Utilisateur:Aklan

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Vous consultez la fiche d'un personnage absent d'Esperia.

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Informations RP
Genre
Homme
Année de naissance
Rang
Esclave de







Métier
Métier
Compléments








Origines


Nation d'origine
Informations HRP
Login Minecraft
Akantor974
Pseudo
Aklan


Âge IRL
14 ans





Aklan

Description

Aklan est un homme de 32 ans,brun et possède une barbe de 2 mois. Il a eu la chance de recevoir une éducation convenable mais a préférait étudier les alcools plutôt que les lettres,ils ne sait donc quasiment pas lire et écrire. Aklan n'est pas un homme violent,et est même un peu lâche.

Compétences

  • Sens du goût :Aklan a toujours eu un sens du goût développé.
  • Créativité :Il adore créer,modifier,partir de matières premières pour arriver à un produit fini apporte bien plus de satisfaction qu'on peut croire.
  • Œnologie :Malgré la désapprobation de ses parents,Aklan a toujours adorait créer ses propres alcools.
  • Alchimie :Aklan a dût travaillait dur pour en arrivait là où il en ai,et ce n'est pas tout ses anciens barils de breuvages imbuvables qui dira le contraire...
  • Connaissance de la flore :Flemmarder dans la nature a aussi du bon parfois...

Talents

Aklan est résistant à l'alcool,il doit bien l'être si il veut exercé son métier. Il a également un excellent sens du goût. Aklan a besoin de peser les conséquences de ses actes,il n'agit pas sans réfléchir.

Défauts

  • Méfiant :Depuis sa rencontre avec Le Corbeau,il se méfie des personnes qu'il ne connaît pas.
  • Lâche :Depuis tout petit Aklan a toujours fuit de ce qu'il avait peur.

Intérêts culturels et goûts

Aklan ne sortait pas beaucoup de son village car il travaillait beaucoup et parce qu'il n'y avait rien de spécial à voir,à part une chose:Le coucher de soleil,Aklan adorait le regardait,assis par terre ou sur un banc avec une bouteille d'alcool de sa fabrication,pour lui c'était ça le bonheur et il ne l'échangerait pour rien au monde.

Amis déclarés

A compléter

Ennemis déclarés

A compléter

Histoire

Récit selon Aklan:

Mon village,Malplaine,était un village isolé d'Huratelon. La plupart de familles étaient dépendante de la mine,le fer était le revenu de la ville. L'ambiance au sein du village était bonne,au début,mais elle était d'un toute autre genre au bout de plusieurs années : Les accidents dans la mine se faisait fréquents,sans parler des acheteurs qui demandez toujours plus et donnez toujours moins. Moi je ne travaillais pas à la mine,je n'allais pas risquer ma vie pour un salaire toujours plus misérable,j'avais réussi à m'en sortir dans la vie,à subvenir à mes besoins et même à vivre dans un confort que certains ne pouvaient pas se payer... Mais ça,mes parents ne le comprenaient pas. Pour eux j'étais la honte de la famille -cela aurait pût me faire plus d'effet si je n'étais pas fils unique- non pas parce que je ne travaillais pas à la mine,au contraire ils appréciaient,mais parce que j'usais de mon savoir pour exerçais un métier qu'ils estimaient honteux. Mon métier ? Éthyliste,ils disaient que je me faisait de l'argent sur le dos des « loques »,mais toutes ces personnes sont sobres à leurs arrivé,si elle en ressortent ivres c'est qu'elles l'ont décider,et puis si mes parents m'ont donnaient une éducation convenable n'était-ce pas pour que je puisse réussir ? C'est ce que j'ai fais non ? Toutes les personnes en boivent de l'alcool,qu'importe l'état dans lequel ils sont ou leurs classe social,les riches se délectent de vin et les paysans les plus modestes s'abreuvent de bière,quand les gens sont d'humeur joyeuse ils fêtent ça avec un peu d'hydromel,quand les gens sont tristes ils préfèrent laisser coulés leurs soucis dans une bouteille de rhum. Pour moi tout allait bien dans le meilleur des mondes,enfin,c'est une façon de parler... Efrid était mon ami,il travaillait à la mine et se plaignait souvent des acheteurs qui achetaient toujours moins cher,il disait toujours : « Je suis sûr qu'ils se fichent bien de nous là-bas,à nous prendre pour des pigeons,de la main d’œuvre pas chère,mais un jour ils verrons ! ».Je ne préférais pas le contredire de peur qu'il s'emporte,il est susceptible mais costaud. Efrid n'était pas le seul à se plaindre,quasiment tout les ouvriers râlaient du prix du fer,ce n'était pas mauvais pour les affaire d'ailleurs car quand les gens sont en colère,ils boivent -Le malheur des uns font le bonheur des autres- Cependant cela m'inquiétait,ils se réunissaient tous à la taverne à chaque fin de journées,j'ai donc décidais d'y accompagnais Efrid...

