Le carnet de route de Norvitch
Norvitch Balthazar
né le 14/02/490 à Odense.
Cet ouvrage est en possession de son propriétaire. Vous ne savez rien sur celui-ci et son contenu. Personne n'est au courant de son existence à part Necko et son auteur.
Page 1 : La bruyère.
la fleur de Nivôse.
page rédigée par Norvitch et Necko.
La nivose approchait de sa fin même si l'on sentait encore le froid nous enlacer, l'époque idéal pour voir les plantes qui résistent au grand froid. Moi même, Necko, suis donc allé chercher son associé, Norvitch pour préparer une expédition en forêt à la recherche de ce type de plante.
Nous avons préparer nos sac, munis de cisailles, d'un pot, de torches et de quoi se défendre. Je suis tout de même chercher Mata pour qu'il nous accompagne, la forêt peut être dangereuse et une ballade est toujours agréable. Nous devions nous retrouver au plus vite, un fois prêt, au barrage de Adobe.
Une fois tous présent et le jour levé, nous sommes partis dans la forêt. Elle était belle comme toujours, le contraste entre le blanc de la neige et les couleurs végétales était magnifique. On pouvait apercevoir quelques petits animaux tracés leurs chemin dans la neige en allant à leurs habitat. Avec beaucoup de chance, on aurait pu croiser un magnifique cerf.
Au bout d'un certains temps le jour prenait peu à peu fin et les monstres commençaient à sortir de leurs trous. Nous nous sommes par la suite mis à la recherche d'une grotte ou du moins, de quoi rester caché. Apres quelques minutes de recherche, trouvant un enfoncement dans la pierre, juste assez pour trois personnes. Novitch et moi étions placés au fond de celle-ci et Mata à l'entrée pour nous protéger si jamais cela tournait mal pendant la nuit.
Une fois l'aube arrivant, nous sommes donc repartis à la recherche d'une plante résistante à la neige. Escaladant la coline où était la grotte, nous avons découvert une vaste plaine enneigée, coupée par une rivière gelée. On pouvait apercevoir au loin un point d'eau et surtout, à notre grande surprise.. des broussailles aux fleurs rouges ! Elles ressortaient sur la nature enneigée. Nous nous sommes donc approchés de celle-ci et avec précaution nous l'avons mis dans un pot et l'avons ramener à la pépinière. Le chemin de retour fut calme et sans problèmes. La plante est maintenant dans un joli coin de la pépinière.
Description : Ce sont tantôt des arbrisseaux ou des sous-arbrisseaux, tantôt de véritables arbustes. Disposées en grappes, les fleurs sont le plus souvent roses. La plante possède des feuilles opposées en forme de petites écailles sessiles imbriquées sur 4 rangs. Le calice pétaloïde, qui enferme la corolle, est entouré à sa base par un calicule.
Page 2 : L'Absinthe.
la plante de l'éthyliste.
page rédigée par Norvitch.
Le 18/11/512, un groupe de marchands venu du Nord s'est installé temporairement en ville pour vendre certains produits. A ma grande joie, il y avait des plants secs d'Absinthe, une plante utilisée pour un alcool très fort et grandement demander lors des beuveries de taverne d'après un livre de l'école. Je me suis donc procurer, au grand désespoir d'Hector, mon concurrent direct, la totalité de ces plants pour pouvoir en récupérer les graines et de tenter de reproduire cette espèce en Esperia. Je pense que la population va apprécier cette nouvelle boisson si je parviens à faire cela.
Le 21/11/512, je me suis rendu une nouvelle fois aux champs de fleurs de la pépinière, les plants d'Absinthe déposés sur la table étaient assez sec, on pouvait y distinguer les petites graines encore au bout. J'ai donc pris un bol, et je me suis mis à les cueillir. Dans le but de les réanimées, je les ais déposées ensuite sur la terre fraîche et fertile à l'intérieur d'un récipient, en y ajoutant un peu d'eau, et en déposant le pot au soleil. Je m'en occuperais tous les jours pour parvenir à faire renaître cette plante!
Le 25/11/512, je suis allé voir l'avancement des graines d'Absinthe, un bilan positif était évident : parmi les graines, une dizaines avait germées. Laissant sortir du sol de légères pousse. J'ai réussi à faire vivre cette plante en Esperia. Qu'elle m'apporte fortune et reconnaissance. C'est le début d'un grand monopole du marché de l'Horticulture.
