Utilisateur:Artor

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     Artor de Luèdre
Informations RP
Genre
Homme
Année de naissance
Rang
Esclave de







Métier
Métier
Compléments








Origines


Nation d'origine
Informations HRP
Login Minecraft
iStiile
Pseudo
Artor
Prénom IRL
Bastien
Âge IRL
19 ans





Description

Chevelure noir, les yeux gris. J'ai un bon 1m72, je ne pèse que très peu a cause de ma fuite et de mon esclavage, 50 kilos. Je suis râleur quand on ne fait pas ce que je voulais mais aussi quand je rate certaines choses de ma vies.

Compétences

Combattant Agile: Il a apprit a éviter, cela lui a été bénéfique dans la Taverne quand il a évité l'homme qui voulait l'attraper.

Survie: Pendant sa fuite de son village, il a dut apprendre a faire un feu, chasser et savoir cueillir.

Endurance: Après avoir échappé aux truants qui allait surement le poursuivre à la taverne il a courut et courut, comme pendant la fuite de son village, ce qui l'a endurcit en endurance.

Alphabétisation et calcul: Sa mère lui apprit pendant son enfance a lire et a écrire mais aussi a calculer, ce qu'il aimait moins.

Talents

Amusant: Pendant toutes ces fuites, alors qu'il aurait dût faire le colérique, ne pas parler avec d'autre personne, il a fait et c'est faire remarquer pour son humeur amusante.

Loyal: Quand on lui dit de faire quelque chose, il essayera de le faire, mais peux très bien ne pas le réussir, il ne trahira jamais la personne qui lui est Maître.

Défauts

Râleur: Quand il ne réussi pas quelque chose, le personnage commence a râler et de se faites, se mets beaucoup de monde sur le dos.

Colérique: Le personnage se mets assé vit en colère quand quelqu'un vient le chercher ou insulte quelqu'un.

Intérêts culturels et goûts

Le personnage aime la nature, vu qu'il est rester des jours et des jours dans la forêt et dans toutes les plaines de l'Ancien Monde, il aime donc se balader dans la nature

Le personnage aime la sécurité, il aime être et se sentir en sécurité, mais il aime aussi protéger les autres.

Amis déclarés

Ennemis déclarés

Histoire

Le Commencement

J'était entrain de labourer les champs avec mon père quand sa arriva. Le feu se propageais partout, c'était horrible, tout brûlait, les plantations, les maisons, même la chapelle brûlait. Mon père au moment où il vit la fumée et toutes les flammes courut vers la maison pour secourir a ma mère, resté à la maison pour préparer le souper, qui ne se fera jamais.

J'avais 14 ans a ce moment la, j'était partit sur la collines avec mon père pour admirer le coucher de soleil et vérifier que nos troupeaux était toujours dans l'enclos. Le village brûla a cause d'une attaque de bandit, qui dévasta toutes les maisons et les pilla. Quelque minute plus tard, je vis mon père arrivés avec ma mère dans ses bras en courant vers moi et en me criant de courir. Il me fallut quelque seconde pour me remettre de mes états et de commencer a courir vers la forêt avec mon père et ma mère évanouie. Arrivé dans la forêt, mon père posa ma mère, il s'abaissa près de la bouche de ma mère. A ce moment-là, je compris l'impossible: ma mère était mort, la mère qui m'avais mis au monde, la mère qui m'avait appris à lire et à écrire, elle m'avait tout appris, elle... elle était morte, je n'arrivais pas a me l'imaginer !

Nous marchions depuis des jours à la recherche d'un village ou d'une ville où nous reposé et où nous pourrions nous alimenter. Nous avions retrouvé la route depuis deux jours, et nous n'avions jusque la trouvé personne sur les routes. Sur la route, alors que nous n'étions qu'a quelque heure de de la Capitale du Grand Royaume, que mon père s'éfondras, je m'en approcha, lui criait dessus pour qu'il se relève et continue à marcher avec lui, a le protéger, j'étais trop jeune pour perdre mes deux parents en même pas un mois.


Après une heure, je m'arrêta de crier, j'avais compris: ma mère était morte, il n'y a même pas dix jours et mon père venait a son tour de décéder. Je m'allongea à coté de lui et pris ma veste comme couverture, et je m'endormis. Il se passa 4 heures avant que je me réveille a cause du bruit des roues sur le sol. Je me releva et vit que je n'était pas seul dans la cage, il y'avait cinq autres personnes qui, dormait ou qui regardait en dehors de la cage. Je me vit aborder par un homme: - Et petit... petit... réveille toi, on va bientôt être a la Capitale. Je vis l'homme qui m'avait parlé, il avait l'air d'être un esclave.

- Où suis-je ?

- Dans une cage d'esclavagiste, ils t'ont trouvé au bord de la route tu dormais, ils t'ont pris et t'ont mis ici.

- Et pour mon...

- Il est mort petit, je suis désoler, mes sincère condoléance Je me tus quelque minutes, le temps de prendre la nouvelles. Une larme s'écoula de ma joue.

- Comment t'appelles-tu Me questionna l'homme.

- Je... je m'appelle Artor.

- Moi c'est Elevin

La caravane s'arrêta devant une grande grille, la caravane passa la grille et parcourut encore quelque mètre avant de s'arrêter a coté d'un bâtiment.


