Utilisateur:Aragorne007
Vous consultez la fiche d'un personnage absent d'Esperia.
Sommaire
aragorne
Description
Je suis un homme de bonne carrure, très robuste et est dans la fleur de l'âge. Je me rase les cheveux tous les début cycles avec ma lame, cela évite beaucoup de problèmes de soins et cela gratte moins sous l'haume des chevaliers d'Huratelon. Mon père était un chevalier lui aussi, il m'a donc enseigné l'art de défendre son seigneur dès le plus jeune âge. Je suis donc agile avec une épée et un arc à flèche, ainsi que très agile et rapide pour mes 100 kilos et ma hauteur d'1 mètre 93.
Compétences
- Combat : Ancien chevalier du château d'Huratelon
- Force : Entraîner depuis ma plus jeune enfance par mon père
- Survie : Entraîner et pratiquer la chasse depuis mon enfance
- Agilité : J'ai appris à manier l'épée et l'arc depuis que je suis enfant par mon défunt maître Yorkd
- Endurance : Les longues marches ne me font plus peur. J'ai parcouru de très grandes distances en peu de temps. Je peux maintenir un adversaire en respect pendant un très long moment.
Talents
Défauts
Intérêts culturels et goûts
Amis déclarés
Ennemis déclarés
Histoire
Ce jour là, nous étions en marche vers une destination inconnue dont seul notre seigneur et quelques hommes proche de lui connaissait la destination. Notre rôle en tant que chevalier était de le suivre et de le protéger contre toutes les menaces auxquels nous devions faire face afin de protéger le seigneur de notre royaume. Nous étions à mi chemin lorsque notre convois se fit attaquer par une horde de sauvageons très bien équipé. Nous les avons combattu longtemps, très longtemps, mes bras étaient endoloris, mes mains étaient en sang, mon propre sang à force de tenir mon épée fermement. Nous ne comprenions pas, lorsque nous tuions 1 ennemis, 2 autres venaient pour le remplacer et continuer la charge. Je sentis une flèche se loger dans mon épaule, l'épaule qui tenait mon bras armée. Je lâcha mon épée sous la douleur, recula et trébucha sur le corps inerte de maître Yorkd. Un sauvageons s'approcha de moi, me regarda avec dégout. Je pensais qu'il allait me tuer, que j'allais faillir à ma mission mais il n'en fut rien, le sauvageons s'éloigna et si dirigea vers mes confrères pour continuer la bataille. A mon réveil, je me trouvais dans une chambre de notre ville, j'avais les mains liés à mon lit, idem pour mes pieds. J'essayais de me libérer mais en vain. J'appris plus tard que le seigneur avait décidé de tuer tous les chevaliers lui ayant fait défaut lors de l'attaque. J'en faisais partie. Par chance, je m'étais lié d'amitié avec une jeune servante qui soignait mes blessures et elle réussit à me faire sortir du château la nuit. Malheureusement, elle fut capturée et ramenée au château sous mes yeux impuissant. Cette nuit là, je me promis que plus personne ne souffrirait par ma faute. Je décida donc de partir vers le Nord, vers le village de Roskilde, mais à mon arrivée aux portes de la ville, je vis des chevaliers d'Huratelon à la recherche des déserteurs, c'est à dire moi. Je n'avais d'autres choix que d'aller dans une autre direction, je partis vers l'Ouest en direction de l'Heimild afin d'y prendre un bateau. De là, mon espoir était de gagner la capitale où je pensais pouvoir être en sécurité, mais j'avais oublié les liens entre Huratelon et la capitale, ou du moins entre les gens influents et de bonne fortune entre ses 2 villes. Je fus très vite repéré et je ne put que fuir une nouvelle fois face aux gardes venu me chercher seulement 4 cycles après mon arrivée. C'est durant ma fuite que je compris que je n'avais plus ma place sur ces terres, que je n'avais plus d'endroits où me cacher. Il me fallait un endroit sûr, un endroit où personne ne me connaissais. Il me fallait un endroit neutre, éloigné. J'avais vaguement entendu parler d'un endroit où l'on envoyait chaque 7 cycles plusieurs esclaves, une nouvelle ville coloniale situé sur un autre continent. Cela tombait bien, le prochains bateau partait dans quelques cycles seulement. C'est ainsi que je me suis retrouvé à Espéria, voulant recommencer une nouvelle vie, une vie où personne ne connait mon passé. Ma carrure servira très certainement à me trouver un travaille physique. Mais tout comme mes compagnons de cales, nous ne sommes que des esclaves. C'est donc à nous à nous créer une nouvelle vie dans ce nouveau monde ...
