Utilisateur:Aaron
Sommaire
Fiche de recensement
État Civil
* Nom d'emprunt: Aaron
* Prénom : ???
* Nom : ???
* Age : Environ 35-40 ans.
* Né : Il ne sait pas.
* Taille : 1m80
* Poids : 83kg
* Rang : Habitant
* Résidence : Une piaule dans le Quartier Ouest.
* Métier : Joallier et/ou Mercenaire
Description physique et morale
Du haut de ses 1m80, notre très cher Aaron, peut se aisément se faire remarquer, parmi une foule de gens. Ses épaules ainsi que son torse, sont assez musclés, ce qui lui donne une certaine allure. Ses cheveux son mi-long, de couleur dorés. Le jeune homme a un regard franc, parfois même méprisant. Ses yeux bleu azurs laissent deviner ses racines nordiques. Aaron a l'habitude de se laisser pousser la barbe quelques jours, une chose qu'il adore faire car ce dernier trouve que cela lui donne un air de dur à cuire.C'est un homme coquet qui aime être présentable.
Aaron est têtu. Il n’écoute que sa conscience et il fait ce qu’il lui plait quand bon lui semble. Il aime que les choses soient faites à sa façon, si il y a quelque chose qu’il lui déplait chez une personne il va le lui signifier par des mots gentils ou des surnoms idiots. C'est un homme sarcastique au plus haut point. Tout est noir ou blanc avec lui, il n’y a pas de juste milieu, il aime ou il n’aime pas. Il est très regardant envers la gente féminine, pour lui le physique est quelque chose de très important, c’est la dessus qu’il se base. Le jeune homme possède une très grande confiance en lui, il se fiche de ce que les gens peuvent penser. Il a également un physique assez surprenant, il a une musculature bien développée, un visage au traits parfaits et il en est sur tout bien conscient. C'est un homme plutôt avenant qui a pleinement conscience de son potentiel. Malgré cela il se montre souvent détestable avec tout le monde ce qui en fait un paria. Il se sert de ses atouts envers les jeunes femmes. Il est amateur d’histoire d’un soir, il lui est impossible de passer une nuit sans la présence d’une demoiselle dans son lit. Il a tendance a vouloir trouver des noises a toute personne qu’il rencontre, il se met la plus part du temps les deux pieds dans les plats et il ne se rend pas compte de la gravité de ses erreurs. Malgré tout et quand il le veut, il peut faire preuve d'une grande ingéniosité et épater ses adversaires avec des ruses et des stratégies incroyables. Derrière ses airs de fouteur de trouble, coureur de jupons, Aaron possède aussi de belles valeurs. Lorsqu’une personne réussit à transpercer sa dure carapace, elle peut y découvrir un être beaucoup plus tendre et maladroit. Il se trouve a être très protecteur en vers les gens qu’il aime, il déborde d’énergie et son sens de l’humour est toujours au rendez-vous. Il en est presque attachant... M'enfin, faut pas déconner quand même.
Compétences
- Minutie : Aaron est un homme qui sait se montrer très minutieux et précis, pourvu qu'il se concentre.[EN BAISSE]
- 32pxOrfèvrerie : Aaron est un homme habile de ses mains. Cela lui sert autant dans le vol que dans la joaillerie.[EN BAISSE]
- Alphabétisation et calcul : Aaron n'est pas issu d'une riche famille ou d'un clan renommé. Malgré tout, il a appris sur la tas et s'est perfectionné avec le temps.
Qualités
Aaron est un homme fort et très endurant, cela se montre souvent utile lorsque celui ci s'attire des ennuis, d'autant plus que celui-ci n'est en aucun cas un idiot et être mené par le bout du nez est quelque chose qui ne lui arrive que peu souvent. Tenter de se servir de lui serait malvenu et injurieux de sa personne. C'est un homme débrouillard et il ne se tourne que rarement vers les autres pour obtenir une quelconque aide. Le plus souvent, ce sera d'ailleurs pour se servir de vous et tenter de vous manipuler. Aaron est courageux et n'a pas froid aux yeux. Il en a vu d'autres et il n'est guère impressionnable.