La taverne était ma source de revenues,sans elle je n'aurais eu personne pour vendre mon alcool,mais malgré tout je n'y allais que très rarement. Pourquoi j'y irais d'ailleurs ? C'est moi qui fournis l'alcool après tout ! Si l'envie me venais d'en boire je n'avais qu'à me servir. Non,si je suis venus ce soir là,c'était pour me rassurais que rien ne se préparait. Quand je suis rentrais tout le monde était réunis autour d'une table il y avait beaucoup de monde mais personne ne parlait,ils écoutaient tous une personne,je n'ai pas bien pût la voir,mais je l'ai entendus -même si je n'ai pas tout compris- ,il parlait d'une voix rauque et toussait de temps à autres -sans doutes à cause de la mine- . Je n'ai entendus que quelques mots comme : « charrettes »,« feu »,et « Jules »,les autres étaient plus insignifiant,mais ce dernier m'avais vraiment intriguais... Jules,ou plus communément appelé Jules d'Huratelon,était un riche marchand mais aussi un imbécile de la pire espèce,toujours à nous traiter comme des machines,à vouloir plus pour beaucoup moins,toujours à regarder les mineurs d'un air supérieur -il lui même arrivait de crachait sur un ouvrier- . J'en était sûr cette fois,une révolte se préparait,je commençais à regrettais d'être venus,de m'être impliquais là dedans,mais en même temps je suis prévenu. Je ne savais pas quoi faire,me rangeais du côté des mineurs, ou bien fuir ? La deuxième solution était certes un peu lâche mais je ne voulais pas risquais ma vie pour cette cause,même si elle est juste ce n'est pas la mienne !

