Utilisateur:Bélario

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Vous consultez la fiche d'un personnage absent d'Esperia.

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Informations RP
Nom
Genre
Homme
Année de naissance
Rang
Esclave de







Métier
Métier
Compléments








Origines


Nation d'origine
Informations HRP
Login Minecraft
leonidias74
Âge IRL
16





Fiche en Développement...

Description

Grand et de corpulence commune, Bélario mesure dans les 1 mètre 85. Le pas alerte, toujours à l’affût du moindre bruit suspect il masque son regard bleuté sous une mèche de cheveux tombante. Une barbe négligée pousse ça et là sur ses joues et son menton. Son instruction rudimentaire lui permet de lire et d'écrire de manière très succincte et bâclée. En revanche il maîtrise les chiffres grâce à l'instruction de son père adoptif. De sa jeunesse avec les Écumeurs il ne lui reste que quelques vagues souvenirs, un goût prononcé pour le tabac et l'alcool et une parfaite maîtrise de l'escalade. De son adolescence à Indubal il lui reste seulement les connaissances pour pratiquer le métier d'éthyliste. Croyant depuis toujours, Bélario va souvent prier, de confession monachisme il croit en l'Arbitrio.

Aptitudes

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Calcul : Les chiffres ne sont qu'un simple jeu pour Bélario, il maîtrise l'art des mathématiques sur le bout des doigts, ce qui lui est extrêmement pratique pour se démarquer de la masse. Il a d'ailleurs une connaissance relativement superficielle de la gestion d'une échoppe ou d'un commerce aussi bien au niveau de la vente qu'au niveau des comptes.


Grille Corde.png

Escalade : Depuis son plus jeune âge, Bélario connait les secrets de la "grimpe", il met régulièrement en pratique cette aptitude pour atteindre des endroits inaccessibles aux autres. Très utile pour disparaître par la voie des airs en sautant de toit en toit, cette pratique lui à bien servit dans sa jeunesse pour fuir des quelconques poursuivants. Mais aujourd'hui il pratique l’escalade seulement pour se détendre de temps à autre.


Qualités

Ambitieux et Déterminé : Visant toujours l'excellence, Bélario ne peut rester dans l'ombre. Son enfance mouvementé lui à laissé une profonde blessure qui ne cicatrisera jamais mais qui lui donne une puissante force morale et une forte envie de réussir. Le sommet, quel qu'il soit doit être atteins coûte que coûte pour Bélario.

Va jusqu'au bout de ce qu'il entreprend : L'échec n'est pas dans le vocabulaire de Bélario. Quand il commence une action, de la piètre résolution d'une addition à la tâche importante qu'il c'est fixé pour la journée, il doit la réussir et pour cela il passera tout le temps qu'il lui faudra mais il ira jusqu'au bout.

Résistant à l'alcool : Bélario à consommer de l'alcool à toute heure depuis qu'il à 4 ans. Initié à ce vice par les écumeurs, puis par son père adoptif, ce breuvage n'a plus de secret pour lui sous n'importe laquelle de ces formes.

Indépendant : Bélario tiens cette qualité qui peut être interprétée comme un défaut, des écumeurs. Il tiens fermement à son libre-arbitre et la seul idée de porter des chaines lui donne des frissons. Cette indépendance lui vient aussi de l'année passée en prison à Indubal dans sa jeunesse qu'il à très mal vécut.

Défauts

Cupide : Bélario aime l'argent. Il en veux toujours plus et n'aime pas le partager. Il tiens sans aucun doute ce défauts de son ancienne vie avec les écumeurs.

Lunatique : Pouvant passer d'une extrême gaieté à une haine profonde contre son prochain à tout moment, Bélario a une humeur des plus variable; ce qui peut parfois se retourner contre lui...

Imprévisible : Le caractère imprévisible de Bélario s'additionne à ces manières lunatique, le cocktail des deux nous laisse un homme des plus mystérieux qui peut même se montrer dangereux...

Curieux : "La curiosité est un vilain défauts" disait Aristidas, le père adoptif de Bélario, mais pourtant il n'a jamais perdu cette habitude de vouloir tout savoir et tout connaitre...

Veut tout contrôler : (veut avoir un œil sur tout) La curiosité de Bélario n'a d'égale que ça volonté de tout contrôler, donner lui le monde et il y imposera vite son autorité...

Paranoïaque : Ce croyant toujours au centre de tout, Bélario ne peut que ce croire victime de tout les complots qui se trame derrière son dos. Ceci nuit grandement à la confiance qu'il porte à autrui...

