Utilisateur:Aylin

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     Aylin Den-Speki Innsigli Vagga Sta-Pravadyr
Informations RP
Genre
Homme
Année de naissance
Rang


Famille






Métier
Métier
Compléments








Origines
Région d'origine
Nation d'origine
Informations HRP
Login Minecraft
AurelTHunter
Pseudo
AurelTHunter
Prénom IRL
Aurélien
Âge IRL
21





Description

Physique

Plutôt grand ( environ 1m90), pour 95kilo. Il peut paraître être un cogneur à première vue, sa condition physique et le climat de sa région l'ont forgé comme une lame par le forgeron. Il est châtain, les yeux bleus tel des lapis, une peau claire, trop proche de la neige que du soleil. Il possède une barbe dont il est très fier, ainsi que des cheveux longs tressés sur le dessus, avec une tresse de chaque côté, et le côté rasé. Tatouage sur le dos représentant la Lugnaroa et des tatouages autour des yeux, représentant un objectif passé.

Mentale

Il est franc du collier, toujours prête à défendre les siens, mais possède aussi une douceur derrière lui, telle un nounours. Il est aussi sage, ne prenant pas d'action précipitée d'où son surnom "Speki Innsigli" signifiant dans le langage de sa tribu "Sagesse de phoque". Il suivra quoi qu'il en soit la justice des déesses. Il a aussi tendance à toujours se remettre en cause dans ses paroles et actes, ce qui fait qu'il ne parle que peu. Il est aussi très festif et adore raconter des histoires. Il reste malgré ça très fière de ses origines et ne laissera personne lui dire le contraire, surtout un phalangiste, mais il traitera d'abord le pour et le contre et ses conséquences. Il est aussi très curieux en général, de tout ce qu'il ne connaît pas, même si son clan le considérait comme une faiblesse et une inutilité et principalement son père qui le reprenait à chaque fois qu'il était trop curieux sur des choses et étranges, préférant utiliser sa phrase "ça regarde les déesses, pas les Vaahvas"

Compétences

-Combat : Il pratique le combat depuis ses huit Nivôse. En tant que combattant de son clan, il devait se charger de la défense de celui face aux menaces extérieurs.

  • Hache à une main :normal
  • Bouclier :normal

-Force :

  • Pratiquer le combat demande de la force, ainsi que pour le maniement d'une hache et d'un bouclier. Ses entraînements quotidiens avec ces instruments lui ont permis d’acquérir une certaine carrure.

-Endurance :

  • S’entraîner tout les jours, vivre dans le froid éternelle des Maahvitts et les travaux quotidien du clan lui ont permis d’acquérir une certaine endurance, dans le combat comme dans les taches lourdes et fastidieuse.

-Survie

  • Vivre dans les Maahvitts, et en particulier dans l'Evigt Kylma, demande une certaine volonté de survivre, et l'acquisition de réflexe, comme les traces au sol, identification de traces animal ou humaine, le poids de celle ci. Tout cela dans le but d'identifier un danger.


Talents

  • Franc: "Je dis ce que je pense, point."
  • Nounours: "Calin?"
  • Protecteur: "Reste derrière moi.
  • Sage: "Ne prenons pas de décision irréfléchis."
  • Croyant: "Les déesses, les déesses, la volonté des déesses prime;"
  • Curieux: "C'est quoi ça? C'est quoi sa fonction?"

Défauts

  • Peu sur de lui: "Est ce sage ce que je dis, est ce bien ce que je fais?"
  • Têtu: "Non je ne rangerais pas ma chambre"
  • Irrespectueux envers la hiérarchie: "Tu? Bah oui, tu."
  • Mal de mer: "Boeurrrrrrg"

Intérêts culturels et goûts

  • Contes et légendes des Maahvitts
  • Hydromel

Blessures et cicatrices

  • Cicatrice a la main droite datant du début Juillet
  • Fine blessure sur le dos de la cuisse droite datant du 25/07
  • Nez cassé datant du 29/07

Histoire

"Clan et Tribu"

