Utilisateur:Camille
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Description
Camille est née à la Capitale dans une famille assez riche, elle a donc reçu une bonne éducation (Alphabétisation). Elle n'aime pas trop cette vie, mais ne s'en plaint pas, sauf quand elle est obligée d'être une autre qu'elle-même, par exemple aux réceptions où elle se doit d'être une gentille fifille bien éduquée et bien sage ... Donc Camille est une belle jeune femme aux cheveux roux qu'elle aime laisser détachés, elle a un tempérament de garçon manqué et rebelle voir agressive dans certains cas. Ce dernier trait de caractère lui a "permis" de gagner sa deuxième aptitude : combat. Elle n'aime pas trop cette vie, mais ne s'en plaint pas, sauf quand elle est obligée d'être une autre qu'elle-même, par exemple aux réceptions où elle se doit d'être une gentille fifille bien éduquée et bien sage ...
Aptitudes
-Combat(amateur au pugilat) -Alphabétisation
Talents
Gentille,Dévouée,Enthousiasme,Optimiste
Défauts
A fleur de peau ,Supporte mal l'alcool ,Aime le luxe,Peu matinal
Intérêts culturels et goûts
Aime avoir les cheveux détaché ,Courir,S'amuser,Boire du jus de pomme ,Le vert La romance, Dormir, Nager
Histoire
Je grognai. Toute nébuleuse, je me retournai dans mon lit pour ne pas avoir le soleil dans les yeux. - Aller allez, on se lève ! - Hmm, encore un peu ... Elle écarta les rideaux, laissant entrer le soleil dans la pièce. Je lui jetai un des nombreux oreillers qui jonchaient mon lit. - Rhaa, arrête ! - Tu es en retard ! Il m'était impossible de penser clairement, j'étais trop fatiguée. - En retard à quoi ? Elle se retourna vers moi, les mains sur les hanches : - Maman va te tuer, la réception ! Je me mis sur le dos un coussin et plaquai un autre sur ma tête. - Et meeeerde ... ! Je me levai, m'étirai et baillai à m'en décrocher la mâchoire. - Dépêche-toi, tu es en retard ! Je suis déjà prête. Effectivement, elle avait une belle robe bleue, une coiffure impeccable et de beaux bijoux. Je me sentais gênée, en pyjama, coiffée comme si une explosion avait soufflé mes cheveux. - Ta robe est dans la pièce d'à côté. Dépêche-toi ! Puis elle sortit de ma chambre en trombe. J'allai dans la salle de bains en grognant, quand du coin de l'oeil ,je vis la robe en question, qui m'arracha un gémissement. - Oh non, me lamentais-je ... La robe est d'une couleur rose pétante, pleine de froufrous et de dentelle. J'allais dans la salle de bains et fis ce que j'avais à faire, laissant mes cheveux libres, contrastant avec la coiffure impeccable de ma sœur. Me mettant devant le miroir, je fus prise d'une inspiration et pris une voix snob ; - Ouiii regardez-moi, je suis la belle Ellana, regardez ma coiffure, ma robe, mes yeux, regardez à quel point je suis parfaiiiiiiiite ! Rigolant toute seule, je sortis et allai voir la robe, soupirant. - Je ne peux pas mettre ça ! C'est ignoble ... Hélas, comme l'a dit Ellana, ma mère me tuerait, j'enfilais donc la robe, fis un tour sur moi-même devant le miroir et fis une grimace de dégoût. Je descendis et ma mère se précipita vers moi et me sortit le blabla habituel Ho, tu es magnifique, tu as les beaux yeux de ton père... - Tu es magnifique ma fille. En parlant de mon père, le voilà Sernete Furthy, 2ème du nom. C'est un grand homme, au propre comme au figuré. Un bon mètre quatre-vingts, les cheveux châtains clairs et les mêmes yeux que moi (vous le savez si vous suivez) - Merci père... Il sourit et sortit de la pièce. Celle-ci était joliment décorée, et la table bien mise, je comptai rapidement les couverts, nous serions une vingtaine, je soupirai et allai vers ma sœur. Aussitôt, elle me regarda sous toutes les coutures. - Rhaa, attache tes cheveux ! Et referme moi ce décolleté, voyons ! Nous sommes en bonne compagnie ! Et tiens toi plus droite ! On dirait un sac ! - Mais tu as vu à quel point cette robe est ignoble ! - Pour ta gouverne, Camille, sache qu'elle a été faite par un grand couturier ! - N'empêche que c'est moche, rose et que ça gratte ! C'est pire que celle de tante Rosalya ! Elle me regarda en silence. - Bon certes, peut-être pas, mais cela reste affreux. - Un effort ! Et elle partit me laissant là.
Je fulminais, la journée dans cette tenue allait être affreuse ! Vive le cadeau empoisonné !
La réception passa et j'allai dans ma chambre, toujours vêtue de la robe.
On toqua à la porte. - Hmm ? Il entra. - Tobias ! Je me jetai à son cou. - Tu es venu ! - Je n'allais pas manquer le 17 ème anniversaire de ma meilleure amie, tiens ! Je sais que l'on à dit pas de cadeau, mais... Je le coupai - He ! On a jamais dit ça ! - Chut, je sais, effet dramatique ! - T'es con ! Donne ! Il me tendit le paquet et le déchira : Une robe ! Je la sortis, elle était verte eau, sans manche, elle était magnifique. - J'ai hésité à mettre une traîne, des froufrous et de la dentelle... Tu as l'air d'aimer ça. Il désigna la robe du menton. - Ta gueule, tu veux ?! Elle est magnifique ! Merci ! Je commence à te connaître, tu sais ? Après 15 ans...
