Utilisateur:Antero

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Informations RP
Nom
Genre
Homme
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Famille






Métier
Métier
Compléments








Origines
Ville d'origine
Région d'origine
Nation d'origine
Informations HRP
Login Minecraft
Pseudo
TomateFr
Prénom IRL
Hugo
Âge IRL
16 ans












Description : Antero est un jeune homme âgé de 22 ans. Il vient de la nation Adaarionne, plus exactement de Golvandaar, où il avait deux parents ( adoptifs ) : Roosa, femme stérile, dévouée à son travail de cuisinière et Eino, homme se consacrant totalement à l'étude de l'anatomie. Il furent tous deux de bons parents à l'écoute de leur enfant. Antero prit même exemple sur son père, qui l'aida à s'instruire. Cependant, Antero fut adopté à l'âge de 10 ans. Ses véritables parents qadjarides sont morts lorsqu'il était à l'école ; un incendie à touché leur demeure et les pauvres se sont retrouvés coincé. En revenant de l'école, Antero vit les corps calcinés et cette image le traumatisa. Ce traumatisme restera jusqu'à sa mort. Mais c'est dans c'est lors de ces 10 premières années qu'il put apprendre la langue qadjaride et qu'il apprit son goût pour les études. Avant d'arrivé à Esperia, il avait une très chère amie, sa première et la seule qui copte pour lui. La veille de son départ, elle lui avoua qu'elle l'aimait et se fut réciproque. Aujourd'hui, Antero pense toujours à elle et rêve du jour où il pourra la revoir. A Esperia, il est soignant et essaie de respecter le plus possible celui-ci. Antero fait toujours propre sur lui pour que tout le monde ait une bonne impression au premier regard. Cependant, n'a pas souvent le temps de se raser et porte donc une légère barbe de trois jours. En effet, il passe son temps à lire des livres sur le métier de soignant, et a donc, la plupart du temps, un manuel sur lui.


Compétences :

- Alphabétisation : Grâce à sa famille d'accueil, il a appris à lire et à écrire. Elle lui a permis d'aller dans une bonne école. - Connaissance de la flore : A force d'étudier et de rester dehors à observer les plantes, il les connait parfaitement. De plus, il habitait dans la région des Monts Adaarions où la flore environnementale est très diversifiée. - Alchimie : La lecture intensive des manuels d'alchimie et sa connaissance de la flore lui permettent de préparer les meilleurs remèdes. Il s'entraîna aussi chez lui avec l'aide de ses parents car seule, la théorie ne suffit pas. - Connaissances scientifiques : Ayant un professeur des sciences nommé Maarcus, il obtint vite de nombreuses connaissances dans les mathématiques, la physique ainsi que le plus important, la chimie. - Agilité : Ses balades dans la nature, notamment dans les montagnes, lui ont permis d'acquérir une agilité remarquable. Il enjambe les rochers comme personne. - Langue : Qadjaride : Avant la mort de ses parents, il a pu apprendre cette langue.


Talents :

- Concoctions efficaces : Antero, connaissant presque parfaitement la flore et l'alchimie, il sait donc très bien choisir les plantes et comment les utiliser pour la préparations de remèdes. - Assez bon gymnaste : Sa grande agilité, lui permet de pratiquer une légère activité sportive en rapport avec cette compétence.


Qualités :

- Humble : Grâce aux nombreuses connaissances qu’il acquiert en lisant et en étudiant, il gagne souvent aux jeux intellectuels tel que le Blitz. Mais il respecte son adversaire et lui sert un coup à boire. - Réfléchi : Antero ne fait jamais les choses de manière trop spontané. Il réfléchit d’abord aux conséquences avant d’agir. - Rigoureux : Le travail ne se fait pas qu’à moitié, et ça, il l’a bien compris. - Obstiné : Pour lui, il n’est pas supportable de ne pas finir la tâche qu’on lui a imposée. Il ne s’arrêtera pas de continuer cette tâche jusqu’à ce qu’il ait fini.


Défauts :

- Gourmand : Antero adore manger et ne peut s’en empêcher quand il a faim et même s’il n’y a pas de raison. - Asocial : A force d’étudier, Antero s’est légèrement renfermé sur lui-même et ne parle pas beaucoup. Mais ce n’est pas pour cela qu’il n’a pas d’amis. - Cupide : L’argent est sa principale source de motivation. Il lui est difficile d’accomplir une tâche sans récompense.


Intérêts culturels et goûts :

Antero, comme je l'ai déjà dit, adore lire. Donc, chaque soir, il prend un lire, que ce soit sur la flore, l'anatomie, ou même l'astrologie et le lit jusqu'au bout. A propos de l'astrologie, comme il eut un maître des sciences qui lui apprit aussi mais dans une moindre manière, cette sciences en voie d'évolution. Et soif de découvertes, Antero cherche de nouvelles informations sur celle-ci. Aussi, il st très gourmand et adore donc manger. Il lui arrive, quelques fois de manger alors que la situation n'est pas propice. Il peut même prendre de la nourriture si celle-ci est proche de lui et que personne ne soit là. Ce n'est pas bien... Mais il le sait mais ne peux s'en empêcher. Son met préféré est le steak ; il adore la viande "rouge".


