Lig Ocolide

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Sur une ile à quelques kilocubes des côtes du continent de l'ancien monde, au sud ouest de la Capitale, s’est développé une ville de pilleurs, d’assassins, bref de toute la racaille de l'ancien monde. A l’origine de le création de la ville ? Une poignée de pilleurs des mers qui se sont regroupés pour mieux s’organiser. D’abord appelés : les Écumeurs des Mers, ils ont changé de titre, attaquant aussi les villes et villages non côtiers, il a fallu s’adapter et se nomment actuellement les Écumeurs.

Société

Les habitants, les Écumeurs, sont décrits comme cruels et sont craints des villages, des marchands, des marins, et des riches. Ce qui n’est pas réellement faux, mais ils ont aussi un sens de l’honneur particulier. Ils ne vivent que de vols, rapts, pillages, assassinat, mais contrairement aux légendes, ils ne sont pas inhumains et ne tuent pas sans raisons… mais certains estiment que le plaisir est une raison suffisante.

La population se divise en cinq catégorie :

  • Les simples Écumeurs : matelot, quartier maitre, ils forment un équipage, une armée. Chacun a sa spécialité, la cuisine, le combat, le travail du bois … ils représentent la grande majorité des habitants de l’ile, et c‘est eux que les capitaines recrutent pour partir en mer, ou en campagne plus profondément dans le territoire de l'ancien monde.
  • Les Lieutenants : les aides du capitaine, ils s’occupent chacun de répercuter les ordres du capitaine sur les quartiers maitres et les matelots. Lors du partage du butin il récolte bien plus d’or avec leur grade.
  • Les Capitaines : Dirigeants des navires, ils obtiennent une grosse part des butins.
  • Les Nantis : Les riches Écumeurs qui se laissent vivre sur l’ile. La plupart décident d’engager un capitaine et son équipage pour piller les navires marchands.
  • Le Gouverneur : l’homme le plus riche de toute l’ile et le plus influant, il possède tous les droits sur l’ile, sa nomination se fait tout naturellement, à sa mort, les capitaines choisissent entre eux le plus méritant pour récupérer le siège.

Peuple

L’archipel Lig Ocolidien est cosmopolite avec des personnes issus de toutes les origines. Les mariages inter-ethniques y sont la règle et l’esprit de communauté n’y existe pas. L’on s’associe uniquement par intérêt ou amitié et non selon ses origines. A notez que les Qadjarides y sont relativement nombreux et mieux intégrés que dans le reste du continent.

Langages

Sur l’île de Lig Ocolide, chaque écumeur parle la langue impérial. Avec le temps, elle fut déformé en un jargon de pirate qui est employé maintenant partout. Références: http://www.esperia-rp.net/wiki/index.php/Langage_de_Lig_Ocolide

Il y a aussi, notamment, le dialecte L’Ocolide. Ce dialecte serait une dérive très prononcé de la langue impérial. Il serait associé au Ouandaï.

Législation

Un code d’honneur de l’Écumeur a été écrit par le premier Gouverneur de Lig Ocolide,

  • Règle n°1 : Un Écumeur ne doit pas piller ou tuer un autre Écumeur.
  • Règle n°2 : Un Écumeur qui violerait l'article 1, se verra retirer son titre d’Écumeur.
  • Règle n°3 : Un Écumeur doit verser un tribu au Gouverneur de Lig Ocolide à chaque retour sur l'ile.
  • Règle n°4 : Il est formellement interdit d'amener des individus non-Écumeur à terre, sauf s'il s'agit d'esclaves.
  • Règle n°5 : Chaque Écumeur doit, s’il le peut, défendre ses confrères en cas de danger.
  • Règle n°6 : Tous les Écumeurs doivent défendre l’ile en cas d’invasion.

Les Écumeurs respectent au mieux ce code, même s’ils transgressent facilement la règle n°3. Pour ce qui est des règles n°5 et 6 elles sont toujours respectées.


La hiérarchie oblige le matelot à obéir au quartier maitre, qui doit obéir au lieutenant qui doit obéir au capitaine qui doit obéir au nanti (s’il en a un) qui doit obéir au Gouverneur.

Armée

Lig Ocolide ne possède pas d’armée permanente mais peut compter sur la force individuelle de ses équipages pirates et l’indomptabilité de sa population. Dans certains cas extrêmes, il est également possible de voir les flottes pirates s’unirent pour défendre Lig Ocolide ou mener des attaques contre une menace commune.