- Aaron, les yeux légèrement plissés, un éternel sourire au coin des lèvres, une posture commune pour lui ...
Défauts
Aaron est un homme froid et qui ne sait pas vraiment faire preuve de gentillesse même si celui-ci s'avère être assez charismatique. Il ne s’intéresse que rarement aux autres. Il est plein de sarcasmes et d'ironie ce qui a le don d’énerver et de repousser les autres personnes, surtout quand il vous trouve un surnom idiot et péjoratif. De plus, Aaron peut se montrer voleur en plus d'être un arnaqueur. Cette tête brulée a les compétences pour accomplir toutes sortes de méfaits même si son sang chaud lui attire parfois quelques ennuis. C'est un homme égoïste et profiteur qui ne pense qu'a lui et se sert des autres pour parvenir à ses fins.
Intérêts culturels et goûts
Ce qu'il aime
- Les femmes
- L'argent
- Avoir des amis influents
- Qu'on ai recourt à ses services
- Les hommes et femmes loyaux
- Qu'on parle de lui
- Les gens malhonnêtes
- Être craint
- Jouer avec les gens, surtout la garde
- Être sous-estimé
- Abattre ses cartes
- GAGNER
Ce qu'il n'aime pas
- Rendre des comptes, être redevable.
- Se faire voler
- Se faire frapper
- Ne pas avoir de travail
- Les scènes pathétiques d'amour et de tendresse
- Être en geôle
- Les gens trop honnêtes
- Qu'on le prenne de haut
- Les humanistes et les gens en chien sur les femelles meubles fraichement arrivées.
- PERDRE
Chronologie esperienne
Le 4 février, Après de nombreux ennuis, Aaron recouvre la liberté.
Le 14 février, Le groupe criminel auquel appartient Aaron est démantelé, chasse à l'homme dans les rues d'Esperia suivie d'un interrogatoire et de son premier séjour en prison pour notre ami aux cheveux blonds.
La quinzaine d'avril, Aaron est accusé d'avoir frappé un gosse en compagnie de plusieurs acolytes.
La vingtaine d'avril, Aaron est accusé par le monastère, entre autre, d'être un fervent adepte du Kaoosisme.
Le 5 mai, Aaron agresse un pointu et s'enfuit.
Du 6 au 11 mai, Aaron est torturé.
Le 11 mai, En pleine guerre civile, Aaron se voit libérer de sa tour par son meilleur ami.
Le 20 juin,Aaron revient après un mois d'absence. Ce dernier semble avoir changé d'attitude et entreprend de se repentir auprès des Esperiens.
Le 28 mai, Aaron discute avec l'Apothi Joris.
Le 29 juin, Une soirée au Chat Noir dégénère lorsqu'Aaron frappe un esclave.
Histoires et récits
Aaron rigolait faiblement, comme obnubilé par les dires de l'homme. Il se relava de sa chaise, faiblement éclairé par la lueur d'une lanterne qui trainait par delà les tables et chaises renversées. Il se redressa doucement, avançant une main vers l'homme face à lui. Son interlocuteur le dévisagea, les sourcils froncés et la mâchoire légèrement rentrée dans son coup. Il pinça les lèvres avant de cracher sur le sol boisé de la taverne. Aaron le fixa, jetant de rapides coups d’œils aux deux hommes qui se trouvaient derrière lui.
Soudain, l'homme se releva avant de s'étirer. Il plaça son nez devant celui de Aaron avant de jeter une bourse bien remplie sur la table. Aaron resta figé, fronçant les sourcils, l'air à la fois déterminé et concentré sur la transaction qui s'effectuait devant ses yeux. L'homme le dévisageait, comme pour le jauger. Aaron se contenta de s'étirer avant de lâcher un bâillement, l'air détendu et visiblement sans craintes. Il rafla la bourse et s’apprêta à la fourrer dans sa poche avant que l'homme ne lui attrape le bras avant de lui murmurer.
