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Cormac Longfore.


Vous consultez la fiche d'un personnage décédé.

     Cormac Longfore.
Informations RP
Genre
Homme
Année de naissance
Rang


Famille






Métier
Métier
Compléments








Origines
Région d'origine
Nation d'origine
Informations HRP
Login Minecraft
Falcown_Pawnch
Prénom IRL
François.





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  • Nom: Longfore.
  • Surnom: L'Arpenteur ou, plus récemment, le corbeau.
  • Prénom: Cormac.
  • Occupation/Métier: Ecumeur, bandit et receleur.
  • Croyances/Religion: Fils de Lig Ocolide, Cormac est tourné vers l’Arbitrio, même s’il n’a pas une bonne connaissance du culte en général. Son père, faisant lui-même preuve d’ignorance en la matière, a toujours cru au kaitusianisme, ce qui l’a influencé. Cormac éprouve, en fait, envers l’Arbitrio un profond respect plutôt qu’une indéfectible dévotion.
  • Âge: Trente ans.
  • Lieu de naissance: Sur une couchette sale, au coeur de l’Archipel Ocolidien.
  • Nation d’origine: Lig Ocolide.
  • Père: Aslander Longfore, ancien maître coq, maintenant tenancier d’une misérable taverne.
  • Mère: Seulement un nom; “Maryam”. Une Qadjaride que son père engrossa, à ses dépends, et qui refusa d’élever cet enfant pour lequel elle n’éprouvait aucun sentiment. L’Arpenteur ne lui en a jamais porté vraiment rigueur, il n’en à que faire en fait; elle ne lui est rien.
  • Frères et soeurs: Une soeur, mort-née.
  • Taille: Dans les alentours du mètre 80.
  • Poids: Pas loin de 70kg.
  • Carrure: Sec, taillé.
  • Yeux: Gris acier.
  • Signes distinctifs:
•Dégage communément une odeur subtile de tabac et de rhum.
•A le visage traversé d’une longue et profonde cicatrice, vestige d’une bagarre perdue.
•Dispose d’un joli teint mat, héritage des origines de sa mère.
•Possède une paire de favoris bien développés, une moustache de trois jours ainsi qu’un petit bouc.
•Accorde une importance toute particulière à la mèche qui naît de sa longue crête et qui lui retombe sur le front mais également à la natte, maintenue par de fins morceaux de tissus bleus, qui marque la fin de sa chevelure.
•N’est guère causant, préférant vraisemblablement écouter et réfléchir.
•Adore lorgner ses semblables avec une malice particulière, propre à lui-même.
•Se plaît à s’isoler, généralement en grimpant sur quelque structure et s’élevant suffisamment haut pour que quidam ne sache pas l’ennuyer.
•A acquis une fâcheuse tendance à changer brutalement d’humeur, passant souvent de l’intérêt à la lassitude sans véritable raison.
•Peut paraître égocentrique, moqueur et être un salopard parfaitement détestable.
•N’accorde que très peu d’importance à la plupart de ses semblables.
•Laisse quotidiennement échapper d’indescriptibles bruits et autres sons insolites.
•Possède l’accent chantant, typique de son Archipel natale.


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Portrait.


Physique.