Amis déclarés :


Ennemis déclarés :


Histoire :


1. La rencontre avec Leena :

A son arrivée, Antero n’avait pas beaucoup d’ami ; il était très réservé. Il passait la plupart de son temps à étudier ; et plongé dans ses livres, il essayait d’oublier le terrible accident de ses parents. Il revoyait encore l’image de sa maison, en cendre, et les corps calcinés. A l’école, personne ne voulait être son ami car il était différent ; même si le racisme n’était pas très prononcé chez les Aadarion, il y existait toujours un léger ressentiment envers les étrangers. Cependant une petite fille, nommée Leena, elle aussi âgée de dix ans, s’intéressa à lui et devint son amie :

Dans un parc,

Leena en s’approchant d’Antero : Salut ! Comment tu t’appelles ? Moi c’est Leena, t’as l’air marrant.

Antero surpris : Moi ? Tu me parles ?

Leena : Ben oui ! Tu crois que j’parle à qui ?

Antero : Je sais pas… J’ai pas l’habitude que l’on vienne m’aborder …

Leena en riant : T’inquiète pas, je vais pas te manger !

Antero : Si tu le dis. Et, tu voulais quoi ?

Leena : Je voulais savoir si tu voudrais bien être mon ami, s’il te plaît ! Tu sembles si seul… et j’en ai assez de mes copines qui parlent toute la journée de poupée.

Antero gaiement : C’est surprenant comme approche mais, je veux bien ! Et j’ai oublié, moi c’est Antero. Tu veux jouer ?

Leena : Ok ! On a qu’à jouer au Tark 4, j’en ai un chez moi. On va bien s'amuser, tu verras ! On pourra goûter aussi si tu veux. Je commence à avoir un peu faim.

Antero heureux d'apprendre cette nouvelle : D’accord, si tu veux ! ( à lui-même ), Chouette ! Je vais pouvoir manger plein de gâteaux. En plus, elle a l'air gentille. ( à Leena ), Aller ! Je te suis !

Ils apprirent par la suite qu’ils habitaient non loin l’un de l’autre et se donnèrent rendez-vous chaque après-midi pour goûter pour se rappeler leur rencontre. Leur parents , qui étaient déjà des connaissance, sont donc devenus amis à force se fréquenter, également. Ensuite, lorsqu’ils grandirent, Leena s'intéressa à l'entomologie alors qu’Antero s’instruisit dans la plupart des domaines et surtout dans l'étude de la flore car l'endroit où il habitait regorgeait de plantes en tous genre. C’est pour cela qu’il a pu, plus tard, aider Leena à apprendre le métier qu'elle à toujours voulu exercer. Il rêvait de devenir soignant et appris donc toute la flore environnementale et l’anatomie. L’amitié entre Leena et Antero dura toute leur enfance, et perdurera jusqu’à leur mort, si Arbitrio le veut.


2. Un jour pas comme les autres :

En cette saison de Nivôse, la température était glaciale et la neige ne cessait de tomber. La nuit fut de même. Comme à son habitude, Antero travaillait minutieusement à soigner l’un de ses patients. Après avoir fini, il sortit de la demeure pour se rendre chez un autre malade. C’est à partir de ce moment, que tout commença à arriver …

En marchant dans la rue, Antero observa les alentours et remarqua les magnifiques constructions de glace qui se sont formées. La tête dans les nuages, il ne remarqua pas la plaque de glace se trouvant devant lui, et glissa donc sur celle-ci. Il se trouva les fesses à terre et ne put se relever. Antero réussit à se sortir de cette situation grotesque en se trainant jusqu’au bord de cette plaque. Il continua donc son chemin en faisant bien attention à ne pas tomber encore une fois. Il arriva enfin chez son patient, nommé Marcus. Il sonna mais personne ne vint lui ouvrir. En effet, Marcus était très vieux et donc terriblement lent. Au bout de cinq minutes à attendre dans le froid, on vint lui ouvrir :

Dans la demeure de Marcus,

Antero frigorifié : Bonjour Messer Marcus. Désolé pour le retard, mais j’ai eu quelques contretemps.

Marcus : Comment ? J’entends plus très bien mon garçon.

Antero en hurlant : J’ai dit, DESOLE POUR LE RETARD, J’AI EU QUELQUES CONTRETEMPS !

Marcus : Ah bon, je n'avais même pas remarqué. Tu sais, à mon âge, on perd la notion du temps vu qu’on ne fait pas grand-chose. De plus, mon fils ne vient pas souvent, depuis que ma femme est décédée…

Antero : Oui, je suis vraiment désolé pour vous mais, trêve de bavardage, je dois vous procurer vos remèdes.

Marcus : Faites mon enfant.

