Utilisateur:Baptysto
Sommaire
Description du Personnage
Baptysto a vingt et un ans. Il n'est ni très musclé ni très grand, il fait un mètre soixante cinq et il pèse soixante deux kilos.
Aptitudes
Calcul : Lorsqu'il était jeune, Baptysto s'occuper de la forge de son père adoptif, c'était lui qui faisait les comptes dès son plus jeune âge.
Alphabétisation : Grâce à sa jeunesse passée dans une famille bourgeoise, Baptysto a put recevoir une éducation digne de ce nom, il maitrîse donc les chiffres et les lettres avec grande aisence.
Talent
Baptysto est courageux.
Défauts
Baptysto est imprudent et il se met souvent dans de mauvaises situations. De plus, Baptysto a un faible pour l'alcool. Il évite souvent les tavernes.
Intérêts culturels et goûts
Les nuits ou Baptysto ne trouve pas le sommeil, il sort et il regarde le firmamant. Cela lui rappelle sa famille d'adoption à La Capitale, mais souvent lui remonte le mal du pays. Etant abitué à boire dans les tavernes de La Capitale, Baptysto aime un peu plus l'alcool "La Capitale" que les autres alcools.
Histoire
Notre histoire commence dans La Capitale, qui, comme son nom l’indique, est la capitale du Royaume Central. Nous sommes dans le Quartier des Thermes, il fait nuit, les rues sont désertes. Mais quelque part, dans une impasse couverte, le Cycle de la Vie s’accomplit. Une femme souffre, elle est aidée par son mari qui l’aide à accoucher. Bientôt, les pleurs d’un nourrisson se font entendre dans les allés calmes et vident. La mère tient dans ses bras un bébé, qu’elle berce. Le père a trouvé un nom, et la mère l’accepta immédiatement. Le nouveau-né prit alors le nom de Baptysto. Malheureusement, cette famille qui venait de s’agrandir était très pauvre, et elle ne pouvait pas s’occuper correctement du nourrisson. La mère eut alors une idée. Elle dit à son mari que le seul moyen pour que ce nouveau-né puisse connaître une bonne vie, il fallait le laisser au soin de la famille de bourgeois qui habiter dans le quartier. Le père hésita longtemps, mais il accepta, c’était le seul moyen. La mère enveloppa donc le nourrisson dans un vieux drap décoloré qu’elle déposa soigneusement dans un panier mal en point. Et dans l’obscurité de la nuit, elle alla déposer son enfant devant la porte du foyer de la famille bourgeoise. Elle pria Arbitrio pour que son fils et une famille qui puisse lui donner tout le confort qu’un enfant est besoin. La mère embrassa une dernière fois son fils, puis elle partit, les larmes aux yeux. Baptysto n’apprit jamais qui était ses vrais parents. Il croit que ses parents sont la famille de bourgeois. La vie reprit son court et Baptysto grandit. Il a découvert beaucoup de chose, comme la forge qu’il lui inspira son envie de devenir Forgeron. Il vécut sa vie avec ce qu’il prit comme ses frères et sœurs, il pensait vivre avec sa vraie mère et son vrai père. Malheureusement, cette nouvelle vie ne peut pas rester sans accroc. Le jour de ses seize ans, sa pauvre mère adoptive, su bissa les foudres du temps. La voilà allonger sur son Lit de Mort. La pauvre femme était morte de vieillesse. Elle avait bien vécu, mais toute chose a une fin, la vie humaine n’échappe pas à cette règle. Baptysto, son père adoptif et ses demi-frères et ses demi-sœurs, pleurer la défunte femme. Ainsi s’achève la première partie de la vie mouvementée de Baptysto.
Nous retrouvons Baptysto, vingt ans après son adoption. Il est au marché à côté du port avec son père adoptif, qui est désormais un vieillard.
Le pauvre ancien n’a plus la force de s’occuper de sa forge, il a donc demandé à Baptysto de l’aider à aller acheter les matériaux nécessaires pour la création de nouveaux outils.
