Utilisateur:Gwënlin
- Prénom : Gwënlin.
- Âge : 29 ans.
- Né à : Huratelon, en Huratelon.
- Le : 31/10/484.
- Taille : 1 c 90.
- Poids : 70 kg.
- Arrivé : le 04/01/513.
Présentation et Histoire de Gwënlin
Hors RôlePlay
Ma présentation
Bonjour, je m'appelle Benjamin, j'ai 14 ans et j'habite à Monthey, en Suisse. Mon pseudo Minecraft est Tetrox5, mais je préfère qu'on m'appelle Tetrox (le pseudo était déjà pris). Je n'ai jamais pratiqué le RP, du moins le RP pur comme vous. J'ai fait plusieurs « faux » serveurs RP,et ça m'a plu. Cependant, un ami à moi, KilleReaper, qui a déjà joué sur votre serveur et qui a fait un « Reroll » récemment, m'a fortement conseillé de venir tester ce serveur, me vantant bien les qualités de celui-ci et l'ambiance incroyable et innoubliable dans laquelle nous sommes plongés lorsque nous joueons à Minecraft (ou plutôt Esperia) avec vous. Pour revenir au jeu Minecraft, je joue depuis Avril 2011, soit depuis un an et demi, sur, comme je l'ai dis avant, des serveurs RP, mais aussi quelques fois PvP. J'ai essayé de faire une personnage originale, mais cohérent, qui me reflète un peu. Bon, même si mon personnage est un peu un attardé psychopathe, sachez que je ne le suis pas ;) Sur ce, bonne lecture et merci beaucoup ;)
Mon personnage :
J'incarne Gwënlin, un Huratelon, il est âge de 29 ans et vit à Huratelon avec son père, Thork, Forgeron, et sa mère, Evelyna, dont le père lui-même a été nommé grand Ethyliste de tout Huratelon.
-- Physique --
Il est grand, environ 192cm, a les cheveux bruns, et d'étranges marques de couleur rouge sur les avant-bras et le torse, comme si il était maltraité. Il est maigre et n'a presque pas de force. Il porte souvent un gilet faim par-dessus une petite chemise blanche, et n'hésitera pas a enfilé divers bracelets et/ou colliers.
-- Mental --
Qualités :
Sens du Partage: Gwënlin est quelqu'un de généreux et sensé. Il n'hésite pas à partager ses trouvailles et à donner aux plus pauvres.
Indulgent : Même si vous souhaitez l'énerver, il saura vous pardonnez.
(Changement possible lors de l'intégration social)
Défauts :
Agoraphobie : Bien que généreux, Gwënlin ne fréquente que les gens qu'il connait bien et ne sort pas souvent de sa salle de distillerie. Ne soyez pas surpris si il fuit a la moindre rencontre.
Endurance : Gwënlin manque assurément d'endurance. Il ne faudrait donc pas qu'il essaie de voler, car les gardes le rattraperait en moins de deux !
Force : Décidément, le physique n'est pas son point fort, ce petit maigrelets n'arrive même pas à soulever un plastron. Enfin, si, mais seulement quelques mètres ...
Compétences :
Connaissance de la flore : Initié dès son plus jeune âge par sa mère, Gwënlin connaît toutes les plantes sur le bout de doigts. M'enfin presque !
Créativité : C'est ce qui fait le point fort de ses alcools, sa créativité et son originalité, même si les goûts sont parfois un peu corsés !
Sens du goût : Il faut toujours goûter ses plats avant de les servir ! C'est ce que fait Gwënlin. Peut-être un peu trop souvent parfois !
Survie : Bien que peu endurant, Gwënlin sait faire de l'avoir avec n'importe quoi et donc en boit en abondance.
Intérêts :
Pêcheur Amateur : Certaines fois Gwënlin aime aller pêcher quelques poissons. Malheureusement, les prises laissent souventàa désirer.
Musique : Bien que craignant la foule, Gwënlin essaie de temps en temps à battre sa peur pour allez écoutez quelques mélodies qui, généralement le calment.