Intérêts culturels et goûts

Histoire

Je suis né en Lig Ocolide, ne connaissant ni mon père ni ma mère j'ai été abandonné à la rue dés ma naissance. Le capitaine d'un navire nommé le "Rascasse" qui passait par là m'a recueilli à l'aube. Élevé comme la mascotte de son navire j'ai grandi dans la violence de cette vie qu'est la piraterie. A chaque escale j'étais lâché dans les villes, rapinant tout ce qui avait de la valeur, je suis devenu maître de l'arnaque et du vol à la tire. Véritable petit roublard je rapportais chaque soir des petites fortunes au navire. En mer je nettoyais le pont, réparais les voiles, récurais les bottes, j'étais le mousse à tout faire. J'adorais me balancer dans les hauts-vents et sur les différents mâts du navire. Je mettais en pratique ce don magique qu'est l'escalade et je le perfectionnais au point de devenir un excellent grimpeur (pratique pour échapper à mes poursuivants si j'étais pris les mains dans les bourses) ! Entouré par autant de forbans, j'ai commencé très tôt ma consommation d'alcool fort pour montrer que je n'étais pas une "femmelette", mais sans y prendre goût. A l'inverse mon goût pour la consommation du tabac se prononça très tôt. Fumer la pipe me procurait un plaisir que je conserve toujours aujourd'hui. Lors de nos raids, je restais sur le navire, parfois je me plaçais sur le nid de pie pour observer l'abordage ou la mise à sac de la ville. Nous n'attaquions jamais seul, toujours coalisé avec d'autres navires Ocolidiens pour plus de sécurité.

J'avais 11 ans quand on me captura avec tout l'équipage lors d'un raid sur la colonie d’Indubal (République Marchande de Caroggia). Les Indubalis nous refoulèrent à la mer, alors que nous commencions à débarquer nos hommes, grâce à leurs archers. Notre navire prit feu sous la pluie de flèches enflammées qui l'assaillaient. Coincé sur la plage je vis du nid de pie mes camarades d'équipages mourir un à un, transpercés par les flèches à pointes de fer. Alors que le grand mât s’effondrait, je sautais à la mer. Réussissant à m’agripper à un morceau de bois, je fus récupéré par des Indubalis. Après 1 an de prison j'ai été acheté par un maître marchand de la cité comme esclave. M’enfuyant alors qu'il me traînait chez lui je me suis caché dans un tonneau pendant un jour et une nuit avant d'être découvert par le propriétaire de ce dernier : un certain Aristidas, éthyliste banale qui ma adopté. Je suis resté à Indubal pendant 11 ans ou j'ai appris à déchiffrer avec beaucoup de mal les lettres tracées sur le papier et ou Aristidas m'enseigna l'art de compter. J'aidais aussi mon père adoptif dans son travail, j'apprenais vite les bases de ce métier complexe.

C'était une vraie révélation pour moi que ce métier. Mon goût pour l’alcool amplifiait parallèlement aux progressions que je faisais dans cet art qu'est sa fabrication. J'ai d'abord appris à reconnaître les différents ingrédients qui composaient ces mixtures, j'étais doué pour cela. Au fur et à mesure des années Aristidas me laissait de plus en plus d'autonomie dans l'éthylerie, du maniement de la presse jusqu'à la fabrication de mon premier alcool ! J'étais devenu un éthyliste confirmé !

C'est à l'âge de 22 ans que, désirant connaître mes origines, j'embarquais clandestinement pour Lig Ocolide; quittant ainsi l'homme qui avait un temps été mon père. Sur ce bateau qui m’emmenait vers mes origines se trouvait plusieurs autres clandestins. Le capitaine nous a fait ramer pour payer notre traversée qui devait durer deux jours. Mais la première nuit du voyage une tempête d'une rare violence éclata. Alors que je me rendais sur le pont pour mes commodités une puissante vague me propulsa à la mer. Le bateau sombra quelques instants plus tard, au large de l'estuaire de l'Alcontin. Certainement sauvé par une puissance divine, je me suis échoué sur la côte. Un soleil de plomb me tapait sur la tête quand je me suis réveillé. J'étais incapable de bouger. Les débris du navire s'étalaient sur la plage. J'aperçus au loin des silhouettes écumants les débris de bois du rafiot. Arrivé à ma hauteur un des hommes, voyant que j'étais en vie, m’assena un coup terrible sur la tête. Fait prisonnier par ces marchands d’esclaves, ils me traînèrent jusqu’à La Capitale ou je fus vendu et embarqué pour Fort Lointain, vers un avenir incertain...