Utilisateur:Kenesha

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     Keneshe Di Karmina
Informations RP
Genre
Femme
Année de naissance
Rang
Esclave de



Quartier




Métier
Métier
Compléments








Origines
Ville d'origine
Nation d'origine
Informations HRP
Login Minecraft
Kenesha
Pseudo
Kenesha
Prénom IRL
Laurene
Âge IRL
21ans












Fichier:Afb87186d1df938f0fcba43cd9f63b71.jpg

|Description= Jeune femme de 19 ans, cheveux bruns, les yeux bleus lagons, les traits fins et la peau legerement bronzée. D'une taille moyenne, voir légérement supérieur, la taille fine, et les courbes bien scultées, elle degage un charme sauvage, et parfois intimidant. Elle peut paraitre parfois autaine et glaciale dans ses expressions et dans ses gestes, mais ses yeux refletent l'étincelle et la joie de vivre

|Compétences= Alphabetisation et Calcul (elle a etudié a l'Ecole des Chiffres de Caroggia, comme tous les enfants de riches marchands) Connaissance de la faune (elle possaidait son propre commerce, en plus d'une partie de celui de son pere, d'animaux rare et exotique) Connaissance de la flore (elle aidait son pere dans la branche "plantes, fleurs et feuilles medicinales, de son commerce) Dressage (elle utilisait cette compétance pour matter les animaux qu'elle importait pour les revendres comme animaux de compagnies rares).

|Talents= Agile, courageuse, droite et franche, vive d'esprit et volontaire, ambitieuse.

|Défauts= Tetue, impatiente, gourmande, tempérament fort et un tentinet capricieux.

|Intérêts culturels et goûts= Elle a grandi a Caroggia, et en respecte donc les coutumes et traditions. Elle raffole des spécialités culinaires de Caroggia, notament les mets et douceurs a base de miel. Elle a hérité de sa mere, une nordique, sa religion: le culte des deesses des 7 mers; elle est croyante mais pas pratiquante. Et comme la majorité des Caroggians, elle est un petit peu supersticieuse.

|Amis déclarés=


Alexandrius Proparte : Alep, de la famille Awolius, est le Maitre de Kenesha. Elle l'apprecie beaucoup, et entretient de bonnes relations avec lui.


Lolaska : Lolaska est la petite soeur de Kenesha. Elles entretiennent de tres bonnes relations et Lolaska compte beaucoup pour sa grande soeur. Kenesha serait pret a beaucoup de sacrifice pour que sa petite soeur cherie soit heureuse.

|Ennemis déclarés=

|Histoire= Chapitre1: A l’aube naissante du soleil du Sud, une jeune femme, d’une beauté frappante, finissait de fermer sa chemise de soie brodée issue des lointaines iles de la Mer-du-Sud, preuve d’une richesse évidente. Elle était d’une taille banale quoique légèrement plus grande, avait un teint pâle caractéristique des femmes du Nord et des yeux d’un bleu lagon envoûtant. Ses cheveux châtains cascadaient jusque dans le bas de ses reins, sensuellement, elle les releva et en fit un chignon élégant, raffiné. C’est lorsqu’elle eut fini de chausser ses cuissardes qu’une autre jeune femme entra dans la pièce. Elle était le magnifique reflet de la première, elle se distinguait de l’autre seulement par la couleur de ses cheveux blonds qui reflétaient les pâles rayons du soleil levant. « Tu retournes encore dans cette taverne puante et bruyante Kenesha ? » La dite Kenesha, se retourna, examina sa sœur dans les yeux et répondit : « Bien sûr, Petite sœur, et tu vas m’accompagner ! » « Non, je n’aime pas y allez ! Une femme distinguée n’y a pas sa place, les hommes là-bas sont brutaux et sales ! Je ne te comprends pas… Pourquoi devrais-je t’accompagner ? » « J’ai besoin de toi pour m’aider à délier les langues. Les marins parlent mieux sous l’effet de l’alcool, et ils ne peuvent plus rien contre ton charme fou ! Avec une si délicieuse créature que toi en face d’eux, ils ne pourront plus résister et je n’aurai plus aucun mal à leur arracher des informations ! Allez, habille-toi et rejoins-moi en bas. » « Seulement si tu me dis cette fois ce que tu cherches encore ! » Soupirant de frustration mais cédant au caprice de sa jeune sœur, elle lui répondit, en murmurant à son oreille : « Rappelle-toi de notre rêve, Petite sœur, rappelle-toi ce que nous nous somme promis. La ville, le monde, la fortune, tout nous sourira ! Mais pour cela il faut reprendre le flambeau de notre père. Et les marchés qui ne sont pas non plus, elle insista sur ces deux mots, en sa possession ! Je parle bien entendu de ce que les bateaux cachent dans leur soute, de ce qui ne devrait pas s’y trouver… » Lolaska sourit, se retourna et se sauva en courant dans sa chambre pour se changer.