Traditions

Économie

L’économie de Lig Ocolide est quasiment totalement fondée sur le pillage, le racket de certains marchands suffisamment accommodants, un mercenariat peu fiable et la revente au marché noir de ses produits. L’économie locale, elle, est fondée sur le troc plus ou moins malhonnête. Les locaux qui ne s’adonnent pas à la piraterie pêchent, entretiennent quelques rares plantations sur certaines îles mal peuplées et fournissent divers services aux pirates: prostitution, drogues, alcool, jeux de hasard, entretien de matériel, etc. Seule exception au vide commercial Lig Ocolidien, on y fabrique d’excellents instruments de musique ainsi que des objets musicaux combinant des inventions du reste du continent.

Alphabétisation

Pardon ?

Loisirs

Les Écumeurs aiment à se détendre dans les bordels, et les tavernes.

Les plus pauvres, les simples Écumeurs, vont à l’auberge et se saoulent en attendant un nouveau contrat.

Les lieutenants, les plus respectables de toute cette racaille, possèdent une belle chaumière et épousent généralement une prostituée.

Les capitaines se font construire des résidences où ils pourront inviter régulièrement deux ou trois filles de joies sans avoir à se déplacer dans les bordels et se mélanger aux autres.

Les nantis passent leur temps dans leur pavillon, à boire du grand vin, et sont aussi les possesseurs de bordels, ils amasse ainsi l’or mais aussi les avantages qui en découlent…

Le Gouverneur quant à lui se fait livrer les plus belles esclaves, les meilleurs vins, la meilleure nourriture et passent donc le plus clair de son temps à inviter dans sa demeure, les capitaines. Il se lance à de très rares occasions dans un raid sur une ville, invitant tous les capitaines à le rejoindre, car ne l’oublions pas, le loisir privilégié est le pillage.

La Religion

La population de Lig Ocolide est globalement croyante mais peu pratiquante par rapport au reste du continent. Il n’est pas rare d’y voir également des personnes pratiquer plusieurs religions à la fois, ce qui est facilité par la présence de toutes les religions dans l’archipel. Lig Ocolide possède également une religion locale, dérivée du rite Qadjaride, du nom de Ouandaï. Cette religion n’est pas très importante au sein de la population mais l’immense majorité des Lig Ocolidiens ont intégré au moins un ou deux éléments de cette religion dans leur vie, ne fut-ce que par des colifichets. Toutes les religions pratiquées à Lig Ocolide sont influencées par le kaitusianisme.

La Science

Lig Ocolide n’abrite pas de communauté d’érudits, excepté quelques parias violents, et se contente de récupérer le matériel apporté par les nouveaux venus ou rapporté par les Écumeurs. On y trouve donc de tout: d’anciennes reliques de navigation Qadjaride au matériel récent et acheté à grands prix par de riches Caroggians. Les seuls domaines où ces trouvailles sont entrenues par des locaux sont la navigation, la boussole et le travail du bois. Le reste est généralement abandonné, utilisé jusqu’à l’usure ou revendu à la contrebande.


Relations Externes

Le commerce est synonyme de servitude, les Écumeurs préfèrent ne pas commercer car ils se sentent blessés. Ils sont en guerre perpétuelle contre tous les autres peuples, mis à part la Capitale, car il faudrait être fou pour s’attaquer à une si grosse puissance militaire et économique.

Spécificités du Peuple

Les habitants de Lig Ocolide sont des adeptes de l’eau et ils préfèrent rester le long des rivières ou des mers. Il est impossible de ne pas pouvoir voir la mer au moins une fois par jour, ils en ont besoin pour se sentir bien.

Malgré le départ de l’ile, les Écumeurs qui finissent à la Capitale ou dans une autre région, gardent leurs origines dans le sang. Ils respecteront toujours un Écumeur plus gradé qu’eux, et ne désobéiront jamais aux règles 5 et 6.

Spécificités Culinaires

Rhum roux, rhum fabriqué avec du sucre roux bu uniquement en bouteille.

Poulpe Flambé, viande de poulpe imbibé de rhum roux et flambé directement dans l’assiette.

Poulet'o'ptit blanc, viande de poulet cuisiné au lait de coco.