Marcus s’est posé sur son lit en attendant qu’Antero prenne les remèdes pour celui-ci. Antero alla voir dans le sac-à-dos qu’il avait posé à l’entrée pour prendre les remèdes. Sauf qu’il trébucha sur le plancher car une planche était enfoncée. Il se cogna contre un armoire et s’évanouit quelques minutes. A son réveil, il avait une bosse au crâne et Marcus n’avait pas remarqué sa courte absence. Il prit la préparation au suc de bouillon blanc et alla vers Marcus :

Dans la chambre de Marcus,

Antero : Voilà ! Tenez, buvez.

Marcus : Il vous a fallu tous ce temps pour prendre cette simple préparation ? Et pourquoi avez-vous une énorme bosse sur le front ?

Antero : J’ai eu encore un petit contretemps… Désolé.

Marcus : Ça ne fait rien.

Il but une gorgée du remède, et la cracha sur Antero.

Marcus gêné : Je suis sincèrement désolé. Le bougre que je suis ne supporte toujours pas cette préparation.

Antero : Ce n’est pas grave, finissez votre boisson à votre allure, je rentre chez moi pour me débarbouiller.

Marcus : Faites. Je vous remercie d’être venu.

Antero s’en alla et s’empressa de rentre chez lui. Arrivé, il nettoya sa tenue, mangea et partit se coucher pour oublier cette journée de tracas.


3. Un traumatisme faisant surface :

Dans la ville de Golvandaar, la vie menée son cours comme à son habitude. Antero, alors âgé de vingt-deux ans, était en train de finir son cours sur la flore avec son amie, Leena. Après la fin de son cours, ils allèrent sur la berge du lac non loin de chez lui pour discuter :

Sur la berge du lac,

Leena contemplant le paysage : Tu as vu comme c’est beau, l’eau est si limpide…

Antero : Oui, c’est magnifique. Que voulez-tu me dire ?

Leena : C’est pour te dire que... En fait... Je t'aime Antero...

Antero surpris : ... Euh... ( à lui même ), Que répondre à cela ...

Leena : Je sais. C'est si soudain mais, nous en reparlerons plus tard. ( en regardant par-delà le lac ), Regarde ! Un incendie ! Il y a un incendie sur Golvandaar !

Antero : Vite ! Je suis désolé mais il faut que j’y aille, on a besoin de moi ! Et, Leena...

Leena : Oui ?...

Antero : Je.. Je t'aime également... ( il l'embrasse ), A plus tard...

Antero se précipita sur l’incendie, son sac-à-dos à la main, laissant Leena seule sur le bord du lac. Il rencontra des gardes en peu affolés lançant des sceaux d’eau sur les flammes. Ils lui dirent :

Garde en hurlant : Toi ! Le soignant ! Vas vite vers le dispensaire t’occuper des blessés ! Il ont besoin du plus de mains possible !

Antero : J’y file de ce pas !

Il se hâta donc d’aller vers le dispensaire de la ville. Arrivé, on le dirigea vers les blessés les plus graves, atteint de grave brulures. Antero se prodigua auprès des apothicaires environnant, le remède des ramoneurs auquel on avait ajouté de la suie pour augmenter l’effet de la préparation. Il alla dans une chambre et vu un corps calciné par les flammes. La pauvre femme était couverte de brulures et répétait sans cesse : « Aidez-moi ! J’ai horriblement mal ! ». A ce moment, Antero se souvenu du terrible accident de ses parents. Ils revoyait encore les corps quasi en cendre de ses pauvres parents. Il ne put supporter cette affreuse image et s’assit contre le mur de la pièce. Il regarda en pleurant la femme sous ses yeux, agonisant. Pris par la peur, il ne put rien faire. Une demi-heure passant et la femme avait perdu presque tout son sang, elle était donc morte. Soudain, un garde entra dans la pièce et fut horrifié de ce terrible spectacle :

Dans la pièce du dispensaire,

Garde : Que ce passe-t-il ?! Qu’est-il arrivé à cette femme ?!

Antero totalement vidé de son énergie : ...

Garde : Vous ! Que faites-vous, ici, assis, en train de regarder cette femme agoniser ?!

Antero : …

Garde excédé : Répondez moi quand je vous parle !

Antero : Je… Je… Je l’ai laisser… Mourir…

Garde en hurlant : Quoi ! Qu’avez-vous fait, pauvre fou !

Antero : Je ne sais pas…

Garde : Je ne connais pas vos raison mais vous avez l’air bien mal au point. Pour avoir laissé mourir un être humain, vous serez mis en esclavage dès demain !

Antero : Si tel est mon sort, je dois l’accepter.

Garde : Nous viendrons vous chercher chez vous, à l’aube.

Il rentra chez lui, les larmes aux yeux, trainant les pieds. Il dit l’affreuse nouvelle à ses parents et s’endormit sans manger. Les parents ont pleuré durant toute la nuit, toutes les larmes de leur corps. A l’aube, il prit une souvenir de chez lui et les gardes vinrent le chercher. Antero salua ses parents et partit vers Esperia.