Chapitre 2: Un peu plus tard dans la matinée, les deux jeunes femmes entraient dans la taverne «  Au Marin d’Eau Douce ». La brune semblait tout à fait à son aise, la blonde l’accompagnant un peu moins. L’aînée se dirigea vers un groupe de marins, et apostropha l’un d’entre eux : «  Alcor ! Mon vieil ami ! Te voilà de retour en ville. Comment s’est passé ce séjour en mer, quelles merveilles nous ramènes-tu ? » « Bella, c’est ton père qui t’envoie ? Tu traites de plus en plus les affaires familiales à ce que je vois. » « Il faut bien, le père commence à se faire vieux, et le commerce me plait bien. En fait, je te présente ma sœur, Lolaska. » Le vieux loup de mer lança un regard en coin sur la jeune femme, puis commença à la déshabiller des yeux. Se prenant un coup de coude dans les côtes, l’homme se retourna vers la brune. « C’est ma sœur, le fille d’un Fiducier, pas un bout de viande. Je te pensais plus malin mon ami. Ton séjour en mer t’aurait-il affamé ? A moins que ton butin ne soit pas assez gros et que tu ne puisses pas en tiré un bon prix ? » « Hahaha, excuse-moi. Mais ta sœur est tout simplement su-blime. » Discrètement, la brune fit un clin d’œil à la blonde, et celle-ci lui rendit un sourire. « Mais je te rassure, nos soutes sont pleines à craquer ! De quoi satisfaire le commerce de ton père ! » « Et qu’en est-il de ma commande… un peu… spéciale ? » L’homme des mers regarda autour de lui, fixa la brune, puis la blonde, qui lui fit les yeux doux, et lâcha discrètement : « Tout est là, tu seras livrée ce soir. » Kenesha ramena sa main dans ses cheveux, tirant les quelques mèches rebelles vers l’arrière. Une habitude qu’elle avait, disait-on, reçue de sa mère. Lentement les deux sœurs quittèrent l’établissement, un grand sourire aux lèvres et une promesse d’avenir radieux au cœur.


Chapitre 3: Quelques jours après la scène de la taverne, le père convoqua ses deux filles, dans le hall du pavillon familial. Cet homme gras et bouffi inspirait un air de mépris à Kenesha, ce père, elle avait appris à le respecter mais pas à l’aimer, cet homme qui n’était même pas présent quand sa mère avait rendu son dernier souffle. Elle ne parvenait tout simplement plus à le considérer comme son père, seulement comme un géniteur, sa seule famille restante étant sa jeune sœur. Sans plus outre mesure il leur annonça : « Cet homme, Jaquen, sera votre garde du corps pendant quelques temps. Vous serez bien gentilles de ne sortir qu’avec lui et tous les trois ensembles ! » Kenesha crue qu’elle allait exploser de rage. De quel droit ce père lui collait cet énergumène sur le dos ! Et son commerce à elle alors ? Comment allait-elle finir ses dernières transactions s’il était présent ? Elle allait répliquer qu’elle n’en voulait pas quand son père l’arrêta : « Ne vous affolez pas, ce n’est que temporaire, certaines… hum… rumeurs circulent en ville et il vaudrait mieux nous protéger. Allez donc au marché cet après-midi ! Ma petite Lola, ton libraire préféré est revenu en ville et l’on m’a rapporté qu’il avait de nouvelles lectures à te faire découvrir ! » Sautant de joie, la jeune sœur de Kenesha attrapa celle-ci par le bras et s’écria : « Allons-y s’il te plait, j’ai vraiment envie d’y aller avec toi ! Allons nous promener au marché, achetons ces superbes livres et pourquoi pas quelques nouveaux bijoux ! » « J’ai des choses à faire Petite sœur, et je n’ai pas le temps à perdre au marché ! » Lolaska se percha devant sa sœur, prit l’expression la plus attendrissante qu’elle connaissait, et dont elle savait que sa sœur ne résisterait pas : elle fit la moue. « D’accord, d’accord, d’accord, allons au marché et Par la Grace de Sinine, arrête avec ces yeux la » Lolaska couru enfiler une superbe robe aux couleurs de la terre du soleil, entrainant la sœur à sa suite. Sur le marché, les deux sœurs se tenaient par le bras, flanquées de Jaquen, cet homme aux cheveux gris à leur suite. Flânant entre les échoppes elles riaient de bon cœur en regardant un singe savant réalisé ses tours de magie. Puis leur garde du corps leur intima l’ordre de se mettre à courir en leur montrant de la fumée s’élevait de la direction de leur pavillon. Deux géants surgirent de nulle part et se jetèrent sur Jaquen. Lolaska et Kenesha se mirent à courir à perdre haleine, slalomant entre les étals, zigzagant entre les citoyens de la ville, allant se perdre dans les bas quartiers, les tréfonds de la ville basse. Plusieurs heures passèrent, les deux jeunes filles s’étaient cachées, avaient vendu leurs bijoux et trouvé une auberge miteuse pour les accueillir pour la nuit. Les mites avaient dévoré presque la moitié de leur lit unique, la puanteur infestait de partout et les bruits des chambres voisines étaient glauques. Deux jours passèrent puis elles décidèrent de mettre le nez dehors pour trouver une solution. Hors de question de rentrer chez elle, un sort peu recommandable les attendait sûrement et aucunes nouvelles n’émanaient de Jaquen. L’idée de prendre un bateau et de rejoindre par la mer leur tante dans le Nord, là d’où venait leur défunte mère, leur traversa l’esprit. Elles se rendirent donc au port pour en prendre un, elles n’avaient cependant pas fait attention à l’heure tardive de la journée. De plus, leurs vêtements, leurs si riches habits, avaient été réduit en loques lors de leur course folle, puis pendant leur passage dans cette auberge malfamée. On aurait pu s’y méprendre et les confondre avec des filles de joies, seulement leurs jolis minois rappelaient leur haute naissance. Et ce n’était pas passé inaperçu aux deux yeux qui les scrutaient dans l’ombre. Alors qu’elles prenaient un tournant au bord de l’eau, trois hommes les attrapèrent et les ligotèrent. Un coup violent sur la nuque et Kenesha sombra dans un voile noir. A son réveil, Lolaska gisait à ses côtés, des chaines aux pieds et aux poignets. Au roulis des vagues, elle sentit qu’elles prenaient le large sur un bateau. Finalement elle entendit criait du pont: « En route pour Fort Lointain ! » Et là, elle comprit, dans quelques jours elles seraient toutes deux vendues comme esclaves.}}