- Je connais tout le monde ici Jefferson, si tu me doubles ... Il le coupa net. - Je sais, le tavernier en a déjà fait les frais. Les deux hommes jetèrent un œil au cadavre encore frais de l'aubergiste avant de reprendre. - Ouais, alors je veux le double, ici, même heure, huit jours. Aaron lui lança un sourire mesquin avant de retirer son bras d'un coup sec. - Je sais tronche de tapis, j'ai déjà fait cette arnaque une bonne vingtaine de fois.
L'homme à la peau ambrée afficha un léger sourire en coin avant de s'en aller, suivi de près par ses chiens de garde. Il lança un ultime coup de pied dans les cotes de l'aubergiste au passage avant de lui cracher au visage. Aaron regarda les trois hommes s'en aller, le visage crispé. Puis, il s'empressa de ranger la bourse dans son pantalon en lin avant d'emprunter une autre sortie au fond du couloir. A peine arrivé dans la rue, il du masquer son visage tant la lumière du soleil était aveuglante. Il passa une main dans sa crinière dorée avant de se mettre en marche à travers la rue bondée.
Il marchait à une allure régulière bien que rapide, écartant les gens sur son passage d'une pression sur l'épaule, se faufilant au travers de la masse informe, de la tonne de gens qui s'agglutinait ici et là, discutant, remuant la langue pour déblatérer sur les uns et les autres, le tout dans une chaleur extrême. Aaron riait de cette situation, lui qui dans ses poches décousues avait sans doutes plus de biens que tout les gens réunis ici. Comment allait-il doubler une si grosse somme d'argent en si peu de temps ? Il l'ignorait. Mais c'était ça qu'il aimait par dessus tout, le frisson de l'extrême, l'incertitude.
"Mmmh ?"
Aaron releva la tête vers le môme qui venait d'entrer dans le magasin. Ce dernier était sale et ses souliers boueux salissait le beau parquet de l'entrée. "Vire de là veux tu." lui lança Aaron. Le garçon, l'air misérable, s’avança encore d'un pas en direction du comptoir ou siégeait le blondinet, visiblement en plein travail. Celui-ci était courbé vers l’établit où il semblait confectionner un genre d'anneau serti de belles pierres, petites et bien taillées qui brillaient de milles feux. Il soupira et ôta sa lunette de son œil. "Et voilà ! J'étais concentré et il fallait que tu vienne me faire chi-" "James !" Un vieil homme sortit de l'arrière boutique regardait Aaron en fronçant les sourcils.
Il se traina doucement à tâtons jusqu'au comptoir en s'aidant de sa canne et fixait maintenant l'enfant qui arborait un regard de chien battu. "Ohh, non, Monsieur Jefferson, vous n'allez quand même pas me dire que vous allez aider ce gosse !" ce dernier se retourna, toujours les sourcils froncés et jaugea Aaron de bas en haut. "Depuis quand tu laisse les enfants dans le besoin mourir de faim James ?". "Depuis que ceux-ci me dérange en dégueulassant mon parquet bien propre ! Nan mais regardez-ça !" "Je nettoierais." répliqua l'homme. "Vous vous êtes vu ? Vous avez déjà du mal à tenir debout ! Raaah !" Aaron se retourna et vint se rasseoir derrière son comptoir avant de jeter un regard mauvais à l'enfant, désolé. Il replaça son monocle avant d'attraper ses outils, reprenant sa tâche. Jefferson, quant à lui, s’avança péniblement vers l'enfant et se cambra légèrement en sortant quelques piécettes de ses poches. L'enfant, lui, se contenta de sourire et lâcha un petit "merci" avant de sortir de l'échoppe, faisant tinter la petite clochette de la porte. Jefferson se releva en souriant et se retourna vers Aaron qui s'attelait à la tâche. Il s'approcha de ce dernier en agitant sa canne et vint se poster à coté de lui, appréciant le travail de l'artiste. "Tu me fais de l'ombre Jefferson." " Je me demande si tu as un jour eu un cœur James." " J'ai un cœur, comme tout le monde." " Qu'est ce qui t'as rendu ainsi alors ? Qu'est ce qui t'as rendu si hargneux ?" D'un geste las, Aaron retira doucement son monocle avant de se tourner vers l'homme. Il le regarda et arqua un sourcil, l'air intrigué. " La vie ?"