Caractéristiques : L'Absinthe est une plante vivace, herbacée, pouvant mesurer jusqu'à 2 cubes. Elle est recouverte de poils soyeux blancs argentés et de nombreuses glandes oléifères. La tige est de couleur vert argent, droite, cannelée, ramifiée et très feuillée. Ses feuilles sont alternes, gris verdâtre sur le dessus et presque blanches et soyeuses sur le dessous, pouvant mesurer jusqu'à 25 cubimètre de long.
Page 3 : Les Colorants.
entre l'alimentaire et le textile.
page en cours de rédaction par Norvitch.
Chapitre 1 : Les colorants textiles.
Partie 1 : Colorants de base.
Colorant rouge : Fait à base de pétales de roses rouges écrasées et mélangées à de l'eau chaude.
Partie 2 : Colorants complexes.
Colorant violet : Fait à base d'un mélange de colorant rouge et de poudre de Lapis-Lazuli.
Page 4 : Les objets de senteur.
Recettes inspirées du livre Un art d'horticulteur.
page en cours de rédaction par Norvitch.
Chapitre 1 : Les Pots Pourris :
Un pot pourri est un récipient où se dégage une saveur odorante de nature végétale à bases de pétales, de feuilles séchées ou d'épices, cette saveur dure environ deux semaines. Ce pot peut être entretenu grâce à quelques gouttes d'huile essentielle, réanimant l'odeur.
# Saveur Rose : une odeur de fleur de rose, légèrement sucrée.
Préparation de l'huile essentielle de Rose :
Mettre bouillir de l'eau pendant la préparation. Prendre quelques roses, retirer les pétales, suffisamment pour être proportionnel à la quantité d'eau. Puis, introduire dans l'eau bouillante les pétales, et laisser mijoter le tout avec un peu de sucre pour donner au mélange un petit côté sucré. L'huile essentielle doit mijoter deux heures. Enfin, retirer les fleurs.
Le Pot Pourri :
Entre temps, préparer dans un récipient au choix des pétales de roses que l'on fera cette fois sécher préalablement. Y verser quelques gouttes d'huile essentielle de rose pour permettre aux roses de laisser échapper toutes leurs senteurs.
# Saveur Pomme : une odeur de pomme, légèrement sucrée.
Préparation de l'huile essentielle de Pomme :
Mettre bouillir de l'eau pendant la préparation. Prendre quelques pommes, les épluchées, et les fait cuir en quantité proportionnelle à la quantité d'eau. Puis, laisser mijoter le tout avec un peu de sucre de canne pour donner au mélange un petit côté sucré. L'huile essentielle doit mijoter jusqu'a ce que les pommes soient totalement en compote avec l'eau et le sucre.
Le Pot Pourri :
Entre temps, préparer dans un récipient au choix des tranches de pommes séchées préalablement. Y verser quelques gouttes d'huile essentielle de pomme pour permettre aux pommes sèches de laisser échapper toutes leurs senteurs.
# Saveur du Thermidor : une odeur mielleuse, légèrement embaumé par la senteur des tulipes, un peu sucrée.
Préparation de l'huile essentielle de Thermidor :
Mettre bouillir de l'eau pendant la préparation. Prendre quelques tulipes, retirer les pétales, suffisamment pour être proportionnel à la quantité d'eau. Puis, introduire dans l'eau bouillante les pétales, et laisser mijoter le tout avec un peu de sucre pour donner au mélange un petit côté sucré. Par la suite, rajouter à la mixture un peu de miel afin de donné à l'huile essentielle une saveur attirante, onctueuse. L'huile essentielle doit mijoter deux heures.
Le Pot Pourri :
Entre temps, préparer dans un récipient au choix des pétales de tulipes que l'on fera cette fois sécher préalablement. Y verser quelques gouttes d'huile essentielle de Thermidor pour permettre aux tulipes de laisser échapper toutes leurs senteurs.
Page 5 : Le thé.
Boisson aromatisée de détente.
page rédigée par Necko.
