Utilisateur:Baudrik

De Wiki'speria
Aller à : navigation, rechercher


Vous consultez la fiche d'un personnage absent d'Esperia.

     200.png
Informations RP
Nom
Genre
Homme
Année de naissance
Rang
Esclave de







Métier
Métier
Compléments








Origines


Nation d'origine
Informations HRP
Login Minecraft
necro84
Pseudo
Baudrik





Description physique de Baudrik :

Baudrik est d'une taille plutôt moyenne, les travaux dans les champs ont fait de lui un homme arborant un corps endurci, plutôt résistant aux agressions de la nature, cette dernière lui à fait héritée des mêmes traits de visage que sa mère, un visage fin droit et marquée par les longues nuits de balades nocturnes, ses cheveux dorée comme le soleil font paire avec son sourire qui dessine de jolie fossette quand Baudrik sourit.


  • Encrier001.pngAlphabétisation
  • Calcul.pngCalcul
  • Grille Livre.pngLangue Capitalien
  • Grille Corde.pngEscalade



Rapide résumée:

Ah Baudrik, on ne peut pas vraiment dire qu'Arbitrio est été sympa, en effet ce jeune homme n'a pas hérité d'une riche et puissante famille, oh non, sa mère était la propriétaire de quelques vignes et son père était un vagabond qui changeait de métier chaque jour, un matin il était chasseur puis le lendemain le voilà milicien puis 3 jours après le voilà devenu messager, entre-temps il aime vider la bourse de sa compagne dans les boissons de la taverne, c'est ainsi qu'une nuit comme les autres on entendait un petit marmot brailler depuis la ferme, c'était Baudrik qui venait au monde.


Baudrik n'avait ni frères ni sœurs, de ce fait il n'acquit pas une éloquence formidable, pire que cela il était taciturne avec les étrangers. Il est maladivement timide et aisément impressionnable, dénué du sens de l'ironie et très littéral, il ne comprend guère jeux de mots et sous-entendus, mais malgré cela il applique son cœur à l'ouvrage et va jusqu'au bout de ses engagements, c'est un homme loyal et serieux.


A son arrivée sur le nouveau monde Baudrik a 21 ans, il mesure 1 mètre 70 et pèse près de 65 kilos. C'est quelqu'un de simple tout comme son éducation, sa mère lui a appris à s'occuper des vignes, que ce soit de la plantation, de la taille, ou pour reconnaître les différent cépages, ainsi que quelques ficelles de la vente. Le moine du village quand a lui, appris à Baudrik à déchiffrer quelques caractères d'écriture, loin d'être un écrivain de talent Baudrick sait se débrouiller pour lire une histoire pour comprendre une recette, ah et dû surement a l'inclinaison des vignes de sa mère, Baudrick a acquit avec le temps une certaine aisance pour grimper sur des collines escarpé ou sur certain structure, tout naturellement ces aptitudes feront de lui un merveilleux vigneron.


Le moine était avant tout un prêcheur de bonnes paroles, il aimait parler d'Arbitrio et était souvent là pour accompagner un enterrement et glisser quelques mots de réconfort pour la famille, c'est ce moine qui appris à Baudrik les bases du Monachisme, même si ce dernier n'est pas très croyant il aimait malgré tout raconter ses mésaventures à Arbitrio.



Une vie paisible:

Baudrik1.jpg

Baudrik, petite tête blonde du village, ce jeune garçon toujours la tête ailleurs. On le retrouvait souvent allongé dans les plaines, dans l'herbe hautes, les yeux perdu dans le ciel. La mère de ce petit était tout aussi brave que jolie, elle accorder à Baudrik de longue après-midi de promenade dans les vignes, c'est dans ces moments-là qu'elle apprenait à son fils les petits plaisirs de la vie, aussi simple que de faire un sifflet avec une feuille ou de chercher des heures un trèfle à quatre feuilles. Mais avant tout Baudrik adorer aider sa mère dans la vigne, il aimait s'évader dans ce monde magique qui était la viticulture, c'était sa plus grande passion de voir se transformer les ceps de vigne mois après mois, années après années. Il prenait même souvent le temps de faire quelques croquis des vignes de sa mère.

