Les aventures de Tristan

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Cet écrit a été rédigé par Silnoë et se trouve sur la nouvelle Esperia.

A l'occasion d'un concours d'écriture de l'Accadémie, Silnoë a redigé quelques textes humoristiques inspirés par des esperiens et des esperiennes.

L'ouvrage est encore en écriture. et en sa possession.

L'ouvrage écrit par Silnoë : Les aventures de Tristan, répertorie les récits de Silnoë de cette série. Le texte est inspiré de l'ouvrage de "Sublimes paroles et idioties de Nasr Eddin Hodja"

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Préambule


Préambule : De l'oubli ou l'histoire d'Esperia.

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Vous a-t-on déjà conté Esperia
La ville où se côtoient l'or et les rats ?
Parmi tous les fous qui y ont vécus
Tristan le bavard est le plus connu.
Ce recueil vous invite à découvrir
En passant des longs sanglots au fou rire,
Les trépidantes histoires de Tristan
Auprès d'Esperiens et leurs Monuments.
Aussi, si vous devez vivre la bas
Retenez pour éviter les coups bas
Que l'histoire se répète toujours
Car les Esperiens au progrès sont sourds.
Lorsque ce récit vous aurez tout lu,
Vous saurez si Esperia est perdue.

Dédié à quelqu'un qui peut l'entendre : Gustav Calibesta


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Premier Volume

Richesse Bleue

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Encore esclave, Tristan faisait crieur. Une activité réalisée à l'époque par les esclaves. Ne rapportant pas beaucoup à son maître qui le battait encore plus, il prenait tous les petits boulots. Un occolidien réputé pour son humour, Raoul, lui proposa de nettoyer son quartier, Rivelame, des fientes de mouette. En payement il a pu choisir entre plusieurs pierres précieuses et lingots de la dernière saisie de l'intendant truand.
Il s'empressa de les apporter à son maître, espérant un morceau de pain rassis. Son maître les lui jeta à la figure.
- imbécile ce ne sont que des lapis lazuli ! En Esperia c'est plus commun que du blé moulu !
- Oh merci Arbitrio ! Remercia Tristan alors qu'il se prenait les pierres précieuses à la figure.
- Pourquoi remercie-tu ? Serais-tu en train de te moquer ?
- Oh non maître ! Je comprends votre étonnement mais quand je pense que j'ai failli prendre les lingots d'or ! Je préfère me prendre des cailloux à la figure. Arbitrio est bon.
Tristan a dû s'enfuir avant d'être gratifié d'autres bleus qui ont tournés au noir.

Manger des asticots

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Alors fraîchement libéré de l'esclavage et connaissant bien la loi encore active du sans-fond, Tristan décida de faire fortune. Il alla donc chez le boucher et lui acheta avec ses trois espers de fer durement gagnés des abats de mouton.
Puis il mit son plan à exécution.
Une fois terminé son affaire, il alla à la taverne. Seulement, il n'avait toujours pas le sou.
- tu ferais mieux de me faire crédit, sinon j'irai à la taverne du lac, et ce sont eux que je rembourserai le triple demain.
- Et comment comptes tu faire, toi qui portes encore les marques de tes chaînes ?
- Je peux bien te le dire, puisque tu seras bientôt mon débiteur : j'ai enterré des abats dans la terre. Demain j'aurais tellement de larve que je pourrais m'acheter tout ce que je veux au sans-fond !
Tristan dû pour survivre manger des asticots pendant quelques jours avant d'être nourri aux frais du dispensaire.

Le chaud lapin

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Dans sa quête du pouvoir, Tristan décida de se mettre dans les bonnes graces de la dirigeante Danhaë. Il avait entendu dire qu'elle avait en adoration les lapins.
- Une fine bouche digne de mes talents de cuisinier ! Pensa Tristan tout en ce félicitant déjà des avantages sociaux qu'il obtiendrait.
Seulement, avant même qu'il ne put atteindre les escaliers menant à la salle du trône, il fut molesté par deux gardes envoyés par la reine.
- Idiot ! Dit l'un d'eux alors que Tristan tentait de s'expliquer, la reine tient les lapins en adoration au même titre que ces enfants ! Elle est végétarienne.
Le lapin eut des funérailles plus dignes qu'un Sénateur et Tristan fut aussi boueux que Corback.

