La presse écrite dans l'Ancien Monde
Il est important de notifier que seul les Oligarques lisent et suivent avec attention ce genre d'écrits dans la République
Il n'existe quasiment aucune presse écrite dans l'Ancien Monde. En effet, la majorité des sociétés ne sont pas adaptées à la libre parole par la voix de gazettes et de petits journaux. Le Royaume Central et la Grande Huratelon ont des lois très rigoureuses en matière de censure, souhaitant protéger le pouvoir très centralisé. Les Maahvitts et Lig Ocolide ne sont eux pas assez prospères dans leurs écrits pour développer de telles pratiques. Le Canatan subit une censure imposée par le Royaume Central et la nation Adaarionne est quant à elle intransigeante sur chaque écrit, n'hésitant pas à punir toutes atteintes au Monastère ou aux corporations, imprégnant le pays d'une peur qui ne profite en rien à un essor de la presse.
La République Marchande de Caroggia a quant à elle vue se développer quelques ébauches de gazettes et de journaux. Ces derniers sont cependant exclusivement possédés par des Oligarques qui utilisent ces écrits pour mener de vastes opérations de séduction ou encore pour diffamer des opposants politiques par la révélation de scandales. Mais malgré cette essor, il n'existe en République de Caroggia qu'une petite dizaine de gazettes qui sortent tout les 2 - 3 mois en format 4 pages.
Les plus connues étant :
- Le Républicain (Possédée par Camilio Monelli)
- La Perla (Possédée par Miroslavo)
- Le Peuplier (Possédée par Alphonse de Carne)
- La Caroggianne (Possédé par plusieurs Oligarques)