Les tribus de l'Evigt Kylmate sont souvent petites, une union de plusieurs clans, se rassemblant pour survivre dans les terres hostiles et froides de cette région. Il est souvent dit parmi les kylmates que ce sont eux les élus des déesses parmi le reste des Vaahvas, car ce sont eux qui ont survécu aux épreuves des déesses, survécu aux conditions de vie de cette région. Aylin est née dans cette attitude, une fierté de ses origines et de ses ancêtres.,du passé de son clan. Son père se nommait Imre Den-Hefð Vagga Sta-Pravadyr, c'était un guerrier du clan, un des protecteurs de celui çi, comme chaque guerrière qui composait le clan de cette tribu. Sa mère, Una Den-Mjúkur Vagga Sta-Pravadyr, n'avait pas de fonction attitré dans le clan, mais elle tenait de ses ancêtres une excellente connaissance des plantes, ce qui faisait d'elle une espèce de soignante du clan. Il est né dans une fratrie de 3, dernier après son frère, Gautur Öflugur Vagga Sta-Pravadyr et sa soeur, Telma Graeðari Vagga Sta-Pravadyr. Ils étaient jumeaux, Telma l'aînée et Öflugur le second.

"La Lugnàroà"

Lors de la naissance de Aylin, ils avaient tout deux cinq ans, c'était une nuit de Thermidor, dans l'année 489. Le clan se situait proche de la Lugnaròa lors de sa naissance, par la volonté de la mère qui voulait que son enfant naisse a côté du temple de la Lugnaròa. Le travail a peine finit, le chef de clan de l'époque, Gola Krani Vagga Sta-Pravadyr, accompagna le père au temple et qu'il présenta son fils aux déesses et qu'ensuite, à la sortie du temple ,il fut baigné dans la Lugnaròa entièrement. C'est ainsi que la mère demanda cette déesse d'accorder ses faveurs à son dernier fils, par cette imprégnation des eaux sur le corps de son nouveau né... Une semaine après, la tribu reprit sa marche vers une terre fertile...

"L'initiation au temple"

Sept ans sont passés depuis. Aylin a grandi avec la complicité de ses aînés et l'amour de leurs parents. Malgré la distance, sa mère demanda à son père d'envoyer son fils au temple de la Lugnaroa, afin de prolonger la bienveillance de la déesse sur son fils. Le père entreprit donc la traversée des plaines volcaniques et ses immenses fumerolles , pour attendre les montagnes cachant le temple. Cette traversée des montagnes fût bénéfique par la présence de nombreux Bouquetins. Son père lui offrit une corne de celui çi, et lui dit "Lorsque tu auras fait ta première lame avec ceci, je t'enseignerais à te battre, mon fils, mais tu devras le faire seul, sans aide et uniquement avec cette corne." Aylin prit la corne et la conserva dans son sac pendant sa semaine au temple. Il suivit avec attention les instructions des prêtres, posant toujours plus de questions, essayant de comprendre chaque sens de chaque enseignement. Lorsque son père le vit sortir du temple, il voyait que son fils avait changé, il avait mûrit par cette présence des déesses.


C'est ainsi qu'à la sortie du temple, son père et lui retournèrent dans les terres où la tribu avait élu domicile. Pendant près de trois mois, Aylin examina sa corne de bouquetin, essayant d'examiner comment en faire une arme. C'est ainsi qu'un matin, alors qu'il était parti au pied de la montagne où il avait élu domicile, il vit deux bouquetins se battre, fonçant l'un contre l'autre dans un duel effréné, tentant de soumettre l'autre par la force de ses cornes. C'est là qu'il comprit que la corne qu'il tenait en main était une arme, mais pas une arme comme les autres, une arme fabriquée par les déesses pour permettre aux bouquetins de se défendre. Il la présenta à son père qui resta bouche bée, pensant que son fils allait tailler une arme avec celle ci . La réalité fût tout autre et son père refusa la dite arme que son fils avait. Sa mère réussit à convaincre son père de la véracité de la chose, que malgré la rusticité de l'arme, elle en restait une qui a été offert par les déesses aux Bouquetins. Le père accepta cela, malgré lui, mais il ne pardonna jamais à son fils cet acte, refusant que son fils soit plus malin que lui. Malgré cela, il lui enseigna avec son aînée l'apprentissage des armes et plus particulièrement le maniement de la hache et celui du bouclier.