Le Trésorier égorgé

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Tristan n'en abusait pas, mais il lui arrivait de voler quelques petits objets sans importance. Cette fois-là il avait volé une belle bague avec une améthyste à une riche de l'époque : Dinatie.
Son forfait fait, il alla quêter son blanchisseur : un certain Thorgan. À force d'une négociation bien menée il put en tirer 12eO.
Quelques jours plus tard, une grande agitation tenait Esperia en émoi : sur la place centrale, un jugement public prenait place. Reconnaissant Thorgan et craignant que ce soit à cause de leur affaire de légumes auquel cas il risquait le même sort, il s'enquiert auprès d'un Capitalin :
- Ce vendu a détourné les fonds du village alors qu'il était trésorier ! Plus de 12eD et récidiviste.
- 12 eD ! Et lui qui m'a dit qu'il avait du mal à payer ses impôts ! Le forban !
Tristan alla immédiatement crier au juge son affaire, et qu'il exigeait plus de ce forban qu'il l'avait roulé.
Suite à la déposition de Tristan, Thorgan fut condamné à mort. Tristan ne fut chargé de rien par la milice: la délation paye en Esperia. Mais il fut tabassé par des amis des S'Jets car la loi des Esperiens fait foi.

Petit écriteau

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Alors que Tristan était encore tailleur de pierre, un esclave lui commanda de la part de son maître une pancarte.
- Il faut qu'elle ait cette taille-là fit l'esclave en mimant avec ses mains enchaînées.
- Mais par Arbitrio ! Ce que tu me décris la est un jouet pour enfant ! Ton idiot de maître ne pourra rien y écrire.
Tristan prit tout de même la commande parce qu'elle était bien payée.
Seulement ce ne fut pas l'esclave qui vint chercher la commande, mais un homme de toute petite taille. Aussitôt armé de la pancarte il la maniât si vite qu'il assenât 10 coups à Tristan avant qu'il puisse se mettre à l'abri derrière son échoppe.
- Souviens-toi, insolant, qu'on ne traite pas Ser Toutcourt d'enfant impunément !

Lettre Confidentielle

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Pour avoir accompli quelque basse besognes sans s'en rendre compte au profil d'un riche Caroggian, Tristan Avait été promu juge. Un jour un Nordique s'était donné toutes les peines du monde pour se déguiser et parvenir à son bureau. Tristan n'était pas dupe ni de l'odeur ni de l'accent.
Ce dernier lui tendu une lettre cachetée. Tristan, qui avait saisi toutes les subtilités que d'être juge, cru à une lettre d'amour que le pauvre diable ne savait pas lire. Tristan était instruit et sait que les Nordiques sont très discrets concernant leurs ébats amoureux.
Il prit donc la peine de commencer avec une voix suave à déclamer la lettre :
- cher nordique, ceci est un ultimatum
- Idiootti ! C'est une lettre du banquier Gary Wes, pas de ma fiancée !
C'est qu'en Esperia, les lettres ne sont pas toutes bonnes à décacheter. Et il ne faut pas faire affaire avec un banquier si on est illettré. (Mais Tristan vous dira que c'est parfois plus sûr que d'être avec un autre Esperien ou Esperienne en prenant example sur les Lunargents)

Le Quotidien des Esperiens

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Pendant la Nivôse, Tristan était commis dans la librairie du Cœur Lunaire, fondée par Kemelvor. Assez lettré pour trier les livres dans l'ordre alphabétique, il était à l'étagère politique quand un Capitalin rentra dans la noble échoppe.
- Bonjour Tristan le bavard, j'aimerais commencer la collection d'un journal. Et j'aimerais une belle collection ! Pas comme L'Ouestien qui ne fait que 3 numéros.
- Oh, je sais ce qu'il te faut ! Je peux te proposer de t'abonner au livre de loi. Il y en a déjà une belle douzaine. Et n'ai crainte, il y en aura encore que tu n'auras plus de place dans l'académie.

Joaillerie

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Parce qu'il ne comprenait pas les secrets d'État prononcés pendant les Conciles, il était régulièrement convoqué pour faire le service aux têtes du village. Les autres Esperiens et Esperiennes se collaient plutôt à la paroi des murs pour entendre des bribes de discussion inutiles.
Ce soir-là, le vin servi était une cuvée royale Ahrondor. L'assemblée était tendue : deux camps s'étaient renvoyé de mauvais coup. Ils étaient même allés à placarder des affiches avec de vrais arguments sur la place centrale. Chaque vote allait être décisif.
Tristan qui ne se doutait de rien finissait la bouteille dans le dernier verre, un phalangiste. Alors que la soirée avançait et que les esprits s'agaçaient le phalangiste fut pris d'étranglement. La pagaille qui s'ensuivit a réveiller tout Esperia, les phalangistes ayant décidé de sonner la cloche pour appeler un soignant qui se trouvait déjà sur place. Après moult efforts, on réussit à le faire cracher ce qui s'était coincé : un diamant.
Et le monachiste, qui s'y connaissait bien en vin, de s'écrier :
- Tristan ! Espèce d'Altenbur! Tu as versé dans son verre le diamant qu'il y a dans toutes les bouteilles de cru royal Ahrondor! As tu voulu le tuer ?!
Les Esperiens se souviendront du concile comme l'un des seuls s'étant bien terminés : sans aucune décision inutile. La phalange comme le plus grand nombre de coup de bâton jamais donné en Esperia. Tristan vous dira lui qu'il est plutôt content :
- D'habitude c'est moi qui termine en douce les fonds de bouteille. Et j'en serais sûrement mort car on ne m'aurait pas fait sonner la cloche.

