lavoir, vous franchirez le pont de la rivière, vous laissant sortir de la cité au profit d’un lieu bien plus boisé. Situé au coeur même de la forêt Esperienne, la Pépinière est un endroit de travail du bois et de la flore, laissant vaquer les bucherons, les horticulteurs et autres apiculteurs...


L’endroit est espacé en plusieurs lieux. Tout d’abord, la scierie ponctuée en permanence par sa grande roue à aube, fait tourner la grande scie circulaire qui fait le bonheur des bucherons locaux, ces derniers bois coupés, sont ensuite transportés par baquet jusqu’à l’autre côté du cours d’eau pour être ensuite transporté à l’Allée Artisane.


La champignonnière vient accueillir le reste des lieux, s’espaçant entre les enclos fleuris et les fours grisonnants faisant bruler un bois servant à produire du charbon en continue. Ainsi, l’odeur des fleurs vient se bourdonner de la présence des insectes et il n’est pas rare de voir un horticulteur en colère, chasser à coup de trique, une chèvre un peu trop gourmande s’étant aventurée dans un de ses enclos...



Le Croisement des Embrumes, nécessité et promiscuité


Une ombre semblant du Pinacle, quelques maisonnées viennent se rencontrer au détour d’une ruelle. Vous voici au croisement des embrumes, faisant office de lieu des nécessiteux du quartier. Pataugeant dans la boue constante des ruelles, les mendiants et les freluquets viennent mendier le passant hasardeux, avant de rentrer dans leur bicoque craquante.

Les intérieurs sont petits mais stables, souvent un lit sans matelas ou une paillasse dure mais le paysan du coin n’en aura que faire du peu de confort découvert tellement l’idée d’un toit se fait présente. Les ruelles se torturent et serpentent, s’entremêlant en allées et retours constants, il n’est ainsi pas rare de tourner en rond avant de se faire déranger par un garnement vous ayant lancé un pavé, ce dernier s’enfuyant entre deux ruelles fines pour vous échapper en ricanant. Ce lieu est malgré tout un endroit de recueil et d’entraide, le gite n’est jamais refusé et les plus démunis viennent séjourner dans le bâtiment faisant office d’Autel à l’Arbitrio, ces derniers se serrant entre eux lors des froides nuits de Nivose. L’endroit du quartier semble jurer avec le jardin voisinant son passage.




Les Appartements Haute-Roche


Le premier lieu que l’on pourrait remarquer en entrant dans le quartier, sont ces appartements robustes accueillant les passants. Surnommés Haute Roche de part leur confort et leur rigidité, les lieux s'entremêlent entre ruelles et baratins passagers. Le lieu est souvent perçu comme résidence de l’habitant courant du quartier tandis que certains riront de l’entassement local mais il n’en est rien !


Lorsque nous franchissons ces portes, nous découvrons des logis coquets et chaleureux où l’odeur d’un bon repas se fait souvent pressentir. La curiosité locale vient de la petite épaisseur des murets entre les habitations, ainsi il n’est pas rare de surprendre un passant coller son oreille à la pierre et écouter les ragots des paysans ou les soupirs de la fanchon prenant son pied avec son gigolot du soir.


N’oublions pas que l’endroit est un point clé entre la poste et le reste du quartier, ainsi il n’est pas rare que la plupart des résidences se voient assaillir lorsqu’une d’elle se fait libérer.



La Colline O’Rhum, tout une histoire...


L’histoire et le temps en serait long si l’on devait vous conter l’histoire de la colline O’Rhum mais nous commençons par ces débuts pour vous expliquer le pourquoi du comment, voulez-vous ? Connue à ces débuts, pour accueillir la célebrissime taverne O’Rhum, première taverne de la cité, l’endroit s’est vu remplacer au fil du temps pour laisser place à l’ancien Dispensaire de la cité. Ainsi, nous sommes passés en l’espace de quelques mois à un endroit de fête à un espace de soin et de recueillement, étrange fait que voici et que seul les anciens pourront vous raconter. Par la suite, le centre-ville a été reconstruit et le dispensaire s’en vu déplacé, laissant le bâtiment à son tour, se voir vieillir.


