Utilisateur:Edgar guerric

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Informations RP
Genre
Homme
Année de naissance
Rang


Famille


Quartier




Métier
Métier
Compléments








Origines
Ville d'origine
Région d'origine
Nation d'origine
Informations HRP
Login Minecraft
giseau
Pseudo
Edgar Guerric (Zelkiar)
Prénom IRL
Nicolas
Âge IRL
19 ans




RolePlay :


Edgar Guerric

Description

Identité

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Edgar Guerric

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Nom: Guerric
Prénom: Edgar
Âge: 27 ans
Née le: 03 juin 588
Nation d'Origine: Grande Huratelon
Ville d'Origine: Odense
Rang: Esclave
Métier: Forgeron
Fonction: Aucune

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Descritpion

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Description physique:


Edgar est un jeune homme de grande taille, aux yeux bleux, son visage est carré et endurcit. Ses cheveux bruns couleur ambre tendent à s’éclaircir lorsque le soleil paraît, tendant plus vers le châtain clair, comme ceux de sa mère. Son odeur rappelle celle du sapin et du cuir tanné, témoin des vêtements qu’il porte la plupart du temps. Ne s’encombrant jamais de tonnes de tissu, il se vête simplement, sans fioritures ou habits coûteux. C’est un homme bien bâtit, travaillant depuis des années comme forgeron, il s’est peu à peu endurcit au rythme des coups de marteau, acquérant un physique plus assuré.

Description morale:


Edgar est du genre à ne pas se laisser manipuler facilement, ayant longtemps du travailler seul à sa forge et ne pouvant compter sur l’aide de personne, cet homme s’est forgé seul, apprenant de ses erreurs et tâchant de ne pas les reproduire. Il a ses propres manières de faire les choses et peut sembler têtu dès lors qu’on le sort de sa routine. D’un habituel calme et méticuleux, il aime par dessus tout passer des heures à forger les armes et armures, se complaisant à tirer bénéfice du besoin de ses clients, il n’est cependant pas matérialiste

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Arbre


Grille Enclume.pngForgeron : Son père l'étant lui même, il a reçu une formation plus que suffisante pour pouvoir exercer ce métier comme il se doit.
Grille Pioche Sertie.png Ouvrier non spécialisé : Ayant dû se débrouiller seul pendant quelques temps, il dû trouver d'autres façon de toucher de l'or, c'est pourquoi il s'est retrouvé quelques mois à aider des mineurs dans leur dur labeur.
Grille Livre Écrit.png Education :Sa mère s'étant occupé son enfance, avant que son père ne prenne la relève pour lui apprendre à travailler, Edgar sait lire et écrire, faisant quelques fautes notables.

Qualités

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  • Accessible
  • Appliqué
  • Conscieucieux
  • Autonome
  • Fiable
  • Endurant
  • Empathique
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Défauts

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  • Peu ouvert aux inconnus
  • Méfiant
  • Ferme
  • égocentrique
  • Impulsif
  • Orgueilleux
  • Têtu
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Chronologie


Juin 488 : Edgar vient au monde accompagné de sa soeur, Helena.


Septembre 490 : Déménagement de la famille vers Odense, entamant le long voyage depuis Lauderfelt, le départ est nécessaire et non discutable, le père de Edgar est endetté et risque la geôle s’il ne fait rien.


Octobre 490: La Nivôse s’abat sur la grande Huratelon, faisant beaucoup de morts et blessés, alors que la famille est sur la fin de son périple, la petite Helena perd la vie à quelques kilomètres de leur destination, quelques jours plus tard, ils arrivent enfin à Odense.


Année 493: La famille acquiert un pigeonnier non-occupé ainsi qu’une modeste forge en échange de leur précédente demeure, bien que les conditions de vie y soient déplorables, Othmund trouve enfin des revenus fixes pour les dépenses de la maisonnée.
494-500: Tout se passe sans encombres notables, la famille se fait à cette nouvelle vie, alors que le paternel commence à faire quelques économies et à envier la forge d’en face, dépassant de plusieurs mètres la modeste forge familiale, Edgar quant à lui s’intéresse de plus en plus au travail de son père, commençant à fréquenter la forge à ses heures perdues.


Juin 502 : Des tensions se font ressentir entre les deux concurrents voisins, la forge Torel voit son rival grandir de jours en jours, ainsi, de plus en plus de citoyens parlent de la forge Guerric, ventant ses mérite et ses faibles prix.


Début 503: Alors que les échauffourées s’apaisaient, le père Torel, vint un jour se présenter face à Othmund, la panse pleine de vin et la gueule pleine de menaces, pestiférant à tout va et rameutant tous les passants curieux, il dégaina une dague, hors de lui, les mouvements hâtés par l’alcool, titubant entre deux respiration, il s’approchait de son rival sans trop se soucier de ce qu’il était en train de faire. Il s’approcha du père de Edgar, le regard emplit de colère et manqua de peu de l’atteindre au niveau de l’estomac, celui-ci se voyant bien plus agile que le poivrot qui lui faisait face. Par chance, une des putains du bordel d’à côté s’empressa d’appeler la garde qui mit fin bien assez tôt aux assauts de l’homme éméché. Il se vit confisquer sa forge et interdit de tout port d’arme pour une durée de trois ans.


An 504: Au plus grand des plaisirs des Guerric et après de longues procédures, Othmund pu reprendre la forge qu’il enviait depuis tant d’années, faisant instantanément enfler sa clientèle, se voyant obligé d’engager d’autres hommes tellement la demande était importante, si bien qu’il n’était plus un, mais trois forgerons. L’un d’eux était son fils, qui eu tout le loisir d’apprendre le métier, se voyant promettre la forge familiale lorsque son père ne pourrait plus la tenir. Ils en profitèrent pour changer de demeure et revendre la plus petite des deux forges.