Un mètre quatre-vingt, sec et droit comme un piquet; on peut dire que Cormac dispose d’un physique avantageux et atypique, du fait de ses étonnantes origines. Fruit de l’union entre un Ecumeur et une Qadjaride, il jouit d’un teint de peau, mat, qui lui est propre. Ses yeux gris d’acier, généralement plissés, contrastent joliment avec celui-ci et ce malgré la profonde et longue cicatrice qui perce le côté droit de son visage, de bas en haut, laquelle se porte témoin de quelque amère bagarre. Et des bagarres, le trentenaire en a connu tout du long de sa vie de brigand, cela se lit sur ses traits; aussi durs que le fût son existence d’écumeur. Entourant cette rude gueule, une paire de favoris châtains contournent ses joues, effleurant ses pommettes, et s’arrêtent à une poignée de centimètres de ses fines lèvres souvent tordues en un vicieux sourire. Là, de sa lèvre inférieur jusqu’à la limite de son menton, on peut remarquer un petit bouc qui va de pair avec le semblant de moustache qui bouffe l’espace entre son nez et sa lèvre supérieur. Notons que sa pilosité est fort développée et que cela peut se voir aisément. Néanmoins ce qu’on remarque généralement en premier en le voyant, c’est incontestablement la comique petite mèche qui se distingue du reste de sa crête touffue et très peu entretenue. Telle la large natte qui retombe à l’arrière de sa caboche et danse au moindre de ses mouvements, sa mèche est maintenue par un bout de tissu bleu. Il n’est pas rare de le voir s’amuser à la tripoter entre ses doigts, évasivement, le regard perdu dans l’horizon. Pour en revenir à sa coiffure, Cormac a toujours favorisé une coupe rapide et grossière, rasant les côtés et taillant le reste quand il jugeait que cela devenait trop gênant. Il est bon de préciser qu’il n’est guère soigneux de son apparence, se trouvant bien naturellement et ayant bien d’autres préoccupations plus importantes à son goût que pour perdre son temps à “se pomp’nner comm’une p‘tain d’bourgeoise”. Se confortant dans ses idéaux, Cormac s’habille le plus simplement possible et, quelque peu réticent à piocher dans sa bourse pour cela, essaye de recycler de vieux vêtements; usant ceux-ci jusqu’à ne plus savoir les porter de quelque façon. On donc déduire que c’est la cause principale de l’odeur spéciale qu’il dégage, laquelle semble s’être imprégnée dans les tissus qui le couvrent.

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Psychologique.