Je découvris le thé grâce à Tenzo, lors d'un jour de déprime. Il m'en avait offert pour me réconforter, le breuvage étant connu pour détendre. Intriguée, je lui demanda ce que c'était. Tenzo me raconta alors qu'il s'agissait d'une plante, le théier, qu'il avait trouvé dans une forêt de l'Ancien Monde et dont sa famille lui avait expliqué le procédé de transformation permettant de profiter des effets et des arômes de la feuille de thé ou de ses fleurs. Moi, Necko, décida alors, après avoir mémorisé l'aspect et les caractéristiques de la plante, de partir à la recherche d'un éventuel plant, dans la forêt située derrière Adobe, celle-ci paraissant plus humide et fertile que les autres. Une fois mon petit baluchon préparé, je commença mon expédition tranquillement. Après un certains temps, je me mit pieds nus et, prennant mon courage à deux mains, m'enfonça rapidement en forêt. Je devais aller plus loin, connaissant déjà très bien les alentours de la ville.
Les dernières lueurs du jour disparaissant et d'effrayants bruits se faisant entendre, je gardais son sang froid et su que faire. Trouvant une grotte et m'y abritant immédiatement, je m'installais dans un modeste confort et m'endormis, gardant une oreille attentive au moindre danger.
Une fois l'aube arrivée, je me remis en quête de la plante verte. C'est après de longues heures de recherches que le théier apparut enfin, au bord d'une rivière. Criant de bonheur, ayant enfin trouvé ce que je suis retourné en ville chercher un pot puis revint quelques jours plus tard afin de soigneusement la déraciner et la déplacer jusqu'à la pépinière.
Depuis, je prête une attention particulière à ma petite plantation avec Norvitch, prenant soin de les protéger des aléas climatiques et permettant à la ville un approvisionnement en thé. En étudiant quelques rares livres à la bibliothèque, je commence à bien maîtriser le procédé de transformation du thé afin d'en varier les goûts et les effets.
Théier taillé : Le théier est un arbre à feuilles persistantes, pouvant atteindre jusqu'à 10 cubes de haut à l'état sauvage. Sa hauteur est limitée par la taille en culture et ne dépasse que rarement les 3 cubes de haut. On le trouve dans les forets humides et tempérées, en particulier celle se trouvant derrière Adobe. Il est facilement reconnaissable grâce à son étrange feuillage mais également grâce aux senteurs qu'il dégage.
Le thé vert : est obtenu après avoir été séché au soleil puis torréfié à haute temperature afin d'en permettre la conservation. Elles sont ensuites roulées puis séchées à nouveau afin d'obtenir une forme plus particulière.
Le thé jaune : requiert le même procédé, hormis l'ajout d'une étape supplémentaire qui consiste en une légère fermentation dans un tissu humide pendant une journée. Suite à cela, elles sont déshydratées au soleil. De même, seul les bourgeons duveteux sont utilisés afin d'obtenir ce thé particulier.
Le thé blanc : est bien plus simple à prépare, il suffit uniquement de faire sécher les feuilles au soleil puis à l'ombre. Les arômes sont bien plus présents, puisqu'ils ne disparaissent point au fur et à mesure des étapes de transformation habituelles.
Page 6 : Le Rauchen
Herbe à fumer
page rédigée par Norvitch.
Le 23/11/512 :
Dans ma quête habituelle de découverte de la flore d'Esperia, j'étais parti en direction des forêts derrière le barrage d'Adobe récemment détruit par une tempête. En chemin la plupart des plantes que je croisais étaient celle dont je connaissais l’existence.. les tulipes.. les roses.. des mauvaises herbes.. etc..
Nous sommes en plein Thermidor, le soleil est haut dans le ciel et la température est tout aussi élevée. Longeant la bordure d'une petite rivière, moi, Norvitch Balthazar aperçu au loin une plante que je n'avais jamais vu dans aucun des livres et jamais entendu parlé par qui que se soit.. Elle était plutôt grande, environ a la taille de son bassin, après avoir passé une petite heure a étudié cette plante sans la touchée, j'en conclu quelques caractéristiques la symbolisant : ses feuilles avaient une forme palmiséquée et étaient formées de trois à onze segments inégaux situés aux extrémités d'un long pétiole.
