Utilisateur:Maude gautier : Différence entre versions
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Version du 24 août 2016 à 06:46
Physiquement, Maude est on ne peut plus atypique mise à part quelques détails qui ne trompe pas, elle est plutôt du genre à disparaître sous ses épaisse mèches de cheveux châtains. Sa peau pâle contraste avec sa chevelure la rendant plus enfantine qu'elle ne l'est déjà. Elle a des tâches de rousseurs qui ont l'habitude d'être plus marquer en période de grande chaleur. Elle est doté de grands yeux bleu en amande, des yeux océan comme aimaient dire ses parents devant les invités, ainsi qu'un simple nez assez plat. Elle a un corps fin pour son âge se qui lui va très bien, elle ne se serait pas vu autrement. Maude à une petite partie de sa lèvre inférieure décolorée suite à une brulure d'enfance.
Maude est plutôt le genre de personne a être discrète et timide, elle n'aime pas attirée l'attention, par peur qu'on la juge. Elle a même un tic qui est apparu depuis plusieurs années, se mordre la lèvre inférieur quand elle est anxieuse. Elle adore les animaux et n'a jamais été vraiment pour la chasse, mais elle ne refuse pas de manger de la viande, elle rêve d'avoir un jour un animal.
<div style=-Sensible
Maude aime beaucoup les fruits de tout types, pour les légumes, c'est autre chose, le choix est beaucoup moins variés.
Je sentis une aiguille s'enfoncer dans ma cuisse. -Aïe ! -Désolé, c'est bientôt fini mademoiselle, dit la couturière en ajustant ma robe. -Ce n'est pas grave, ce n'est juste que... -Cette robe t'ira à ravir Maude !Tu dois être mémorable pour le mariage d'oncle Louis ! -Je ne sais pas si c'est ma couleur. Soyons honnête, ce n'était pas ma couleur, une robe de couleur brune, pour un mariage, nous allions unir deux personnes pas les enterrer ! Mais bon, ma mère était sûrement plus avancée que moi en cette matière. -Mais quelles sottises me racontes-tu là , tu es très bien, pas vrai madame ? Ma mère échangea un regard rapide mais plein de menaces, faisant bien comprendre à la couturière ce qu'elle devait répondre. -Magnifique.Et elle disparut sous les innombrables morceaux de différents tissus déposés sur le sol. Au bout de quelques minutes, après avoir réglé certains détails à propos des mesures de la robe nous sortîmes de la boutique, nous sortîmes pour but de rejoindre père au marché, la robe en main. Des gouttes de pluie tombèrent sur nos cheveux, puis nos mains pour finir sur les dalles de pierre qui arpentaient les diverses rues du quartier. Plusieurs enfants de paysans s'amusaient à se salir dans l'eau tandis que d'autres, au contraire coururent se mètrent à l'abris. Diverses commerçants commencèrent à fermer boutique ou directement à rentrer chez eux, le soleil n'allait pas tarder à disparaître derrière nous et la lune se levait. Nous décidâmes de laisser père rentrer seul ce qui était rare, nous avions l'habitude de venir le chercher dans sa propre boutique, boutique d'horlogerie d'ailleurs. Le soleil allait se coucher tandis que la lune au contraire se levait. La nuit était déjà tombée le temps de rentrer chez nous.
Une fois les manteaux et la robe ranger à sa place, ma mère engagea la conversation. -Va dans ta chambre, je prépare le dîner, ton père ne devrait pas tarder. Enfin je ne nommerai pas cette phrase de conversation mais plutôt d'un ordre. -Bien mère. Il ne passa pas une minute que j'étais déjà assise sur ma chaise de bureau en bois en train de lire un banal livre de coutumes dans les autres régions du Royaume Central. .Une heure s'écoula et les pages de mon livre aussi d'ailleurs.Ma chambre était assez petite, une petite bibliothèque était encrée sur le mur au-dessus de mon bureau fait de bois d'acacia et une fenêtre aux rideaux rose se trouvait au-dessus d'un lit simple au milieu de la pièce, ainsi qu'une tapisserie sur le mur. Je regardai l'horloge, il était dans les alentours de 21h. Père devrait être rentré depuis belle lurette.Je rangeai mon livre là où je l'avais pris et descendis rejoindre ma mère qui posait les couverts.
Ce n'était pas le genre de père, si il était allé quelque part, il serait passé à la maison nous avertir. Ma mère leva les yeux dans ma direction. -Tiens-tu es là ! Aide moi à préparer la table...Tiens, prend les verres.Ton père n'est pas encore rentré, j'imagine qu'il dit être passé par le monastère enfin, nous ne mangerons que toutes les deux. J'acquiesça, cela ne me déplaisait pas plus que cela, à table, père ne parlait que de son travail, tout le temps, cela devenait laçant, d'autant plus qu'il ne nous demandait pas si notre journée s'était bien passé. Non juste ses clients son commerce et ses voyages. Je pris donc les couverts et fis cette rapide tâche.
Je m'assis à la place qui m'était destinée et soupa accompagnée de ma mère, nous bavardâmes peu mais ce n'était pas désagréable non, juste reposant. Je regardais l'horloge, une heure s'était écoulé et il était temps pour moi d'aller me coucher, je souhaitai bonne nuit à ma mère et regagna ma chambre. La journée était fini pour moi. Je n'eu pas mal à m'endormir, ce qui est rare, je jeta un rapide coup d'oeil à cette vieille tapisserie que moi et l'Aure, ma nourrice avions fais il y a de cela longtemps.C'était sensée représentée un renard en pleine forêt mais si vous voulez mon avis on aurait plutôt dis un chat roux. Je souris et fermai les yeux, de plus en plus lentement, et m'endormis. Je ne fis pas de rêve cette nuit, juste le noir et le silence.
Je me réveilla, avec une sensation de sécheresse dans ma gorge, je levai les yeux en direction de ma pendule mais je ne pouvais distinguer aucun chiffre, il faisait trop sombre. Je descendis en quête d'un bon verre d'eau, mes muscles étaient engourdis, je m'en rendis compte en descendant les escaliers, marche par marche. Je fus surprise d'apercevoir une bougie éclairée la table, une bougie qui, m'aveugla, mes yeux ne s'étaient pas habitué à la lumière. Mon père était assit là, lisant divers documents, sans se soucier de ma présence. Je ne cherchai pas à comprendre suite à la fatigue et me contentai de faire ce que j'avais à faire. Une fois chose faite je m'apprêtai à remonter quand une voix d'homme m'interpella. Ça ne pouvait être que lui, surprise, j'acquiesça . Il regarda un instant la robe accrocher à un cintre du hall, sourit, et releva les yeux vers moi. Il redressa ses lunettes et prit la parole. -Très jolie robe Maude, elle t'ira à merveille, dit-il d'un ton calme, et retourna à ses occupations.