Une fuite sans fond

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Tristan s'attachait comme tous les Esperiens de bien peu de choses. Ce mois-ci, il avait pris comme affaire personnelle de prendre soin d'une fleur bleue non loin du sans fond. Celle-ci lui semblait manquer d'eau, et il entreprit de creuser un petit canal depuis la baie jusqu'au bord du sans-fond pour arroser sa fleur. Seulement voilà que des Qadjaride du clan des Lézards l'empêchent dans sa noble quête. Outré, il va aussitôt se plaindre au Capitaine De Gaure, alors tyran chauve d'Esperia.
- J'entends ta requête, Tristan le bavard. J'arrive avec ma troupe t'aider.
Avec plus de 10 sous-fifres de De Gaure, voilà qu'ils ne creusaient plus une rigole, mais un canal tout entier. Il fut impossible à Tristan d'arrêter les gardes qui avaient reçu l'ordre de creuser jusqu'au bord du sans fond. L'eau de la baie s'engouffra dans le canal et vint inonder le sans-fond, le remplissant d'eau salée, les Qadjaride exilés et civilisés en ville de force.
- Le plus malencontreux dans cette histoire avoua Tristan quelques mois après, ce n'est pas que je reçois des messages de mort des Qadjarides, mais c'est que personne ne c'est donnée la peine de me dire que ma plante n'aimait pas l'eau salée !

Ménage de printemps

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Ce n'était pas la première fois que Tristan se faisait prendre à cacher des rapières chez lui. Cette fois-ci c'était Enio Giudizio après Barboto et Thémis qu'il se faisait prendre. Cependant, il continuait à récupérer des armes en contrebande sans les utiliser, comme tous les Esperiens un peu anciens.
Un garde vêtu de blanc et de marron interrogea Tristan qui louait Arbitrio alors qu'on le dépossédait de ses biens.
- oh, je suis heureux, merci Arbitrio, car les lames devenaient usées. Et je n'aurai pas pu m'en débarrasser facilement : il m'aurait fallu un port d'arme qui coûte bien vingt rapières.
Une nouvelle personne doit savoir qu'il ne sert à rien d'acheter un port d'arme à Esperia, car il est mensuel (à chaque nouveau capitaine) et coûte plus cher que la lame.

Le poulailler

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En Brumaire, Tristan va en place centrale d'Esperia bien décidé à annoncer à toute la ville qu'il allait concourir pour la couronne. Un Esperien qui passait par là lit l'affiche et s'esclaffe :
- Mais Tristan, pourquoi détailler dans ton affiche pour la course au pouvoir ton idiot métier de maître poulailler ?
- Ne ris pas, moi je retiens l'histoire de ce village. Et Illina à été de porciniere à la reine. Il faut savoir séduire les habitants.

Mauvais présage

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Le bagout de Tristan lui faisait avoir de bons amis, surtout ceux qui avaient une dette envers lui au Tark'4, jeu très apprécié des tavernes. L'un d'eux qui était tailleur de pierre au Morse de Granit en devait une à Tristan. Il lui offrit une petite statuette à son effigie avec graver sur le socle "Tristan le bavard".
- malheureux ! S'emporta Tristan soudain prit d'une peur bleue. Il faut vite la détruire.
Et il la brisa au sol en la fracassant sur les pavés de Rivelame.
- Par Arbitrio Tristan ! Qu'est-ce qu'il te prend ?!
- Ne sais-tu pas que se faire faire une statue à son effigie en Esperia porte malheur ? Regarde : Louis mort dans un escalier. Aeris egorgee, Raoul et sa bande exilés, Sammaël mort de maladie.. Tristan ne fut pas épargné de la malédiction aux statues : il dut rembourser les dommages faits aux pavés de Rivelame une fortune. C'est que les Rivelamiens payent les pavés propres pour que les mouettes les colorent.