Quelques plants étaient situés dans ce lieu à plusieurs dizaines de centimètres d'écart. Pris d'une certaine interrogation quand j'ai vu que certaines fleurs était différentes des autres, j'ai remarqué ceci : il y en avait deux types, l'une avec des petites clochettes qui semblaient être des bourgeons de fleurs non éclos. Et l'autre avec de petits bourgeons en forme de calice avec deux tiges blanche en sortant.. Sûrement des pistils..
Mémorisant la zone dans laquelle je venais de faire ma petite découverte. Je m'en alla la gueule au vent, mon petit carnet et ma plume à la mains, où j'ai noté ces mots. Je reviendrais sûrement demain pour étudié cette mystérieuse plante car la nuit tombe et il est temps de rentré en ville.
Le 24/11/512 :
Dès l'aube, j'ai enfilé mes habits à une vitesse fulgurante, prenant quelques miches de pain, mon carnet, ma plume et je suis allé retrouvé la fameuse plante. Je me suis perdu dans la forêt une ou deux fois avant de retrouver la rivière en question. Puis, j'ai retrouvé les mystérieuses plantes au même endroit qu'hier.. Personne d'autre ne les avaient encore trouvées et tant mieux pour moi !!
Au lieu d'allé inspecter la plante comme hier, je me suis plus préoccuper de l'endroit où elle poussait.. La présence du ruisseau signifiait que la plante avait besoin d'une certaine humidité pour survivre, j'ai remarqué que les plants n'étaient pas situés à moins de dix mètre de la rivière. Dans un second temps, j'ai prélevé un échantillon de la terre au pied de la fleur, la macérant dans ma mains : le sol était plutôt humide. Ceci affirma mes pensées, j'ai donc noté dans mon carnet cette condition de survie de la fleur. Puis, j'ai pris connaissance de la température du lieu : la rivière offrait une zone humidifié, mais le temps était chaud. N'ayant jamais vu cette fleur a cet endroit auparavant, je me suis dis que la fleur nécessitait une certaine chaleur pour pouvoir pousser. Au final, rajoutant sur mon carnet le mot « chaleur ». Jetant un dernier regard à la fleur, je me suis en allé faire ce rapport.
Le 25/11/512 :
Pris par l'avidité de recherches, je me suis dis que pour étudier plus convenablement cette plante, il fallait la déplacé jusqu'à chez moi.. où, je pourrais trouver le moyen de la reproduire et de la cultiver. C'est grâce a mes études que je savais qu'il existait trois types de plantes : les plantes monoïques où la fleure mâle se trouve sur le même pied que la fleure femelle.. sa reproduction est donc facilité par la nature, les plantes dioïques, où la fleure mâle se trouve sur un pied différent de la fleure femelle.. sa reproduction a parfois besoin d'être aidé par la mains de l'homme. Et enfin les plantes hermaphrodites où les fleures mâles et femelles ne font qu'une : ce qui donne une reproduction du plants aisé. La mystérieuse plante que j'avais trouvé existait sous deux forme.. Elle est sûrement dioïque.. il me reste plus qu'a essayé de faire rencontré des fleures mâles et des fleures femelles pour voir si mon hypothèse est la bonne.
Donc, j'ai pris une fleur mâle, et fais une extraction de son pollen, puis le déposant sur la plante femelle. Après quoi, j'ai noté tout ceci sur son carnet, et m'en alla. Je reviendrais dans quelques jours pour voir si ma méthode avait bien fonctionner.
Le 28/11/512 :
Trois jours plus tard, il était temps de voir si l'accouplement des plants avait bel et bien été fait. Je me rendis donc à l'endroit que je connaissais maintenant par cœur et fu agréablement surpris de voir qu'à la place des pistils blanc de la fleure femelle, se trouvait des petit bourgeon.. comme des petites graines. J'ai alors récolté les graines avec minutie dans un petit sac en cuir, impatient d'essayé de faire éclore ces graines, je m'empressa d'aller chez moi prendre ma pelle afin de prendre un peu de terre de ce lieu pour ne pas chambouler le cycle de la plante lorsque je planterais les graines.
Une fois de retour chez moi, je pris une petite cagette où je posa trois petits pots de terre cuite. Par la suite, je déposa minutieusement et équitablement les graines de mon sac de cuir dans les pots. Satisfais, je ferma à clef son atelier. Et m'en alla, heureux de mon travail.
