Utilisateur:Eniotnha : Différence entre versions

De Wiki'speria
Aller à : navigation, rechercher
m (Mise en place de l'image par défaut)
Ligne 1 : Ligne 1 :
 
{{Fiche Personnage
 
{{Fiche Personnage
|Image=  
+
|Image= par_Defaut.png
 
|Nom= Eniotnha
 
|Nom= Eniotnha
 
|Famille=  
 
|Famille=  

Version du 20 juillet 2012 à 14:37


     Eniotnha
Informations RP
Nom
Année de naissance
Rang
Veuillez indiquer le rang


Famille


Quartier




Métier
Métier
Compléments








Informations HRP
Login Minecraft
Eniotnha












Caractéristiques

Nom : Non communiqué Prénom : Eniotnha Âge : 16-17 ans Sexe : Maculin Origine : "La Capitale" d'une famile influente Connaissances : Il sait lire, écrire et compter, a quelques bases en alchimie mais maîtrise l'art du vol (à ne pas stipuler lors de la vente) et de l'archerie, mais n'est point habile avec une épée Particularités : Timide mais rapidement sociable, depuis quelques temps, il s'est découvert une passion pour les hommes Physique : Cheveux blonds, yeux verts et legerement musclé Croyances : Déesse des Septs Mers

Histoire

A la nuit du solstice d’été, à l’heure ou le soleil se couche je naquis avec le nom d'Eniotnha. Je grandis au sein d’une famille influente du quartier Ouest de La Capitale. Cadet d’une famille de 10 enfants. J'appris à lire et à écrire, on m'enseigna aussi les rudiments du combat et le marchandage.

Voici quelques extraits tirés de son journal qu’il tient depuis ses treize ans :

Extrait I

Quartier Ouest de « La Capitale »

« Nous étions réunis (moi et mes parents) un samedi soir d’orage dans un petit salon près de la salle d’armes de La Capitale, invité lors d’un dîner chic par les personnes les plus influentes de la cité. Nous écoutions les savantes théories du professeur, interrompues de temps en temps par quelques anecdotes de sa part.

Le professeur était un alchimiste de renommé, c’est un homme fascinant. Quoi que un peu trapu, il dégageait une aura incroyable aura, et chacune de ses paroles était une mélodie pour chacun. C’est ainsi que pendant une heure, l’assemblée conviée au dîner l’écouta comme ils écoutèrent une symphonie.

Lorsque nous fûmes rentrés, l’orage semblait s’être dissipé malgré quelques nuages noirs, dont la lune parvenait à glisser quelques rayons éclairant la ville, c’est alors que, fouillant dans ma chambre, je retrouvais ce fameux kit que mes parents m’offrirent lors de ma quinzième année. Il fut pour moi un passe temps incroyables et je pus apprendre les bases avec le professeur… »


Extrait II

Quartier Ouest de « La Capital »

« Quelle journée admirable ! J’ai passé toute la matinée sur l’herbe, devant ma maison avec mon kit sous l’énorme balcon de ma chambre. J’aime cette ville, je me plais à y vivre. Mes ancêtres y ont vécu, mes racines sont ici, et ma progéniture y vivra. Je me suis habitué aux us et coutumes et les gens y sont d’une telle bonté.

J’aime ma maison où j’ai grandi. De mes fenêtres, je peux admirer le jardin que tient ma mère. Mais depuis que mon dernier frère est parti, la maison est vide, très vide… Le seul qui me tient encore compagnie et le reflet dans mon miroir, c’est un jeune garçon, mince, cheveux aussi blonds que l’or, yeux aussi verts que le cactus et lèvres aussi rouges que le sang. Pas très bavard aux premiers abords, dès lors qu’il connaît la personne, il devient incroyablement sociable et bavard. C’est ce côté un peu mystérieux des premiers abords de ce jeune homme que j’aime tant. »


Extrait III

Quartier Ouest de « La Capital »

« Moi qui croyait que cette ville était si calme et paisible et que chacun y était égaux. L’égalité entre les hommes est une règle qui ne compte que des exceptions.

Alors que je m’aventure dans une ruelle sombre et étroite, une silhouette se dessine dans l’ombre à mesure que j’avance, puis deux, puis trois et puis plusieurs. L’ombre n’était en fait qu’un épais voile de fumée qui se dissipait plus je me rapprochait de ces dix, non centaines de silhouette entassé dans ce qui me paraît être un quartier. Alors que ma vision s’éclaircit, une vision d’horreur m’apparut. Plusieurs centaines d’hommes pauvrement vêtu, atteint de maladie apparurent devant moi, simple être naïf qui croyaient que l’argent était pour tous…

« - Le jeune homme veut il donc bien me donner une petite pièce », voila à peu près les mots qu’ils répètent sans cesse. L’argent ne fait pas le bonheur, quel stupide citations, si l’argent ne fait pas le bonheur alors pourquoi tous ces gens dénués d’or ont l’air si triste. »


Extrait IV

Quartier Ouest de « La Capital »

N.B : Voici un extrait qui ne date d’à peine quelques jours, les autres pages ont été arrachées, mais d’après ma lecture, j’y ai conclus que notre jeune homme ici présent a sombré dans le vol.