Langue étrangère

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Si Tristan s'était attaché au culte d'Arbitrio, il ne s'intéressait pas aux autres cultes. Il ne s'intéressait d'ailleurs pas plus aux autres langues que le bon Capitalin. Seulement sa méconnaissance des autres dialectes lui causait souvent de mauvais tour. Cependant qu'il discutait autour d'une bière faites pas Blaise, il apprenait que la Chaos histe de l'Abus de l'époque, Hiiagara, avait perdu son enfant. Touché par la nouvelle, il retint le mot étrange comme un dialecte occolidien, désignant une mariée ou une compagne.
À un mariage mondain privé, et même royal, réunissant le roi Bill et la reine Pépi, Tristan un peu saoul s'approcha de son roi.
- Ah mon bon Sir ! Toutes mes bonnes félicitations à vous et à votre Chaos histe ! Veuillez accepter ces cornes de taureaux !
- comment ! Tu traites ma dulcinée de Kaoossiste et en plus tu m'offres des cornes ! Je me disais qu'il manquait quelque chose à la fête !
Il fut organisé dès le lendemain la première corrida d'Esperia.
Au dispensaire tenu par Estrella, Tristan se félicita de ne pas avoir offert des griffes d'ours.
Ne traitez personne de Kaoossiste. Soit vous serez condamnés, soit vous serez tous les deux condamnés. Comme pour le Commandeur Chester Loor.

La mémoire des morts

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Rejeté par les autres artisans, Tristan du se résoudre pour manger d'être fossoyeur. Il devait enterrer aujourd'hui d'un fondateur de la ville : Louis Linden.
Sentant que c'était un événement de taille, Tristan y mit du zèle et décida de graver la cause de la mort du grand homme pour lui rendre hommage. Une parenté l'arrêta à grand coup de canne après deux mots gravés.
- Mais enfin vénérable Loysto ! Je ne savais pas qu'il était mort dans un bête escalier !
Sachez qu'il faut se méfier des accidents et des marches. Alors, ne grimpez pas trop vite les marches du pouvoir, où vous les redescendrez aussi vite.

Chinions et piaillement

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Alors qu'un occolidien fainéant de Rivelame se plaignait de ne pas être comme Noble Dame Leoplodine Dewhell, Tristan lui renversa toute sa réserve de pain sec sur la tête.
Tout de go, le malheureux s'enfuit devant les mouettes au bec féroce.
- eh bien, il ne me remercie même pas de l'aider ! Léoplodine cache dans son chignon des oiseaux, c'est bien connu.
Les blessures ne guériront jamais.

La modestie Esperienne

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Un jour de marché devant Adobe, le quartier rouge, Tristan s'évertuait à crier à tue-tête
- demandez la roche Tristan ! Belle roche blanche et provenant d'Esperia !
- Ta roche est 10 fois plus cher ! Et ce n'est que du calcaire ! s'insurge un maître d'œuvre.
- Et alors ? Elle porte mon nom et est esperienne, tout comme le bois que vous achetez 10 fois plus cher qui porte le nom de Daviel, le tailleur de bois.
Les Esperiens sont prêts à tout pour se faire souvenir. N'hésitant pas à renommer d'anciennes rues avec leurs noms, incitant les suivants à faire de même. Commencez par vivre dans l'instant.

hallucination collective

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Tristan a connu beaucoup de personnes très différentes en Esperia. Un jour une activité organisée par le nouvellement nommé Chancelier visait à élire la personne qui connaissait le plus d'esperiens et d'esperienne étranges a valu à Tristan quelques jours de géôles dans la nouvelle caserne.
Il raconta au concours qu'il avait rencontré plus de cinq personnes aux yeux vairons, un nain commandeur, un roi aveugle, des amnésiques, des jumeaux. Alors qu'il allait gagner le concours pour les fous-rire provoqués dans le jury -malgré que ce soient des faits véritables- il ajouta qu'il y avait même eu une vraie paysannerie à une époque, un ballon volant et un cheval. Malheureusement pour Tristan, cela faisait trop d'éléments pour les experts de la garde de Siméon pour déduire que Tristan consomme de la drogue.
Ce séjour sous barreaux lui a fait comprendre que la vérité ne peut être entendue par les esperiens seulement lorsqu'on paraît soit même bourré.

Le théatre Esperien

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Comme Tristan allait où les Esperiens allaient, il se retrouva au Théâtre bâtit par Sammaël Loysto au quartier d'Adobe.
Alors qu'il faisait la queue à l'entrée une femme richement habillée passa devant tout le monde. Elle était rousse et maquillée tout de blanc et de rouge.
- Et pourquoi nous passe-t-elle devant ? demande Tristan a un Caroggian qui était derrière lui.
- Parce qu'elle est noble. Les nobles ont des loges réservées.
En rentrant dans le théâtre et voyant lesdites Loges, perchées en haut du théâtre avec des barrières tout autour pour les séparer du bas peuple Tristan s'écria :
- oh Arbitrio, faites que je ne sois jamais noble !
Devant l'interrogation de ses voisins, Tristan d'ajouter
- De si loin je ne verrais rien, et je n'aime pas être enfermé dans une cage comme un poulet !
Pendant qu'il s'évertuait à vanter les bienfaits de l'odeur de la populace, il ne vit pas que Aeris hikari se suicida sur scène ce soir là.