Le 29/11/512 :
Le lendemain, je me rendis à mon atelier pour voir l'avancement des plants. Après une petite observation, l’extrémité d'une graine commençait à se fendre pour laisser place à une petite germe. Puis j'humidifia à nouveau la terre de la miraculeuse plante avec un peu d'eau. Pendant plusieurs heures, j'ai disséqué une des graines que j'avais conservé. La coupant en deux, je fis chauffer de l'eau dans une fiole, et introduisis la première moitié dans celle-ci. Laissant faire, il s'occupa de la deuxième.. la humant, la goûtant d'un bout de langue puis cracha pour ne pas être infecté au cas ou s'était toxique. Après de multiples expériences de ce genre sur la moitié qui avait été chauffer, sans conséquences supplémentaires, je vint à la conclusion que les graines de cette plante n'avait pas de propriétés intéressantes autre que la reproduction. Laissant mon matériel tel quel et ne rangeant pas la table de travail, je nota ces quelques mots de plus sur cette graine dans mon carnet.
Le 30/11/512 :
Le jour d'après, ce fut avec surprise que je vit deux des trois plants avaient poussés. j'ai réussi à reproduire la plante dans mon atelier grâce à mes expériences et mes observations.
En milieu de journée, satisfais du résultat de ce matin, je me rendis une nouvelle fois au lieu où j'avais trouvé la fleur. Avec ma cisaille, je coupa soigneusement un plant et l'emporta avec moi. Une fois dans mon atelier je me mis au travail, et je me suis mis réfléchir un instant.. J'ai réussi à faire germé les graines de la plante grâce à l'humidité et la lumière. Je me demande maintenant ce que peut faire avec les feuilles et les têtes du plant.
J'ai donc fait sécher le plant dans un endroit chaud, avec une ficelle j'ai ensuite accroché solidement la plante par le bas. Laissant la plante a son seul sort, pour étudier ses éléments une fois sec.
Le 01/12/512 :
Le lendemain, en retrouvant le plant, je me suis emparé de celui-ci qui était sec. En rentrant ensuite dans l'atelier, j'ai réduit en miette les feuilles et les têtes, et j'en ai fait des petits tas. Après un instant de réflexion, je me suis dis que je pourrais essayé de fumer tout çà.
Ce que je fis sur le champ en sortant ma nouvelle pipe sculpter par Sammael, j'ai introduis mon expérience dans la celle-ci, fumant le tout : cela m’entraîna dans une forme d'état secondaire 15 minutes après.. ma tête tournait comme pour l'alcool, mais je me sentait si bien, une forme d'ivresse.. Ce nouveau moyen de fumer allait révolutionner l'ensemble des herbes tels que le tabac qui n'apportait rien d'extraordinaire ! Après une bonne heure, à nouveau dans un état correct, je me suis jeté sur son carnet et rajouta ces quelques mots : « Nouvelle herbe à fumer : Le Rauchen. ».
Caractéristiques : C'est une plante herbacée annuelle où la partie aérienne meurt après fructification en fin d'année, elle est dioïque : les fleurs mâles et femelles sont sur des plants différents. Sa hauteur est d'environ 60 cm. Ses feuilles sont divisées en plusieurs lobes, généralement un nombre impair : 1, 3, 5, 7, 9, et rarement plus, qui sont allongés et dentés. Les graines sont petites, de forme ovale et légèrement pointue.
Effets : Forme d'ivresse : impression de confusion, perception visuelle et réflexes se dégradant. A long terme, fumer cette plante entraîne une petite dépendance et créer surtout une envie de "faire partager" cette sensation aux autres.
Page 7 : Le Ricin.
Plante toxique.
page rédigée par Norvitch
Nous sommes en Brumaire, en pleine expédition, la pluie tombe fortement, et je me suis mis à l'abri dans une grotte. Autour d'un petit feu, une simple couverture pour me réchauffé, je suis entrain d'écrire ces mots sur mon carnet.. De plus, ma carte est mouillée et l'encre commence à s'éparpiller, certains endroits sont illisibles d'ailleurs. Mon but ? Trouver une nouvelle plante, encore plus rare, et parvenir à déceler des caractéristiques intéressantes.