Après en avoir longuement réfléchis j'avais décidais de ne pas fuir mais aussi d'éviter toutes confrontations,mais ça c'était plus facile à dire qu'à faire : Je ne savais pas quand ce Jules allait arrivait,j'espérais juste ne pas être dehors quand il arrivera,et bien sûr ce n'était pas le cas. Je sortais de la boulangerie de la belle Ida,une très belle femme qui avait tout pour plaire -sauf le fait qu'elle soit mariée- ,quand j'aperçus au loin l'escorte de charrettes de Jules. Je voyais tout les mineurs se dirigeaient vers l'escorte,je ne savais qui allait avoir le dessus,mais ce que je savais c'est que ça allait être une vrai boucherie. Je me suis éloignais un peu,puis je me suis retournais,et le spectacle qui s'y trouvait était à la fois beau et effrayant :Des hommes révoltés se déchaînant sur leurs oppresseurs avec une telle fougue,une telle violence,que je ne savais pas quoi penser de mes amis,était-ce des homme déterminés et plein de courage ? Ou des monstres sans pitié ? Maintenant je me dis que c'est les deux. Les hommes de Jules voulaient fuir,mais les mineurs les arrêtaient bien avant,ils mettaient le feu à leurs charrettes. Les mineurs ont tuaient tout les hommes de Jules,sauf un,qui a réussit à fuir à temps,cela n'envisage rien de bon... Voilà maintenant 2 semaines que les mineurs c'était révoltaient,ils buvaient en l'honneur de leurs victoire,j'allais souvent à la taverne ces temps-ci pour savoir si ils ne comptaient pas remettre ça une nouvelle fois. Je sortaient de chez moi afin d'avoir des nouvelles d'Efrid -Je n'avais pas trop osais le parlais après la révolte- ,quand j’aperçus à l'horizon d'effrayantes lueurs couleurs or,elles avançaient vers nous,c'est bien ce que je pensais : Les miliciens venaient pour écrasaient notre minable révolte. Les cris se sont faits rapidement entendre,le village fût très vite en état d'alerte,cette fois c'est nous qui étions pris par surprise. J'ai couru loin,très loin du village. Je me suis cachais derrière la végétation d'une colline,puis j'ai regardais,ce que j'y ai vu,jamais je ne l’oublierais : Des hommes courait vers la milice mais se faisait empaler par les lance de la milice avant même d'avoir vu le visage impassible des miliciens,des mineurs qui tentaient de s'organisaient,en vain... Ce n'était que le début du massacre,une fois arrivaient au village les miliciens ont tout brûlait,ils ont tuaient tout le monde,mon entrepôt était en feu,ma vie partait en fumée ! Toute une vie,partie en fumée... Je voulais pleurais,mais je n'y arrivais pas. Une fois les miliciens partis,contents de leurs travaille,je redescendis pour examinais les pertes... Ma lâcheté...m'a sauvait...J'avais honte,j'ai encore honte aujourd'hui,j'aurais plutôt préférais mourir en me battant,ce que je ne savais pas faire,que survivre comme un lâche...J'ai retrouvais Efrid parmi les débris,du moins ce qu'il en restais : Son corps gisait à mes pieds,une profonde entaille au cœur,une bouche béante,il semblait me regardait avec des yeux remplies de reproches et de haines. Je me suis effondrais lorsque j'ai vu son cadavre,je me frappais la poitrine et je pleurais,je pleurais tant que j'ai crût devenir fou -je crois d'ailleurs avoir tombais un moment dans la folie- ,je hurlais,je me suis mis à priais,mais pourquoi priais ?! Il ne restait plus rien ! Toute me vie était partie en fumée sous mes yeux... Je n'ai pas dormis de la nuit,je restais là,inerte,seul avec le corps de mon ami et les mouches. Le calme fût brisait vers midi par un étrange homme,enfin,étrange n'est pas vraiment assez pour définir cette homme : Il portait un long poncho à capuche noir qui partait en lambeaux,il tenait une petite cage à oiseaux contenant un corbeau,il était d'un âge assez avancé vu sa peau pale et ridée,et je ne vous parle pas de son haleine à réveiller les morts,quant à son visage je ne l'ai jamais vraiment vu. -Un pilleur sûrement,ces charognards qui viennent pillaient les défunts,mais j'étais trop retourné pour lui en vouloir- Il disait se nommait Lines,mais moi je préférais le surnommais Le Corbeau,Lines c'est trop...je ne sais pas mais ça le n'allait pas,Le Corbeau ça c'était explicite. Il disait qu'il savait ce que je ressentais,et qu'il savait comment faire pour recommencer une nouvelle vie:Esperia,il disait ça comme si c'était la Terre Promise,alors je lui faisais un peu confiance car il savait comment y aller,enfin c'est ce qu'il disait. J'ai marchais avec lui durant des jours,ou des semaines je ne sais plus trop,mais je sais que j'ai marchais longtemps,très longtemps,jusqu'au jour où nous arrivâmes à une ville côtières nommer Falrive. C'était une ville assez grande,mais elle n'avait rien de plus des villes que j'ai eu l'occasion de voir jusque là,mais elle m'a au moins donnait le sourire quand je voyais les enfants jouaient. Le Corbeau et moi nous sommes dirigeaient vers le port,je me demandais si nous allions prendre un de ces bateaux quand soudain Le Corbeau me dit : « Nous y sommes,enfin » Je n'aimais pas quand il parlait car il me surprenais toujours tant il ne parlais pas souvent et son haleine de cadavre me donnais envie de vomir. Il alla voir un homme au quai et le parla à voix basse,l'homme aussi avait l'air rebutait de son haleine,soudain il me dit : « Tu te souviens quand je t'ai parlais d'Esperia ? Et bien ce bateau va t'y emmenait-C'est vrai ?! (J'aurais était capable de le prendre dans mes bras si il n'était pas si...lui)-Oui mais il y a une petite condition...-Quoi ? Quelle condition ? » à peine ai-je eu le temps de finir ma phrase qu'un homme d'une taille colossale me munissait de lourdes chaînes au poignets. « Qu'est-ce que cela signifie ?!-Cela signifie que je t'ai vendu-Tu m'a vendu ?!Mais je ne t'appartient pas !- Ne soit pas si en colère,tu va à Esperia,n'était-ce pas ce que tu voulais?-Pas comme ça ! » Au même moment Le Corbeau recevait une bourse bien remplie et moi,je me faisais jetais dans cette cale miteuse.