Utilisateur:Corthys

De Wiki'speria
Aller à : navigation, rechercher


Vous consultez la fiche d'un personnage absent d'Esperia.

     200.png
Informations RP
Genre
Homme
Année de naissance
Rang
Esclave de







Métier
Métier
Compléments








Origines


Nation d'origine
Informations HRP
Login Minecraft
Kerbourgnec
Pseudo
Corthys






Biographie

Je naquit le vingt-quatre octobre 490 dans une famille pauvre vivant dans le village de Raakar, dans les montagnes au Nord de Golvandaar. Sura et Ivan Draslina, mes parents, étaient issus de familles de mineurs, invariablement , dès la fin de mes courtes études, à onze ans, je parti parfaire mon éducation dans les mines du village. Peu après mes seize ans, ma mère mit au monde un autre garçon, dont je ne connais pas le nom, et mes parents me firent comprendre que je ne pouvait pas rester. En effet, mon père gagnait juste assez pour trois, mais pas pour quatre. Mon salaire était très bas, presque inexistant, étant donné que je n'avais pas terminé mon apprentissage de mineur et que les ressources de la mine s'épuisant, les chefs de celle-ci avaient commencé à baisser les salaires, à commencer par ceux des plus jeunes.

Je pris le chemin de la Capitale, espérant pouvoir y gagner ma vie. Ayant été accepté dans une grande caravane de marchants Roskildiens pour le début du trajet, je fus en sécurité jusqu'à leur ville. Malgré les quelques affaires qu'ils m'avaient offert, le chemin fut difficile de Roskilde jusqu'à ma destination, même en longeant les fleuves. Il fallait être en permanence en alerte, pour éviter les bêtes sauvages et les bandits. Une fois, je marchais sur une petite route forestière quand ces derniers surgirent des buissons. Ils n'étaient pas très impressionnants, paressant débutants. «La bourse ou la vie, dit l'un. -Encore!, fit l'autre, Mais c'est le groupe des Détrousseurs qui disent ça! Je te l'ai répété cent fois, nous c'est "Donnes nous tout et on te laisse partir". -Mais ... -T'as oublié l'affaire de Rick et Dori. Ils utilisaient trop cette phrase, et on les a retrouvé dans un fossé, égorgés.» pendant qu'ils se disputaient, je pris la poudre d'escampette. Ces voleurs du dimanche ne pourrons pas me rattraper, je suis rapide, à l'aise dans la nature et j'ai appris à marcher sans laisser de traces. Lorsque je regagnais la route, je vis un autre voyageur. Nous décidâmes de voyager ensemble pour plus de sécurité. Bien nous en pris, car d'autres bandits,arrivèrent , et ils étaient bien plus féroces que mes premiers agresseurs) Dès le début de la bataille, je vis que je n'avait aucune chance. Mon compagnon savait se battre, mais pas moi. Je l'abandonna pour mon mode de défense: la fuite. Je ne sus jamais ce qu'il advînt de lui. J'arrivais néanmoins à la Capitale sain et sauf. J'étais alors âgé de dix-sept ans.

N'ayant fait qu'un arrêt rapide à l’extérieur de Golvandaar et de Roskilde, je fus surpris par la taille, la densité et l'étalage des richesses de la Capitale. Les premiers jours, je dormais dans les rues en n'osant rien faire. Un jour, un homme, qui me trouva assez fort, me proposa le métier de maçon. Il était maître d'oeuvre et fut mon employeur. Il me payait mieux que le chef de la mine. Mais, dans cette grande ville, mes ambitions furent revues à la hausse, et, en voyant les notables pour qui je travaillais, je rêvais de parures, de compagnies et de plats raffinés.