Au gré du temps, la colline s’est vue héritée par le Quartier Ouest et un dernier projet s’est vu naquir, l’endroit se voulant refléter les vestiges du passé... Ainsi, le Chat Noir s’est vu acquérir d’un nouveau bâtiment, laissant rappelé des souvenirs à ceux ayant connu au même endroit, la présence de l’ancienne grande taverne de la cité. Tout d’abord, nous voyons une falaise depuis la place, falaise surmontée de splendides manoirs faisant office de nichoirs aux nobles locaux, les structures semblent tenir, s’étant à même construites de la pierasse solide de la falaise, cette dernière s’étant dévoilée après la destruction de l’ancien dispensaire. Lorsque l’habitant entre en ces lieux, il saura étonné du peu de présences d’édifices et du calme restreint qu’il oppose. Une habitation plus loin et nous nous voyons confronté à un endroit où l’eau d’une fontaine curieuse laisse clapoter ces remous sur les pierres des lieux. Les vignes d’un raisin local viendront emplir les narines du premier venu lorsque la Thermidor est présente et il n’est pas rare de voir des vendanges en ces lieux, malgré de l’extrême présence de vignes grimpantes... Mais le plus intriguant est à rencontre en cette petite place...


Le curieux viendra s’assoir et contempler la petite statue ornée d’or placée délicatement au centre de la fontaine, et c’est ainsi que vos yeux pourront en décrire et pressentir ce que vous contemplez :


« Là pour vous guider. » est gravé sur le socle doré, comme une conclusion qui expliquait tout. C'est une statuette de femme en or plaqué.
Elle est belle, représentée avec peu de traits, mais on reconnaît aisément, pour ceux qui l'ont connu, Aeris Hikari. Elle est debout, le pied gauche quelque peu avancé. Elle est vêtue très simplement : une sorte de tunique longue brodée sur les bords. Accroché à son cou, ressort le relief d'un collier qui repose calmement sur sa poitrine, en forme d’émeraude. La femme a le bras droit gracieusement tendu vers l'avant, brandissant une lanterne. Elle la tient ainsi droit devant elle, regardant devant elle, devant le spectateur. Des yeux sont sans pupilles mais semblent fixer au loin, voir au delà. Ses cheveux sont libres, ils tombent en cascadant sur ses humbles épaules, pourtant si belles.
Elle se dresse donc au milieu de cette eau, de cette fontaine, ce mouvement perpétuel qui l'entoure visuellement, mais aussi dans une dimension auditive. Comme un chant qui toujours se répète sans jamais être le même. Une voix qui calme et charme, comme celle de la chanteuse autrefois. Mais c'est la vision qui est le plus sollicitée par l’œuvre. Elle est en effet au milieu d'un puit de lumière. Le jour, le soleil vient directement la faire briller à travers le trou laissé par les plantes qui l'entourent et l'élèvent. L'or reflète alors ses beaux rayons dans toutes les directions, éclairant les si nombreuses zones d'ombres. En pleine clarté, la statuette fait assez mal aux yeux, renforçant la nature irréelle de la femme, tel un ange.
Si on a la chance de pouvoir la contempler de nuit, c'est la lanterne qu'elle tient fièrement qui prend la relève, et éclaire la place. La bougie intérieure diffuse certes moins de lumière, mais toujours avec autant de mystère. La flamme vascille sur le doux visage d'Aeris, qui semble vivre, bouger, sourire même si ses lèvres restent closes. Mais on peut aussi prendre peur : le visage de la chanteuse prend un air de démon, qui reste fixe, ne variant que ses émotions incontrôlables. Le chant de l'eau est également indéfinissable, insaisissable, irrite et harcèle. L’œuvre se défend elle-même, ou défend le spectateur, de lui même ? Puis vient le crépuscule, la femme se transforme, change de couleur, rougie, rentre en combustion, en transe, la lanterne laisse place de nouveau au soleil, mais c'est toujours les mêmes zones d'ombres qu'ils comblent, chacun leur tour, comme une fatalité d'incertitude guide le spectateur.
« A toi, Aeris Hikari » Gravé derrière le socle, discrêt.