Métier :
Gwënlin est un Ethyliste. La famille de sa mère pratique le métier depuis plusieurs décennies. Cependant le père descend d'une famille d'armuriers et de forgerons. Que va-t-il arriver ? (Lire le RP)
RôlePlay
Une choix difficile
Un matin à Huratelon, Gwënlin sortit avec son père pour amener une épée à un revendeur Carrogiens. Celui-ci prépara une charrette, qui avait été minutieusement construire afin qu'elle soit parfaitement symétrique. Ses roues étaient rondes et ornées de pierre afin, sûrement, de renforcer sa solidité. A l'avant se trouvait un magnifique poney, les meilleures bêtes de l'ancien monde en question de transport. Il avait une crinière blanche et son corps était beige avec quelques tâches brunes dispersées un peu partout. Thorak, père de Gwënlin monta a l'avant, tandis que son fils resta derrière afin de protéger l'épée, et éviter de se la faire voler. Les ruelles étaient animées, des enfants jouaient, des femmes lavaient leurs vêtements dans le canal traversant la ville, et les commerçants vendaient leurs denrées . Rien de plus banal pour la ville d'Huratelon. Ils arrivèrent ensuite sur une place, apparemment celle du marché, ou une bonne vingtaine de commerçants avaient posé leur échoppes. Thorak descendit de la charrette et de rendit vers un marchand d'arme. Il avait une coupure lui traversant l'œil, et il portait une armure en diamant. Thorak invita le marchand a venir voir son épée. Gwënlin la sortit du fourreau et la donna à son père, qui la prit soigneusement dans ces mains noires de charbon. "La voici. J'ai travailler plus de deux jours sur cette épée, et c'est un excellent fer. J'ai même gravé votre nom, elle vous ai destinée !" dit Thorak. "Bien, reposa la charrette, il faut que nous discutions en privée ..." dit le commerçant. Gwënlin reprit alors l'épée et la recacha dans le fourreau. Les deux homme hors de vue, il descendit et alla caresser le cheval. Soudain, il entendit des bruits de pas rapides, quelqu'un courait. Il se retourna, et vu loin dans la ruelle un homme courir avec l'épée de son père. Celui-ci et le marchand sortirent. "Gwënlin, rattrape-le ! Il nous faut cette épée !" Écoutez son père, il essaya, mais en vain. Après une dizaine de mètre il dut s'arrêter, il avait le souffle coupé ...
Le soir même , au souper, Thorak était énervé contre son fils. Il 'avait pas surveillé son épée et quelqu'un l'a volé. "Tu n'es même pas foutu de courir dix mètres !" "Et bien tu avais qu'à le faire toi même !" "Tu ne parles comme ça ! Et on verra bien si toi à cinquante an tu courras après de foutus voleurs !" "Et pourquoi tu y tiens tant a cette épée ?" " J'ai passé plusieurs jour dessus ! Et j'ai payé une fortune pour recevoir de l'excellent fer !" "Non père ! Il y a quelque chose d'autre ! J'ai le droit de savoir" " Bon, c'était ma dernière épée, et je compte te faire hériter de la forge. Je ne peux plus travailler à mon âge, mais je t'aideras pour le commerce" "Père, le métier de Forg...." "Je sais fils ! Pauvre maigrelet que tu es ! Tu préfères Ethyliste c'est ça ? Sache que toute notre lignée nous a jamais abandonné, et ça ne se produira jamais, donc si tu n'acceptes pas, tu ne feras plus partie de cette famille !"
Gwënlin réfléchit toute la nuit. C'était une nuit de pleine lune, il n'eut donc aucune peine a rester éveillé. Deux choix s'offraient a lui. Soit suivre sa lignée, mais faire un métier sans intérêt pour lui et dans lequel il ne trouverait aucune satisfaction. Il réfléchit d'abord au pire : la survie. En pleine, perdu, il pourrait se faire de l'alcool, qui lui servirait de à ne plus sentir le froid, la douleur, mais il ne pourrait pas se forger une épée ou une armure, et encore moins les utiliser vu leurs poids. Il avait donc pris sa décision. Il se leva, pris un sac, y déposa quelques morceaux de pains, un Bière Noire, et alla enfiler ses bottes. Il passa le pan de la porte, se retourna, et vit la bibliothèque de sa mère, ou était disposées toutes les encyclopédies d'Ethyliste. Il hésita une seconde, puis se rendit à la bibliothèque et ramassa tous les meilleures livres qui pourraient l'aider dans l'apprentissage du métier, bien que sa mère lui en avait déjà beaucoup apprit. Il partit ensuite, sans savoir ou il n'allait. Il dormit dans l'herbe, aux pieds des arbres, sans se soucier que son père vienne lui faire une reproche, comme avant ... Après quelques jours de marche, il aperçût une ville au loin. Il s'en approcha et avant de pénétrer dans les enceintes il vit un panneau ou était inscrit : Odense. Il avait parcouru énormément de kilomètres et il était incroyablement fatigué. Il visita rapidement la ville, retrouvant les mêmes aspects qu'à Hurtelon. Une architecture identique, des place agencées comme a la Capitale, et même quelques marchands qu'il avait déjà croisé ...