Le vieillard expliqua une fois de plus tous les plaisirs que connaîtra Baptysto si jamais il devenait Forgeron.
Il lui dit aussi qu’un forgeron se devait de posséder certains objets comme l’enclume, pour la forge des objets ou le chaudron d’eau, pour refroidir les métaux brûlants.
Il lui dit qu’il lui faudra du temps avant de faire des outils de qualité, mais que cela viendra avec la patience. Ils se rendent tous les deux à un des fournisseurs de la forge.
Le marché est un endroit impressionnant, pas par sa grande taille, mais par tous les produits qui sont en ventes !
Baptysto s’y est déjà rendu de nombreuses fois, mais à chaque fois qu’il y va, il est toujours impressionné.
Son père adoptif et lui-même continue leurs chemins ensemble vers le magasin fournisseur de la forge.
Les voilà devant la porte du magasin, mais au moment où le vieillard va ouvrir la porte, la poignée tourne et ladite porte s’ouvre brusquement, laissant place à un homme musclé.
Le pauvre ancien, surpris par la brutalité de cet homme, tombe à la renverse.
Baptysto le rattrape et le remet sur pied.
Après cette assurée que son père va bien, se retourne vers l’homme qui part sans rien n’avoir remarqué.
Baptysto court à sa rencontre et lui ordonne de s’excuser pour ce qu’il a fait à son père d’adoption. L’homme se retourne et Baptysto le reconnaît.
Cet homme, c’était un célèbre esclavagiste. Un jour, son père lui avait raconté qui il était. Il traitait ses esclaves avec une rare violence. Même que certains ne supportaient pas le voyage, et mourraient en mer, avant même d’avoir atteint leurs destinations. L’esclavagiste regarda le vieillard et Baptysto. Il demanda à Baptysto "Tu veux que je fasse quoi ?" dit-il, avec une voix rocailleuse. Baptysto se répéta encore une fois. Le père adoptif de Baptysto lui attrapa le bras et lui supplia de ne pas se lancer dans cette folie furieuse. Mais Baptysto lui répondit qu’il n’arrêtera pas tant que l’esclavagiste ne se sera pas excusé. Il se retourna et se lança sur l’homme qui faisait deux fois sa taille. Ce dernier l’attrapa et le jeta par terre. Baptysto se releva tant bien que mal en crachant quelque goutte de sang. Il continua, frappant de toutes ses forces le cruel esclavagiste, pensant lui faire le moindre effet, mais l’esclavagiste resta de marbre. Un sourire apparut sur son visage. L’esclavagiste sortit son fouet et commença à donner de grand coup sur Baptysto. Les coups étaient d’une telle violence qu’il déchirait les vêtements de Baptysto. Baptysto tomba par terre et ne put se relever. Le père s’agenouilla à côté de lui et posa son oreille fripée sur le buste de Baptysto. Son cœur battait toujours, mais faiblement. Baptysto ouvrit les yeux et regarda l’esclavagiste. Ce dernier posa son pied sur le ventre de Baptysto, lui faisant cracher encore du sang. D’une voix sombre, l’esclavagiste dit "Soumet toi, misérable. Accepte ta défaite et soit mien." L’ancien demanda ce qui se passerait s’il Baptysto disait non. L’esclavagiste lui répondit :"S’il dit non, alors il rejoindra les cadavres qui sont au fond de l’eau du port. » Dit-il, les yeux malicieux. Baptysto voulut parler, mais il n’en n’eut pas la force. "Je vais prendre sa pour un oui" dit l’esclavagiste. Il empoigna Baptysto et le traîna à côté de lui. Le père demanda ce qu’il allait lui arriver. L’esclavagiste répondit qu’il sera amené dans un lieu où sa nouvelle vie commencera. Le père insista pour connaître le nom de sa destination. L’esclavagiste dit "Cela ne servira à rien de le chercher par mont et par vallées, mais soit. Ton fils se dirige vers une Île qui n’apparaît pas sur nos cartes. Il va rejoindre la grande et belle ville d’Esperia !"