La nuit fut longue, et des bruits plutôt effrayants résonnaient au fond de la grotte, mais une légère lueur entre, l'aube se lève. Je me met en route pour continuer mon périple, mon sac sur les épaules. Après quelques heures de marche, je fait une petite pause, il me reste qu'un morceau de pain, quelques pommes, ainsi qu'un morceau de « boeufpain » fait par Abisse. C'est en observant les alentours que j'ai aperçu une plante que je n'avais jamais vue : elle se présente sous la forme d'une plante herbacée arborescente. Ses feuilles sont faites de cinq à douze lobes et sont portées par de longues tiges et leur bord est denté, de couleurs verte ou rouge, verticillées et caduques. Il y a aussi des fleurs légèrement fanées, la floraison doit se faire en Thermidore, elles sont regroupées en cyathes, des fleurs femelles en haut et des fleurs mâles en bas, c'est donc une espèce monoïque. On peux également voir des fruits, on dirait des capsules tri-coques hérissées de pointes. J'en ai pris une, puis l'ouvrant, voici ce que j'ai découvert : une graine luisante, marbrée de rouge et de brun, présentant une ligne saillante sur la face ventrale.
J'ai donc déraciné la plante, et je l'ai mis en pot avec précaution. Je retourne maintenant en ville, le pot sous le bras, la carte encore humide dans l'autre main. De retour en ville, je l'ai planté derrière ma maison, près de l'eau, pour garder l'humidité que la plante requiert, puis je l'ai nommé : le « Ricin ».
Quelques jours plus tard, avec un entretiens journalier, la plante avait déjà prit racine, et s'était parfaitement adaptée au sol, sa culture à l'air facile, il suffit de l'entretenir et d'avoir un sol riche, humide et bien drainé. Au niveau luminosité, elle a l'air d'apprécié le mixe entre soleil et mi-ombre.
Pour la première expérience, j'ai comparé les graines contenues dans les coques à celle des noix. Pour ce : j'ai donc tenté d'en faire de l'huile, l'huile de Ricin, que j'ai appelé « Ricine ». Étant donner l'aspect très gras des graines, je l'ai faite avec seulement une dizaine de celles-ci. Son odeur est infecte, dégoûté, j'ai préféré la faire goûter à un animal, une mouette, attrapée avec plus ou moins de soucis secondaires à Rivelame, a fait office excellent cobaye.
Résultat de l'expérience : la mouette a tout d'abord refusé d'ingurgiter l'huile. Je l'ai donc forcée. Les effets quelques secondes après l'ingurgitation : la mouette est paralysée, alors qu'elle a prise qu'une seule goutte. Sa respiration est faible, on la croirait morte. Une heure plus tard, elle retrouve quelques mouvements, mais sa respiration est saccadée. Encore une heure après : la mouette retrouve ses sensations, sa respiration est stable.
Conclusion : l'huile de Ricin ou « Ricine » : un paralysant musculaire et respiratoire relativement puissant, à testé sur l'homme prochainement. En dose proportionnelle à celle ingurgitée par la mouette, voir en dose plus élevé pour avoir des effets encore plus néfaste.
J'ai ensuite fait une seconde expérience le lendemain : je suis allé chercher Mors, et lui a demandé sa pierre à feu, me mettant loin de chez moi, derrière la pépinière, le reste de Ricine dans un bol, j'ai ensuite allumé une torche, et, j'ai tenté d'enflammé la substance.
Résultat de l'expérience : une flamme consume la Ricine, plutôt lentement d'ailleurs. Flamme pure, ne dégageant aucune odeur.
Conclusion : l'huile de Ricin ou Ricine est un très bon combustible : mouillé une torche de celle-ci ou l'introduire dans une lanterne ne fera qu'amélioré les performance de durée actuelle.
Il est temps de passer à une expérience sur l'homme, Slight est venu me voir, donc avons donc tester ceci avec Necko sur Slight, dans le nid Zerua. La poison a été tremper sur une dague avec quoi une entaille a été faite sur notre 'cobaye'.
Résultat de l'expérience : Slight n'a rien senti les 5 premières minutes, puis il a commencé a ressentir des crampes au niveau de l'entaille, sa respiration ralentissait tandis que son pouls s'accélérait. En 10 minutes les effets se sont accentués, puis Slight à subit les mêmes symptômes que la toute première expérience, ceci à durer 2h avant qu'il ne retrouve son état normal.