Une mauvaise rencontre
Il déboucha dans une ruelle et vit une masse de personnes entrer dans un petit bâtiments ornés de jolies plantes, allant des Orchidée au Edelweiss. Il s'approcha et une pierre était posé sur la porte, avec ce texte-ci : « Taverne Rouge-Bois – Promotion sur la Bière Noire ». Il entra alors, et se glissa parmi les personnes. Un homme imposant et musclé le tira par le gilet et en le regardant fixement dans les yeux lui dit : « Tu veux jouer au malin c'est ça ? Alors tu va faire la queue comme tout le monde ou je t'éclaterais ta petite tête contre chacune de ses tables c'est clair ? ». Gwënlin acquiesça d'un signe de tête et alla de placer derrière les autres ivrognes. En attendant son tour, il rechercha les quelques écus qu'il avait emmené avec lui, et contempla l'architecture des lieux. Après quelques minutes, il commença à s'ennuyer, bien que les bagarres ne manquaient point. Il sortit alors le livre de sa mère et le feuilleta. Il y trouva différentes choses très intéressantes, comme les méthodes de fabrication ; me maltage, la saccharification, le houblonnage, la fermentation, ... Touts les ingrédients étaient bien stipulés, ainsi que les doses, comme celle du sucre résiduel, pour la fabrication de l'Hydromel par exemple. « Messir que désirez-vous ? ». Gwënlin était plongé dans son livre et n'avait pas vu passer le temps. Il était déjà au bar :
- Euh, j'ai vu que vous proposiez des réductions sur les Bières Noires ?
- Oui c'est ça, combien en voulez-vous ?
- Une s'il vous plaît.
- Bien, ça vous fera 10 deniers Messir.
- Tenez, merci beaucoup.
Gwënlin rangea la monnaie dans un poche, prit la bière dans la main et alla s'asseoir à une table reculée, au fond du bar. Un homme vint tout a coup s'asseoir à côté de lui et engagea la discussion :
- Gwënlin, ton père est fou de rage. Si il te retrouves, il va te faire esclave, il faut que tu partes, loin.
- Mais, comment connaissez vous mon nom ?
- Je suis un vieil ami de ton père, je m'appelle Agénor. Il faut que tu me fasses confiance, ce que tu va subir en tant qu'esclave, tu ne pourras peut-être même pas en survivre.
- Bon, si vous me le dites, mais j'ai pas d'endroit ou dormir ce soir.
- C'est ce que je voulais te proposer, suis-moi.
Gwënlin suivit alors l'inconnu dans les ruelles sombres de Odense, puisque la nuit était tombée. Ils entrèrent dans une maison, la porte était en bois de chêne. « Suis moi dans la cuisine, je vais te donner quelques chose à manger ». Gwënlin le suivit, et il entendit des bruits de pas recouverts de son métalliques. Il se retourna et vit deux gardes, leurs épées à la main. « Ne bouge plus ou nous te tuerons ! Laisse toi faire ! ». Un garde lui mis chaîne aux mains, derrière le dos, et lui envoya un coup du pommeaux de son épée et il tomba par terre, assommé.
Un changement radical ...
Gwënlin se réveilla. Il entendit les bruits des vagues, regarda autour de lui, et remarqua quelques autres esclaves autour de lui. Il pensa alors à cet homme, Agénor, qui l'avait trahi. Il l'avait cru et pensait qu'il pouvait lui sauvé la vie, mais ce traître l'avait livré aux gardes. Il essaya de se lever, ayant oublié ses chaînes. Il retomba alors aussitôt, et fut prit d'une certaine grande solitude. Passer d'une jolie maison dans la Capitale, et être réduit au rang d'esclave dans un bateau sans hygiène, c'était assez radical .... Un homme entra dans la soute du bateau.
- Alors comme ça c'est vous qui nous emmener .à .. Ou d'ailleurs ? Demanda Gwënlin.
- Je vous emmène tous à Esperia, bande de petit morveux ! Et vous allez pas m'emmerder sinon vous allez en baver !
- Et de quel droit, Messir, nous traitez-nous comme cela ?
- Messir ? Tu te fous de ma gueule ou quoi ? Matelot ! Un fouet !
- Mais, mais ... Qu'est-ce que j'ai fais ?
- Tu veux que je te montre ma poitrine pour te montrer de quel sexe je suis ! Pauvre rat !
Un garde apporta un fouet, il était en corde simple mais l'embout en fer, ça risquait de faire très mal ...
- Tourne toi ! Vite ! Dit le Capitaine.
Gwënlin se tourna et ferma les yeux, en pensant au prières que prononcés les prêtres lors des Messes, à Huratelon. - Aaaaa ! Cria de douleur Gwënlin.
- T'en veux encore ?
Et le Capitaine recommença .... - Aaaaaa ! Recria Gwënlin.
- Ca te suffit ?
- Ou ... Oui, j'ai compris ....
Le Capitaine s'éloigna d'un air sûr, entouré de matelots, et ressortit de la soute.
- Et toi, dit un esclave en regardant Gwënlin, ne manque plus de respect au Capitaine, la prochaine fois, je ne sais pas si tu survivras ...
Gwënlin acquiesça en baissant la tête et attendit. Soudain, un cri de matelot retentit :
- Esperia à vue ! Préparez l'amarrage !
Faits Historiques
3 Janvier 513 : Arrivée à Esperia
4 Janvier 513 : Vol chez Eleonore (coincé) / Ethyliste pour Maestikare