505-514: Une routine pesante s’installa dans le ménage et Käthe fini par délaisser son mari, partant on ne sait où le matin et ne revenant que tard le soir, pour se coucher et recommencer. Après quelques semaines de ce manège, Edgar ne vit plus sa mère, sans n’avoir aucune raison valant son départ. La forge d’en face avait été rachetée par un bourgeois qui rêvait de soie et de diamants, elle prit feu quelques jours après sa remise en marche, Odense voyant cet humble bourgeois quitter la ville, le regard glissant sur l’horizon, toute envie d’empire commercial ayant quitté sa caboche.


514-515: Othmund plongea dans l’alcool et la drogue après le départ de sa femme qu’il avait toujours aimé, il lâcha de plus en plus la forge, tentant de la maintenir à flot seul au début, demandant l’aide des autres forgerons qui l’occupait par la suite, son fils se sentait impuissant quand au déclin de son père, se voyant comme spectateur de cette descente impromptue. Edgar décida de faire cavalier seul lorsqu’il vit son père user l’or de la forge pour sombrer dans la démence, Consommant toujours plus de cette poudre rouge qui lui avait déjà tant coûté.


An 516: La suite fût très contraignante pour Edgar qui se retrouva seul face aux difficultés de l’époque, et ne put rien faire d’autre qu’assister à sa propre perte de contrôle.


Suite : Le rp ci-dessous explique la fin de la chronologie, qui n’est donc pas reprise en son sein.

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Rp libre :
Ainsi, Edgar se retrouvait seul, n’étant parti de chez lui qu’avec quelques affaires qu’il a pu embarquer dans la charrette d’un marchand de passage. Parmis ces quelques bricoles, il y avait une épée, l’une des premières forgée par son père, une vieille bourse ayant appartenue à sa mère ainsi que quelques pièces et de la nourriture, mais il lui fallait se presser à trouver des revenus, sans quoi il ne pourrait tenir plus de quelques semaines.
Il se retrouvait sur une charrette puante, accompagné d’un homme d’une quarantaine d’années qui ne tarderait à rendre l’âme. Ils entamèrent une discussion dont Edgar ne retenu que le début, l’homme parlait de sa vieille femme qui venait de mourir, tout ce dont le forgeron se foutait, la vie de cet homme lui importait peu, il voulait juste s’éloigner de son père pour ne pas couler avec lui.
Le fait d’avoir parlé d’une femme bien aimée lui a tout de même rappelé sa mère, si bien qu’à présent, dès qu’il croise une femme dans la rue, il y jette un oeil dans l’espoir de retrouver sa génitrice, toujours enfuie on ne sait où. Lorsque le marchand annonça la fin de son voyage et proposa le gîte à Edgar, celui-ci refusa, par peur de devoir subir encore nombres histoires d’un vieil homme gâté par la solitude.
Le voici dans une ville qu’il ne connaît pas, vaguement similaire à toutes celles qu’il a pu croiser. Par chance, il aperçu l’enseigne d’une auberge, il s’y engouffra sans attendre alors que la nuit tombait. Il en profita pour prendre du repos, sachant que le lendemain serait une journée difficile et qu’il devrait certainement parcourir des kilomètres avant de trouver possiblement un travail.
Il rencontra finalement un homme qui, au premier abord lui sembla véreux, mais il n’en avait que faire, tant qu’il touchait quelques pièces par jour, au moins de quoi se restaurer.
Cet homme s’appelait Nemsi, un nom qui lui semblait bien étranger, il faut dire que trentenaire avait un accent qui ne lui revenait pas.
Il se mirent au travail, Nemsi l’emmena dans une cave, un sous sol crasseux, où peu de personnes auraient aimé pénétrer, mais Edgar s’y plu assez vite, retrouvant tout le matériel dont il avait besoin et pouvant aménager la pièce comme il le voulait.
Petit à petit, sa liberté commença à se restreindre, l’homme voyant toujours Edgar seul, il dû se douter qu’il n’était d’ici.
Lorsque son champ d’action se limitait à travailler toute la journée et à ne plus sortir qu’à la nuit tombée, Edgar se rendit compte que quelque chose n’allait pas, il décida d’aller en discuter avec son nouvel employeur, celui-ci fut plus vif que d’habitude, semblant plus fermé à la discussion, refusant, après qu’ils eurent fini de parler, que Edgar parte. Ainsi, trois hommes ont rejoint le duo dans la cave, la mine close, l’attitude sinistre, l’un d’eux portait des chaînes, il fallut un certain temps avant que Edgar ne comprenne, perdant immédiatement la mine confiante qu’il avait l’habitude d’arborer.
Il s’empara du premier objet qui lui tomba sous la main, un tabouret, tenta de repousser sans succès les hommes, ne faisant qu’en chasser un avant que les autres ne se ré-avançent. Il se débattu aussi longtemps qu’il le pouvait, assénant un coup dans le visage de l’un des hommes, ne faisant que recevoir une réponse bien plus douloureuse, après quelques secondes qui lui parurent une éternité, il se retrouva au sol, deux hommes pesants l’empêchant de faire le moindre mouvement. Il passa la nuit dans cette cave, les mains liées devant ses yeux, se sentant impuissant, contemplant cette porte close qu’il avait toujours apprécié voir ouverte.
Le lendemain matin, l’un des gars qui l’avait restreint et un type qu’il n’avait jamais vu vinrent le chercher, il faisait nuit, Edgar se mit à hurler à peine passé le seuil de la porte, il se vit aussitôt bâillonné, fût emmené dans un bateau et n’eut que quelques minutes avant de voir le bateau s’éloigner de la côte, et du futur qu’il s’était promit dans cette ville.

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