Texte et réalisation par Silnoë, Orfèvre d'Esperia.


Septique, vous vous redresserez du banc pour continuer votre escapade en ce lieu bourgeois...

Continuant et arrivant sur une place au milieu duquel se dresse un pin vieillissant, la lumière du soleil vient assaillir vos pupilles et vous contemplez dans toute sa splendeur, le centre ville et le quartier d’Adobe vous faisant face. Encore ébloui du panorama, vous pivotez et vous apercevez une taverne avec une terrasse couverte où viennent surgir un brouhaha incessant des ripailleurs locaux. Vous retournant pour regarder le centre de la cité, vous remarquerez deux grandes statues de canassons cambrés surgir à même de la pierre et pointer leurs museaux de marbre à même le ciel. Vous attardant un instant sur certains détails curieux des statues, vous remarquerez un escalier que vous descendrez avant de quitter le quartier Ouest pour celui d’Adobe dans une agréable transition.



Place des Arts, le coeur même du quartier


Autrefois place pompeusement surmontée d’une coupe Raskane, l'édifice est tombé pour laisser libre place à un arbre majestueux dont les branches viennent chatouiller les tuiles des édifices voisins. Comme vous pourrez le lire et le regarder, l’endroit est une place simple autour duquel viennent se mélanger des bancs et quelques caisses de marchandises laissées égarées.


L’endroit n’a pas vraiment d’histoire si ce n’est qu’il est définit par les habitants locaux comme le centre même du quartier, faisant office de point de transition entre les commerces et les résidences du quartier. Il n’est pas rare de voir certaines annonces ou de voir quelques groupes baratineurs s’entasser à même les bancs. Les plus patients pourront s’amuser des vieillards jouant aux dés ou aux plus jeunes se lancer des boules de neige ou escalader l’arbre central selon la saison présente.



Le Jardin Aeris Hikari


Si on pourrait décrire le quartier Ouest comme un lieu de tumulte et d’échange, ce dernier lieu du quartier viendrait contredire tout ce qui a été dit à ce jour. Que dire de ce lieu sans partir en batifolage incessant ? Et bien, ne sachez pas vous cacher en ces végétaux foisonnants ou de trousser la Fanchon à même les herbes hautes, ça ne serait point cocasse et pourtant beaucoup le font !


Lieu calme où s'entremêlent les arbrisseaux et diverses plantes vivaces, l’endroit s’alterne entre la rivière, et les sentiers paisibles. Fierté du peuple Nordique, l’Autel des Septs en son centre, fait office de lieu de foi pour ce peuple, ainsi il est de coutume désormais que les mariages à la Nordique se produise en ce lieu de calme et de paix. Pour terminer, vous ai-je parlé des amourettes ou des bambins bêtisant derrière les bancs, de la grotte où s’écoule une étrange cascadette ou encore de l’ombre du grand châtaignier servant de fraicheur aux chaudes journées de Thermidor ? Oh ça serait bien dommage de vous gâcher cette description par la parole, mais plutôt de vous laisser tenter à visiter cette curiosité locale.



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Situation politique



Intendant(e) :




Intendant(e)-Adjoint :



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Vie et Actualités

  • Fourniture d'écharpes durant la période de Nivôse aux esclaves et aux plus démunis, merci de prendre contact avec l'Intendance pour en recevoir.


  • Une Académie tenue par Dame Lunargent, procurant savoir et connaissances à toute personne le souhaitant.


  • Un quartier ouvert aux artistes ! Ces derniers ayant des réductions pour leurs impôts ainsi que d'autres avantages non négligeable !


  • Des jeux et des fêtes durant le long de l'année.


  • Un partenariat et une entraide entre les artisans du quartier avec de nombreuses occasions de manifester leurs compétences ( expositions, fêtes, événements, concours... !).


  • Un quartier où plusieurs peuples se mélangent à même la foule pour montrer leurs coutumes aux restes du quartier.



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Recensement



HABITANTS


 



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