Une fuite non-préparé

Je vis l'homme qui descendais de ses chevaux et qui alla toqué a la porte, un homme ouvrit, notre persécuteur nous montra du doigt. Les deux hommes s'approchèrent de nous. L'autre hommes nous regarda. Il commença a chuchoter au persécuteur, je ne comprenais pas bien ce qu'il disait. Le persécuteur s'avança et dis: - Le jeune homme, vient ici. J'approcha de la grille, le persécuteur dit: - C'est lui que tu veux ? Il hocha la tête, je sortit de la cage, l'homme me mit des chaines et donna la clés a l'autre homme. L'homme était vieux, il avait entre 50 et 60 ans, un âge respectable pour un vieillard de nos jours. Il me dit de le suivre, je le suivit et arriva dans sa demeure.

- Alors jeune homme, quelle est ton nom ?

- Artor, Monsieur

Je savais que cet homme deviendrais mon maître à présent.

- Et vous comment dois-je vous appeler ?

- Maître, tu m'appelleras Maître. Il m'enleva mes chaines et me dis, d'aller me reposer dans ma chambre qui n'était rien d'autre qu'une paillase mit par terre, mais qui me suffit pour m'assoupir et commencer a dormir.

Je me réveilla et je sentis la bonne odeur de la soupe, ce qui me fit arriver dans la cuisine. Je vis mon maître entrain de manger.

- Quand tu me vois tu dois t'incliner.

Je m'inclina aussitôt.

-Tien, prend un bol et va dans ta chambre le boire. Je te revois après pour parler de tes tâches.

Je partis dans ma chambre, et m'assis sur ma paillasse, je but lentement, en réfléchissant aux événements qui s'était produis au long de ces dernière heures. J'avais perdus mon père, j'avais été pris en tant qu'esclaves et j'avais été vendus ou donner cela dépend quelle prix j'avais été vendus. Je vis dans ma chambres, qu'il y'avait une fenêtre sans barreaux juste une planche de bois pour séparer la pièce de l'extérieur, je pensa - Pour s'évader, sa va pas être trop compliqué. Je pris mon bol et l'amena dans la cuisine, je ne vis plus le maître, je l'appelais, il ne répondit pas, j'alla voir dans les pièces, je ne le trouvait pas, jusque au moment où je le vis sur le lit, inactive. Je m'approcha et remarqua que son souffle n'était plus. Je pensa a ce moment là: - C'est le moment de courir.


Un arrêt fracassant

Je m'arrêta dans une taverne, où je vis de nombreux ivres morts, je m'y arrêta pour reprendre mes esprits avant de continuer ma route vers d'autre terre. Un homme ivre se leva derrière moi, il me prit par le col, j'évita de toutes urgence, et m'éfondras sur le sol au moment d'éviter sa main. L'homme se fracassa la figure contre le bar, ce qui le plongea dans un profond sommeil, la musique de la taverne avait cessé, et tous les hommes c'était retourné vers moi, un des hommes s'approcha du corps, et il dit: - Il est mort !. Je pris peur, je partis en courant de peur qu'il ne me rattrape et ne me mette en pièce.


Reprise

Je courait, courait aussi vite que possible dans la forêt, me prenant des branches et des feuilles dans la bouches ainsi que des insecte qui venais se mettre dans ma figure, je ne vis plus rien et donc je tomba à cause d'une pierre robuste qui me fit m'étaler par terre sur la route. Je vis de la lumière arriver, je m'en approcha c'était des gardes, il cherchait quelque choses. Un d'eux cria: C'est lui, attraper-le !! Les chevaux commencèrent a accélérer vers moi. Pris de peur je m'évanouie et me laissant a ma perte.

Je me réveilla quelques heures dans une cellule, quand je vis deux hommes entrés l'un était, un garde et l'autre un homme normale. Le garde dit: Le voilà.

- Il a l'air ... intéressent. Dis l'homme.

- Alors, vous le voulez ?

- Oui, ouvrez la cage s'il vous plait. La grille s'ouvra et je me leva mais un poids m'empêchais de marcher comme je l'aurais voulu. Je sortit et on m'enleva le poids, mais on me laissa mes chaines. L'hommes m'emmena dans sa cage, cela ne changeait pas beaucoup de mon ancienne habitation, j'avais beaucoup de chance, j'avais été repris par un autre esclavagiste. D'autre personne était a l'intérieur, la caravane commença a rouler. On me fit savoir que cette même caravane allait vers Fort Lointain. Au fond de cette cage, je reconnus Elevin, l'ancien homme que j'avais rencontré dans l'autre cage à esclavagiste. Il me fit signe de m'approcher. Il commença a parlé:


- Et alors, jeune homme, on part sans me dire au revoir ? Dis-t'il avec un petit rire.

- Si j'aurais pu vous dire au revoir, je l'aurais fais.Dis-je avec un sourire.

- Hé quoi ? On dit que tu as tué deux hommes, est-ce vrais ?

- Oh non, l'un s'est écrasé la figure contre un bar et l'autre est mort de vieillesse.

- Et bien... ici, il ne pense pas comme sa ...il croit que tu l'as tués.

- Oui surement... mais ce n'est pas la chose la plus importante, mais plutôt, qu'allons nous faire à Fort Lointain ?

- On va surement !

Un autre homme s'approcha et dis: - Ou être tué Elevin repris: Il ne tue pas dans ce monde, vieux fous ! Dit-t'il en repoussant l'homme qui s'était approché. L'homme soupira et prononça des injure incompréhensible. Je repensa une dernière fois a ma défunte famille avant de m'endormir pour une bonne partie du chemin.