"Justice des déeeses"

Pendant 12 ans, il suivit avec son frère les entraînements quotidien, s'affrontant l'un contre l'autre, entretenant une certaine rivalité pour l'amour du père. Son frère en sortait généralement vainqueur, plus âgé, expérimenté. Généralement, il finissait leur combat chez eux, avec un choppe d'hydromel échange par le troc. Un jour de Nivôse, la tribu s'arrêta à côté d'un village proche du Vahnamaa, afin de faire du troc. La première idée du trio fût d'aller dans une taverne, où ils réussirent à obtenir de la Lugnaroa, moyennant un troc plutôt conséquent, une bière contre une touffe de Longue Kylmate, reçu de leur mère. On leur conseilla de boire cet alcool dehors, si ils voulaient prouver qu'ils étaient des hommes. Le résultat fût sans appel, ils eurent si froid après consommation qu'ils restèrent toute la soirée près du feu, a consommé une bière moins chère et surtout moins froide. Malgré cela, Gautur ne pu retenir son ego et défia chacun des vaahvas présents dans la taverne au bras de fer. Défiant son adversaire en misant son sachet de tabac. Bien entendu, plus il gagnait, plus il faisait de jaloux, ce qui finit en bagarre de taverne. Une bonne bagarre de taverne, ou chacun tape sur l'autre dans la bonne entente Vaahva. Le soir, les deux frères comptaient leur bleu pendant que leur soeur leur donnait une crème a base d'herbe pour favoriser la guérison. Malgré cela, le lendemain fut une journée identique, encore à la taverne, encore à boire, encore à faire des bras de fer, encore finir par une bagarre. Et ainsi continua la semaine jusqu'au jour de Modrostvag, ou la situation changea. Après une semaine de boisson, les deux frères, malgré cela, était insatiable, il partait en concours de bière, pendant que leur soeur subissait les compliments de quelques ivrognes. Lorsque les frères le remarquèrent, ils s'approchèrent d'eux. "Laissez notre soeur tranquille", dit l'aînée. L'un des ivrognes répondit :"Et si tu allais voir ailleurs si j'y suis, l'ami". Un autre ivrogne dit à voix basse : " C'est le mec au bras de fer". La soeur s'interposa entre ses frères et les ivrognes." On va rentrer" dit elle. "Opopope", dit le premier, "on en a pas fini". La mère du trio rentra alors, les cherchant. Elle se plaça devant son fils et leur demanda de les suivre, afin de manger avec le clan."Je crois que si", répondit Aylin sèchement vers les ivrognes. C'est alors que le premier ivrogne sorta un couteau et tenta de poignarder Aylin, sa mère se retourna, entre les deux, s'interposa et se pris le coup au niveau du poumon droit. Les deux frères rattrapèrent leur mère avec leur soeur pendant que le groupe d'ivrogne prit la fuite, laissant le couteau derrière eux. Ils transportèrent leur mère dans leur tente, a vive allure, pendant toute la nuit, la fille essaya de sauver sa mère avec l'aide de son clan en vain, qui mourra à l'aube, se noyant dans son propre sang, malgré toutes les tentatives pour la soigner, les prières, rien ne réussi. A peine l'aube naissait que le père et ses fils allèrent parler au chef de tribu du village voisin. Celui çi leur annonça que le groupe d'ivrogne avait fuit le village durant la nuit et qu'il ne pouvait rendre justice par le Skuldyr, là où il n'y avait pas de criminel à emprisonner . Le clan se réunit donc le soir et décida que malgré cela, le clan ne pouvait perdre des hommes pour appliquer la justice. Malgré cela, les deux frères n'acceptèrent pas la décision : " Donc vous parlez de justice, mais on se laissera tous tuer un par un parce que l'homme qui a fait ça à fuit? Un lâche? Et vous ne voulez pas que la Justice des déesses soit appliqués? Mais quel genre de vaahva êtes-vous" lâcha finalement Aylin. Le père tapa du poing sur la table :"Aylin! Comment oses tu! La justice des déesses sera appliqué à la mort du criminel! Comment oses tu dires que nous n'agissons pas en Vaahva!" Il se leva, renversant son siège "Nous comprenons ta peine, Aylin, mais la vengeance ne servira en rien notre tribu et ne ramènera pas ta mère," énonça le chef de clan. "Donc vous interdisez à quiconque de poursuivre son meurtrier dans le clan? C'est bien ça?". Le clan hocha de la tête, silencieusement. "Alors soit, si pour appliquer la Justice des déesses et poursuivre un Oberorbara, il me faut devenir Oberorbara , que les déesses en ce jour accepte mon serment, j'appliquerais la Justice des déesses contre l'avis de ce clan qui fût mien." Le clan le regardèrent tous, écarquillant les yeux. Aylin s'en retourna et sortit de la tente pour aller vers la sienne. Le lendemain, sa mère fût brûlé sur un navire qui vogua sur L'hyycelà. Il prit ensuite la direction du temple de la Lugnoroà, traversant les champs de fumerolle à nouveau.