Complexe est l’adjectif qui décrit parfaitement sa personnalité si étrange. Le trentenaire s’interroge et réfléchi énormément, échafaudant sans cesse des plans pour s’enrichir un peu plus ou, encore, pour améliorer sa situation. Il déteste la politique, presque autant que la bourgeoisie, car ce n’est qu’une vaste mascarade, de son avis, un ensemble de règles ainsi que d’obligations sur lesquels il crache sans autre forme de procès. Lui vit comme bon lui semble et ne courbe pas l’échine pour rien. C’est un homme libre qui le fait valoir. Gagner son respect est loin d’être facile, il mesure la valeur d’un homme selon ses propres critères. C’est certainement pour cela qu’il passe le plus clair de son temps à observer et à dévisager ses interlocuteurs sans dire un mot. Parler pour débiter un flot de conneries le révulse ainsi les abrutis l’agacent. D’ailleurs, il méprise généralement quidam et trouve un certain plaisir à s’en moquer, sauf quelques rares exceptions; parmi lesquels figurent les Qadjarides qui attisent sa curiosité. Fier représentant de sa patrie, Cormac n’a guère de manières, ne sachant pas bien se tenir en public. Fréquemment, il lui arrive de se gratter joyeusement le postérieur, de se racler le fond des narines pour confectionner un ignoble crachat qu’il expulse ça ou là ainsi que de se foutre un doigt dans le museau tout en discutant de chose et d’autres. De même, il n’a guère de respect vis à vis des titres, trouvant cela insensé, et à pour habitude de tutoyer la plupart des gens. Ne voyons pas en cela une forme d’idiotie, ce serait faux. Avec un gaillard de sa trempe, il est bon de ne pas se fier aux apparences. Comme la plupart des gamins natifs de Lig Ocolide, Cormac a toujours éprouvé une fascination particulière pour le vaste océan qui borde son Archipel. Le bruit des vagues venant mourir sur la côté, le goût si fort du sel dans la bouche, les brises puissantes qui griffent le visage et piquent les yeux… Il aimera à jamais cette mer si hostile, celle-là même sur laquelle voguent ses frères pour défendre leur liberté. Il l’a contemplée, encore et encore, durant toute sa jeunesse, rêvant de pouvoir l’explorer à son tour et de s’arracher à l’existence de misère de ceux qui restent sur terre. Car quand sa génitrice, réticente à élever ce petit bâtard sortit de ses entrailles, l’avait abandonné devant la taverne miteuse de son père, elle l’avait condamné à vivre tel un paria. Cela, il l’avait compris des années plus tard en constatant, non sans effroi, le peu de respect qu’avaient les clients à l’égard des types comme lui, serveur pour le compte de son paternel. Cormac éprouvait, bien sûr, beaucoup de respect à l’encontre de celui-ci néanmoins il ne désirait pas continuer à pourrir à ses côtés pour le lui prouver. Aussi s’était-il fait la promesse de saisir la première occasion afin de s’extirper de là. L’attente fût longue, trop longue à son goût, et patienter au milieu d’un bordel pareil lui avait forgé le caractère, le rendant plus rustre et froid. Si personne ne le respectait alors il ne respecterait personne, ces fumiers pouvaient crever ailleurs. Principale cause des bagarres qui démolissaient une partie de la taverne, le gamin montrait les crocs bien trop vite. Son pauvre père, malheureux spectateur de la débâcle de son patrimoine, ne savait plus quoi faire de son rejeton et espérait s’en débarrasser au plus vite. Un jour, alors que quelques écumeurs inconnus s’étaient attablés en compagnie de leur bosco, ce dernier avait montré un intérêt pour ce jeune homme vif et peu sympathique et lui avait proposé de s’installer à leur table. Son équipage manquait cruellement de bras aussi un gamin en pleine force de l’âge comme Cormac répondait à toutes ses attentes. Le soir même, il montait à bord d’un navire pour la première fois et le lendemain s’éloignait au large. A partir de là sa vie fût rythmée au gré des abordages et pillages et cela durant un peu plus d’une dizaine d’années. Autant physiquement que mentalement, le gosse devint un homme de la même espèce que ses compagnons. Sanguin, lunatique et, surtout, fier d’appartenir à une communauté haïe par le reste du monde. On lui avait appris à tuer un homme de sang-froid, à ne pas frémir devant l’adversaire, à effrayer ce dernier et à prendre jusqu’à la moindre petite pièce. Aucune loi pour régir sa conduite mais un hiérarchie à respecter, le minimum pour éviter de devenir barbare. Ce semblant d’échelle sociale, Cormac attendait impatiemment de la grimper afin de jouir d’un meilleur confort. Téméraire et imprudent, un mélange idéal pour se faire respecter et deux qualités qu’ils possédaient. Pour s’enfoncer au coeur de la masse ennemie, il n’était sûrement pas le dernier et, malgré le fait qu’on avait manqué de l’abattre plus d’une fois, cela lui avait attiré la considération de ses camarades. Il fût nommé Bosco à la mort de son prédécesseur, ce qui l’arrangea évidemment. Cependant le bougre, se lassant de son train de vie, a commencé à ressentir le besoin de se rendre plus loin, de voir les richesses et secrets que le monde lui réservait. Influençant ses supérieurs par tout les moyens possibles pour arriver à ses fins, Cormac parvint à faire voyager le navire de plus en plus loin, c’est à cette période que l’Arpenteur naquît, dans la bouche de quelques-uns. Les expéditions qu’ils orchestraient devinrent scabreuse et l’équipage, éprouvé, profita du décès du Capitaine pour prier le second d’écarter le Bosco. Il fût ainsi décidé de le laisser sur terre avec quelques gaillards, ses plus proches partisans. Abandonnés comme des misérables. Cormac se sentit profondément trahit et outré et se ferma un peu plus sur lui-même. Il donna son surnom à la compagnie qu’il monta avec ses frères puis, bien décidé à réussir avec son entreprise pour se venger, proclama officieusement son indépendance et réquisitionna un pitoyable petit bateau, débutant sa carrière de receleur et mercenaire dans les alentours de l’Archipel Ocolidien. Depuis lors, l’Arpenteur est réputé comme étant aussi froid qu’un cadavre, très discret et dont il est préférable de se méfier.