On dit que les premières années passent vite et ce fut le cas, Baudrik atteint très vite ses 15 ans et c'est dans ces années-là que son père lui mit un arc dans les mains pour la première fois. Souhaitant l’entraîner à cette discipline, qui faisait honneur au Canatan. Sous l'œil vigilant de sa mère qui était restée à l'entrée de la grange, étonnamment le jeune homme qui n'était pas taillé pour être un guerrier semblé démontré quelques capacités à viser droit et fort. Au bout d'une après-midi d'entraînement son père conclut ces mots :

"Bravo mon fils, je savais que je pouvais être fière de toi, tu es comme moi un grand archer!" S'exclama son père.

-"Merci papa, mais heu.. ce n'est pas très utile de savoir tirer à l'arc." Baudrik marmonnant ses mots.

-"Bien sûr que si ! Il faut pouvoir honorer les traditions de notre peuple, et puis tu seras content quand tu ramèneras quelques lapins à maman !" Rétorqua son père en souriant.

-"Des lapins ? Mais je n'ai pas envie de les tuer, ces petites bêtes je les admirent, vivant dans des terriers, se nourrissant d'herbes et de légumes et ne souffrant d'aucune nécessité à obéir à des lois." Sur ses mots il lâcha son arc à ses pieds.

-"Mais voyons! Je vois que tu serais resté trop longtemps au coté de ta mère, elle ne t'aura appris qu'à aimer la nature et cueillir du raisin. Visiblement elle suit les traces de son imbécile de père. Bon il est temps de t'initier à la vie d'un homme, allons à la taverne !" Dit-il en retrouvant un sourire dont il avait le secret.

-"Non, non et NON ! Baudrik n'a pas à être mêlé à tes beuveries sans nom, il restera au Domaine ce soir et tous les autres soirs, je n'ai pas envie d'alimenter cette réputation d'ivrogne que tu donnes à notre nom. Et pour ta gouverne mon père était quelqu'un d'honorable lui !" C'était la mère de Baudrik qui s'était rapprochée.

-"Comment ça ?! Je fais ce que je veux de mon fils !"

-"Non il rentre avec moi, et souviens-toi que sans moi tu ne pourrais pas payer une once des bières que tu consommes donc estimes-toi heureux que je m'efforce de te maintenir en vie pour Baudrik !" Sur ces mots, Baudrik fut tiré jusqu'à la maison et sa mère claqua la porte au nez de son père, qui repartit boire à la taverne.

Il rentra donc avec sa mère, cette dernière étrangement calme après cette dispute, qui avait fait s'envoler les oiseaux des alentours, congédia au lit son fils. Elle lui demanda de s'endormir accompagné d'une douce bise sur le front. Le lendemain matin, tout sembler être redevenu normal, son père ronfler encore dehors quand Baudrik poussa la lourde porte de la cuisine, sans faire de bruit il alla aider sa mère à s'occuper des vignes qui nécessitait quelques tailles rigoureuses pour la saison froide. l'après-midi Baudrik attendit son père quelques heures mais ce dernier était trop occupé pour voir son fils et partit s'allonger dans l'herbe...



Une visite en ville:


Voici venue le jour des 20 ans de Baudrik, ce jeune homme montre maintenant clairement ses appartenances à sa région natale. Devenu un peu plus débrouillard il reste malgré tout un jeune homme naïf. Mais sa mère maintenant n'a plus peur de l'envoyé en ville, notamment aujourd'hui pour apporter son lot de raisins à un commerçant du marché du mois. C'est parmi les dizaines de caravanes, échoppes, boutiques que Baudrik trouva celle d'un négociant en fruits et légumes un monsieur de grand taille coiffé d'un turban qui avait plutôt l'air d'être ennuyé de ce village. Baudrik en timide garçon mais bon marchand s'approcha du stand de l'inconnu :

-"Bonjour monsieur, j'ai cru lire que vous achetez des fruits et des légumes."

-"Hum.. Oui effectivement, j'achète tout ce que peut produire votre région perdue puis je reprends la route." Le monsieur semblait être sorti d'un moment de somnolence, et ne leva qu'à peine la tête.

-"Oh parfait ! Et bien ma mère fait pousser le meilleur raisin de Canatan, et j'ai trois caisses à vous vendre" Baudrik désigné en même temps 3 caisses de raisins tout en arborant son sourire.

-"Du raisins ? Pas besoin." Rétorqua l'homme en refermant les yeux doucement, "mais tu devrais aller voir à coter à la taverne".

Baudrik se déplaça donc à la taverne accompagné de ses caissettes de raisins, il poussa la lourde porte et vint s'adresser au patron, ce dernier était un grand homme au crâne chauve qui se contenter de lustrer des verres avec un bout de tissu devenu gris.