Pendant une semaine, il resta au temple, demanda deux choses, qu'on lui tatoue le symbole de la déesse sur le dos et des traits bleus sur les yeux, symbole de sa vision de la Justice des déesses. Suite à cela, il se mit en route vers le sud. Direction Urrogia.

"La traque"

A Urrogia, il trouva ce qu'il cherchait, la description de l'homme suffit à ce qu'il soit reconnu dans les tavernes de cette cité. On dit qu'il avait rejoins un groupe de Vaahva en route pour les marches "Faire la peau au capitalin" que disait le patron. C'est en sortant de la cité qu'il croisa son frère :"Gautur ? Que fais tu ici?". "Je suis venu te rejoindre mon frère". "Avec autorisation du père et du clan je suppose?" "Non, je suis venu avec la bénédiction de notre soeur, qu'elle t'apporte a moi comme a toi. Tu as trouvé ton bonheur dans cette cité?" "Oui, on va aux marches." "Aux marches?" répondit il, surprit. Aylin hocha la tête, lui indiquant la direction du Sud. "Il semblerait que plusieurs clans vont aller voir les Capitalins et leur faire la peau." "Ah , et pourquoi?" demanda le frère.

"Sûrement pour montrer qu'ils ont des couilles" Ils rigolèrent. "Tu es sûr qu'il sera là-bas?" dit l'aînée. "Non, mais c'est ma seule piste, alors autant essayer". "Tu sais qu'il y a peu de chance qu'il en reviennes". "Et le peu dechance qu'il en reviennes, ce sera couvert de gloire et de sang, alors je le préfère mort avant que cela n'arrive." L'aînée hocha la tête. Quelques jours plus tard, ils rejoignirent le rassemblement. Il était content d'avoir un feu auprès duquel se réchauffer, la Nivôse finissante était malgré tout froide, et le premier a foutre un pied dans un marécage était sur de le perdre le jour suivant. Le lendemain de leur arrivée, ils cherchèrent leur cible, sans vraiment réussir à le trouver. Ils finirent donc par rentrer à leur tente, espérant trouver leur cible demain, avant l'attaque, ou son cadavre après la bataille. La bataille allait faire rage dans les marches, la légion avait prit place devant les remparts, pendant que celle çi était couverte par les archers sur les murs de la forteresse de Julyan. Aylin était vraiment abasourdi face à cette montagne de pierre construit vraisemblablement pour empêcher quiconque de passer par là. En face d'eux, environ 5000 soldats de la légion, prêt à combattre la marée nordique qui allait se déverser sur eux.