Après une dure journée, je partis à la taverne. Elle était connue, dans un quartier animé et elle se remplissait et se vidait rapidement, ceux qui en sortaient étant moins frais que ceux qui rentraient. Sans y penser, je buvait beaucoup et me saoulait vite, la bière et l'hydromel étant une de mes passion récente que je ne maîtrisait pas vraiment. Avec seulement cinq (grands) verres, j'avais déjà déclenché deux bagarres (dont je ne faisait pas parti). Pour la première, il m'a suffit de dire, avec mon magnifique accent de pochard: «Hé toi, l'pêcheur, je suis sûr que tu ne peux pas pêcher le chapeau du boulanger en bas! (c'était une taverne à deux étages) -Evidemment, j'peux le faire, t'est qui pour dire ça? -Corthys l'adaarion, et j'ai monté le mont Adaar!» Cette justification était illogique et fausse, mais les Capitalins ont un respect pour ceux qui ont dominé le monde du haut de ce pic. Et il ne faut pas oublier que j'étais soul. Au final, j'ai perdu mon pari, mais le boulanger l'a remarqué et a mis son adversaire hors d'état de pêcher pour un bon moment. Je ne me souvient pas très bien de la deuxième dispute, seulement qu'elle concernait un mouton gavé de choux. C'est après cette deuxième altercation qu'arriva l’événement qui, indirectement, allait me faire perdre tous mes droits. Un homme entra et demanda si des gens voulaient être engagés dans son équipage. « A la fin du voyage, il peut y avoir de l'or, disait-il, beaucoup d'or. Je cherche des hommes forts et courageux ! -Je part avec vous, fis-je avec plus d'aplomb qu'un homme sobre, je suis coincé dans ce trou, sans argent, dans un logement miteux et je suis insulté par tous mes patrons ! » Etant soul, je ne remarquai pas que or et bateau, annoncé comme ça, ressemblaient fort à une activité illégale que beaucoup connaissent. Là dessus, mon nouveau capitaine annonça qu'il fallait le retrouver sur le bateau L'arrimeuse du Nord, avec toutes mes affaires empaquetées. En titubant jusqu'à la sortie, je renversa deux chaises et une caisse, mais un ouvrier que j'avais bousculé me jeta dehors avec maints coups de poing et de pied. Finalement, je réussi à me traîner jusque chez moi.

Au matin, je me réveilla dans un hamac, suspendu dans une sorte de dortoir. C'est lorsque que je senti les roulis que je réalisa que j'étais sur un bateau. Ce fut mon premier mal de mer. L'arrimeuse du Nord était en fait un grand deux-mats pirate composé de novices en très grand nombre, ce qui nous permettait de piller les petits vaisseaux, de les couler, puis de vendre leur marchandises, sans que personne ne sache d'où elle venaient. Cette vie dura trois ans.

Un jour, on attaqua une felouque de pêcheurs, mais elle étais rapide. Tout l'équipage devait manœuvrer le plus vite possible pour la rattraper, mais elle s'enfuit. Le lendemain,ce fut un bateau d'esclavagistes muni de gardes royaux qui nous attaqua. Il était deux fois plus gros que notre navire, mais ses cales étaient en partie pleine de leur marchandise. Nos archers, peu nombreux, projetèrent quelques flèches, mais les soldats étaient bien entraînés. Ils utilisèrent des grappins pour nous aborder. Je tentai d'arrêter un assaillant qui passait le pont avec ma dague, mais il m’assomma avec son marteau de guerre (oui, je ne suis pas un bon soldat). Je me réveilla lorsque un des gardes me gifla. Les marchands avaient gagné bataille et me firent esclave, comme tous les pirates de mon équipage, c'est une punition rude, mais j'avais écumé l'océan pendant trois ans. Pris de défaitisme, je me laissait faire et perdis toutes mes possessions, excepté ma tunique et ma ceinture. J'appris alors que nous voguions vers Espéria.