L'homme vint s'asseoir dans la pénombre de la taverne bruyante, là où les cris et les jurons des hommes faisaient échos.
"C'est toi Lotrek ?" L'homme encapuchonné leva la tête, laissant entrevoir son visage sous la flamme de la bougie qui siégeait sur la table, mais ne regardait pas l'homme en face de lui, il se contentait de fixer la table en face de lui. " Tu veux faire une partie ?" Aaron sortit quelques jetons d'une sacoche en cuir noir et les dispersa de part et d'autre de la table. " Ouais, une partie de Quartz." Aaron se figea et leva doucement la tête vers l'inconnu qui arborait un léger sourire. L'homme enchaina. " Je sais qui tu es Lotrek, peut importe le nombre de fois que tu changeras de nom, je te retrouverais toujours et tu le sais, Bill." A présent, l'homme en face d'Aaron semblait moins sérieux et plus amical. Il arborait toujours ce même sourire qui s'ouvrait sur une bouche où des dents manquaient et où une langue pendait, comme pour indiquer une faim à étancher. " Hmm. Tu veux quoi cette fois connard ?" L'homme ne paru pas plus choqué que cela. Il se contenta de lâcher un léger rire et enchaina. " Connard ? C'est comme ça que tu traites un vieil ami ?" Aaron ne pu s’empêcher de rire aussi. " Un vieil ami ? Tu m'a jeté en prison sale chien." L'homme en face de lui fronça les sourcils et haussa le ton. " Dois-je te rappeler qu'en retour, tu m'a volé tout mon argent ? Tu crois que mon père méritait ça ? Tu crois que ça lui a fait plaisir de te dénoncer ? Il te considérais comme un fils bordel !" Aaron relâcha ses muscles et se replaça dans sa chaise. " Jefferson à eu ce qu'il méritait. C'était un simple dédommagement pour les ennuis que tu m'a occasionné toi et ton père." L'homme ne répondit pas et regardait à présent Aaron avec un air méprisant. Il resta un instant ainsi avant d’appeler un serveur. Ce dernier s'approcha de la table, un plateau en mains et un sourire dérangeant aux lèvres. " Oui Messieurs ? Qu'est ce que ce sera pour vous ?" Aaron regardait la scène avec attention, plissant légèrement les sourcils, comme pour mieux se concentrer. Son interlocuteur jeta un dernier regard à Aaron avant de se tourner vers le serveur. " Un aller simple s'il vous plait."
La suite est floue dans la mémoire d'Aaron, il se rappelle juste avoir été sortit de la taverne, son agresseur prétextant une soirée festive un peu trop alcoolisée. Il semblait se dérouler plusieurs heures entre chaque battements de cils d'Aaron. Lorsqu'il se réveilla, il était enchainé dans ce qui semblait être la cale d'un bateau. Une vilaine douleur au crâne et une trace de sang sur ses mains témoignaient d'un violent coup sur la tête. Plus haut, sur le pont qui craquait, il entendait des voix qui semblaient résonner dans le plancher du navire. L'une, assez familière disait à l'autre.
"Merci beaucoup. Vous nous rendez un grand service."
Quelques tintements de pièces se faisaient entendre.
" Je met quel nom sur le registre ?" " Oh, mon bon ami ! Mettez bien ce que vous voulez ! Jefferson, Bill, Lotrek, Samir ou ce que vous voulez ! Cet homme en compte tellement."