Qualités


  • Malin.
  • Loyal envers les rares personnes qui se comptent dans ses proches.
  • Bon vivant.
  • Audacieux.
  • Vaillant.
  • Intrépide.

Défauts


  • Alcoolique et fumeur.
  • Solitaire.
  • Manipulateur.
  • Opportuniste.
  • Egocentrique.
  • Lunatique.
  • Moqueur voir dédaigneux envers les autres.
  • Vulgaire.


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Aptitudes.

  • Grille Épée en Fer.pngCombat: Foulant, pour la première fois, le pont d’un navire à ses quatorze ans, Cormac a débuté sa carrière d’Ecumeur de façon bien pitoyable; nettoyant le pont, servant ses compagnons et aidant ça et là. Cependant, on remarqua très vite que le gamin aimait la grimpette et ne manquait aucune occasion d’escalader le mât pour aider les gabiers dans leur besogne. Il fût décider qu’il en deviendrait un, à son tour, ce qui enchanta évidemment le principal concerné. Là, perché au niveau des voiles, il pu aisément prouver sa valeur et, au fil du temps et des abordages, se faire une bonne réputation au sein de l’équipage. C’était loin d’être une vie facile du fait que la maladie et la mort côtoyaient les hommes, cela affermit très rapidement le caractère, déjà dur, du gosse. Quelques années après son dépucelage maritime, Cormac demanda à descendre de son nid pour participer aux pillages des bâtiments cibles des Ecumeurs et occuper une place de choix dans ceux-ci. Ceci lui fût accorder, immédiatement. Il n’avait jamais été dans ce qu’on pouvait qualifier de “première vague”, se contentant de débarquer à la fin de la bataille pour trancher les quelques survivants trop abîmés pour représenter un vrai danger. Durant ces dernières années, il s’était préparé et entraîné. Le jeune homme jouit de chance lors de ses premiers combats en tant que matelot car le navire coupa la route de simples bateaux marchands à la défense misérable. Encore une fois, il parvint à se démarquer en faisant preuve d’une violence impitoyable, laissant derrière lui des pauvres types éventrés. Et ainsi, la vie continua son cours jusqu’au jour où, lors d’un énième larcin, le bosco trouva la mort, balancé par dessus bord et avalé à jamais par la mer. Ce fût dans ce malheureux mais inévitable incident que l’existence de Cormac prit un nouveau tournant, il reprit la place du défunt, guidant dés lors l’équipage comme un véritable chef. Grâce à cette promotion inattendue, il pu étoffer plus amplement son expérience au maniement de l’épée. Il a développé un style particulier, propre à lui-même. Il use et abuse de mouvements inutiles, évasifs et théâtraux visant à déstabiliser l’adversaire, ce qui ne porte pas spécialement ses fruits. En combat, Cormac préfère miser sur son agilité plutôt que sa force, parant plus qu’il n’attaque. Néanmoins, une fois l’ennemi coincé, l’homme sait faire preuve d’une créativité horrible.

;Niveau.

Epée à une main: Normal.
Poing: Normal.
Autres: Inexistant.


  • Grille Corde.pngEscalade: Monter sans cesse et toujours plus haut fût le quotidien du trentenaire dans sa jeunesse. Eprouvant déjà le besoin de s’élever au-dessus de ses congénères, gosse, il avait dépassé plus d’une fois les limites de la raison en cherchant à atteindre des endroits inaccessibles. Et plus d’une fois, il avait chuté et s’était brisé le derrière dans les rues peu fréquentables de Lig. Mais là où d’autres auraient abandonnés, trop soucieux de préserver leur arrière-train d’un nouveau choc, lui avait poursuivit et acquit une capacité respectable dans ce domaine. Cette surprenante passion lui était resté, comme un poux bien accroché à la racine du poil, et quand on lui offrit l’opportunité de devenir gabier, il ne pu refuser. Lors de cette période, l’Arpenteur étoffa ses qualités de grimpeur et, aujourd’hui encore, cela représente un de ses passe-temps favoris.