Description

Corthys Draslina est un jeune adaarion de vingt-deux ans. Il fait 1,73 m, ce qui, pour lui, est trop petit pour être un homme respecté, c'est son grand complexe. Il a les yeux verts foncés et il se dit meilleur mineur car ses yeux émeraude lui font mieux voir les minerais. Il peut en effet se montrer superstitieux. Sa barbe et ses cheveux sont bruns et il ne fait pas attention à son apparence, les coupant juste lorsqu'ils le gênent. Corthys a le visage basané des maçons des chantiers de la Capitale. Par ses travaux de maçon et de mineur, il acquit une force certaine, devint endurant et expert en minéralogie. Son voyage de son village natal à la Capitale lui a fait découvert des qualités en survie. Il est mauvais en combat, mais sa force lui permet d'asséner des coups puissants, comme avec une pioche. Grâce à sa courte éducation, il sait presque lire, seulement quelques mots très important comme Corthys, taverne et Arbitrio. Il peut aussi parler la langue capitaline aisément. Corthys est un travailleur acharné qui aime le métier de mineur et la fraternité de ceux-ci ans son village natal. Il n'aime pas la chaleur, préférant la fraîcheur de la mine. Il ne tient pas bien l'alcool mais n'a étrangement pas de mal de crâne le lendemain de ses cuites. Il est plutôt méfiant, sauf si un salaire est promis, auquel cas il saisit immédiatement l'opportunité. Il n'hésite pas à donner des coups dans le dos pour se tirer de mauvaises situations, tant que ce n'est pas envers des bons amis, car il peut se montrer loyal. Il a la manie de se ronger les ongles en permanence, surtout si il est stressé. Malgré ses années de piraterie qui lui ont enseigné les manœuvres d'un bateau, il est sujet au mal de mer et ne sait pas nager. Cet Adaarion est assez séduisant mais n'a jamais eut de relation de plus de quelques heures, ce qui lui donna une réputation de Don Juan. Ses camarades l'ont toujours appelé Coco. Corthys pardonne facilement aux gens qu'il apprécie, mais oublie rarement les fautes commises par ses ennemis. Si on lui demande quel dieux il vénère, il répond qu'il adore le culte d'Arbitrio, comme une évidence, mais ne s'en préoccupe pas réellement. Il n'est presque pas pratiquant et ne s'intéresse pas beaucoup à la bonté de ses actions, bien que croyant à la pesée des âmes. Mais peut-être cela va changer à Espéria. Il aime beaucoup les dobitchou Nordiques, le koilstkä adaarion et la bière. Il a découvert une passion pour le miel et l'hydromel en vivant dans la capitale. Par contre, il déteste tout ce qui est à base de raisin, surtout le vin, et n'a donc aucune disposition à l’œnologie, même s'il a un bon sens du goût. Il est à la recherche d'une nouvelle famille, la première l'ayant rejeté. Malgré cela, il porte ses parents en haute estime. Il pense qu'ils n'avaient que deux choix: le jeter dehors ou abandonner le nouveau-né. Étant pauvre, il est près de ses sous, jugé radin par certains, et ne dépense pas pour un rien. Il veut devenir riche, et est assez intelligent pour le devenir. Pour finir, Corthys a besoin de se faire respecter. Il est complexé par sa petite taille, sa pauvreté et ses travaux ingrats, pouilleux parmi les pouilleux, sans réelle distinction remarquée par les notables. Il ne supporte pas que quelqu'un lui parle mal.


Compétences

Minéralogie : Apprise dans les mines adaarionnes.

Force : Il peut porter un grand sac de gravas.

Endurance : Il sait rester plusieurs heures à miner, tant qu'il a à boire.

Survie : Il peut survivre en milieu hostile naturel.



Biographie sur Esépéria

Corthys est arrivé le 27 août 513 en ville en tant qu'esclave. Il a tout de suite été vendu à la famille:Aubéclat, sans passer par la boîte haut-placée.

Qualités

Radin, Il veux dépenser son argent le moins possible, il n'es a déjà pas beaucoup.

Costaud, à force de manier la pioche.

Intelligent, malgré sa piètre éducation, il sait comment parler à ses maîtres et comprendre ce qu'on lui dit.

Volonté de respect, ce qui le motive pour avancer.

Papilles gustatives développées.

Loyal envers ses amis, Il n'aime pas leur faire ce qu'il ne veux pas en retour.

Bon minéralogiste, il a appris cette science dans les mine adaarionnes depuis ses onze ans.

Notions de marine, il sait à peu près manœuvrer un petit bateau.


Defaults

Peu soigneux, il ne produira jamais d’œuvres d'art et ne répare ses affaires que si elles sont très abîmées.

Complexé par sa condition d'esclave, il n'ose pas toujours répondre.

Piètre œnologue, en effet, il déteste le vin, et n'a donc pas de réel avis pour cette boisson.

Mauvais au combat, il préfère fuir que se faire démolir.

Lâche, car il ne sait pas combattre

Opportuniste, il saisit toutes les occasions pour gagner de l'argent, même au détriment de certaines personnes.

Quasi analphabète, il ne connait que l'alphabet adaarion

Sujet au mal de mer, malgré ses années de piraterie.

Ne sait pas nager.


Connaissances amicales

Utilisateur:Dreaps, son maître, mais qui ne le maltraite pas et lui a fournit une pioche sertie. (c'est peut-être juste pour rentabiliser son achat)


HRP: Absence

Pour des causes personnelles, je ne pourrai plus me connecter, définitivement ou pas. En Rp, Corthys est malade à cause de la Nivôse.