Utilisateur:Catherynn
Sommaire
Description
Fille unique d’une famille aisée, habitant La Capitale où elle a vue le jour, Catherynn était une fille assez banale. Son père étant un artiste reconnu par quelques bourgeois influents, elle n’a pas eue d’enfance difficile. Sa mère, au foyer et lettrée, elle-même étant issue d’une famille plus aisée que la moyenne, a appris à Catherynn à lire et à écrire dans sa jeunesse, ses connaissances ayant étés renforcées par un précepteur payé par son père à un moment où les affaires étaient florissantes, son père s’occupant de lui octroyer la fibre artistique personnellement. Néanmoins, elle ne sait pas aussi bien peindre que lui, préférant écrire des histoires fantastiques, qui la faisait s’évader de sa vie, qu’elle trouvait banale. Au niveau du physique, Catherynn est une jeune femme paraissant très douce, dotée de deux beaux yeux couleur bleu royal, et de longs cheveux qui lui arrivent jusqu’au bas du dos : elle en prend très soin, c’est sa fierté. Elle mesure 1 mètre 62 et pèse 50 kilos, elle paraît un peu frêle, et à la voir, impossible de la penser capable de tenir 1 sac de pommes de terre. Elle a le teint halé. Son père la voit comme sa muse, et ce depuis sa naissance. Pour résumer, c’est une belle femme, elle ne sort néanmoins pas du commun, et, si ce n’est ses yeux, elle parviendrait facilement à disparaître dans la foule. Catherynn a toutefois un caractère bien trempé : difficile pour elle de se soumettre aux ordres de quelqu’un, et c’est en partie ce qui a causé sa perte. Elle est franche et sait garder son sang-froid, ce qui a le don d’énerver drastiquement ceux qui se tiennent devant elle. Ses parents vénérant Arbitrio dans les rites phalangistes, Catherynn les a naturellement suivies. Elle pratique, mais le minimum possible, pour la forme, et surtout pour ses parents. Dans son adolescence, Catherynn a appris à crocheter les serrures, grâce à un de ses amis d’enfance, alors qu’elle était dans sa période rebelle. Cet ami a d’ailleurs disparu, ayant certainement commis le vol de trop. Enfin, Catherynn est écrivaine, et son père ayant des relations, elle a bien vite fait d’écrire, surtout pour des bourgeois, qui voulaient des histoires sur leurs familles, lui laissant carte blanche pour enjoliver la trame principale qu’ils lui donnaient.
Choix
Talents
Cultivée : Catherynn a reçue une éducation poussée et a baignée dans la littérature, ce qui fait d'elle une personne cultivée. Il peut donc être intéressant de lui parler et elle n'aura aucun mal à tenir une conversation. De plus, elle prendra beaucoup plus de plaisir à parler de philosophie que du beau temps.
Bien éduquée : Catherynn a rapidement appris les bonnes manières, encore grâce à son précepteur : elle ne met pas les coudes sur la table, est délicate, ne crache pas, salue respectueusement ...
Créative : Il lui faut bien ça ! Etant écrivaine, elle ne peut compter que sur elle pour trouver de l'inspiration. Elle travaille donc sa créativité jours après jours.
Sens de l'orientation : Catherynn trouve très rapidement ses repères, et il reste difficile pour elle d'arriver à se perdre dans des lieux connus.
Fibre artistique : Catherynn remercie son père chaque jours pour lui avoir donné ce talent. Elle est très sensible à l'art, tout type d'art.
Défauts
Rapidement ennuyée : Elle est comme ça : rapidement, elle s'ennuie. Pour Catherynn, rester sans rien faire est un supplice. Elle tente donc tout le temps de s'occuper, et a donc de nombreux hobbies.
Mauvaise combattante : Pour elle, rien que le fait de tenir une arme est un calvaire. Trop frêle pour se battre de toute manière, plus loin elle se trouve d'une arme, mieux c'est !
Curieuse : Défaut pour certains, qualité pour d'autres, Catherynn est curieuse. Elle a vraiment du mal à ne pas se mêler des affaires des autres, et les questions sans réponses l'empêchent de dormir.
Mauvaise joueuse : Catherynn aime jouer, mais aime encore plus gagner. Pas tricheuse pour autant, une défaite lui restera en travers de la gorge pour longtemps !
Palais délicat : Catherynn apprécie la nourriture, mais pas n'importe laquelle ! Elle n'hésite pas à faire la fine bouche, au risque de sauter des repas. Elle se force tout-même souvent, n'ayant pas affaire à des plats d'exception quotidiennement.