"C'est un moment de gloire!" criait le meneur Vaahva. La trompette fit son bruit et le combat débuta par la charge des Vaahvas. A peine le combat eu-t-il commencer, que l'assassin de la mère de Aylin tomba sur lui, alors que celui çi combattait un légionnaire. Il le reconnut et s'approcha de lui lentement, sachant sûrement pourquoi lui était ici. Il leva son épée, prêt à l'abattre sur Aylin quand celui ci prit une hache dans le crane, tombant a genoux quand Gautur lui enleva la hache de sa tête. Aylin. Cet acte finit la chasse qu'il avait commencée, mais il restait maintenant une autre mission pour eux, survivre dans la situation où il était. C'est ainsi qu'une flèche vola dans les airs pour transpercer le cou d'un homme. Il neigeait, il neigeait aux marches, mais cette neige devenait sang au contact du sol. Les Vaahvas avaient fuit face à la puissance de la légion. Aylin était là, son frère dans ses bras, pleurant sur lui comme à un oreiller lors d'un triste jour, lui murmurant àl'oreille ses derniers mots. Il savait que ce moment devait arriver. Il savait qu'à la fin de cet assaut et de cette traque, l'un d'eux serait mort, il aurait préféré que ce soit lui. Les soldats l'encerclèrent, lance devant lui, bouclier fermé, formant un cercle presque impénétrable. Sa hache était à coter de lui, son bouclier sur son bras. Il ne bougeait pas, continuant de verser des larmes comme si son existence avait pris fin.

"Oberorbara"

Il acceptait sa mort face à la légion, il avait accompli la volonté des déesses, il avait poursuivi l'oberorbara de sa tribu, meurtrier de sa mère et avait effectué la justice des déesses et du clan sur son être. Il priait maintenant Svartsjö de lui accorder une mort digne, car il était devenu oberorbara pour accomplir cette justice, il avait suivi leurs volontés plutôt que celle du clan et maintenant, ne demandait plus qu'à les rejoindre. Les soldats se rapprochaient de lui. Il serrait son frère si fort, il avait peur... Et l'ombre survint, la plongeant dans le doux sommeil de la mort. Il se réveilla, enchaîné, il voyait à coter de lui d'autres personnes enchaînés, certains tatoués, mais tous portaient le symbole des déesses sur leur haut. Des prisonniers. Ils étaient prisonniers. Il entendait des cris dehors, il comprit qu'il préparait quelque chose. C'est à ce moment qu'un soldat entra en gueulant: "Debout les nordiques, c'est l'heure du voyage!" Après un passage auprès du forgeron, ils furent enchaînés ensemble, une grosse marré de nordique enchaînés. Destination? Le plus proche port. Pourquoi? Être vendu comme esclave.

"Esperé"

Après cinq jours de marche, il arriva avec ses compagnons à la cité de "La moussue". Il trouvait le nom bizarre. Cette ville était petite, c'était un port entouré de Maison. Il s'avançait dans les rues pleines de boue. De ce qu'il comprit, il allait embarquer dans un "Navire". Il s'imaginait déjà dans une espèce de truc sudistes, mais il n'imaginait pas ça comme ça. Lorsqu'il le vit, il comprit que ce truc flottait sur l'eau. Mais ce qui se passait lors de la traversée, ça, il ne le comprit pas. Le bateau tanguait, il était enfermé dans la cale, il vomissait, il se demandait ce qu'il avait fait aux déesses pour mériter ça. Après une nuit agitée, il s'éleva au-dessus de la cale avec ses compagnons de voyages , pataugeant dans leur vomis , et ils se reprouvèrent dans le port d'une immense cité. Il entendit le mot... "La Capitale". Il fut rapidement vendu à un esclavagiste avec d'autre comme lui. De ce qu'il avait compris, il allait pouvoir en tirer un sacré paquet d'or en le vendant au pouilleux habitant dans la ville d'Esperé. Il restait silencieux, tout en se dirigeant encore vers un bateau, pour trois jours de navires. Il se demandait encore combien d'épreuves pareil les déesses allaient lui faire passer. Après avoir faillit se noyer dans son vomi pendant son voyage, il arriva à Fort Lointain, escale vers la ville d'Esperé.