-Une autre !
L'aubergiste arrive presque aussitôt et lui sert une bière
-Tu devrais pas boire comme ça, Tobias.
Il me regarda et soupira
-Tu... Tu ne comprends pas... J'en ai besoin
-Tu te ruines autant en argent qu'en santé à cause d'un blonde ! Oublie là !
-T'es mignonne ! J'aimerais bien t'y voir toi ! Tous les garçons sont à tes pieds
Je soupirai et fini mon jus de pomme
Je lui faisais le moral, mais je le comprenais, deux mois à lui faire la cour, tous ça pour finir dans les bras d'un macho, arrogant, sans esprit, mais, au grand désespoir de Tobias, riche
Je lui faisais le moral, mais je le comprenais, deux mois à lui faire la cour, tous ça pour finir dans les bras d'un macho, arrogant, sans esprit, mais, au grand désespoir de Tobias, riche Il était sur-endetté, mais il trouvait le moyen de, chaque année, me faire un super cadeau Si seulement il avait de l'argent... Il serra heureux, il serrait avec sa blonde
J'ai essayé de lui proposer mon aide, il refuse catégoriquement Je le regardais grommeler tous seul pendant qu'il buvait, c'était assez marrant
Mon regard descendit jusqu'à son torse On devinait ses muscles sous son t-shirt assez moulant quand on y regarder devant plus près Sa chemise lui va très bien malgré ses quelques tâches cette blonde ne savait pas ce qu'elle rate...
Je secouai la tête, pourquoi je pensais à ça !
Tobias releva la tête -Un problème -Non-non... Rien
Il regarda son verre vide et s'apprêtait à demander à se faire remplir quand je lui donnai un coup dans le tibia
-Sa chemise lui va très bien malgré ses quelques tâches cette blonde ne savait pas ce qu'elle rate... Tu me les brises à boire ! Comment tu vas payer ça !
Il ne dit rien néanmoins ne demanda pas une autre boisson -T'es chiante, tu sais ?
Je détestais quand il était bourré !
Au bout de quelques minutes de silence, je me levai -Viens, on va marcher -Hmm... Si tu veux... Je posais de quoi payer ma boisson sur le comptoir et sortie
Tobias dit à L'aubergiste de payer ça plus tard Il soupira, comme habitué à cette demande
Une fois dehors, je lui demandai : -Combien ? -De quoi ? -Lui, tu lui dois combien
Il me regarda un long moment et répondit en rigolant -Assez pour que je paye tous seul !
Je soupirai, mais souris, il était optimiste au moins
-Viens Il me prit le bout des doigts et se mit à courir, je le suivis en rigolant
Je sentais le contact de sa main C'était un geste innocent... D'amitié... Il avait fait ça par réflexe... Non ?
Mais je pensais à quoi moi ! Bien sûr ! Ça fait 15 ans que l'on est amis Nous passâmes la fin de la journée à se balader.
-Putain non ! Cette fois, tu acceptes ! -N'insiste pas !J'en veux pas -Tobias ! Cette fois, tu acceptes ! -Et toi presque !
Hmm, il avait raison ma petite vie de rêve était partie en fumée... Dans tous les sens du terme Un incendie a ravagé la maison seul moi et quelques employés avaient survécu...
Il ne me restait rien À part quelque robe de luxe que je comptai bien vendre... Des vêtements "normaux "et de l'argent pour vivre quelque mois Mais ça s'était mes projets avant que j'apprenne que Tobias avait encore bu comme un trou et étant fauché et endetté S'il ne remboursait pas dans 2 jours le seul moyen de ne plus avoir de dette est d'être un esclave
-Mais pourquoi tu n'en veux pas ! -Je veux que tu vives heureuse ! -Je serrai heureuse sans toi ?! Crétin ! Hurlais-je. Il ne répondit rien
-J'ai 2 jours... Je trouverais
Les 2 jours passèrent et il ne trouva rien J'avais passé "mes " 2 jours à vendre mes robes le reste du temps, je pleurais, j'avais assez d'argent, mais il n'en vouait pas Le jour -J, je trouvai la solution
Sur le port, je le pris à part dans une petite ruelle
Souriant comme toujours, il me demanda -Pourquoi tu m'amènes ici ? -ben... Tu veux toujours pas de mon argent ? Il soupira -.... Non... -Alors... Je veux juste te dire en revoir... Je fermai les yeux et me mis sur la pointe des pieds pour l'embrasser
[...] Une fois dans le bateau pour aller à l'endroit où je serrais vendu en esclave, je me remémorai la scène
Il riait... Ses lèvres cherchaient les miennes une de ses mains me tenait par les hanches me collant à lui l'autre passa dans mes cheveux
Je me retirai et lui dis -Ne m'en veux pas Il rit -De ?
Je grimaçai en pensant à ce que j'allais faire Je lui envoyai mon genou dans les parties le plus fort possible, il se plia en deux sous la surprise et la douleur Je pris une bouteille qui traînait au sol que j'avais repère avant et l'abatis sur sa tête, il s'écroula, inconscient
Je courus jusqu'au bateau et expliquai la situation à la personne qui se chargeait des esclaves Que mon ami restait là tandis que je partais pour rembourser ses dettes Il me dit que temps qu'il avait quelqu'un à embarquer cela lui allait
je signais 2 ,3 papiers et montai [...] Je versai une larme.