Tavernier.jpg

-"Bonjour monsieur, on m'a dit que vous achetiez du raisin ici." Tout en affichant un sourire timide.

-"Effectivement gamin, mais dit moi d'abord où tu l'as volé ce raisin petit ?"

-"Voler ? Non, non c'est ma maman qui me la donné pour le vendre en ville. Mais au marché personne ne le veut"

Le patron de bar se mit alors à fixer la tête blonde de Baudrick puis déclara "Tu ne serais pas Baudrik toi ?"

-"Si tout juste, vous connaissez ma maman ?" Dit le jeune homme en affichant son sourire.

-"Je suis un vieil ami de ta maman en effet, tu pourrais m'indiquer ta maison que je lui rende visite bientôt ? Surtout ne lui dit rien." Déclara le chauve avec un beau sourire laissant apparaître quelques dents en or, tout en lui faisant tomber sur le comptoir les quelques pièces pour le raisin.

Baudrik sourit, et s'empressa d'expliquer la route à l'ami de sa mère puis, il reprit la route de sa maison en quittant la taverne le patron fit signe à deux hommes louches de s'approcher du comptoir. Le jeune blondinet rentra donc à la maison quelques heures plus tard, comme promis Baudrik ne parla pas du tavernier et expliqua à sa mère qu'un négociant en fruits et légumes lui avait acheté les trois caisses, contente de son fils sa mère lui souhaita bon anniversaire et lui offrit une petite pierre en forme de grappe de raisin, signe de récompense pour son travail.


Une belle matinée:

Quelques semaines étaient passées après l'anniversaire de Baudrik, sa mère n'avait toujours pas reçu la visite surprise du tavernier et le jeune homme avait finalement oublié cette rencontre.

Comme tous les matins Baudrik ouvre les yeux aux premières lueurs du soleil pour ne rien rater de ce spectacle, tout en restant sur sa fenêtre béante il contemple la nature qui se réveille doucement, aux premiers chants d'oiseaux il vient attraper son gris-gris et pousse la lourde porte en bois de sa chambre pour descendre à pas de loup vers la cuisine. Arrivé là, il attrape un morceau de pain de la veille et part dehors.

Les rayons du soleil sont encore bas quand il foule de ses pieds nu l'herbe mouillait par la rosée du matin, il remplit alors abondamment ses poumons de cet air frais, puis vient se perdre en baissant les yeux et en admirant les insectes déjà au travail. Il profite souvent de ce moment pour récompenser les fourmis de miettes de pain.

Puis tout en marchant il vient à la rencontre des premières vignes des coteaux et commence à suivre les rangs infinis de ses ceps, "rien n'est plus relaxant que de commencer sa journée par une promenade" se dit-il.

Croquisvigne.jpg

Le soleil est déjà bien haut quand Baudrik arrive à retrouver la route vers la ville, il aime souvent imaginer quelles compagnies de troubadours ont foulées ces sentiers, combien de seigneurs on fait escale sur le bord de ce chemin...

Perdu dans ses pensées, Baudrik ne voie pas la charrette qui s'avance sur le chemin en direction de sa position.

La charrette s'arrête soudainement à la vue de Baudrik et deux hommes plutôt costauds descendent. L'un d'eux vient tapoter l'épaule du jeune homme qui sursaute aussitôt.

-"Hum oui ?" Dit-il en tournant sa tête blonde.

-"C'est toi Baudrik ?" Demande l'homme d'une voix grave.

Baudrik acquiesce avec un sourire dont il a le secret.

-"Parfait, tu peux remercier ton père pour ses dettes impayées."

Et aussitôt dit le second homme vient frapper le visage de Baudrik qui tombe K-O sur le coup. Les deux compères rigolent et s'en vont alors avec leur prise solidement ficelée et bayonné dans un sac. Baudrik se réveilla plusieurs fois au cours de son voyage mais sera droguée pour quelque temps..

Finalement Baudrik se réveille une dernière fois, assit sur ses fesses il ouvre un œil en sentant le bois mouillé au contact de son postérieur, une odeur désagréable et inconnue vient lui piquer le nez, finalement ses yeux s'ouvrent difficilement sur des hommes et femmes tout comme lui enchaîner dans ce qui semble être une cale de bateau. Des bruits de pas résonnent au-dessus et tout le monde reste silencieux, se balançant au rythme des flots, les cliquetis des chaînes font prendre conscience au jeune homme que maintenant il n'est plus rien...