« On se lasse d’être un héros et on ne se lasse pas d’être riche. » Cubenelle

« Je crois que la garde de La capitale est sur mes traces, je ne sais quoi faire. Je pense que je vais me cacher pendant quelques jours et arrêter de détrousser les riches. J’ai remarqué cette échoppe à l’angle de la rue. Je vais m’y réfugier pendant quelques temps. »

« L’échoppe était en fait une taverne, « Au cheval Blanc » qu’il se nomme, un endroit assez peu fréquenté. L’endroit parfait pour se cacher, il faut s’aventurer dans une ruelle sombre pour la trouver et rien n’indique qu’elle est la, c’est un de mes amis que j’ai rencontré dans le métier qui me l’a conseillé.

Le temps semble s’être arrêté dans cette taverne, certaines toiles d’araignées nous rappellent qu’il y a encore une onde de vie. La taverne est meublée de simple tables et quelques chaises, Le comptoir est large et supporte le poids de plusieurs hommes bien nourris, la surface légèrement lustrée afin de permettre aux verres (et autres) de glisser dessus. Dans le fond, derrière le bar se trouve un escalier en colimaçon qui mène à une petite série de chambres. Le patron est un vieil homme dont la nature n’a pas gâtée, un peu trapu et très barbu n’en est néanmoins très sympathique. Les rares habitués de ce bar sont quelques gens de la ruelle, discutant du beau temps et de la politique de la cité.

Alors que le temps passait, et les chopes avec… Une conversation attira mon oreille peu attentive jusque la : « - Avez-vous entendu parler de ce jeune homme qui détrousse les riches ? Il serait recherché très activement par la garde impériale, dis le premier. - Il paraitrait même que certains détectives sont sur l’enquête mais qu’ils ne trouvent toujours rien » Un soupir de soulagement me vint, c’est alors que le troisième homme rétorqua : « - J’aurais entendu dire, dit-il d’un ton très assuré, qu’ils auraient trouvé un témoin et qu’ils auraient établi un portrait robot. - Les viandes de porcs sont cuits pour lui alors, il ira directement a l’échafaud. Si j’étais à sa place je partirai directement pour le nouveau monde. » Je ne peux dire ce qui ce passait dans ma tête a ce moment la mais, j’aurai mieux fait d’aller à l’échafaud si je savais ce qui allait se passer. »

« - Le nouveau monde dites-vous ? Et comment peut-on y aller ? »


Extrait V

Cale d’un bateau inconnu naviguant vers le nouveau monde

« Cela fait plus de, à vrai dire je ne sais pas, je dirais que ça fait une semaine que nous naviguons sur les mers, je ne sais même plus quelle goût à l’air, je n’ai plus la notion du temps. J’ai l’impression que je suis la depuis des années, la seule nourriture que on nous donne est de la simple chair de poulet, si seulement il pouvait les faire griller, si seulement je n’avais jamais posé cette question, si seulement je n’étais pas rentré dans cette auberge, si seulement… La dernière conversation que j’ai eue était avec ce marchand, l’homme de la taverne m’avait dirigé vers lui, il me semblait bien qu’il ne semblait pas net, j’aurai mieux fait d’aller à l’échafaud, ce n’est pas la mort que je crains, mais la douleur. Et cette cale est la pire douleur que je n’ai jamais reçu, ma petite éducation de bourgeois ne m’as pas préparé à ça. J’ai tellement faim… En espérant que nous sommes bientôt arrivés. »

« Voici plus d’une semaine maintenant, et une personne vient de rejoindre ma cellule, Aunado Trial qu’il se nomme et, il dit qu’il s’est fait embarqué comme moi par la même personne, un marchand nommé Mar… Mar quelque chose. Ce peu de compagnie m’as permis de ne pas sombrer dans la folie, la déesse des Sept Mers peut le bénir, il m’a sauvé la vie. Je partage de temps en temps ma nourriture avec lui. En espérant que nous sommes bientôt arrivés »

« Le bateau ne bouge plus du tout et j’ai entendu murmurer au dessus de moi qu’on devra enfermer les esclaves dans une cage et les mettre en vente au plus offrant. Esclaves ? VENTES ? J’imaginais le pire, mais esclaves… Non, je ne l’imaginais pas du tout. Voila quelques personnes qui arrivent accompagnées du marchand qui m’as jeté ici, je pense que les derniers mots du journal que j’écris s’achèvent ici, j’ai eu plaisi…. »

Premier Jour

Lors de son arrivée, il a été vendu comme Esclave à Dunada. Il faut s'accorder qu'il est tombé sur une bonne personne, certes suceptible, mais bonne... Enfin, c'est ce que l'on pense aux premiers abords...